Berny-en-Santerre

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Berny-en-Santerre
Berny-en-Santerre
L'église Saint-Vaast.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité CC Terre de Picardie
Maire
Mandat
Francis Leroy
2020-2026
Code postal 80200
Code commune 80090
Démographie
Population
municipale
150 hab. (2021 en diminution de 3,23 % par rapport à 2015)
Densité 34 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 51′ 56″ nord, 2° 51′ 02″ est
Altitude Min. 62 m
Max. 87 m
Superficie 4,43 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Péronne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Ham
Législatives 5e circonscription de la Somme
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Berny-en-Santerre
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Berny-en-Santerre
Géolocalisation sur la carte : Somme
Voir sur la carte topographique de la Somme
Berny-en-Santerre
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Berny-en-Santerre

Berny-en-Santerre est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Berny-en-Santerre est un village rural picard du Santerre situé dans l'est du département de la Somme, à une dizaine de kilomètres au sud-ouest de Péronne, 32 km à l'ouest de Saint-Quentin et à 38 km à l'est d'Amiens.

L'autoroute A1 traverse le territoire communal, desservie par sa sortie no 13 et par l'ex-route nationale 29 actuelle RD 1029). La Gare TGV Haute-Picardie, sur la LGV Nord, est à proximité immédiate de la commune. La Gare de Chaulnes sur la ligne d'Amiens à Laon est également proche de Berny-en-Santerre. Les trains régionaux TER Hauts-de-France qui effectuent des missions entre les gares d'Amiens et de Tergnier ou de Laon s'y arrêtent.

Le paysage de la commune est celui d'un plateau quelque peu vallonné à l'est[1]. Le sol et le sous-sol de la commune de Berny-en-Santerre sont pour la majeure partie de nature argileuse et à l'est calcaire. On trouve également de la terre glaise à l'est[1].

Aucun cours d'eau ne traverse la commune. La nappe phréatique était située à la fin du XIXe siècle à 25 m en dessous du niveau du sol[1].

Le climat de la commune est tempéré océanique dit séquanien.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 722 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Estrées-Mons à 11 km à vol d'oiseau[4], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 647,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Présentation[modifier | modifier le code]

La commune présente un habitat groupé.

Le village détruit au cours de la Première Guerre mondiale a été entièrement reconstruit pendant l'entre-deux-guerres.

Typologie[modifier | modifier le code]

Berny-en-Santerre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Péronne, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 52 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (94,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (91,9 %), zones urbanisées (5,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,5 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Berni (1177.) ; Breny (1434-1435.) ; Bregny (1648.) ; Berny (1757.) ; Berny-en-Santerre (1836.)[14].

Il est possible que le nom du village provienne du vieux français Bernis (toile grossière)[15],[16] ou du patois picard berny, un « endroit spacieux »[17].

Le Santerre est une région naturelle de France située au cœur de la Picardie, et de l'actuelle région Hauts-de-France.

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité[modifier | modifier le code]

L'origine de Berny-en-Santerre remonterait à l'époque gauloise[18].

L'archéologie aérienne fait plus sûrement remonter l'existence du lieu à Antiquité : une photographie aérienne prise par Roger Agache en 1983 montre la présence de substructions d'une villa romaine[19].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

La première mention du lieu nommé Berny date du Moyen Âge, dans un diplôme de Charles II le Chauve de 867[20].

Avant le milieu du XIe siècle, la seigneurie passa par alliance à la maison de Breteuil[1].

En 1090, des biens situés à Berny-en-Santerre furent parmi les premières donations faites à l'abbaye Saint-Vaast d'Arras puis à la prévôté de Mesnil-en-Arrouaise. L'abbaye Saint-Vaast garda la dîme et le patronage de la cure dépendante du doyenné de Curchy.

En 1214, Simon de Berni, seigneur du lieu devait l'hommage à Gautier, châtelain de Péronne[18].

Depuis des temps immémoriaux, c'est la coutume de Péronne qui était respectée[1].

Époque moderne[modifier | modifier le code]

En 1589, Antoine de Berny était receveur général de la Ligue en Picardie.

