Gy (Haute-Saône)

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Gy
Gy (Haute-Saône)
La mairie
Blason de Gy
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Haute-Saône
Arrondissement Vesoul
Intercommunalité CC des Monts de Gy
(siège)
Maire
Mandat
Christelle Clement
2020-2026
Code postal 70700
Code commune 70282
Démographie
Gentilé Gylois/Gyloises
Population
municipale
1 001 hab. (2021 en diminution de 8,08 % par rapport à 2015)
Densité 41 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 24′ 25″ nord, 5° 48′ 47″ est
Altitude Min. 198 m
Max. 380 m
Superficie 24,6 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Besançon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Marnay
Législatives 1re circonscription de la Haute-Saône
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Gy
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Gy
Géolocalisation sur la carte : Haute-Saône
Voir sur la carte topographique de la Haute-Saône
Gy
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Voir sur la carte administrative de Bourgogne-Franche-Comté
Gy
Liens
Site web Https://www.mairie-gy.fr

Gy est une commune française située dans le département de la Haute-Saône, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Ses habitants sont appelés les Gylois(es).

Elle bénéficie du label Cité de Caractère de Bourgogne-Franche-Comté.

Géographie[modifier | modifier le code]

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte avec les communes environnantes

Description[modifier | modifier le code]

Paysage de la commune, depuis le sud.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 059 mm, avec 13,6 jours de précipitations en janvier et 9,3 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bucey-lès-Gy », sur la commune de Bucey-lès-Gy à 3 km à vol d'oiseau[3], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 032,6 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,5 °C, atteinte le ; la température minimale est de −23 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Gy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Besançon, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 312 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (49 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (49,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (45 %), terres arables (26,4 %), zones agricoles hétérogènes (11,9 %), prairies (8,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4 %), zones urbanisées (3,5 %), mines, décharges et chantiers (0,6 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

L'occupation (au sens archéologique du terme) de Gy est attestée depuis la période gallo-romaine, en raison de la découverte des substructions d’une villa gallo-romaine à proximité de l'actuelle place de la République.

En 1093, le comte de Bourgogne, Renaud, vend à son frère Hugues, archevêque de Besançon ses terres du pays gyssois.

En 1250, l'archevêque de Besançon Guillaume II de la Tour[14] y fait construire « une forte tour ».

En 1259, Jean Ier de Chalon du comté de Bourgogne entre en conflit contre l'archevêque de Besançon Guillaume II de la Tour. Ainsi le château de Gy est assiégé par Thibaud III de Rougemont, Gérard, Richard et Thiébaud II de Neuchâtel, fils de Thiébaud Ier de Neuchâtel-Bourgogne, Guillaume et Pierre d'Arguel[15], Othon de la Roche, Etienne et Othon de Montmarin et autres seigneurs et après quelque résistance, le château fut pris et détruit de fond en comble[16]. L'archevêque excommunia les perturbateurs qui fut confirmé par le pape Alexandre IV. Un arrangement fut négocié par le paiement d'une rente de 5 bichots[17],[18] de froment à prendre sur les moulins de Vuillecin afin de lever l’excommunication[19].

En 1380, une querelle concernant les droits de battre monnaie entre le duc de Bourgogne, Philippe II de Bourgogne, et l’archevêque de Besançon, Guillaume de Vergy, s’est envenimée. Le prélat suivi par son chapitre interdit Auxonne de battre monnaie, refuse au duc l’hommage de plusieurs de leurs seigneuries et excommunie le gardien de la Comté et le bailli d’Amont, fidèle au duc. En réponse, le duc de Bourgogne rase les forteresses épiscopales de Noroy, Étalans et Mandeure et poursuit l’archevêque jusqu’à son château de Gy, qu’il assiège. L’archevêque parvient à s’enfuir du château par un souterrain, dit-on, et trouver refuge à Avignon d’où il excommunie le Comté de Bourgogne[20].

