Antran

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Antran
Antran
La mairie
Image illustrative de l’article Antran
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Châtellerault
Intercommunalité Communauté d'agglomération Grand Châtellerault
Maire
Mandat
Élodie Sivault
2020-2026
Code postal 86100
Code commune 86007
Démographie
Gentilé Antranais
Population
municipale
1 158 hab. (2021 en diminution de 3,98 % par rapport à 2015)
Densité 49 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 51′ 12″ nord, 0° 32′ 39″ est
Altitude 49 m
Min. 37 m
Max. 158 m
Superficie 23,82 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Châtellerault
(banlieue)
Aire d'attraction Châtellerault
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Châtellerault-2
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Liens
Site web https://www.antran.fr/

Antran est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans la banlieue nord de Châtellerault, dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La région d'Antran présente un paysage de plaines vallonnées plus ou moins boisées et de villes[1].

Le terroir se compose[1] :

  • sur les collines calcaires, de champagnes ou aubues qui sont des sols gris clair, argilo-limoneux, sur craie et donc calcaires (30 %) ;
  • dans les vallées et les terrasses alluviales, de calcaires (30 %) ;
  • sur les collines et les dépressions sableuses des bordures du Bassin Parisien, de bornais sableux du Loudunais (17 %), d'Argilo (15 %) et de Tuffeau jaune (9 %) ;
  • de l'agglomération pour moins de 1 %.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par 9,2 km de cours d'eau dont la rivière principale est la Vienne sur une longueur de 2,7 km. Mais, le réseau hydraulique comprend aussi le ruisseau de Gâtineau sur une longueur de 4,2 km,le ruisseau de Vauzelle sur une longueur de 1,3 km, et la Vauxoise sur une longueur de 0,9 km.

La Vienne bénéficie d’un classement afin de protéger ou de restaurer sa continuité écologique sur le territoire communal : la construction de tout nouvel ouvrage faisant obstacle à sa continuité écologique est interdit et des aménagements devront permettre d’assurer ou de rétablir la libre circulation des poissons migrateurs et le transit des sédiments[2].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique du nord-ouest[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Poitou-Charentes, caractérisée par un bon ensoleillement, particulièrement en été et des vents modérés[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 652 mm, avec 10,9 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lésigny à 16,99 km à vol d'oiseau[6], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 743,3 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Antran est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Châtellerault, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[13] et 40 721 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chatellerault dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (73,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (56 %), forêts (19,8 %), zones agricoles hétérogènes (15,8 %), zones urbanisées (3,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,4 %), eaux continentales[Note 3] (2,3 %), prairies (0,7 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune d'Antran est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Vienne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999 et 2010[21],[19]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques (PPR) inondation (PPRI) de la « vallée de la Vienne "aval" - Section Antran/Port-de-Piles », approuvé le et par le PPRI « Vienne Communauté d’Agglomération de Grand Châtellerault (CAGC) », prescrit le [22].

Antran est exposée au risque de feu de forêt. En 2014, le deuxième plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2015-2024[23]. Les obligations légales de débroussaillement dans le département sont définies dans un arrêté préfectoral du [Note 4],[24], celles relatives à l'emploi du feu et au brûlage des déchets verts le sont dans un arrêté permanent du [25],[26].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Antran.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[27]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[28]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[29]. 83 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[30].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2005 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[19].

Risque technologique[modifier | modifier le code]

La commune est en outre située en aval du barrage de Vassivière, un ouvrage de classe A[Note 6] situé dans le département de la Creuse, sur la Maulde. Le PPI a été approuvé par arrêté interpréfectoral du . À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[32].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté dans cette phrase latine Ecclesia Sancti Hylarii de Intra Annam, ad intra Amnem, puis Ex Intermanis villa[33], sous la forme latine inter amnis vers 1100, qui signifie « entre deux eaux ». En effet, le territoire de la commune est situé entre la Vienne et le Gätineau[34],[35]

Ce toponyme provient d'un domaine gallo-romain situé entre deux cours d'eau[33],[34],[35].

Histoire[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[36]
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 novembre 2020 Alain Pichon DVD  
novembre 2020 en cours Élodie Sivault    

Instances judiciaires et administratives[modifier | modifier le code]

La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Dans son palmarès 2023, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune[37].

Traitement des déchets et économie circulaire[modifier | modifier le code]

La commune a aménagé une déchèterie[38].

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants sont nommés les Antranais[39].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[41].

En 2021, la commune comptait 1 158 habitants[Note 7], en diminution de 3,98 % par rapport à 2015 (Vienne : +1,03 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
412660558560529606608563646
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
599623607634607625658653671
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
639656633575558574564593610
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
5856487611 0239781 0601 1191 1081 139
2014 2019 2021 - - - - - -
1 1991 1631 158------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee à partir de 2006[43].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2008, selon l’INSEE, la densité de population de la commune était de 47 hab./km2, 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

Économie[modifier | modifier le code]

Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes, il n'y a plus que 10 exploitations agricoles en 2010 contre 19 en 2000[44].