Au XVIIIe siècle, la seigneurie de Berny-en-Santerre était aux mains de la Maison de Rouvroy de Saint Simon[18].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Pendant la Première Guerre mondiale, le village se trouve en première ligne, particulièrement lors de la bataille de la Somme de 1916[21]. Le 17 septembre 1916, Berny-en-Santerre est repris par la Xe armée française qui fait 1 400 prisonniers allemands. En 2016, le village a commémoré cette bataille en nomment sa place « place du 17-Septembre-1916 »[22].

En mars 1918, le village est repris par l'armée allemande au cours de la bataille du Kaiser. Il est définitivement libéré par les armées alliées en août 1918.

Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre[23] et est décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [24].

Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Au début de la Seconde Guerre mondiale, les habitants de Berny sont évacués sur ordre de la préfecture de la Somme. Des combats de la bataille de France se déroulent sur le territoire communal[25].

La commune est située dans la zone des combats de la bataille de l'Aisne et de la Somme lors de la Seconde Guerre mondiale. En effet la commune, comme Fresnes-Mazancourt, Marchélepot, Misery, Licourt, Pertain et Villers-Carbonnel fait partie de la ligne Weygand dont la défense est confiée au 22e Régiment de Marche de Volontaires Étrangers (22e RVME)[26],[27],[28].

Du 4 au 7 juin 1940, les 2 500 hommes du régiment bloquent l'avance de l'armée allemande. Succombant sous le nombre des attaques d'infanterie, des panzers et des bombardements de l'aviation, de l'artillerie, 800 hommes sont faits prisonniers[27].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Péronne du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la cinquième circonscription de la Somme.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Chaulnes[29]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Ham.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune était adhérente de la communauté de communes de Haute-Picardie créée en 1994 sous le nom de communauté de communes de Chaulnes et environs, et qui a pris sa dénomination de communauté de communes de Haute-Picardie en 1999.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département[30].

Le projet préfectoral prévoit la « fusion des communautés de communes de Haute Picardie et du Santerre », le nouvel ensemble de 17 954 habitants regroupant 46 communes[31],[32],[33]. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en janvier 2016[34], la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion le [35].

Cette procédure aboutit à la création au de la communauté de communes Terre de Picardie, dont la commune est désormais membre[36].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[37]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2008 Rémy Leroy    
mars 2008[38] En cours
(au 8 octobre 2020)
Francis Leroy LR Agriculteur
Patron de la Team Off-Road Concept sur le Rallye Dakar 2022
Réélu pour le mandat 2020-2026[39],[40]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[42].

En 2021, la commune comptait 150 habitants[Note 3], en diminution de 3,23 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
360354336366389335339330337
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
331285302316282265252293277
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
305274259105180228207163182
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
172174169146149153139143152
2014 2019 2021 - - - - - -
155152150------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[43].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

L'agriculture reste l'activité dominante de la commune.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Monument aux morts : construit en 1926 par Louis Duthoit.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Abbé Paul Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne et de plusieurs localités circonvoisines, 1865 - réédition partiellesous le titre : Chaulnes et ses environs, Paris, Le Livre d'histoire Rassorts Lorisse, 2006 (ISBN 2 - 87 760 - 916 - 2)
  • Henri Douchet « Fasol », L'Arrondissement de Péronne sous l'occupation (1914-1918), collection Jusant, Inval-Boiron, La Vague verte, 2014 (ISBN 978 - 2 - 35 637 - 059 - 4)
  • Francine François-Dejuine, 1914-1924, 26 communes dans la tourmente, Inval-Boiron, La Vague verte, collection "Souvenance", 2007 (ISBN 978 - 2 - 913 924 - 99 - 4)
  • Francine François-Dejuine, 1935-1955, Mémoires de 28 communes du Santerre, Inval-Boiron, La Vague verte, collection "Souvenance", 2011, (ISBN 978 - 2 - 35 637 - 035 -8).

