Blanquefort-sur-Briolance

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Blanquefort-sur-Briolance
Blanquefort-sur-Briolance
Vue générale.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Lot-et-Garonne
Arrondissement Villeneuve-sur-Lot
Intercommunalité Communauté de communes Fumel Vallée du Lot
Maire
Mandat
Sophie Gargowitsch
2020-2026
Code postal 47500
Code commune 47029
Démographie
Population
municipale
511 hab. (2021 en augmentation de 8,26 % par rapport à 2015)
Densité 12 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 36′ 03″ nord, 0° 58′ 15″ est
Altitude 200 m
Min. 104 m
Max. 274 m
Superficie 41,93 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Fumélois
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Blanquefort-sur-Briolance
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Blanquefort-sur-Briolance
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Blanquefort-sur-Briolance
Liens
Site web www.blanquefortsurbriolance.fr

Blanquefort-sur-Briolance est une commune du Sud-Ouest de la France située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune est située en haut-Agenais en limite du Périgord noir, dans le nord-est du département de Lot-et-Garonne. Le village est en rive gauche (côté est) de la Briolance, affluent de la Lémance (bassin hydrographique de la Garonne) et qui traverse la commune du nord au sud[1].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Blanquefort-sur-Briolance est limitrophe de huit autres communes dont trois dans le département de la Dordogne[1]. Les communes limitrophes sont Mazeyrolles, Cuzorn, Lavaur, Soulaures, Gavaudun, Lacapelle-Biron, Saint-Front-sur-Lémance et Sauveterre-la-Lémance.

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

La commune comprend de nombreux hameaux, dont le plus gros est Saint-Chaliès, et un petit village : la Sauvetat de Blanquefort[1] (sans trait d'union[2]).

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Outre la Briolance déjà mentionnée plus haut, la Lède, elle aussi affluent du Lot en rive droite et donc sous-affluent de la Garonne, prend source sur la commune à 3,2 km au nord-ouest du village, vers le hameau de Capoulèze[1].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 933 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lacapelle-Biron à 6 km à vol d'oiseau[6], est de 13,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 833,3 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Blanquefort-sur-Briolance est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (75,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (73,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (74,6 %), zones agricoles hétérogènes (14,9 %), prairies (9,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Blanquefort-sur-Briolance est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment la Lémance et la Lède . La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2003 et 2009[18],[16].

Blanquefort-sur-Briolance est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[19],[20].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[21]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[22].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Blanquefort-sur-Briolance.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[23]. 89,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 2],[24].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[16].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Grotte de la Borie del Rey

La grotte de la Borie del Rey est le site éponyme pour le Laborien, un faciès culturel de l'Épipaléolithique (phase finale du Paléolithique) qui caractérise une transition du Magdalénien vers le Néolithique.

La grotte est fouillée dans les années 1950 par Laurent Coulonges, qui y trouve dans les couches inférieures un ensemble « Magdaléno-Périgordien ». Il établit un parallèle entre ce profil et les niveaux les plus récents du Roc Allan, un site voisin. Il définit la série de la Borie comme du Laborien, un nom qui apparaît dans sa littérature en 1963 pour désigner une lente évolution du Magdalénien final vers le Mésolithique[25].
J.M. Le Tensorer, qui passe sur le site en 1971 avec L. Coulonges, fait un croquis de relevé de coupe et précise la stratigraphie avec un Proto- ou Pré-Laborien (couche c7), un Laborien (couche c5) et un Épi-Laborien (couche c3)[26].

Elle est fouillée de nouvea[Roussot-Larroque 1987] Julia Roussot-Larroque, « Les deux visages du Néolithique ancien d’Aquitaine », dans Jean Guilaine, Jean Courtin, Jean-Louis Roudil et al., Premières communautés paysannes en Méditerranée occidentale (Colloque international du C.N.R.S.), CNRS Éditions, coll. « Histoire », , 764 p., sur books.openedition.org (lire en ligne), p. 681-691u du 6 au 24 mai 2019 par une équipe dirigée par Matthieu Langlais[27].

