Jean Yanne

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Jean Yanne
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Jean Yanne en 1954, Studio Harcourt.
Nom de naissance Jean Roger Gouyé
Surnom L'enfant terrible
Naissance
Les Lilas, Seine, France
Nationalité Drapeau de la France Française
Décès (à 69 ans)
Morsains, Marne, France
Profession Acteur, chanteur, humoriste, écrivain, réalisateur, producteur, compositeur
Films notables Que la bête meure
Le Boucher
Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil
Nous ne vieillirons pas ensemble
Deux Heures moins le quart avant Jésus-Christ
Attention bandits !
Regarde les hommes tomber

Jean Yanne[1], de son vrai nom Jean Roger Gouyé, né le aux Lilas et mort le à Morsains, est un acteur, humoriste, écrivain, réalisateur, chanteur, producteur et compositeur français.

Biographie[modifier | modifier le code]

Son grand-père vient à Paris en arrivant de Bretagne[2], plus exactement de Liffré en Ille-et-Vilaine[3],[4].

Les Gouyé, Gouyet, Gouyer sont à l'origine une famille de sabotiers qui, au XVIIIe siècle, habitent la forêt de Mayenne[5]. À l'origine, gouyé veut dire « petite mare ».

Jean Gouyé est le deuxième garçon d'André Gouyé, ouvrier-lithographe[6] avant la Seconde Guerre mondiale, puis ébéniste[3],[4] auprès de son frère[7] en 1945. Sa mère, Aimée Bonabeaux (1913-2002)[8] est couturière chez des grands couturiers[3],[4], notamment chez Jeanne Lanvin[9].

Parcours professionnel[modifier | modifier le code]

La Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Au début de la Seconde Guerre mondiale, la famille de Jean Yanne est expédiée par son père à Celles-sur-Belle. Il y séjourne jusqu'en 1943, car son père est prisonnier en Allemagne et détenu dans un camp de travail[10]. Ensuite, Jean Yanne effectue ses études aux Lilas dans l'enseignement primaire catholique, puis au collège[11]. Il est renvoyé en sixième du lycée Turgot en 1945, et rejoint le lycée Chaptal où il obtient le brevet d’études du premier cycle du second degré (BEPC) et participe à une activité théâtre. Il décide alors de ne pas poursuivre ses études, et commence un apprentissage d'ébéniste chez son oncle, qu'il quitte rapidement, car ce dernier n'a pas les moyens de le rémunérer[12].

Le journalisme[modifier | modifier le code]

Il commence des études de journalisme au Centre de formation des journalistes (CFJ) de Paris à la rentrée 1950, où il reste cinq mois. Contrairement à ce que prétendent beaucoup de sources, il n'appartient pas à la promotion de Philippe Bouvard qui a intégré le CFJ en 1948[13]. Ses condisciples du CFJ se souviennent de ses talents d'amuseur et de provocateur, avec lesquels il a mis en révolution cet établissement. Il est pigiste dans plusieurs journaux : L'Aurore, Paris-Presse, L'Écho de la Mode, L'Humanité Dimanche[14]. Il couvre aussi une série de reportages pour Time-Life, et s'occupe de la rubrique Le coin du dragueur dans le journal Dragueur de mines.[réf. nécessaire]

Le cabaret[modifier | modifier le code]

Il abandonne progressivement le journalisme pour écrire des sketches de cabaret à la suite des conseils de Bob du Pac. Ils débutent ensemble dans un petit cabaret : l'Académie des vins. Roger-Jean Gouyé devient alors pour la scène Jean Yanne, référence aux origines bretonnes de sa famille, car son nom est trop souvent transformé en Couillé[15].

A des chansons enregistrées à l’Olympia, en 1957, il ajoute des chansons enregistrées en studio, écrites sous les noms de Johnny Rock Feller et ses Rock Childs, Honzalagur Pompernickel et sa Dame, dans l'album "Le misanthrope provocateur"[16],[17]. Son spectacle à la La Fontaine des Quatre-Saisons est remarqué par la presse dès janvier 1958, qui salue "un jeune de grand avenir, le doux Jean Yanne"[18], un "pitre, empreint d'une onction tout ecclésiastique", "obsédé par la question de la réconciliation du clergé et de la classe ouvrière"[18], qui "se produit en compagnie de Francis Blanche, Jacqueline Maillan et Pierre Doris"[18]. Elle le suit aussi en 1960 au cabaret "Les Trois Baudets", où se produisent aussi Jean-Pierre Darras et Philippe Noiret, [19].