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

  • Carte spéciale des régions dévastées : 13 SO, Cambrai [Sud-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d et e Notice géographique et historique sur la commune de Berny-en-Santerre, rédigée par M. Pilet, 1898/99, instituteur, Archives départementales de la Somme
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Berny-en-Santerre et Estrées-Mons », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Estrees-mons-inra » (commune d'Estrées-Mons) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Estrees-mons-inra » (commune d'Estrées-Mons) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Péronne », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 109 (lire en ligne sur DicoTopo) [1]
  15. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique du département de la Somme, 1868-1877, Archives départementales de la Somme, Amiens
  16. Lire en ligne l'ouvrage de Jacques Garnier sur le site des Archives départementales.
  17. Jules Corblet, Glossaire étymologique et comparatif du patois picard ancien et moderne, , p. 214.
  18. a b et c Abbé Paul Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne et de plusieurs localités circonvoisines, 1865 - réédition partielle sous le titre : Chaulnes et ses environs, Paris, Le Livre d'histoire Rassorts Lorisse, 2006 (ISBN 2 - 87 760 - 916 - 2).
  19. « Villa gallo-romaine. », notice no ARR22_83801104ZA, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  20. Abbé Paul Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne et de plusieurs localités circonvoisines, 1865 - réédition partielle sous le titre : Chaulnes et ses environs, Paris, Le Livre d'histoire Rassorts Lorisse, 2006 p. 95 (ISBN 2 - 87 760 - 916 - 2).
  21. « Septembre 1916 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), La Grande guerre...au jour le jour (consulté le ).
  22. « Reprise du village par l'armée française le 17 septembre 1916 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Vivre le centenaire, sur somme14-18.com (consulté le ).
  23. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
  24. Journal officiel du 30 octobre 1920
  25. Francine François-Dejuine, 1935-1955, Mémoires de 28 communes du Santerre, Inval-Boiron, La Vague verte, collection "Souvenance", 2011, pp. 58-59 (ISBN 978 - 2 - 35 637 - 035 -8).
  26. 22e R.M.V.E. Marchélepot Fresnes-Mazancourt Misery
  27. a et b MARCHELEPOT Il y a 75 ans, c’était la guerre dans le village
  28. La bataille de la Somme et de l'Aisne
  29. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Vincent Fouquet, « Vers un mariage de la communauté de communes de Haute-Picardie avec celle de Rosières ? : Le conseil communautaire, qui s’est déroulé jeudi soir à Soyécourt, a été l’occasion d’annoncer la volonté de l’intercommunalité de fusionner avec celle de Rosières-en-Santerre », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  31. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  32. Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  33. « Un mariage entre Chaulnes et Rosières-en-Santerre est prévu pour 2017 : L’annonce a été faite jeudi 1er octobre à Rosières-en-Santerre : les communautés de communes de Haute Picardie (CCHP) et du Santerre (CCS) souhaitent fusionner. Voici leurs arguments », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
  34. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région,‎ (lire en ligne).
  35. « Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes de haute Picardie avec la communauté de communes du Santerre », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2016-031,‎ , p. 78-79 (lire en ligne [PDF]).
  36. « CC Terre de Picardie (N° SIREN : 200070928) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, (consulté le ).
  37. « Les maires de Berny-en-Santerre », sur francegenweb.org (consulté le ).
  38. « Liste des maires de la Somme », sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
  39. « Francis Leroy se représente aux élections municipales à Berny-en-Santerre », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « À Berny-en-Santerre, il faudra compter avec Francis Leroy pour les municipales 2020. L’agriculteur de 49 ans se représente pour un troisième mandat, accompagné de sa liste actuelle, à l’identique ».
  40. Vincent Fouquet, « Berny-en-Santerre: troisième mandat pour Francis Leroy », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Maire depuis 2008, Francis Leroy a été réélu pour la troisième fois mardi 26 mai en soirée ».
  41. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  42. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  43. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  44. Francine François-Dejuine, 1914-1924, 26 communes dans la tourmente, Inval-Boiron, La Vague verte, collection "Souvenance", 2007 (ISBN 978 - 2 - 913 924 - 99 - 4).
  45. Adrien Varloy, Les Chauffeurs du Santerre, 1907, réédition, Paris, Le Livre d'histoire-Lorisse Res Universis, 1991 pp. 62-87 (ISBN 2 - 87 760 - 476 - 4).
  46. Hubert Van Melkebeke, « Rosières-en-Santerre ravive l’affaire des chauffeurs du Santerre : À l’occasion de la pose d’une nouvelle plaque au calvaire de la guillotine, Michel Lefèvre, habitant de la rue de la Guillotine qui a milité pour qu’elle porte ce nom, rappelle la rocambolesque histoire de ceux qui chauffaient les pieds de leurs proies au XIXe siècle », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).