En 1477 pendant la guerre de Succession de Bourgogne, Gy sert de Quartier-général à l'armée comtoise commandé Jean de Chalon-Arlay, Prince d'Orange. La ville est menacée par les troupes françaises qui s'en détourneront pour affronter les comtois à la bataille du pont d'Emagny. La garnison germanique qui défendait la ville par crainte d'être ensuite attaquée, abandonne la ville et la pille[21].

A la renaissance, Gy est décrit dans l'ouvrage "Description de la Franche-Comté" de 1552: "Son territoire jouit d'une fécondité incomparable, car il produit un vin qui le dispute en vertu et en bonté avec celui de Besançon. On le transporte en Allemagne, non pas pour le vendre en public, mais pour orner la table des grands. François Busleiden, archevêque de Besançon, a construit ses hautes tours et son admirable château".

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de l'arrondissement de Vesoul du département de la Haute-Saône, en région Bourgogne-Franche-Comté. Pour l'élection des députés, elle dépend de la première circonscription de la Haute-Saône.

Elle était, depuis 1793,le chef-lieu du canton de Gy[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton de Marnay.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Gy est le siège de la communauté de communes des Monts de Gy, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1999 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[23]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
juin 1995 mars 2001 Philippe Dumont    
mars 2001 mars 2008 Lucien Chance   Retraité France-Télécom
mars 2008 2014[24] Christelle Rousselle UMP Conseillère agricole
2014[25] En cours
(au 3 décembre 2020)
Christelle Clément UMP[26]
puis SE
Vice-présidente de la CC des Monts de Gy (2014 → )
Vice-présidente de l'association des maires ruraux de Haute-Saône[27]
Réélue pour le mandat 2020-2026[28],[29]

Politique de développement durable[modifier | modifier le code]

La commune s'est dotée, à l'initiative de l'ancien maire Lucien Chance, d'une chaufferie automatique à bois avec réseau de chaleur, qui alimente, depuis l'automne 2014 le collège et le gymnase, puis, à terme, le futur pôle scolaire et de l’accueil périscolaire[30].

Distinctions et labels[modifier | modifier le code]

De par son histoire et son patrimoine, Gy fait partie de l'association des Cités de Caractère de Bourgogne-Franche-Comté.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].

En 2021, la commune comptait 1 001 habitants[Note 4], en diminution de 8,08 % par rapport à 2015 (Haute-Saône : −1,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 3252 6952 8062 7142 9592 5972 6602 4602 543
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 9702 1202 1782 0032 0922 1172 0351 8221 680
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 6411 6211 5151 2561 2011 1791 2071 1941 095
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
9879369669509431 0181 0341 0391 088
2018 2021 - - - - - - -
1 0211 001-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Sport[modifier | modifier le code]

  • AC Gy, club de football féminin.
  • HBC Des Monts de Gy, club de handball féminin et masculin.
  • Gy est le point central de l'espace VTT des monts de Gy.
  • Judo Club Gylois[34], club de judo Ju-jitsu et self défense affilié Fédération française de judo et disciplines associées.
  • Club bouliste : la « Pétanque Gyloise » créé en 1981 sous l’impulsion de Pierre Balland. En 2018, le club compte 133 licenciés dont 67 Hommes, 21 Femmes et 45 jeunes. Chez les adultes, la compétition demeure une priorité. Une défaite au 7e tour de la coupe de France en 2018 a néanmoins constitué un record pour le club. Le club monte en puissance depuis quelques années[Quand ?] notamment avec le recrutement de joueurs de haut niveau comme Bal Erol (qui a participé au championnat du monde avec la sélection marocaine) ou encore Julien Schandelmeier venu de Colmar.
    Le club de pétanque dispose d’un terrain découvert d’environ 50m² utilisable n’importe quand pendant la semaine et ouvert à tous. Un local est mis à la disposition des licenciés du club. C’est un lieu de loisirs pendant la semaine et un lieu d’entraînement en vue des compétitions qui ont lieu chaque week-end.
    En 2012 et à destination des jeunes générations, une école de pétanque a été fondée par Nicolas Monnier le président et David Faivre, Vice-président du club et président de la commission des jeunes : 10 équipes ont participé au championnat de France.