Les années 1950 et 1960[modifier | modifier le code]

Jean Yanne en 1955. Photo d'identité (Sacem)

En 1957, Jean Yanne pour les textes et Siné pour les dessins, animent une revue anticléricale J'y va-t-y j'y Vatican puis Ça fait des bulles[20].

Il commence une carrière de journaliste au Dauphiné libéré, puis d'animateur à la radio au début des années 1960. Joueur d'orgue (toute sa vie il va en posséder un) et de piano[21], il se lance également dans la chanson, comme compositeur et chansonnier, dans des émissions comiques avec Jacques Martin, Roger Pierre et Jean-Marc Thibault, notamment un disque de rock sous le nom de Johnny 'Rock' Feller et ses 'Rock' Child, avec des titres comme J'aime pas le rock, Le rock coco, Saint-Rock, en 1961 ; également des parodies comme celles des Élucubrations d'Antoine, écrites avec Jacques Martin : Les Émancipations d'Alphonse, Les Revendications d'Albert, Les Pérégrinations d'Anselme, et Les Préoccupations d'Antime (1966). Toujours à la recherche de son style, il écrira dans l'hebdomadaire L'Os à moelle, brièvement repris par Pierre Dac en 1965. Ces textes furent rassemblés dans un recueil paru peu avant sa mort.

Avec Jacques Martin, il apparaît en 1964 dans l'émission de télévision, Un égale trois, très caustique pour son temps, qui est diffusée à 20 h 30 sur l'unique chaîne de l'époque. L'émission est arrêtée après cinq numéros car elle déplaît fortement au ministère de l'Information, en particulier son sketch sur Napoléon à la bataille de Waterloo transposée sous forme de course cycliste.

Les relations de Jean Yanne avec les directions de l'audiovisuel sont légendaires, et il est décrit comme « champion en matière de licenciements »[22]. Alain Barrière, Pierre Perret, Juliette Greco, Leny Escudero, et Guy Bedos, il fait partie des chanteurs qui témoignent de leur solidarité avec les grévistes de l'ORTF en mai-juin 1968, dans Le Monde du 10 juin 1968[23]. Renvoyé pour son impertinence de la télévision française, il est embauché par RTL qui le renvoie en 1969. Il est également renvoyé d'Europe 1 et France Inter.

Le cinéma[modifier | modifier le code]

Sa carrière prend le tournant du cinéma en 1964 dans La Vie à l'envers d'Alain Jessua. Il tourne dans des dizaines de films, en multipliant les seconds et premiers rôles. Il incarne, avec une gouaille très parisienne et un humour grinçant, une figure de Français moyen, râleur, vachard, égoïste et roublard, mais avec un grand cœur[24].

Une confusion du public entre l'acteur et les rôles que celui-ci incarne ne sert pas son image, au début. Sa manière de plaisanter, agressive, débraillée, versant du vitriol sur des plaies ouvertes, tenant la compassion pour obscénité, choque un peu la France de l'époque. Il est de ce fait renvoyé de la radio ; son film Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil en parle de façon romancée.

En 1967, il joue dans Week-End de Jean-Luc Godard, puis se révèle véritablement en 1969 dans Que la bête meure de Claude Chabrol, où il incarne un homme intelligent, mais d'une absence de sensibilité qui le rend brutal, il devient connu dans la France entière. Il enchaîne avec Le Boucher, du même Claude Chabrol, où il incarne un commerçant inquiétant, amoureux et assassin. En 1969, il écrit également une BD avec Tito Topin au dessin : La langouste ne passera pas, publiée chez Casterman. Malgré de mauvais rapports pendant la production, il tourne avec Maurice Pialat, en 1971, Nous ne vieillirons pas ensemble, où il incarne à nouveau son personnage d'insensible, et pour lequel il obtient le prix d'interprétation au festival de Cannes 1972, récompense qu'il n'ira pas chercher.