J. Roussot-Larroque y reconnaît également du Préroucadourien II (éponyme de la grotte de Roucadour), avec quelques tessons de poterie à pâte homogène criblée de dégraissants[28].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie.
Liste des maires successifs[29]
Période Identité Étiquette Qualité
  1814 Jean-Pierre Laffon-Brisse    
1814 1816 Jean-Baptiste Gignoux    
1816 1822 Jean-Pierre Laffon-Brisse    
1822 1829 Jacques Gervais    
1829 1844 Raymond Trubelle    
1844 1846 Jean Semirot    
1846 1848 Léon Dominique Laffon-Brisse    
1848 1855 Jean-Pierre Trubelle    
1855 1860 Jacques Félix Claris    
1860 1870 Jean Félix Claris    
1870 1874 Léon Laffon-Brisse    
1874 1876 Auguste Claris    
1876 1877 Léon Laffon-Brisse    
1877 1878 Marceau Gipoulou    
1878 1881 Léon Laffon-Brisse    
1881 1891 Marceau Gipoulou    
1891 1892 Père Glady    
1892 1908 Jean Bidou    
1908 1919 Jean Castagne    
1919 1922 Louis Rumeau    
1922 1965 Joseph Andrau    
1965 1989 Pierre Despont    
1989 mars 2001 Jean-Pierre Semirot    
mars 2001 mars 2014 Pierre Mesqui   Retraité de l'industrie du bois
mars 2014
(réélue en mai 2020[30])
En cours Sophie Gargowitsch DVG Professeur d’anglais, gérante d’un cabinet de sophro-relaxologue
Conseillère départementale
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32].

En 2021, la commune comptait 511 habitants[Note 3], en augmentation de 8,26 % par rapport à 2015 (Lot-et-Garonne : −0,66 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 6331 6681 7811 7001 7601 7301 7521 7941 748
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 7641 6931 5921 4081 4631 5011 5101 2381 169
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1201 110962824778748700710703
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
727666587549468492499500515
2015 2020 2021 - - - - - -
472506511------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune étant presque entièrement recouvert par la forêt, plusieurs établissements en dépendent : une scierie, quelques exploitations forestières et des petites entreprises de la filière bois et de châtaignes. Une entreprise de métallurgie est aussi installée sur la commune. Une carrière, qui peine à s’installer sur la commune, est en projet, ce qui maintiendrait 3 emplois.

En 2019, une boulangerie ouvre avec l'aide de la commune. Atypique, la cuisson dite « chauffe directe » se fait au feu de bois, les farines sont issues exclusivement de blés de variétés anciennes, cultivés et moulus dans des fermes voisines. Les techniques de panification anciennes et peu communes de nos jours sont à souligner : utilisation exclusive du levain, faible ensemencement et temps de fermentation pouvant aller jusqu'à 15 heures à température ambiante. La boulangerie est l'une des rares en France à suivre le cahier des charges établi par Nature et Progrès[35][réf. à confirmer].

Vie locale[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune dispose d'une école maternelle et d'une école primaire dont les classes sont réparties avec la commune voisine de Gavaudun[36].

À la rentrée 2016, la pédagogie Montessori y sera mise en place - une première en France pour une école publique[36]. Le choix a été fait par la maire de la commune, Mme Gargowitsch, avec accord du maire de la commune de Gavaudun pour garantir un nombre suffisant d'élèves et le maintien des classes[36].

Sports[modifier | modifier le code]

Culture et événements[modifier | modifier le code]

  • Tournage de l'émission Des racines et des ailes à l'été 2010.
  • Fête de la citrouille et de la Saint-Martin en octobre et fête des fleurs en mai.
  • Randonnées VTT et pédestre Lou Castagnal au mois d'août.
  • Marché fermier en juillet et août, les dimanches matin.
  • Diverses associations y existent comme l'association Val Lémance.
  • Public Sénat diffuse le dimanche 19 février 2017 un portrait du maire de la commune dans la série "C'est vous la France".

Inventaire du patrimoine culturel immatériel[modifier | modifier le code]

Le patrimoine culturel immatériel à Blanquefort-sur-Briolance *
Domaine Pratiques festives
Lieu d'inventaire Nouvelle-Aquitaine
Lot-et-Garonne
Blanquefort-sur-Briolance
* Descriptif officiel Ministère de la Culture (France)

Certaines pratiques culturelles vivantes de Blanquefort-sur-Briolance sont inscrites à l'Inventaire du patrimoine culturel immatériel en France[37].

  • La quête des œufs

La quête des œufs était une tradition très suivie jusque dans les années 1980. Depuis, cette pratique s’est arrêtée, mais elle a tendance à revenir sur le devant de la scène pour la Toussaint. Le principe de la quête des œufs est que des groupes de garçons aillent toquer aux portes des maisons et des fermes pour obtenir des œufs. La dernière maison visitée est celle où l’on fera l’omelette. Cette maison n’est pas choisie au hasard, c’est là où il y a une fille à marier. On comprend qu’aujourd’hui, la pratique ait encore du mal à survivre, les poulaillers se faisant rares chez les habitants et les rencontres se faisant par d’autres biais. Il se pouvait aussi que des affrontements éclatent entre les groupes de garçons, qui se jetaient alors les œufs.

