Genilac

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Genilac
Genilac
Le bourg de Genilac.
Blason de Genilac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Loire
Arrondissement Saint-Étienne
Intercommunalité Saint-Etienne Métropole
Maire
Mandat
Denis Barriol
2020-2026
Code postal 42800
Code commune 42225
Démographie
Gentilé Genilacois [1]
Population
municipale
3 843 hab. (2021 en diminution de 1,16 % par rapport à 2015)
Densité 443 hab./km2
Population
agglomération
374 643 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 45° 31′ 59″ nord, 4° 34′ 57″ est
Altitude Min. 255 m
Max. 588 m
Superficie 8,67 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Saint-Étienne
(banlieue)
Aire d'attraction Lyon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Rive-de-Gier
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Genilac
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Genilac
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Genilac

Genilac est une commune française, qui appartient au département de la Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes. Bâtie sur une colline qui domine la vallée du Gier, entre Saint-Étienne à l'ouest et Lyon à l'est, et faisant face au massif du Pilat, elle appartient à la bordure orientale des monts du Lyonnais. Avec 3 866 habitants en 2020 contre 3192 en 1999, elle connaît une forte croissance démographique[2]. La proximité de nombreux réseaux de transport et sa situation géographique à mi-chemin de ces deux villes en font une commune attractive entre ces deux pôles urbains de la région Rhône-Alpes dont elle devient une banlieue résidentielle. La commune actuelle est le résultat de l'association en 1973 des communes de Saint-Genis-Terrenoire et La Cula qui jusqu'en 1794 n'en formaient qu'une seule : Saint-Genis-Terrenoire a donné Geni et La Cula a donné lac. À la suite d'un référendum local, les habitants de Genilac ont choisi de s'appeler les Genilacois et les Genilacoises mais ils n'ont pas accepté la fusion des communes. Auparavant ils étaient souvent surnommés les Mouriets en référence à la mourine ou poussière de charbon dont étaient recouverts les anciens mineurs.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

La Cula (commune de Genilac).

La commune est située au sud du département de la Loire, à 4 km de Rive-de-Gier[3], à 43 km au sud-ouest de Lyon[4] et à 24 km à l'est de Saint-Étienne[5]. Les habitants de la commune bénéficient de la proximité du réseau de communications de la vallée du Gier desservie par la voie ferrée et de l'autoroute 47 :

Topographie[modifier | modifier le code]

  • Le territoire communal, d'une superficie de 8,67 km2[6], est localisé au sud-ouest du Plateau lyonnais[7] en bordure du talus qui domine la dépression du Gier.
Genilac: le bourg

Il est dominé au nord par l'escarpement du massif du Châtelard qui appartient à la ligne de crêtes des monts du Lyonnais. Il en résulte un fort dénivelé de 588 mètres d'altitude au nord, à 255 mètres[6] au contact du bassin houiller du Gier. L'encaissement des cours d'eau affluents du Gier est un autre caractère du paysage.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 779 mm, avec 8,9 jours de précipitations en janvier et 6,4 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Didier-sous-Riverie », sur la commune de Chabanière à 7 km à vol d'oiseau[10], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 855,5 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Genilac est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Étienne, une agglomération inter-départementale regroupant 32 communes[17] et 374 643 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[18],[19].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 398 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[20],[21].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (59,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (33,4 %), zones urbanisées (25,3 %), zones agricoles hétérogènes (17,1 %), forêts (11,2 %), prairies (5,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,2 %)[22]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Issue de la fusion en 1973 de Saint-Genis-Terrenoire et de La Cula. Le nom de la nouvelle commune est formé de (Saint) Geni(s) et La C(ula).