Voulant changer de registre et préférant se tourner vers la comédie et l'humour satirique, il tourne ses premiers films à partir de 1972, dans lesquels il veut donner toute sa mesure à son esprit caustique, anticonformiste, parodique et parfois à la limite du délire.

Avec son compagnon d'écriture Gérard Sire, il brocarde la radio, qu'il connaît bien, dans le film Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil en 1972, la politique avec Moi y'en a vouloir des sous en 1973 et Les Chinois à Paris en 1974, le monde du spectacle avec Chobizenesse en 1975, et celui de la télévision avec Je te tiens, tu me tiens par la barbichette en 1978.

Afin de contrôler la production de ses films, il s'associa avec Jean-Pierre Rassam, qui fusionna sa société Mara Films, pour fonder la société de production Ciné qua non, dérivée de l'expression latine Sine qua non, installée à l'avenue des Champs-Élysées. La société a la réputation d'être dépensière et festive. Mais l'échec des Chinois à Paris et celui de Chobizenesse eurent raison de la boîte malgré l'appui financier de Gaumont et de Marcel Dassault. L'acteur tenta ultérieurement de réinvestir le domaine de la production avec une nouvelle société, Productions Yanne, sans succès[25].

Les Chinois à Paris et plus encore Chobizenesse lui valent l'attention des producteurs américains en raison des sujets traités, moins exclusivement français que dans les deux films précédents, notamment le recours aux danses et ballets[26].

Il réalise ensuite une parodie de péplum, Deux Heures moins le quart avant Jésus-Christ (1982), avec Coluche et Michel Serrault, qui remporte un gros succès public[27],[28], puis, de nouveau, une charge contre le monde politique avec Liberté, Égalité, Choucroute.

Pour ce fils d'ouvrier, fin lettré (il est également conseiller international en achat d'œuvres d'art), l'art n'est qu'un attrape-gogos. Il lance sur RTL : « quand j'entends le mot culture, j'ouvre mon transistor » (parodie de l’aphorisme célèbre de Hanns Johst, homme de théâtre allemand [dans la pièce Schlageter] : « Quand j'entends parler de culture, je sors mon revolver »).

Jean Yanne oscille entre deux faces d'un même personnage :

  • l'une, se plaisant à jouer ce que Cabu a nommé un « beauf ». Film typique : Que la bête meure ;
  • l'autre, nettement plus positive, d'homme gardant les pieds sur terre quand tout le monde semble fou autour de lui (en écho au titre d'une chronique radiophonique sur la radio nationale concurrente : Qu'il est doux de ne rien faire quand tout s'agite autour de vous), et ne se faisant guère d'illusion sur la condition humaine qu'il considère avec un détachement amusé. Films typiques : Tout le monde il est beau…, Êtes-vous fiancée à un marin grec…, L'Imprécateur, La Raison d'État ou Les Chinois à Paris (ce personnage est déjà en germe dans La Vie à l'envers). Dans ce style, Jean Yanne incarne le Français moyen qui conserve son esprit critique, se moque bien de l'autorité, et à qui « on ne la fait pas ».

Il s'expatrie, en 1979, pour raisons financières, à Los Angeles (Californie), mais revient régulièrement en France, pour se ressourcer dans sa propriété de Morsains, petit village d'une centaine d'habitants en Champagne, entre Montmirail et Esternay ; pour apparaître dans des émissions de radio, comme sa chronique matinale sur RTL et aussi pour tourner au cinéma et à la télévision. La plupart de ses derniers rôles ressemblent à ceux de ses débuts, mettant en scène des personnages râleurs et individualistes, mais au grand cœur.

Il est l'un des sociétaires des Grosses Têtes, l'émission de Philippe Bouvard sur la station de radio française RTL, aux côtés de ses amis Jacques Martin et Olivier de Kersauson, se livrant à d'hilarants numéros d'improvisation. Il rejoint l'émission de Laurent Ruquier On va s'gêner sur Europe 1 en 2000.

