Francheville (métropole de Lyon)

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Francheville
Francheville (métropole de Lyon)
Vue de la commune avec les quartiers du Châter (Francheville-le-Bas) et de Francheville-le-Haut.
Image illustrative de l’article Francheville (métropole de Lyon)
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Métropole Métropole de Lyon
Circonscription départementale Circonscription départementale du Rhône
Arrondissement Lyon
Maire
Mandat
Michel Rantonnet
2020-2026
Code postal 69340
Code commune 69089
Démographie
Gentilé Franchevillois[1].
Population
municipale
15 204 hab. (2021 en augmentation de 5,87 % par rapport à 2015)
Densité 1 859 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 44′ 14″ nord, 4° 45′ 51″ est
Altitude 262 m
Min. 179 m
Max. 315 m
Superficie 8,18 km2
Élections
Métropolitaines Ouest
Législatives Douzième circonscription
Localisation
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Francheville
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Francheville
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Francheville
Liens
Site web www.mairie-francheville69.fr/

Francheville est une commune française de la métropole de Lyon en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Les trois quartiers de Francheville : Francheville-le-Haut (au Sud), Francheville-le-Bas (à l'Est) et Bel Air (Au Nord)

Francheville est une commune de 817 hectares (dont 450 hectares en zone naturelle), son point culminant est le Fort du Bruissin (Francheville Le Haut) à 308 mètres ; son point le plus bas est au quartier du Châter (Francheville le bas) à 215 mètres.

Le relief particulier ainsi que l’histoire expliquent que la commune est partagée en trois quartiers (le Bourg ou Francheville-le-Haut, le Châter ou Francheville-le-Bas et Bel Air), géographiquement très distincts.

Le quartier du Châter, à l'entrée du quartier de Francheville le Bas, doit son nom au château dont il subsiste des ruines qui surplombent la vallée de l'Yzeron. Un affleurement rocheux supporte ces ruines féodales ainsi qu'un pont qui enjambe la Vallée de l'Yzeron environ 45 mètres plus bas. Des maisons aux jardins étagés descendent jusqu'au ruisseau. Des éboulements et des coulées de terre s'étant produits à plusieurs reprises, la base abrupte du Rocher qui longe la voie de circulation D75 a fait l'objet de travaux de consolidation. C'est un goulot d'étranglement pour la circulation automobile actuelle[2].

Géologie[modifier | modifier le code]

Ce sont les mouvements de glissement des glaciers qui ont, au Quaternaire, structuré la région. On trouve des affleurements rocheux, des moraines glaciaires, des strates sédimentaires, des plaines alluviales, avec l'apparition des vallées et des cours d'eau dont le ruisseau Yzeron, le plus long des ruisseaux de l'Ouest Lyonnais avec ses 25,1 km[3].

Les sables de l'Yzeron à l'époque romaine, ont été utilisés pour le mortier de construction des théâtres antiques de Lyon et de sa région[4].

Les ammonites ont disparu en même temps que les dinosaures en même temps que la "crise Crétacé - Tertiaire", et l'on en trouve un peu partout en France. Elles ont souvent été incluses dans des ouvrages d'art : un petit pont sur l'Yzeron, et sur la maison Jacques Faure à Francheville le Bas[5].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Francheville est une commune située à l'ouest de l'agglomération lyonnaise.