Économie[modifier | modifier le code]

En 2018, la commune dispose des professionnels suivants : 2 restaurants, 2 cafés, 1 boucherie, 2 boulangeries-pâtisseries, 1 hôtel, 3 Salons de coiffure, 2 instituts de beauté, 1 boutique de vêtement pour femme, 1 boutique d’article de décoration, 1 artisan-traiteur, 1 pharmacie, 1 bureau de tabac, 1 hypermarché, 1 bureau de poste, 1 centre des finances publiques, 1 office de tourisme, 1 cinéma (2 projections par mois), 1 agence immobilière, 1 auto-école, 1 agence bancaire, 1 société d’assurance, 1 concession automobile, 8 médecins, 2 infirmières, 3 kinésithérapeutes, 1 ostéophate, 1 orthodontiste, 2 dentistes, 1 centre de première intervention (CPI SDIS70), 1 entreprise funéraire, 1 carrière, 3 entreprises de peinture, 1 carrossier, 1 menuisier-ébéniste, 1 société européenne spécialisée dans les fermetures de garage et rideaux métalliques pour les professionnels et particuliers (siège social Gy), 1 société de maçonnerie, 1 société de paysagisme, 1 société spécialisée dans la vente de matériel agricole, une société de plomberie,1 société de motoculture, 1 société de transport de voyageurs et/ou de personnels par autocar, 1 société de charpente/couverture, 1 société d’électricité, 1 entreprise de terrassement et TP, 1 imprimerie, 1 association avec point de vente de produit bio, 1 déchèterie, 2 collèges (1 privé et 1 public), 2 écoles maternelles et 2 écoles primaires(1 privée et 1 publique)[24].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Ancien lavoir (actuel garage et bucher), place des Écuries, construit au milieu du XIXe siècle par l'architecte César Convers en pierre de taille
  • Habitat vigneron avec :
    • le vieux bourg médiéval et ses maisons des XVIIIe et XIXe siècles.
    • la caborde restaurée dans les vignes aux lièvres.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Claude-Antoine Bolot, magisrat et homme politique, né à Gy, avocat à Vesoul.
  • Louis Francisque Lélut, médecin français philosophe, né à Gy.
  • Noël André connu sous le nom de Père Chrysologue (1728-1808), religieux capucin et scientifique auteur d'une Théorie de la surface actuelle de la terre[40],[41].
  • Charles Marie Albert Travelet, ingénieur des ponts-et-chaussées de première classe, ancien élève de l'école polytechnique (promotion 1864), né le à Besançon (Doubs), marié à Berthe Elisabeth Bolot et décédé le à Gy[42].
  • Paul Lanoir (1863-1927), organisateur du syndicalisme jaune au début du XXe siècle, est né à Gy.
  • Guillaume Dard de Bosco de Gy (1704 - ~1790), était un habile mécanicien qui fut reconnu par l'ingénieur italien Servandoni. Celui-ci lui confia, en 1757, la direction des machines du Théâtre des Tuileries. Treize ans plus tard, il fut chargé de l'exécution des machines du théâtre du roi à Versailles. Il publia un Discours sur les femmes, ouvrage (paru sous pseudonyme) qui était une apologie du sexe féminin[réf. nécessaire].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Gy Blason
D’azur à la foi alésée de carnation[43].
Devise
« ferme comme Gy »
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Sabrina Dalibard, « Le bourg et le château des archevêques de Besançon à Gy », dans Congrès archéologique de France. 179e session. Haute-Saône : L'art de bâtir en Franche-Comté au siècle des Lumières. 2020, Paris, Société française d'archéologie, (ISBN 978-2-901837-95-4), p. 65-75