Côté audiovisuel, il est également le créateur, avec Jacques Antoine, de Je compte sur toi !, jeu diffusé sur La Cinq. Présenté par Olivier Lejeune, le programme a créé une polémique, à l'époque de sa diffusion car, lors de l'épreuve finale, les candidats doivent compter des centaines de véritables billets de banque pendant qu'ils sont déstabilisés par de nombreux éléments perturbateurs. Si le compte des billets est bon, la somme est gagnée. Cet étalage d'argent en choque beaucoup, qui considèrent cela comme vulgaire et choquant. Pourtant, cette émission ne fait que parodier les codes existants des jeux télés (femmes-objets sur le plateau, étalage de cadeaux de luxe pour appâter le candidat…). De 1987 à 1990, il est invité à plusieurs reprises de l'émission culinaire Quand c'est bon ?… Il n'y a pas meilleur ! diffusée sur France 3 et animée par François Roboth[29].

Jean Yanne est aussi l'auteur du célèbre slogan « Il est interdit d'interdire », qu'il prononça par dérision, lors d'une de ses émissions radiophoniques du dimanche au printemps 1968, et qu'il fut tout surpris d'entendre repris ensuite « au premier degré ».

Longtemps considéré comme un simple amuseur, Jean Yanne prend, avec le temps, la dimension d'un critique des travers et des aspects ridicules de son époque[réf. nécessaire].

Vie privée[modifier | modifier le code]

Il épouse, le , Jacqueline Renée Guellerin Allard. En 1971, il quitte régulièrement le plateau du tournage de Nous ne vieillirons pas ensemble pour l'accompagner dans la maladie malgré leur séparation. Jacqueline meurt en 1972 des suites d'un cancer du poumon[30].

De sa liaison avec Sophie Garel, il a un fils Thomas né en 1970[réf. nécessaire].

On lui connaît une longue liaison avec Nicole Calfan puis, à partir de 1976, avec Mimi Coutelier[31].

En 1990, il rencontre Christiane Fugger von Babenhausen, fille d'un aristocrate allemand et d'une brahmane indienne. En 1991, ils ont un fils, Jean-Christophe. Christiane meurt en 2009[32].

Il meurt le d'une crise cardiaque dans sa propriété de Morsains et est inhumé au cimetière communal des Lilas (Seine-Saint-Denis)[33]. Ses obsèques sont célébrées en l'église Notre-Dame-du-Rosaire des Lilas, où il a été baptisé étant enfant[34].

Œuvres écrites[modifier | modifier le code]

Bande dessinée[modifier | modifier le code]

Jean Yanne présente également une facette peu connue du grand public, celle d'un scénariste et dialoguiste de bande dessinée, en tandem avec le dessinateur Tito Topin. À leur actif, une série intitulée les Dossiers du B.I.D.E., parmi lesquels le premier volume, La langouste ne passera pas (Casterman, 1969), initialement publié en feuilleton dans les colonnes de l'hebdomadaire Télé 7 jours, suivi par l'album Voyage au centre de la c...ulture.

BD loufoques, aux multiples ingrédients « années soixante » (couleurs et rondeurs, références à Nixon et Mao), empruntant au vocabulaire de la pub et de la politique (« aïoli déviationniste ») et de la sexualité (« mayonnaise en pilule »).

Romans, scénarios[modifier | modifier le code]

  • 1972 : Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil, récit adapté par Jean Yanne et Gérard Sire
  • 1973 : Moi y en a vouloir des sous (coécrit avec Gérard Sire)
  • 1973 : Les Chinois à Paris (coécrit avec Gérard Sire)
  • 1975 : Chobizenesse (coécrit avec Gérard Sire)
  • 1977 : L'Apocalypse est pour demain ou les aventures de Robin Cruso, illustré par Cardon (Éditions Jean-Claude Simoën)roman d'anticipation sur les dérives possibles de l'automobile
  • 1978 : Je te tiens, tu me tiens par la barbichette (coécrit avec Gérard Sire)
  • 1982 : Deux Heures moins le quart avant Jésus-Christ
  • 1984 : Liberté, Égalité, Choucroute

Recueils[modifier | modifier le code]

  • 1999 : Pensées, répliques, textes et anecdotes (Prix Alphonse-Allais 2000[35])
  • 2000 : Dictionnaire des mots qu’il y a que moi qui les connais
  • 2001 : Sketches joués, non-joués, à jouer ou injouables
  • 2001 : Je suis un être exquis
  • 2003 : J'me marre
  • 2010 : On n'arrête pas la connerie (anthologie posthume)
  • 2013 : Tout le monde il est gentil (anthologie posthume)