1 : Arrondissement de Villefranche-sur-Saône

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 758 mm, avec 8,9 jours de précipitations en janvier et 6,2 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Genis-Laval », sur la commune de Saint-Genis-Laval à 5 km à vol d'oiseau[8], est de 12,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 782,6 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Statistiques 1991-2020 et records ST-GENIS-LAVAL (69) - alt : 290m, lat : 45°41'40"N, lon : 4°46'56"E
Records établis sur la période du 01-01-1881 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1 1,3 4,2 6,9 10,7 14,3 16,3 16 12,4 9,2 4,6 1,7 8,2
Température moyenne (°C) 3,9 5 9 12,2 16 20 22,3 22 17,7 13,3 7,8 4,5 12,8
Température maximale moyenne (°C) 6,9 8,7 13,7 17,4 21,4 25,7 28,2 28,1 22,9 17,3 10,9 7,3 17,4
Record de froid (°C)
date du record
−19,3
17.01.1893
−18,4
04.02.1917
−10,6
01.03.05
−3,8
08.04.03
−0,3
04.05.1941
0,2
10.06.1967
5,8
08.07.1954
6,5
31.08.1940
0
04.09.1917
−4,7
27.10.1887
−9,5
28.11.1915
−17,3
22.12.1938
−19,3
1893
Record de chaleur (°C)
date du record
19,4
30.01.13
22,5
15.02.1958
25,7
31.03.21
29,7
19.04.1949
34,7
24.05.09
38,7
22.06.03
40,2
31.07.20
41,5
13.08.03
36,7
05.09.1949
29,7
02.10.23
22,8
07.11.1955
19,2
03.12.1961
41,5
2003
Précipitations (mm) 48,1 36,7 46,5 67,7 75 67,5 64,8 63,2 79,8 94,5 90,1 48,7 782,6
Source : « Fiche 69204002 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Francheville est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[12],[13],[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lyon, une agglomération inter-départementale regroupant 124 communes[15] et 1 653 951 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Lyon est la deuxième plus importante de la France en termes de population, derrière celle de Paris[16],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 398 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[18],[19].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (64,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (56,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (58,8 %), forêts (24,9 %), zones agricoles hétérogènes (9,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,9 %), cultures permanentes (0,5 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Francheville se nomme Franchevéla en arpitan.

Histoire[modifier | modifier le code]

Francheville est historiquement la première banlieue de Lyon[pas clair]. Avec la civilisation romaine, « franca villa », prend une importance toute particulière. En effet, les voies romaines, en partance de Lugdunum, remplacent les pistes des marchands. À Francheville, il s'agit de la voie d'Aquitaine qui traverse le massif central pour rejoindre la côte Atlantique. De l'époque romaine, il nous est parvenue une épitaphe funéraire d'un certain Pascasius, décédé le 24 Octobre 540[21].

Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de Franche-Commune[22].

Le Grand Lyon disparait le , et laisse place à la collectivité territoriale de la métropole de Lyon. La commune quitte ainsi le département du Rhône[23].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Francheville
Blason de Francheville Blason
De gueules à la tour d'or avec son avant-mur dextre ruiné, le tout maçonné de sable, ouvert et ajouré du champ, posé sur un rocher d'argent mouvant de la pointe; au chef cousu d'azur chargé de trois amphores d'or.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs de Francheville
Période Identité Étiquette Qualité
Louis Decourt    
Mathieu Arnaud-Tison    
M. Rolachon    
M. Arnaud-Tison    
François-Xavier Marie de Ruolz    
Jean-Marie Bouchard-Jambon   Officier de santé
Louis Paul Paullian Centre Avocat, rentier
Député du Rhône (1848 → 1849)
Benoît Charavay    
M. Dervieu    
M. Bouchard    
M. Bonnard    
M. Charavay    
Théodore Côte   Propriétaire
Guillaume Vautherin    
Pétrus Frappa    
Ernest Reyre DVD Propriétaire
Claude Jaricot    
Pétrus Bernard   Notaire
M. Lapine    
M. Ferlay    
M. Carteron    
M. Carrel    
Gabriel Richard   Médecin
Claude Vacheron DVD Médecin
Jean-Charles Mallen DVD  
René Lambert PS Avocat
En cours
(au 19 janvier 2021)
Michel Rantonnet UMP-LR Cadre bancaire retraité
Conseiller de la Métropole de Lyon
Réélu pour le mandat 2020-2026
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[24],[Note 3].

En 2021, la commune comptait 15 204 habitants[Note 4], en augmentation de 5,87 % par rapport à 2015 (Rhône : +3,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
7866267769771 1031 2371 3851 5511 528
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 6971 8431 7071 8581 8742 0052 1432 0921 912
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 0182 0031 9181 9442 2372 8052 6593 0773 527
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
4 0644 9328 0999 50010 86311 32411 66712 98014 278
2021 - - - - - - - -
15 204--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 39 516 € ce qui plaçait Francheville au 2 739e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[26].

Emploi[modifier | modifier le code]

Le taux de chômage, en 2013, pour la commune s'élève à 8,7 %[27], un chiffre nettement inférieur à la moyenne nationale (10,2 %)[28].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Vieux Château[modifier | modifier le code]

En 1193, l'archevêque Renaud de Forez fait construire un château fort sur le rocher qui surplombe la vallée de l'Yzeron afin de protéger son territoire contre les invasions[2]. Il faisait partie d'un ensemble de plusieurs forteresses construites par l'archevêque[29].