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Gy et Bucey-lès-Gy », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Bucey-lès-Gy », sur la commune de Bucey-lès-Gy - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Bucey-lès-Gy », sur la commune de Bucey-lès-Gy - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Besançon », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Histoire de l'église, ville et diocèse de Besançon par François-Ignace Dunod de Charnage page 204
  15. Mémoires pour servir à l'histoire du comté de Bourgogne par François-Ignace Dunod de Charnage page 125
  16. Memoires et Documents Inedits de la Franche Comté Volume 3 page 153
  17. Le bichot est une ancienne mesure de capacité pour les grains
  18. Coutumes générales du pays et Duché de Bourgogne par Pierre Taisand page 870
  19. Essai sur l'histoire de la Franche Comté, Volume 1 par Edouard Clerc page 416
  20. Edouard Clerc, Essai sur l’histoire de la Franche-Comté, tome second, Bintot imprimeur-libraire, Besançon, 1846, p.221.
  21. Duronzier, Mémoire historiques sur la Franche-Comté pendant la domination des ducs de Bourgogne de la Maison de Valois..., Charles Deis, (lire en ligne)
  22. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. « Les maires de Gy », sur francegenweb.org (consulté le ).
  24. a b et c Sébastien Michaux, « Un mandat au-dessus de tout », L'Est républicain, édition de la Haute-Saône,‎ (lire en ligne) « Christelle Rousselle (élue en 2008 pour la première fois) : (...) Mandat de maire. « Je n’étais pas candidate à la fonction de maire, on s’est tourné vers moi. J’ai dit oui, mais il ne faut pas trop savoir à quoi on s’engage... L’apprentissage a été difficile. Je suis à mi-mandat, je commence à maîtriser les rouages. Depuis six mois, j’ai arrêté de travailler pour me consacrer pleinement à la mairie (Christelle Rouselle, mère d’un garçon de 7 ans, est ingénieur agronome, NDLR) ».
    Politique. Christelle Rousselle a été la candidate UMP malheureuse sur le canton de Gy. « Je m’y suis engagée quand j’ai été élue maire, d’autant qu’on m’a demandé de me positionner : le conseil municipal n’est pas un lieu pour faire de la politique. Je n’ai pas épousé la cause, je me suis présentée avec cette étiquette, c’est tout. Je ne peux pas défendre telle ou telle chose d’un point de vue strictement politique, ce qui me fait dire que je ne suis pas forcément une bonne candidate...» »
    .
  25. « Élection du maire et des adjoints », L'Est républicain, édition de la Haute-Saône,‎ (lire en ligne) « Christiane Charolles a recueilli 3 voix, Christelle Clément 12 voix ».
  26. « Gy », Données du Monde, Le Monde (consulté le ).
  27. Catherine Eme-Ziri, « Le blues des maires : Un maire sur deux ne se représentera pas en 2020. 50 % qui jette l'éponge, c'est beaucoup. Plus les communes sont petites plus ce pourcentage augmente. Après le congrès des maires et en plein mouvement des "gilets jaunes", le blues des maires dans Dimanche en Politique Franche-Comté », France 3 Bourgogne-Franche-Comté,‎ 26/11/2018 mis à jour le 3/12/2018 (lire en ligne, consulté le ).
  28. « Vers un troisième mandat », La Presse de Gray,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. « Un troisième mandat de maire pour Christelle Clément », L'Est Républicain,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. « Le bois pourvoyeur de chaleur pour tous », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône,‎ (lire en ligne).
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. « Judo Club Gylois », sur Facebook.com (consulté le ).
  35. « Le château », notice no IA00016238, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. « La mairie », notice no PA00102192, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. « L'église paroissiale Saint-Symphorien », notice no IA00016240, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  38. « La grande fontaine », notice no PA70000051, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  39. « Le lavoir », notice no IA00016248, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  40. Louis Suchaux Galerie biographique du département de la Haute-Saône, Volume 1, 1864
  41. (it) http://www.atlascoelestis.com/ChryN%2002.htm
  42. Source : Acte de décès numéro 40 du registre des décès de la commune de Gy pour l'année 1885.
  43. « L'Armorial », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).