Filmographie[modifier | modifier le code]

Réalisateur[modifier | modifier le code]

Producteur[modifier | modifier le code]

Acteur[modifier | modifier le code]

Cinéma[modifier | modifier le code]

Télévision[modifier | modifier le code]

Acteurs avec lesquels Jean Yanne a joué[modifier | modifier le code]

(Les films ou séries-téléfilms en commun entre la liste d'acteurs et Jean Yanne sont aussi cités)

  • Michel Serrault : Jaloux comme un tigre, Ces messieurs de la famille, Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil, Moi y'en a vouloir des sous,Les Chinois à Paris,Deux Heures moins le quart avant Jésus-Christ, Liberté, Égalité, Choucroute, Beaumarchais l'insolent, Les Acteurs
  • Catherine Deneuve : Indochine, Belle Maman
  • Stéphane Audran : Le Boucher
  • Bruno Cremer : Maigret et l'écluse n° 1 (1994)
  • Robert Hossein : Liberté, Égalité, Choucroute
  • Mimi Coutelier : Liberté, Égalité, Choucroute, Je te tiens, tu me tiens par la barbichette, Deux Heures moins le quart avant Jésus-Christ
  • Catherine Alric : Liberté, Égalité, Choucroute
  • Thierry Lhermitte : Fucking Fernand, Fallait pas, Papy fait de la résistance,...
  • Francis Blanche : Jaloux comme un tigre, Ces messieurs de la famille, Érotissimo, Êtes-vous fiancée à un marin grec ou à un pilote de ligne ?
  • Jean-Paul Belmondo : Désiré, Les Acteurs
  • Lino Ventura : Deux Romains en Gaule, Fantasia chez les ploucs
  • Bernard Blier : Laisse aller c'est une valse, Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil, Moi y'en a vouloir des sous, Les Chinois à Paris
  • Alain Delon : Armaguedon
  • Albert Dupontel : Chacun pour toi
  • Coluche : Deux Heures moins le quart avant Jésus-Christ, Laisse aller c'est une valse
  • Mireille Darc : Week-end, Laisse aller c'est une valse, Fantasia chez les ploucs
  • Ginette Garcin : Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil, Moi y'en a vouloir des sous
  • Daniel Prévost : Tenue correcte exigée, Laisse aller c'est une valse, Moi y'en a vouloir des sous,Les Chinois à Paris Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil, Je te tiens, tu me tiens par la barbichette, Liberté, Égalité, Choucroute
  • Paul Préboist : Moi y'en a vouloir des sous, Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil, Liberté, Égalité, Choucroute, Deux Heures moins le quart avant Jésus-Christ, Les Chinois à Paris
  • Jacques François : Moi y'en a vouloir des sous, Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil, Je te tiens tu me tiens, par la barbichette, Liberté, Égalité, Choucroute
  • Véronique Jannot : Le ciel pour témoin
  • Michel Constantin : Laisse aller c'est une valse, Liberté, Égalité, Choucroute, Deux Heures moins le quart avant Jésus-Christ

Discographie[modifier | modifier le code]