Au sortir de la guerre de Cent Ans, l'Église n'a plus les moyens d'entretenir ses biens. Malgré la reprise économique (deuxième moitié du XVe siècle) et la remise en culture des terres en friche, certaines forteresses sont restaurées, d'autres rasées ou abandonnées, devenues inhabitables ou indéfendables, comme le château de Francheville.

Au cours du XVIe siècle, la forteresse est progressivement abandonnée[2]. Les progrès de la science de la guerre sont venus à bout des citadelles imprenables[2]. On est passé de la catapulte romaine, ou baliste, au trébuchet à balancier, de plus en plus offensif et perfectionné, des pierres aux boulets de fer et à la poudre provoquant de plus en plus de dégâts. L'agonie des châteaux a duré plus d'un siècle en fonction de l'évolution de l'armement[30]. Finalement, la destruction du château est ordonnée par le Cardinal de Richelieu dans le deuxième quart du XVIIe siècle, dont on dit qu'il le jugeait menaçant pour Lyon et le pouvoir royal.

En 1712 et 1715, le mur d'enceinte s'écroule en partie, à deux reprises, sans faire de victimes. Les pierres du château sont prélevées pour le réparer. Cependant, un jugement interdit désormais de prélever les pierres sous peine d'amende. Le processus de dégradation se poursuit et reste une menace pour les riverains[2].

En 1886, celui qu'on appelle désormais le Vieux Château, est amputé de son tiers nord-ouest, pour la création d'une voie d'accès entre les deux quartiers, Francheville-le Haut et Francheville-le Bas. On construit un nouveau pont sur l'Yzeron, devenu Pont-Neuf, de nos jours[2],[31].

Le relief de la région nécessita la construction des viaducs de Francheville pour permettre la réalisation de la ligne du Bourbonnais

Le sujet des ruines ressort dans les années 1960. En 1966, le projet est l'arasement complet du rocher, donc la destruction des ruines médiévales qu'il supporte. Les ruines du château sont inscrites au titre des Monuments historiques le 12 juillet 1982 (référence PA 69000763)[32].

En 2001 et 2002, sont pris deux arrêtés municipaux de péril, et des travaux de consolidation sont entrepris en 2003. Aujourd'hui, le château appartient à la commune de Francheville, les héritiers des derniers propriétaires Marjollet ayant finalement cédé ces ruines médiévales pour un euro symbolique[2].

En empruntant le chemin de ronde, on peut voir aujourd'hui la seule fenêtre restante, une ouverture rectangulaire inscrite dans la muraille haute encadrée de pan coupé ou chanfrein en pierre de taille, un calcaire blanc fin[2]. Les maisons environnantes s'appuient encore sur le rocher, pressées les unes sur les autres avec des terrasses et des jardins clos. Les ruines sont interdites au public.

Fort du Bruissin[modifier | modifier le code]

Fort militaire construit de 1878 à 1881. Il est l'un des maillons de la deuxième ceinture de Lyon et plus globalement du système Séré de Rivières. Racheté par la commune de Francheville en 1979[33], le bâtiment est transformé en "Cité des Artistes" en 1991[34], dans laquelle des artistes utilisent les salles du fort comme atelier. Il a été ensuite réhabilité pour devenir un centre d'art contemporain[35]

Espaces verts et fleurissement[modifier | modifier le code]

En 2015, la commune obtient le niveau « deux fleurs » au concours des villes et villages fleuris[36].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Immudelki (ou Immu) créateur de l'I.F.S.C.L. (Interfaces Fictionnelles Simulées de Code Lyoko) développe son jeu à Francheville.
  • Jean-Paul Muel, acteur français, né à Francheville.

Culture[modifier | modifier le code]

Francheville est particulièrement connue pour le Fort du Bruissin, ancien fort militaire reconverti en cité artistique, et le festival Fort en Jazz qui se déroula de 1990 à 2014[37]. Son arrêt fut décidé par le conseil municipal élu lors des élections municipales de 2014[38]. L'association "Ca jazze fort à Francheville" est créée en 2015 en réaction à l'arrêt du festival. Son objet est la promotion du jazz à Francheville auprès du grand public et du jeune public[39]. Elle organise son premier concert en mai 2015[40] et propose depuis plusieurs concerts par an[41]

On y trouve également de nombreuses associations culturelles (environ 120) :