Le nom de Saint-Genis que l'on trouve aussi sous la forme de Genès ou Genest, assez répandu dans le Lyonnais, provient soit du nom du comédien romain martyrisé sous Dioclétien ou de Genès de Lyon qui y fut évêque au VIIe siècle. Terra Nigra ou « Terre noire » atteste l'ancienneté de l'exploitation superficielle du charbon de terre dans cette partie du Bassin houiller du Gier. La Cula a pour origine un nom d'homme latin Cullius suivi du suffixe -acum.

Histoire[modifier | modifier le code]

  • Ce sont les vestiges de l'aqueduc du Gier qui témoignent de l'occupation du territoire à l'époque gallo-romaine mais aucune trace d'habitat permanent n'a été mise au jour.
  • Le territoire de la paroisse primitive était délimité par la Durèze, le Feloin et le Gier. Les premiers documents qui attestent l'existence de la paroisse de Sanctus Genesis de Terra Nigra sont du XIIe siècle.
  • Paroisse de l'archidiocèse de Lyon, Saint-Genis-Terrenoire faisait partie au début du Moyen Âge d'une région frontière située à la marge occidentale du Saint-Empire romain germanique[23]. Les terres du Royaume des Burgondes étant revenues en héritage à Otton Ier du Saint-Empire, celui-ci fit des chanoines de l'Église de Lyon les suzerains temporels de la ville et des territoires adjacents. Frédéric Barberousse, affranchit la ville par la Bulle d'or de 1167 et céda en même temps une grande partie de ses droits suzerains aux archevêques. C'est ainsi qu'entre 1203 et 1226 que Renaud II de Forez, devenu archevêque de Lyon, fit fortifier de nombreux villages ou villes du Comté de Lyon dont Saint-Genis-Terrenoire (Genilac) afin de les protéger de diverses menaces extérieures et montrer sa puissance à ses rivaux et voisins, en particulier, la famille de Roussillon installée à Riverie et Châteauneuf (Loire).
Saint-Genis Terrenoire vers 1910 : le château féodal.
  • Dès la fin du XIIe siècle, le chapitre de chanoines de Saint-Just de Lyon encourageait l'exploitation du charbon sur le territoire de la paroisse comme le montre un livre terrier daté de 1187[24]. En 1297, la Commanderie des hospitaliers de Chazelles-sur-Lyon avait acquis d'Étienne de Saint-Priest le droit d'exploiter des carrières ou perrières de charbon situées près d'un chemin entre le bourg et le Reclus (hameau situé aujourd'hui sur la commune de Lorette [25]. En 1448, ces droits furent acquis par le Chapitre de Saint-Just puis rattachés à l'obéance de Dargoire[26]. Influencés semble-t-il par Jacques Cœur, qui avait au XVe siècle développé la recherche minière dans les Monts du Lyonnais, les prélats ont compris l'intérêt économique de ce nouveau combustible qui apporte un profit non négligeable malgré des conditions d'exploitation très précaires. En 1540, Guillaume Paradin, doyen de Beaujeu et auteur des Annales du Lyonnais et du Beaujolais avait fait de Saint-Genis-Terrenoire le point de départ de l'extraction de la houille et de la quincaillerie dans la vallée Gier "À Saint Genis Terre-noire et à Saint-Chaumont, sont des mines de bon charbon de pierre…"Mais le principal profict qui vient est des forges, au moyen de quoi est le Gierest fort fréquenté de certaines races de posvres éstrangiers forgerons.
    Saint-Genis Terrenoire au début du XXe siècle - Vue générale vers le sud-est.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Situation administrative[modifier | modifier le code]

Genilac est l'une des 10 communes du canton de Rive-de-Gier qui totalisait 28 855 habitants en 2011. Le canton fait partie de la troisième circonscription de la Loire et de l'arrondissement de Saint-Étienne.