  • Le carnaval

Le carnaval de Blanquefort était apprécié des enfants car c’était l’occasion pour eux d’aller fouiller dans le grenier pour trouver de vieux vêtements qui constitueraient leurs déguisements. Ils fabriquaient également des masques, le tout dans le but de ne pas être reconnus lors de la chasse aux bonbons chez les habitants de Blanquefort. Cette tradition, qui a disparu dans les années 1960, a été réhabilitée mais se déroule désormais à la Toussaint, en reprenant les rituels de la Saint-Martin et du carnaval, à l’image des fêtes de la Saint-Martin en Allemagne par exemple. Désormais, les adultes participent à la quête aux côtés des enfants, des musiciens habillés en petaçons sillonnent également les rues ornées de citrouilles et de bougies. Un repas est ensuite donné au bar-restaurant du village.

  • Les contes

Les contes ont souvent portés sur des histoires locales, comme la légende de la pierre du pied du Diable.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • [Langlais et al. 2014] Mathieu Langlais, Luc Detrain, Jean-Georges Ferrié, Jean-Baptiste Mallye, Benjamin Marquebielle, Solange Rigaud, Alain Turq, Peggy Bonnet-Jacquement, Myriam Boudadi-Maligne, Solène Caux, Célia Fat Cheung, Nicolas Naudinot, André Morala, Nicolas Valdeyron et François-Xavier Chauvière, « Réévaluation des gisements de La Borie del Rey et de Port-de-Penne : nouvelles perspectives pour la transition Pléistocène-Holocène dans le Sud-Ouest de la France » (Bordeaux, 24-25 mai 2012), Actes de la séance de la Société préhistorique française, no 3,‎ , p. 83-128 (lire en ligne [PDF] sur prehistoire.org, consulté le ). Document utilisé pour la rédaction de l’article

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Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d « Blanquefort-sur-Briolance, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle de l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".
  2. « La Sauvetat de Blanquefort », vue en caméra de rue sur l'entrée du village (et sur le panneau montrant le nom sans trait d'union), sur google.fr/maps (consulté le ).
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Blanquefort-sur-Briolance et Lacapelle-Biron », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Lacapelle-biron » (commune de Lacapelle-Biron) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Lacapelle-biron » (commune de Lacapelle-Biron) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Blanquefort-sur-Briolance », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  19. « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur landes.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  21. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  22. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Blanquefort-sur-Briolance », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  24. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  25. Langlais et al. 2014, p. 85.
  26. Langlais et al. et 2014 Réévaluation des gisements de La Borie del Rey et de Port-de-Penne, p. 85.
  27. « Nouvelles fouilles à La Borie del Rey », sur prehistoire.org (consulté le ).
  28. , paragr. 35.
  29. Les maires du canton de Fumel, p. 801, dans La vallée de la Lémance et sa région, Revue d'histoire de Lot-et-Garonne et de l'ancien Agenois, Académie des sciences, lettres et arts d'Agen, juillet-septembre 2006, no 3.
  30. « Sophie Gargowitsch à Blanquefort-sur-Briolance », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 18.
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. « PASSERI AMANDINE », sur Nature et Progrès (consulté le ).
  36. a b et c Marie Godfrain, « « J’ai sauvé l’école de mon village grâce à la méthode Montessori » », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  37. « Patrimoine culturel immatériel à Blanquefort-sur-Briolance », Fiche d’inventaire(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur culturecommunication.gouv.fr.
  38. « Château », notice no IA47000517, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  39. « Prieuré de bénédictins Notre-Dame dit église Notre-Dame-de-Milhac », notice no IA47000510, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  40. « Église paroissiale Saint-Éloi (?), Saint-Chaliès », notice no IA47000514, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  41. « Église paroissiale Saint-Éloi de Saint-Chaliès »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur visites.aquitaine.fr.
  42. « Prieuré de bénédictines Sainte-Marie, Sainte-Madeleine dit prieuré de la Sauvetat-des-Monges », notice no IA47000511, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  43. « Église Sainte-Madeleine de La Sauvetat »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur visites.aquitaine.fr.
  44. [Tholin 1874] Georges Tholin, Études sur l'architecture religieuse de l'Agenais du Xe au XVIe siècle, suivies d'une notice sur les sépultures du Moyen Âge (monographie), Agen, librairie J. Michel, (lire en ligne [PDF] sur academie47.fr), p. 105-106.
  45. « Usine métallurgique dite forge de Blanquefort, moulin à blé, usine de boissons non alcoolisées, actuellement entrepôt commercial », notice no IA47000678, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  46. « Usine métallurgique dite forge de Blanquefort »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur visites.aquitaine.fr.
  47. « Ferme de Blanquefort-sur-Briolance »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur visites.aquitaine.fr.
  48. « Manoir Latour de La Sauvetat »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur visites.aquitaine.fr.