Les surfaces agricoles utilisées sont passées de 1 162 hectares en 2000 à 985 hectares en 2010.47 % sont destinées à la culture des céréales (blé tendre pour plus de la moitié et maïs), 15 % pour les oléagineux (essentiellement du tournesol et un peu de colza) et 11 % reste en herbes[44].

L'élevage ne concerne en 2010 que les bovins (355 têtes) alors qu'en 2000,il y avait un troupeau de 52 ovins et 254 bovins, ainsi que plusieurs élevages de volailles (105 têtes répartis sur 7 exploitations)[44].

Il existe sur le territoire un élevage industriel de porcs (autour de 2 400 têtes: SCEA (Société civile d'exploitation agricole) Les Bordes.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine civil et religieux[modifier | modifier le code]

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

La commune abrite sur son territoire une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF)[47] qui couvre 6 % de la surface communale : le bois de la Bonde et les brandes de la Corbery. Ils bénéficient d'une protection par maîtrise foncière par le classement comme espaces naturels sensibles (ENS).

Arbres remarquables[modifier | modifier le code]

Selon l'Inventaire des arbres remarquables de Poitou-Charentes[48], il y a un arbre remarquable sur la commune qui est un sophora du Japon. Il est situé au lieu-dit la Gàtinalière.

Le bois de la Bonde et les brandes de la Corbery[modifier | modifier le code]

Le bois de la Bonde et les brandes de la Corbery se situent dans l’extrême nord du département de la Vienne, aux confins des régions Poitou-Charentes et Pays de la Loire, sur les territoires des communes de Antran, Usseau, Vaux-sur-Vienne et Vellèches. Ces deux sites sont recouverts de bois et de landes. Ils occupent un haut plateau siliceux qui domine la rive gauche de la Vienne.

Sur ce territoire, comme dans tout le Nord-Ouest du département actuel de la Vienne, entre les villes de Châtellerault et de Loudun, les formations crétacées sont recouvertes de sols sableux ou limoneux, acides et hydromorphes, riches en cailloux et blocs siliceux, dénommés : les bornais. Sur ces terres de médiocre qualité, la forêt et la lande ont longtemps dominé. La végétation était, autrefois, périodiquement incendiée afin de régénérer la production herbacée et offrir, ainsi, un pâturage aux animaux. Les cultures céréalières étaient plutôt réservées aux plaines calcaires.

De nos jours la moitié du site a été planté de résineux et a perdu, ainsi, une partie de sa spécificité. Toutefois, la zone a quand même pu conserver un certain nombre des habitats typiques hérités de ces anciennes activités agro-sylvo-pastorales. Ainsi, la chênaie calcifuge composée de chênes sessiles et de chênes pédonculés existe toujours. Elle est mêlée avec des sorbiers, des trembles et des châtaigniers. La chênaie alterne avec des landes atlantiques à «brande» ou bruyère à balais et ajoncs. En outre, le bois de la Bonde a été morcelé par le passage de l’autoroute A10. Malgré ces modifications récentes, le site offre encore un fort intérêt biologique qui se manifeste notamment dans sa richesse ornithologique et qui a justifié son classement comme zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF). Cette zone couvre 6 % de la surface communale.

Parmi les quelque 50 espèces d’oiseaux répertoriées sur ce territoire, 11 sont particulièrement rares et font l’objet d’une protection au niveau national (Bouvreuil pivoine Huppe fasciée, Locustelle tachetée, Mésange huppée, Moineau friquet, Pipit rousseline). Le Busard Saint-Martin et le Busard cendré, deux élégants rapaces gris pâle au vol onduleux et bas nichent sur la zone. En revanche, le Circaète Jean-le-Blanc, un grand rapace méridional, vient des boisements alentour pour capturer dans la lande les serpents et autres reptiles qui représentent l’essentiel de son régime alimentaire. Parmi les passereaux, on remarque surtout la présence de la Fauvette pitchou, qui a trouvé dans les étendues de bruyère à balais, un milieu de substitution aux maquis méditerranéens qui constituent son biotope d’origine. L ’Engoulevent d’Europe chasse, à la nuit tombée, au-dessus de la lande et dans les clairières de la forêt, les gros insectes nocturnes qui constituent l'essentiel de sa nourriture. Le Faucon hobereau, un petit rapace sombre, amateur lui aussi de gros insectes et de petits passereaux, chasse aussi à la tombée de la nuit mais juste avant l'Engoulevent d’Europe.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Le brûlage des déchets verts à l’air libre ou à l’aide d’incinérateurs individuels est interdit toute l’année et sur l’ensemble du département de la Vienne.
  5. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  6. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[31].
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

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  2. DREAL Poitou-Charentes / MNHN, 2012/2013
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Antran et Lésigny », sur fr.distance.to (consulté le ).
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  8. « Station Météo-France « Lesigny » (commune de Lésigny) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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  27. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  28. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Antran », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  29. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
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  31. Article R214-112 du code de l’environnement
  32. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  33. a et b Ernest Nègre - Toponymie générale de la France - Page 301 - (ISBN 2600028838).
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  44. a b et c Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
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