Douy-la-Ramée

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Douy-la-Ramée
Douy-la-Ramée
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
(Melun)
Arrondissement Meaux
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de l'Ourcq
Maire
Mandat
Nadine Caron
2020-2026
Code postal 77139
Code commune 77163
Démographie
Gentilé Dolaraméens
Population
municipale
381 hab. (2021 en augmentation de 18,32 % par rapport à 2015)
Densité 48 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 03′ 59″ nord, 2° 52′ 53″ est
Altitude Min. 73 m
Max. 127 m
Superficie 7,97 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de La Ferté-sous-Jouarre
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Douy-la-Ramée
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Douy-la-Ramée
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Douy-la-Ramée
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Douy-la-Ramée

Douy-la-Ramée est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune est située à environ 14,5 km par la route[1],[Note 1] au nord de Meaux.

Représentations cartographiques de la commune
Localisation dans le département de Seine-et-Marne.
Localisation dans le département de Seine-et-Marne.
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
1 : localisation dans le département de Seine-et-Marne. ; 2 : avec les communes environnantes.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Douy-la-Ramée
Brégy
(Oise)
Oissery Douy-la-Ramée Puisieux
Forfry Marcilly

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

L'altitude de la commune varie de 73 mètres à 127 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 121 mètres d'altitude (mairie)[2]. Elle est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Carte des réseaux hydrographique et routier de Douy-la-Ramée.

Le réseau hydrographique de la commune se compose de trois cours d'eau référencés :

La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 3,64 km[7].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 724 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune du Plessis-Belleville à 10 km à vol d'oiseau[10], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 661,7 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[14],[15],[16].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Douy-la-Ramée est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[17],[18],[19].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire regroupe 1 929 communes[20],[21].

Lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

La commune compte 33 lieux-dits administratifs[Note 5] répertoriés consultables ici[22] (source : le fichier Fantoir) dont la Ramée, la Mare, Nongloire, Fontaines les Nonnes.

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (87,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (84,6 %), forêts (12,5 %), prairies (2,9 %)[23].

Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[24],[25],[Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].

Planification[modifier | modifier le code]

La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Marne Ourcq, approuvé le et porté par le syndicat Mixte Marne-Ourcq regroupant 41 communes du Pays de l'Ourcq et du Pays Fertois[26].

La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvé[27]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 3].

Logement[modifier | modifier le code]

En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 136 dont 85,9 % de maisons et 13,5 % d'appartements[Note 6].

Parmi ces logements, 80,1 % étaient des résidences principales, 7,5 % des résidences secondaires et 12,4 % des logements vacants.

La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 80,9 % contre 18,2 % de locataires et 0,9 % logés gratuitement[28].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie, en 2023, par la ligne 6496 du réseau interurbain de l'Oise[29] et par les lignes 22 et 50 du réseau de bus Meaux et Ourcq[30].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est mentionné sous les formes Doil au XIIe siècle[31] ; Duy vers 1210[32] ; Doyacum en 1250[33] ; Doy en 1376[34] ; Douy en 1396[34] ; Douy en Mulcien en 1521 (Pierre tombale à Montévrain) ; Doui en 1589[35] ; Douy en l'an IX[36].

Ce toponyme est le diminutif de doiz « canal, conduit d'eau », signifiant « petit canal, petit fossé » ou de douit, duit « petit courant d'eau »[37].

Histoire[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
8 février 1791 30 mars 1799 Pierre-Philippe Benoist[B 1]   Laboureur
30 mars 1799 30 août 1804 Philippe Desprez[B 2]    
30 août 1804 Pierre-Philippe Benoist[B 2]   Laboureur
Defruit[B 2]   Officier de santé
1826 Pierre-Philippe Benoist[B 2]   Laboureur
1826 1840 Pierre-Augustin Heurlier[B 2]   Fermier
1840 1849 Jean-Hubert Fouillaux[B 2]   Propriétaire
1849 1868 Louis-Isidore Lefèvre[B 3]   Fermier
1868 1871 Émile-Augustin Heurlier[B 3]   Fermier
1871 ? Jules-Alphonse Lefèvre[B 3]   Fermier
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2008 En cours Nadine Caron[38]   Secrétaire

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Équipements et services[modifier | modifier le code]

Eau et assainissement[modifier | modifier le code]

L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [39],[40].

Assainissement des eaux usées[modifier | modifier le code]

En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Douy-la-Ramée est assurée par la communauté de communes du Pays de l'Ourcq (CCPO) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [41],[42],[43].

L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[44]. La communauté de communes du Pays de l'Ourcq (CCPO) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[41],[45].

Eau potable[modifier | modifier le code]

En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la communauté de communes du Pays de l'Ourcq (CCPO) qui en a délégué la gestion à une entreprise privée, dont le contrat expire le [41],[46].

Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur CCPO[47].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Le rôle de la taille établi en 1770 fait ressortir une population de 57 feux, équivalant à environ 250 habitants[B 4].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[49].