Genilac fait partie de la juridiction d'instance de Rive-de-Gier et de grande instance ainsi que de commerce de Saint-Étienne.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

  • La commune de Genilac adhère à Saint-Étienne Métropole, un EPCI. Son organisation se rapproche de celle d'une commune. Chaque collectivité adhérente dispose d'un nombre de sièges proportionnel au nombre des habitants. Ses compétences concernent le développement économique, l'aménagement du territoire, l'enseignement et l'éducation, les équipements sportifs et culturels, l'environnement et le cadre de vie, les transports.
  • Le Syndicat intercommunal du pays du Gier[27], est l'héritier de la « Conférence intercommunale » organisée par les communes de la Vallée du Gier au cours des années 1980. De 13 adhérents en 1986, la « Conférence » se transforme en Syndicat Intercommunal regroupant 23 communes en 1995. Ses missions concernent la promotion du territoire, la vie sociale et culturelle, l'agriculture, le tourisme, l'environnement…

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Genilac Blason
D'azur à la barre d'or, au pampre de vigne fruité de gueules, tigé et feuillé de sinople, brochant sur le tout, au chef cousu de sable chargé de trois crézieux (lampes de mineur à huile et à mèche) d’argent[28],[29].
Détails
Le blason rappelle la vigne et la mine qui furent dès le Moyen Âge les activités principales du village de Saint-Genis-Terrenoire (Sanctus in terra nigra).

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Depuis 1973, date du regroupement entre les communes de La Cula et de Saint-Genis-Terrenoire, Genilac a le statut de Commune associée. Lors des élections municipales, chaque village présente une liste de candidats dont le nombre est proportionnel au % d'habitants dans la population totale. La commune est donc dirigée par un maire et un maire délégué.

À l'issue des élections municipales de 2014, le conseil municipal compte vingt-sept élus, dont deux au conseil communautaire[30].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires de la Cula de 1944 à 1972[31]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1973 1985 Philippe André    
Liste des maires de Saint-Genis-Terrenoire de 1944 à 1972[31]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
Liste des maires de Genilac depuis 1973
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1971 1984 Marcel Suzat    
    M. Roux    
juin 1995 mars 2011
(décès)[32]
Jean Odin DVD  
mars 2011 mars 2014 Maurice Boyer DVD  
mars 2014 En cours Denis Barriol UDI  

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Résultats pour la commune des scrutins français depuis 2000.
Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours.
Année Élu Battu Participation
2002 % Jacques Chirac RPR % Jean-Marie Le Pen FN % [33]
2007 % Nicolas Sarkozy UMP % Ségolène Royal PS % [34]
2012 % François Hollande PS % Nicolas Sarkozy UMP % [35]
2017 % Emmanuel Macron EM % Marine Le Pen FN % [36]
2022 % Emmanuel Macron LREM % Marine Le Pen RN % [37]
Élections législatives, résultats des deux meilleurs scores du dernier tour de scrutin.
Année Élu Battu Participation
Genilac est répartie sur plusieurs circonscriptions, cf. les résultats des .
Avant 2010, Genilac est répartie sur plusieurs circonscriptions, cf. les résultats des .
2002 45,28 % François Rochebloine UDF 21,89 % Christiane Farigoule PS % [38]
2007 45,75 % François Rochebloine
élu au premier tour
Nouveau Centre 23,84 % Christiane Farigoule PS % [39]
Après 2010, Genilac est répartie sur plusieurs circonscriptions, cf. les résultats de .
2012 % François Rochebloine UDI % Philippe Kizirian PS % [40]
2017 52,62 % Valéria Faure-Muntian LREM 47,38 % François Rochebloine UDI % [41]
2022 % % % [42]
Élections européennes, résultats des deux meilleurs scores.
Année Liste 1re Liste 2e Participation
2004 % % % [43]
2009 % % % [44]
2014 % % % [45]
2019 % % % [46]
Élections régionales, résultats des deux meilleurs scores.
Année Liste 1re Liste 2e Participation
2004 % PS % UMP % [47]
2010 % PS 43,55 % % [48]
2015 % % % [49]
2021 % % % [50]
Élections cantonales, résultats des deux meilleurs scores du dernier tour de scrutin.
Année Élu Battu Participation
Genilac est répartie sur plusieurs cantons, cf. les résultats de ceux de .
2001 % % % [51]
2004 % Jean-Claude Charvin DVD % Christiane Farigoule PS % [52]
2008 % % % [53]
2011 68,13 % Jean-Claude Charvin UMP 31,87 % Robert Heyraud Front national % [54]
Élections départementales, résultats des deux meilleurs scores du dernier tour de scrutin.
Année Élus Battus Participation
Genilac est répartie sur plusieurs cantons, cf. les résultats de ceux de .
2015 % % % [55]
2021 % % % [56]
Référendums.
Année Oui (national) Non (national) Participation
1992 % (51,04 %) % (48,96 %) % [57]
2000 % (73,21 %) % (26,79 %) % [58]
2005 % (45,33 %) % (54,67 %) % [59]


