Cruas

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Cruas
Cruas
La centrale nucléaire de Cruas.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Ardèche
Arrondissement Privas
Intercommunalité Communauté de communes Ardèche Rhône Coiron
(siège)
Maire
Mandat
Rachel Cotta
2020-2026
Code postal 07350
Code commune 07076
Démographie
Gentilé Cruassiens
Population
municipale
3 009 hab. (2021 en augmentation de 1,11 % par rapport à 2015)
Densité 195 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 39′ 28″ nord, 4° 45′ 49″ est
Altitude Min. 72 m
Max. 480 m
Superficie 15,45 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Cruas
(ville isolée)
Aire d'attraction Montélimar
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Pouzin
Législatives Première circonscription
Localisation
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Cruas
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Cruas
Liens
Site web cruas.com

Cruas (/kʁy.as/) est une commune française, située dans le département de l'Ardèche en région Auvergne-Rhône-Alpes.

La commune, positionnée dans la vallée du Rhône, héberge le siège de la communauté de communes Ardèche Rhône Coiron, plusieurs cimenteries ainsi que la centrale nucléaire de Cruas-Meysse. Ses habitants sont appelés les Cruassiens.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation et description[modifier | modifier le code]

Située au pied des carrières de pierre sur la rive droite du Rhône, entre Montélimar et Valence, non loin de Privas, Cruas doit probablement son nom à un terme de racine indo-européenne : c(a)rud = roche, pierre. Le ruisseau qui traverse le lieu porte le nom de Crûle (en langue d'oc, les ruisseaux et rivières n'ont pas d'article). La commune est arrosée par le Leyne[1].

Lieux-dits, hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Le territoire est bordé par un massif calcaire appartenant au Massif central. Il est également située dans la vallée du Rhône et collines forestières agrémentées de pinèdes, de maquis et de chênes.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 972 mm, avec 7 jours de précipitations en janvier et 4,2 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Marsanne à 9 km à vol d'oiseau[4], est de 13,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 967,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est bordé par le Rhône dans sa partie orientale.

Voies de communication[modifier | modifier le code]

Le territoire de Cruas est traversé par l'ancienne route nationale 86, reclassée en route départementale (RD86) pour ce tronçon depuis 2005 et qui traverse l'Ardèche du nord au sud dans la vallée du Rhône.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Cruas est une commune rurale[Note 1],[8]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Cruas, une unité urbaine monocommunale[11] de 3 009 habitants en 2021, constituant une ville isolée[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montélimar, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (52,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (52,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (49,4 %), zones agricoles hétérogènes (17,3 %), zones urbanisées (14,2 %), mines, décharges et chantiers (7,2 %), eaux continentales[Note 3] (5,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3 %)[16].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Risques sismiques[modifier | modifier le code]

L'ensemble du territoire de la commune de Cruas est situé en zone de sismicité no 3, dite « modérée » (sur une échelle de 1 à 5), comme la plupart des communes situées dans la vallée du Rhône, mais non loin de la limite orientale de la zone no 2, dite « faible » qui correspond au plateau ardéchois[17].

Terminologie des zones sismiques[18]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 3 Sismicité modérée accélération = 1,1 m/s2

Autres risques[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Au VIIIe siècle, une abbaye est établie à Cruas par Eribert, premier comte de Vivarais. La charta vetus de l'évêché de Viviers permet d'estimer la date de sa fondation aux alentours de 750. En 780, le monastère de Cruas est déjà placée sous l'autorité de Benoît d'Aniane, réformateur de la règle de saint Benoît et fils d'Aygulf, comte de Maguelone (en Gothie), lui-même ancien vassal de Pépin le Bref. La Constitutio de servitio monasterium, rédigée en 817, mentionne les abbayes de Cruas et Donzère. Celles-ci ne doivent à l'empereur « ni dons, ni service de milice, mais des prières seulement »[19].

Dans la suite, pour se protéger des invasions et des inondations, les moines construisent en hauteur une chapelle qui deviendra le château des moines.

Une très belle abbatiale, dont certains éléments remontent au VIIIe siècle, s'élève au centre du village. De style roman, couverte par un toit de lauzes, elle est notamment décorée dans l'abside d'une mosaïque de style byzantin. Elle possède des voûtes magnifiques et une crypte remarquable, les chapiteaux des colonnes sont ornés de sculptures d'un grand intérêt. On pouvait y voir un grand tableau portant la mention « Don de l'empereur » (Napoléon Ier). Les escaliers d'accès étaient ornés de pierres milliaires romaines.[Quand ?]

Aux XVIe et XVIIe siècles, la ville subit les attaques des huguenots.