En 2021, la commune comptait 381 habitants[Note 7], en augmentation de 18,32 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
247234257276232234238261225
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
201200204180201197203191162
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
178219208202206218232261222
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
207136164182210234276282312
2017 2021 - - - - - - -
325381-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[50] puis Insee à partir de 2006[51].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 122, représentant 356 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 22 560 euros[52].

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total d’emplois dans la zone était de 30, occupant 174 actifs résidants (dont 11,7 % dans la commune de résidence et 88,3 % dans une commune autre que la commune de résidence).

Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 76,7 % contre un taux de chômage de 7,1 %. Les 16,2 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 8,6 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 3,3 % de retraités ou préretraités et 4,3 % pour les autres inactifs[53].

Secteurs d'activité[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Au , le nombre d’unités légales et d’établissements (activités marchandes hors agriculture) par secteur d'activité était de 15 dont 4 dans la construction, 4 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 1 dans les activités immobilières, 3 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien et 3 étaient relatifs aux autres activités de services[54].

En 2020, 2 entreprises individuelles ont été créées sur le territoire de la commune.

Au , la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[55].

Agriculture[modifier | modifier le code]

Douy-la-Ramée est dans la petite région agricole dénommée la « Goële et Multien », regroupant deux petites régions naturelles, respectivement la Goële et le pays de Meaux (Multien)[Carte 4]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 8] de l'agriculture sur la commune est nd[56].

Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[57]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 4 en 1988 à 1 en 2010[56]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Douy-la-Ramée, observées sur une période de 22 ans :

Évolution de l’agriculture à Douy-la-Ramée entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Dimension économique[56],[Note 9]
Nombre d’exploitations (u) 4 3 1
Travail (UTA) 8 5 nd
Surface agricole utilisée (ha) 504 473 nd
Cultures[58]
Terres labourables (ha) 504 473 s
Élevage[56]
Cheptel (UGBTA[Note 10]) 0 18 nd

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Jean-Porte-Latine, inscrite au titre des monuments historiques en 1926[59], est un édifice du XVIe siècle à deux nefs. Elle renferme un bénitier en forme de coquille marine et les pierres tombales de deux seigneurs de Douy. La clé de voûte du sanctuaire figure les armes de la famille de Meaux[B 5].

Le château de Fontaine-les-Nonnes et sa chapelle XIIIe et XVIe siècles sont classés au titre des monuments historiques en 1931[60]. La chapelle, vestige du prieuré de Fontaines-les-Nonnes renferme le gisant de Guillaume II des Barres.

La ferme de Nongloire date du XVIe siècle.

Un ancien moulin à eau est établi sur la Thérouanne (la Ramée).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 1, Paris, Editions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Douy-la-Ramée », p. 634–636
  • Louis Benoist et Auguste Béguin, Notice historique et statistique de Douy-la-Ramée et La Marre, Meaux, Destouches, , 47 p.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées par la voie routière à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Le point de confluence donné par Sandre est contestable, celui-ci étant au milieu de la Thérouanne, limite administrative entre Douy-la-Ramée et Marcilly. Le point terrestre où le ru du Bois Colot rejoint la Thérouanne est sur la commune de Marcilly.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
  6. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  8. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  9. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
  10. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
  • Cartes
  1. « Douy-la-Ramée - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  2. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  3. « Géoportail de l’urbanisme », sur geoportail-urbanisme.gouv.fr (consulté le ).
  4. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  • Notice historique et statistique de Douy-la-Ramée et La Marre, Destouches, 1888 :
  • Autres références :
  1. fr.distance.to, consulté le
  2. « Douy-la-Ramée » sur Géoportail. Carte IGN classique.
  3. « Plan séisme consulté le  ».
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Therouanne (F6410600) » (consulté le ).
  5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de Bregy (F6412000) » (consulté le ).
  6. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 du Bois Romont (F6414600) » (consulté le ).
  7. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 22 décembre 2018
  8. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  9. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  10. « Orthodromie entre Douy-la-Ramée et Le Plessis-Belleville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Plessis-belleville » (commune du Le Plessis-Belleville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Station Météo-France « Plessis-belleville » (commune du Le Plessis-Belleville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  14. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Douy-la-Ramée », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « Liste des ZNIEFF de la commune de Douy-la-Ramée », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « Liste des espaces protégés sur la commune de Douy-la-Ramée », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  19. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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  21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  22. « Liste des lieux-dits français », sur MémorialGenWeb (consulté en ).
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  37. Ernest Nègre - 1996 - Toponymie générale de la France - Volume 2 - Page 1075 - (ISBN 2600001336).
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  39. « Le service public local de l’eau potable et de l’assainissement. », sur vie-publique.fr, (consulté le ).
  40. « Seine-et-Marne - Assainissement collectif », sur eau.seine-et-marne.fr (consulté le ).
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