Élections nationales et européennes[modifier | modifier le code]

Élections présidentielles[modifier | modifier le code]

Élections de 2002[modifier | modifier le code]
  • Au premier tour des élections présidentielles de 2002, les électeurs de la commune ont placé le candidat du Front national Jean-Marie Le Pen en tête avec 24 % des suffrages exprimés suivi du candidat RPR et président sortant Jacques Chirac. Le candidat socialiste Lionel Jospin a obtenu 12 %, voix. Si au second tour Genilac a voté massivement (77 %) pour le candidat de la droite parlementaire, le score de Jean-Marie Le Pen (23 %) est resté supérieur au score national (17,79 %)[60]).
Élections de 2007[modifier | modifier le code]
Élections de 2012[modifier | modifier le code]

Résultats des élections présidentielles

Élections législatives[modifier | modifier le code]

  • Élections législatives de 2002
    • Au premier tour l'UDF, François Rochebloine, arrive en tête avec 45,28 % des voix exprimées, suivi par le PS, Christiane Farigoule, avec 21,89 % des voix exprimées et le FN, Christian Grangis, avec 18,83 % des voix.
    • Au second tour, François Rochebloine, remporte cette élection avec 63,30 % des suffrages exprimés, face à 36,7 pour la candidate du PS, Christiane Farigoule.
  • Élections législatives de 2007
    • Au premier tour, François Rochebloine, investit par le Nouveau Centre, arrive en tête avec 45,75 % des voix exprimées, suivi par Christiane Farigoule (PS), avec 23,84 % des voix.
    • Au second tour, François Rochebloine, remporte l'élection avec 56,20 % des voix, contre 43,80 % pour Christiane Farigoule.

Élections européennes[modifier | modifier le code]

Élections locales[modifier | modifier le code]

Élections cantonales[modifier | modifier le code]

  • Élections cantonales de 2004 : Jean-Claude Charvin Divers droite a remporté cette élection dès le premier tour avec 53,09 % des suffrages, face au candidat du Parti communiste français, Jean Point avec 46,91 % des voix.
  • Élections cantonales de 2011 (20 et )[61]
  1. Résultats du 1er tour (dimanche )

Avec une participation 48,71 % soit 1 213 votants sur 2 490 inscrits, les électeurs ont placé en tête Robert Heyraud candidat du Front national avec 29,30 % des suffrages exprimés, puis le conseiller sortant DVD Jean-Claude Charvin qui a obtenu 27,30 % des suffrages. Ils étaient suivis du candidat socialiste Martial Fauchet (15,53 % - 186 voix), du communiste Jean Point (14,19 % - 170 voix), du candidat écologiste Jacques Minnaert (12,35 % - 148 voix) et du candidat DVD Christian Nicorosi (1,34 % - 16 voix).

  1. Résultats du second tour (dimanche )

Avec une participation de 49,88 %, 1 100 suffrages exprimés soit 89,37 % des votants, les habitants de Genilac ont accordé 40,63 % des suffrages à Robert Heyraud, Front national et 59,37 % à Jean-Claude Charvin, conseiller général sortant DVD.