Théâtre
  • Pièces en stock (improvisation)
  • La Traboule (troupe)
  • La Ruée vers l'art (atelier pour enfants et ados)
  • Just'In (troupe / ateliers théâtre adulte / stages adultes)
  • Scène Franche (troupe)
  • Théâtr'Art (jeu théâtral et masqué, création de masques)
  • Théâtre de Bulle (théâtre masqué, burlesque et musical…)
Musique, chant et créations artistiques
  • École de musique de Francheville
  • La Cantoria
  • Association Expression Vocale de Francheville
  • Chorale Bel-Air (AEVF)
  • Big Band de Francheville
  • Chorale Éclats de Voix[42]
  • Ensemble Vocal Cantabile
  • Musika Franche
  • Pro lyrica
  • In Voce Veritas
Danse
  • C.L.L.E.F.
  • Emmanueli'Dance
  • Centre social Michel Pache
  • Association des familles
Arts plastiques
  • Vivre à Bel-Air
  • Atelier et rencontre
  • Peintres de l'Yzeron
  • L'effet d'artistes
  • C.L.L.E.F.
  • L'Art est nié
Culture générale et patrimoine
  • Le patrimoine de Francheville
  • Amis de la bibliothèque
  • Comité de jumelage

Transports[modifier | modifier le code]

Francheville est desservie par une gare SNCF, ainsi que par les bus TCL C19, C20, C20E, C24, C24E, 14, 73, et 73E.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 29/09/2008.
  2. a b c d e f g et h Association Le Patrimoine de Francheville, Francheville sur la route de l'histoire, 2018
  3. Francheville, sur la route de l'histoire [2018], p. 5, 125-126.
  4. G. Mazenot, « Le sable de l'Yzeron et le théâtre romain de Fourvière », Les Études Rhodaniennes, Vol.16, n°3,‎ , p. 125-172.
  5. Francheville, sur la route de l'histoire [2018], p. 126.
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Francheville et Saint-Genis-Laval », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Saint-Genis-Laval », sur la commune de Saint-Genis-Laval - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Station Météo-France « Saint-Genis-Laval », sur la commune de Saint-Genis-Laval - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
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  15. « Unité urbaine 2020 de Lyon », sur insee.fr (consulté le ).
  16. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lyon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. CAG-69-01, p 233
  22. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Métropole : clap de fin pour le Grand Lyon, Lyon Capitale.
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. « Revenus fiscaux localisés des ménages-Année 2010 », sur site de l'Insee, (consulté le ).
  27. « Comparateur de territoire−Commune de Francheville (69089) | Insee », sur insee.fr (consulté le ).
  28. « Le taux de chômage au sens du BIT baisse de 0,1 point au quatrième trimestre 2013 | Insee », sur insee.fr (consulté le ).
  29. Bruno Galland, « Les fortifications de Renaud de Forez, archevêque de Lyon », Actes du 135e congrès national des sociétés historiques et scientifiques,‎ , p. 121-127
  30. Beffeyte, Renaud, 19.-, L'art de la guerre au Moyen Age, Ouest-France, (ISBN 2-7373-3744-5 et 978-2-7373-3744-4, OCLC 419577008, lire en ligne).
  31. Association du Patrimoine de Francheville, Francheville, un patrimoine... Images de 2013, , p. 7.
  32. Ministère de la Culture, « Château (ruines) », sur Plateforme Ouverte du Patrimoine.
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Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • Association Le Patrimoine de Francheville, Francheville, sur la route de l'histoire, , 233 p. (ISBN 978-2-9548156-0-2 et 2-9548156-0-4, OCLC 1061218079, lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Association Le Patrimoine de Francheville (préf. Bernard Guérin), Francheville, un patrimoine, , 400 p. (ISBN 978-2-7466-4260-7).
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  • Dr Gabriel Richard, Francheville : Un pays qui vient de loin, Lyon, Audin & Cie, , 166 p..
  • E. Bonnard, Monographie de la Commune et des deux Paroisses de Francheville (Rhône), Lyon et Villeurbanne, Association Typographique Lyonnaise, , 58 p..
  • Paul Richard, « Les deux Paroisses de Francheville », Bulletin de la Société littéraire, historique et archéologique de Lyon, Lyon,‎ avril - septembre 1906, p. 107-125 (lire en ligne, consulté le ).

Liens externes[modifier | modifier le code]