Le château des Moines.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1813 novembre 1815[20] Hugues Bernard Vallette (Viallar)[Note 4]   Notaire[21]
novembre 1815 juin 1824[22] Honoré Bouvier   Propriétaire[23]
novembre 1830 décembre 1831[24] Pancrace Mallasagny    
janvier 1832 juillet 1835[25] Joseph Lachamp   Propriétaire[26]
juillet 1835 janvier 1841[27] Antoine Volle   Propriétaire[28]
janvier 1841 octobre 1846[29] Joseph Lachamp[30]   Propriétaire (1813)[26], sans profession (1863)[31]
octobre 1846 avril 1848[32] Charles Denis Berlié   Géomètre en chef du cadastre (1842)[33]
octobre 1947 mai 1953 Jean Blondeau    
mai 1953 1956 Roger Constant PCF  
1956 mars 1989 Henri Chaze PCF Instituteur
Conseiller général de 1951 à 1994
Député de 1962 à 1967
Conseiller régional de 1978 à 1980
mars 1989 juin 1995 Pierre Douce PS Ouvrier en cimenterie
juin 1995 octobre 2017 Robert Cotta PCF Ouvrier métallurgiste
Conseiller général du canton de Rochemaure (2001-2015)
puis départemental du canton du Pouzin (2015-2021)
Président de la Communauté de communes Barrès-Coiron
Démissionnaire
octobre 2017 23 mai 2020 Philippe Touati DVG Cadre
23 mai 2020 En cours
(au 24 mai 2020)
Rachel Cotta DVD Assistante projet à la centrale de Cruas-Meysse

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[35].

En 2021, la commune comptait 3 009 habitants[Note 5], en augmentation de 1,11 % par rapport à 2015 (Ardèche : +2,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
5205706467067398709069931 009
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0591 0491 0881 0011 1321 5131 4451 7421 860
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 8941 9211 9301 5111 7321 8461 7401 5761 701
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
2 0791 9781 6382 3702 2002 4002 6352 6702 872
2017 2021 - - - - - - -
3 0083 009-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Médias[modifier | modifier le code]

La commune est située dans la zone de distribution de deux organes de la presse écrite :

Il s'agit d'un journal hebdomadaire français basé à Valence et couvrant l'actualité de tout le département de l'Ardèche.
Il s'agit d'un journal quotidien de la presse écrite française régionale distribué dans la plupart des départements de l'ancienne région Rhône-Alpes, notamment l'Ardèche. La commune est située dans la zone d'édition de Privas.

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Jusqu'au milieu du XXe siècle, outre une filature, un cartonnage, une entreprise textile de tissage une industrie de construction mécanique Peruchon-Moustier pour équipement des Cimenteries et Plâtreries s'illustraient notamment par la fabrication de velours de soie.

Aujourd'hui :

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Espaces verts et fleurissement[modifier | modifier le code]

En 2014, la commune obtient le niveau « une fleur » au concours des villes et villages fleuris[38].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Cruas possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Son patronyme est orthographié tantôt « Vallette », tantôt « Vallette Viallar » mais il signe constamment « Vallette ».
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. le Leyne sur le site du SANDRE
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Cruas et Marsanne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Marsanne », sur la commune de Marsanne - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Marsanne », sur la commune de Marsanne - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Cruas », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Préfecture du Rhône, page sur les risques sismiques
  18. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
  19. J. Tardieu, E. Labrot, A. Hullot, Cruas, une abbaye bénédictine en Vivarais, 1985, p. 18 et p. 20.
  20. Archives Municipales de Cruas, 1813-1815.
  21. 19 juillet 1836, acte de décès de Hugues Bernard Vallette Viallar. Source : Archives Municipales de Cruas, décès 1836, acte no 9. La table décennale des actes de décès 1833-1842 de Cruas omet le suffixe « Viallar ». De plus, elle orthographie son patronyme de façon erronée, avec une seule « l », en le dénommant « Valette, Hugues Bernard ».
  22. Archives Municipales de Cruas, 1815-1824.
  23. 29 janvier 1825, acte de mariage de Honoré Bouvier avec Marie Angélique Dusserre. Source : Archives Municipales de Cruas, mariages 1825, acte no 4.
  24. Archives Municipales de Cruas, 1830-1832.
  25. Archives Municipales de Cruas, 1832-1835.
  26. a et b 27 juin 1813, acte de mariage de Joseph Lachamp avec Marie Clotilde Berlier. Source : Archives Municipales de Cruas, mariages 1813, acte no 4.
  27. Archives Municipales de Cruas, 1835-1841.
  28. 22 août 1815, acte de mariage d'Antoine Volle avec Euphémie Corret. Source : Archives Municipales de Cruas, mariages 1815, acte no 9.
  29. Archives Municipales de Cruas, 1841-1846.
  30. Il s'agit là d'un nouveau mandat, Joseph Lachamp ayant déjà été maire entre janvier 1832 et juillet 1835. Source : Archives Municipales de Cruas, 1832-1835.
  31. 5 août 1863, acte de décès de Joseph Lachamp. Source : Archives Municipales de Cruas, décès 1863, acte no 17.
  32. Archives Municipales de Cruas, 1846-1848.
  33. 25 avril 1842, acte de mariage de Denis Berlié avec Cécile Octavie de Bernardy. Source : Archives Municipales d'Aubenas, mariages 1842, acte no 19.
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).