Élections municipales[modifier | modifier le code]

Le maire sortant a été battu aux élections municipales de 2014. Denis Barriol a remporté l'élection avec 65,91 % des voix ; il acquiert 23 sièges au conseil municipal dont 2 au conseil communautaire. Le taux de participation est de 69,40 %[30].

Services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune relève de l'Académie de Lyon. Les écoles sont gérées par l'inspection départementale de l’Éducation nationale de la Loire (département) à Saint-Étienne.

  • L'enseignement primaire est assuré dans quatre établissements publics ou privés sous contrat d'association répartis sur les trois secteurs de la commune : Le Sardon, Saint-Genis et La Cula.
  • Comme il n' y a pas d'établissement d'enseignement secondaire, les élèves se rendent dans les collèges ou lycées de Rive-de-Gier et des environs par un service de transport scolaire.

Transports publics[modifier | modifier le code]

Le , Saint-Étienne Métropole a créé une nouvelle ligne, la ligne 79. Cette ligne relie La Cula, Gelay, Tapigneu, Lachal, Verchères, Montellier à Rive-de-Gier en moins de 15 minutes. La ligne fonctionnait du lundi au vendredi de 6 h 50 à 20 h 35 avec 9 allers-retours.

Le , après une refonte du réseau STAS, la ligne 79 devient la ligne 47 du réseau de Saint-Étienne Métropole. La ligne circule désormais le samedi (jusqu'en 2016).

Depuis le , après une nouvelle refonte du réseau, la ligne 47 (La Cula - Gare Routière Rive-de-Gier) fusionne avec la ligne 46 (Saint-Martin-la-Plaine - Le Plantier > Gare Routière Rive-de-Gier). Elle gardera l'indice 47. Aujourd'hui, la ligne fonctionne du lundi au vendredi de 6 h 15 à 19 h 45 environ.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique de La Cula (1793-1972)[modifier | modifier le code]

Évolution de la population
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
412404386454402422436439452
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
443423423406402404444410404
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
384392371344348336351314335
(Sources : LdH/EHESS/Cassini[62])

Évolution démographique de Saint Genis Terrenoire (1793-1972)[modifier | modifier le code]

Évolution de la population
866 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846
2 1941 2561 0201 2351 2961 8701 9152 3472 602
1851 1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 6712 6712 3062 0401 9502 0161 9141 7401 701
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 7641 5811 5671 5221 5551 5481 4231 3141 528
1962 1968 - - - - - - -
1 9962 181-------
(Sources : LdH/EHESS/Cassini[63])

Évolution démographique de Genilac (depuis 1972)[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1975. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[64]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[65].

En 2021, la commune comptait 3 843 habitants[Note 3], en diminution de 1,16 % par rapport à 2015 (Loire : +1,27 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021
2 5332 6082 8603 1043 5633 7633 8803 843
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[63] puis Insee à partir de 2006[66].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,2 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (35,0 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,0 % la même année, alors qu'il est de 28,4 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 987 hommes pour 1 919 femmes, soit un taux de 50,87 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,35 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[67]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90 ou +
0,7 
5,2 
75-89 ans
6,3 
13,9 
60-74 ans
15,4 
20,8 
45-59 ans
19,3 
19,4 
30-44 ans
22,2 
17,5 
15-29 ans
15,1 
22,9 
0-14 ans
20,9 
Pyramide des âges du département de la Loire en 2020 en pourcentage[68]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
2,3 
7,9 
75-89 ans
10,9 
17,2 
60-74 ans
18,1 
19,5 
45-59 ans
18,8 
17,7 
30-44 ans
16,9 
17,8 
15-29 ans
16,1 
19,2 
0-14 ans
16,9 

Économie[modifier | modifier le code]

Commerces et services[modifier | modifier le code]

Le bourg de Genilac possède des commerces de proximité (boucherie, bar-tabac, boulangerie).

Activités industrielles et artisanales[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

Située sur les coteaux du Jarez, l'activité agricole est principalement tournée vers l'arboriculture avec de nombreux vergers.

Patrimoine[modifier | modifier le code]

Patrimoine archéologique : l'aqueduc du Gier[modifier | modifier le code]

Des vestiges de l'aqueduc du Gier qui alimentait en eau la ville de Lyon (Lugdunum) à partir des eaux du Gier sont visibles en de nombreux points.

En particulier, le hameau de Leymieux abrite un vestige rare, témoin du savoir-faire des ingénieurs romains : le réservoir de chasse de la Durèze[69].

Genilac : le siphon de la Durèze
Réservoir de chasse de la Durèze.

Il était le départ d'un ensemble pont-siphon de près de 700 m de longueur et de 80 m de flèche qui permettait à l'eau de traverser la vallée de la Durèze à travers 9 tuyaux de plomb dont il ne reste aujourd'hui que l'emplacement. Un autre pont-siphon de ce même aqueduc est visible à Soucieu-en-Jarrest. Un autre exemple d'aqueduc à double siphon a été mis au jour sur le site de la ville romaine d'Aspendos près d'Antalya au sud de la Turquie.

Patrimoine architectural[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

alternative textuelle
Église de Genilac.
  • Église Saint-Genis de Genilac.
  • L'église de Saint-Genis-Terrenoire

L'église actuelle a été édifiée entre 1841 et 1843. Elle a remplacé une construction qui existait au XVIIe siècle mais démolie malgré plusieurs tentatives de restauration au début du XIXe siècle. Elle est l'œuvre de l'architecte Chambeyron qui a conçu également l'église Saint-Jean de Rive-de-Gier. C'est un édifice représentatif de l'architecture néoclassique très prisée au début du XIXe siècle. La façade avec son fronton et ses pilastres d'angle auxquels répondent les colonnes doriques et ioniques de l'intérieur rappelle un temple grec. Le chemin de croix en plâtre est l'œuvre du sculpteur Joseph-Hugues Fabisch.

Le bâtiment actuel date du début du XVIIe siècle (1627) et remplace une chapelle plus ancienne bâtie au XIVe siècle pendant la Peste noire. Elle est dédiée à Notre-Dame-des-Douleurs. C'est un pèlerinage local encore vivant. Les murs sont recouverts d'ex-voto antérieurs à la Seconde Guerre mondiale ; une copie de la statue de Notre-Dame de Pitié remplace l'orignal du XVIIIe siècle dérobé en 1974. La chapelle a servi d'église paroissiale jusqu'à l'achèvement en 1867 de l'église de la Cula.

  • Les croix.

Architecture civile[modifier | modifier le code]

Patrimoine industriel[modifier | modifier le code]

Les anciennes concessions minières[modifier | modifier le code]

Elles appartenaient au district central de Rive-de-Gier, sur un territoire délimité approximativement par la Durèze, le Feloin et le Gier. C'est un secteur qui fut exploité dès le XIVe siècle car les couches de charbon affleuraient ; le manque de rigueur et d'organisation dans les travaux, jusqu'à la création des concessions, explique la multiplicité des puits foncés et des accidents dus aux éboulements et inondations.

  • La concession de Gravenand[70] a été créée par Ordonnance royale du sur une surface de 90 ha, elle a cessé toute activité en 1944.
  • La concession de la Montagne du Feu[71] a été créée par Ordonnance royale du . L'exploitation intensive du secteur au XVIIIe siècle a provoqué des inondations dans le secteur proche de la Durèze et dans la partie supérieure à partir de 1760, un incendie qui a duré près de trente ans, d'où le nom qui lui a été attribué.

Lieux de mémoire[modifier | modifier le code]

Vie culturelle et associative[modifier | modifier le code]

La vie associative a un rôle important dans l'animation de la commune. Elle est organisée autour de l'OCALE, une association qui fédère les associations locales (Organisme, Culture, Activités sportives, Loisirs et Éducation).

Fêtes et manifestations publiques[modifier | modifier le code]

Les activités culturelles et sportives[modifier | modifier le code]

Les infrastructures[modifier | modifier le code]

Ouvert depuis , le centre nautique a été réalisé par 17 des communes adhérentes au Syndicat intercommunal du Pays du Gier[73]. Situé sur la commune de Genilac il est proche de l'échangeur autoroutier du Sardon et de la ville de Rive-de-Gier. Les habitants des communes adhérentes à sa réalisation (Cellieu, Chagnon, Châteauneuf, Dargoire, L'Horme, Genilac, La Grand'Croix, Pavezin, Rive-de-Gier, Saint-Martin-la-Plaine, Sainte-Croix-en-Jarez, Saint-Joseph, Saint-Paul-en-Jarez, Saint-Romain-en-Jarez, La Terrasse-sur-Dorlay, Tartaras, Valfleury), y bénéficient de tarifs préférentiels. Structure de détente et de loisirs, il est aussi largement fréquenté par les scolaires.

Les activités sportives[modifier | modifier le code]

Les Sports collectifs sont pratiqués par plusieurs équipes : le Football club de Genilac, le Handball des Pays du Gier[74]. Le CCLS (Centre culturel laïc et sportif) propose des cours de gymnastique, de sports de boules (pétanque et boules lyonnaise). Les sports de raquette sont bien représentés sur la commune : l'association La Jeanne d'Arc de Genilac anime une équipe de tennis de table[75], le tennis club de Genilac dispose de deux courts près de la salle de sports du Féloin et compte 50 licenciés et une école de tennis. Du badminton est proposé par l'association ABG 42[76].

Médias[modifier | modifier le code]

Il n'existe pas de média local traitant uniquement de Genilac, excepté le bulletin municipal édité par la mairie.

Le principal journal régional est le quotidien Le Progrès[77] qui paraît dans le département de la Loire sous le titre La Tribune-Le Progrès ; l'édition Gier-Pilat traite régulièrement de Genilac dans les pages locales. Deux hebdomadaires régionaux La Gazette de la Loire et L'Essor[78] traitent ponctuellement de l'actualité de la commune. L'actualité de la commune est également couverte par le quotidien en ligne Zoom 42[79]. Située face à l'émetteur du Pilat situé au sommet du Crêt de l'Œillon, la commune capte les décrochages régionaux de France 3 Rhône Alpes Auvergne mais ne reçoit pas les émissions de la chaîne locale TL7 Télévision Loire 7[80].

La vie culturelle[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

La commune dispose de trois lieux de culte (culte catholique) : l'église du bourg de Saint-Genis-Terrenoire, l'église de la Cula située au hameau de Tarévieux, la chapelle Notre-Dame-de-Pitié située au bourg de La Cula. Genilac relève de la paroisse catholique de Sainte-Marie-Madeleine en Gier[81] qui est une subdivision du diocèse de Saint-Étienne, lequel relève de la Province ecclésiastique de Lyon. La paroisse de Sainte-Marie-Madeleine en Gier regroupe 10 communes et 15 clochers.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Chaperon Gérard, Le Bassin minier de la vallée du Gier, Actes graphiques, 2004
  • Gardes, Gilbert (sous la direction de), Grande Encyclopédie du Forez et des communes de la Loire : la vallée du Gier - le Pilat, Éditions Horvarth, 1986, (ISBN 2-7171-0333-3)
  • Houssel Jean-Pierre, Les Monts du lyonnais, La Taillanderie, 2005, (ISBN 2-87629-314-5)
  • Latreille André (sous la direction de), Histoire de Lyon et du Lyonnais, Éditions Privat, 1988, (ISBN 2-7089-4751-6)
  • Plessy Bernard, La Vie quotidienne en Forez avant 1914, Hachette, (ISBN 2-01005672-8)
  • Plessy Bernard, Le Pays du Gier, Éditions lyonnaises d'art et d'histoire, 1996, (ISBN 2 84147 028 8)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. https://www.habitants.fr/loire-42
  2. La Tribune, le Progrès, no 50 044 du samedi 7 mars 2009, p. 14.
  3. « Distance par la route entre Genilac et Rive-de-Gier », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  4. « Distance par la route entre Genilac et Lyon », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  5. « Distance par la route entre Genilac et Saint-Étienne », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  6. a et b Institut national de l'information géographique et forestière, « Répertoire géographique des communes ».
  7. Houssel Jean-Pierre et Lorcin Marie-Thérèse, Le Plateau lyonnais : coteaux et vallons, Éditions Bellier, Lyon, 2008, p. 15-25. (ISBN 2-84631-174-9).
  8. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  9. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  10. « Orthodromie entre Genilac et Chabanière », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Saint-Didier-sous-Riverie », sur la commune de Chabanière - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Station Météo-France « Saint-Didier-sous-Riverie », sur la commune de Chabanière - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  14. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Unité urbaine 2020 de Saint-Étienne », sur insee.fr (consulté le ).
  18. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  23. Lacombe Robert, Souvenirs sur Rive de Gier, Société d'ethnographie, 1994
  24. Chaperon Gérard, Le Bassin minier de la vallée du Gier, Actes graphiques, 2004, p. 4-6
  25. Archives départementales du Rhône : 12G893
  26. Archives départementales du Rhône, 12G893
  27. Site officiel du Syndicat intercommunal du Pays du Gier
  28. « GASO la banque du blason », sur labanquedublason2.com (consulté le ).
  29. Site de la mairie de Genilac
  30. a et b Résultats des élections municipales de 2014
  31. a et b Archives municipales
  32. « Jean Odin, maire de Genilac, est décédé », sur Le Progrès.fr.
  33. Résultats des élections présidentielles de 2002 sur le site du ministère de l’Intérieur.
  34. Résultats des élections présidentielles de 2007 sur le site du ministère de l’Intérieur.
  35. Résultats des élections présidentielles de 2012 sur le site du ministère de l’Intérieur.
  36. Résultats des élections présidentielles de 2017 sur le site du ministère de l’Intérieur.
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  38. Résultats des élections législatives de 2002 sur le site du ministère de l’Intérieur.
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  40. Résultats des élections législatives de 2012 sur le site du ministère de l’Intérieur.
  41. Résultats des élections législatives de 2017 sur le site du ministère de l’Intérieur.
  42. Résultats des élections législatives de 2022 sur le site du ministère de l’Intérieur.
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  47. Résultats des élections régionales de 2004 sur le site du ministère de l’Intérieur.
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  51. [xls] Résultats des élections cantonales de 2001 sur le site du ministère de l’Intérieur.
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  55. Résultats des élections départementales de 2015 sur le site du ministère de l’Intérieur.
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  60. « Résultats de l'élection présidentielle - Dimanche 5 mai 2002 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
  61. « lci.tf1.fr/politique/elections… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  62. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : La Culas », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
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  64. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  65. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  66. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  67. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Genilac (42225) », (consulté le ).
  68. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Loire (42) », (consulté le ).
  69. « GENILAC : Réservoir de chasse du siphon de la Durèze »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Aqueduc de Gier (consulté le ).
  70. Chaperon Gérard, Le Bassin minier de la vallée du Gier, Actes graphiques, 2004, p. 131-134.
  71. Chaperon Gérard, Le Bassin minier de la vallée du Gier, Actes graphiques, 2004, p. 135-138.
  72. Mémorial de la Résistance Loire, Comité de la Loire de l'ANACR, Saint-Étienne, 1992, p. 60.
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  75. Site de l'association La Jeanne d'Arc de Genilac.
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