  • 1958 : La Gamberge, La Légende orientale, Conseils aux filles, La Gloriole, paroles et musique de Jean Yanne, avec Popoff (Jean Baitzouroff) et son orchestre
  • 1958 : Chansons bonnes ou mauvaises : Histoire triste, Le soufre et le bénitier, Le Légionnaire, Avec Maria, paroles et musique de Jean Yanne, Jean Yanne et son guide-chant, enregistrement réalisé à l'Olympia
  • 1961 : Honzlagur Pompernickel et sa dame : Le Disque le plus triste de l'année! : Suivez le veuf…, Psychose, Allo… Sacha… ?, Si tu n’en veux pas (C’est la dernière fois…), paroles de Jean Yanne, musique de Jean Baitzouroff et G. la Viny, chez Fontana
  • 1962 : Johnny 'Rock' Feller et ses 'Rock' Child : Je n'suis pas bien portant (reprise de la chanson de Geo Korger / Vincent Scotto-Gaston Ouvrard), Le Rock coco, J'aime pas le rock, Saint-Rock, paroles de Jean Yanne, musique de Jean Baitzouroff, chez Fontana
  • 1965 : L’Eunuque, Mon cher Albert, Si tu t’en irais, Pourquoi m’as-tu mordu l’oreille ?, paroles et musique de Jean Yanne, musique de Popoff (Jean Baitzouroff)
  • 1965 : Rouvrez les maisons, Camille, Le Pauvre Blanc, Avec Maria, paroles et musique de Jean Yanne, arrangements de Jean Baitzouroff
  • 1966 : Explosif : Hue donc ou Les Émancipations d'Alphonse, Les Revendications d'Albert, Les Pérégrinations d'Anselme, Les Préoccupations d'Antime, Jean Yanne et Jacques Martin, parodies de Les Élucubrations d'Antoine, paroles et musique de Jean Yanne, musique de Jean Baitzouroff, paroles de Jacques Martin
  • 1966 : Les Routiers, Le Permis, La Circulation, sketches avec Paul Mercey et Lawrence Riesner
  • 1972 : BO de Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil, musique de Michel Magne, paroles de Jean Yanne (Jesus Tango, Jesus Java, Jesus San Francisco, Jesus rends-moi Johnny, Alleluia garanti, Tout le monde il est beau tout le monde il est gentil, Notre Père sur mesure, Che oh Che, Symphonie pour odeur et lumière, Symphonie ciné qua non, Ciné qua pop, Tilt pour Jesus Christ) interprétées par Ginette Garcin, Anne Germain, Jean Yanne, N'Dongo Lumba
  • 1973 : BO de Moi y'en a vouloir des sous, paroles de Jean Yanne, musique de Michel Magne (Liberté, Égalité, Sexualité, Moi Y'en A Vouloir Des Sous, Marche Des Syndicats, Luttons Pour Le Marché Commun, Choral En Ut Dièse Mineur Pour Curés Et Sportifs, Parle Au Patron Ma Tête Est Malade, Marche Des C.R.S., Pour l'amour des sous, Superchic Génial (Hommage à James Brown), Les Ouvriers, Pétrole Pop, Inter Alléluia)
  • 1974 : BO de Les Chinois à Paris, paroles de Jean Yanne, musique de Michel Magne (Valse franco-chinoise, Valse classico-musette, Carmeng)
  • 1975 : BO de Chobizenesse, musique de Raymond Alessandrini, paroles de Jean Yanne (Chobizenesse, Bazooka, Pauvre Bach (chanté par Anne Germain), Quatuor, La Passion, Coït, Il a chaud Bibi, Intermezzo N° 1, Messe En Ré, Intermezzo N° 2, Acier Partout, Intermezzo N° 3)
  • 1979 : BO de Je te tiens, tu me tiens par la barbichette, musique de Jacques Morali, paroles de Jean Yanne (The Ritchie Family La Barbichette (You Make Me Feel It), Village People Hot Cop, Mimi Coutelier Boogie Lady, Boogie Lady (Instrumental), The Ritchie Family Forever Dancing, La Barbichette (You Make Me Feel It) (Instrumental)
  • 1982 : BO de Deux Heures moins le quart avant Jésus-Christ, paroles de Jean Yanne, musique de Jannick Top et Raymond Alessandrini (Générique Début, Il Est Né Le Divin Enfant Jouez Transistors Résonnez Cassettes (duo Jean Yanne, Mimi Coutelier), Deux Heures Moins Le Quart Avant Jésus-Christ, Homosexualis Discothecus, Ah! La Belle Nana, Aerobic Connection (duo Jean Yanne, Mimi Coutelier), Marches Romaines, Cleopatra Lied (Mimi Coutelier), Marches romaines Bis, Motel Music, Hebraiomania Pour Cordes, Duo De Ces Pyramides, Palais de Cléopâtre, Le J.T. Avant J.C., Bivouac, Le Secutor, Flash-Back, La Chorale Césarienne, Les Jeux Du Cirque, Genericus Negare), chez RCA
  • 1985 : BO de Liberté, Égalité, Choucroute, musique de Claude Germain, paroles de Jean Yanne
  • 1993 : Sacha Distel Et Ses Collégiens Jouent Ray Ventura : Sacha Distel, Jean Yanne, Darry Cowl, Francis Perrin : Les Chemises De l'Archiduchesse, chez Carrere Music
  • 1994 : BO de Regarde les hommes tomber, compositeur et directeur d'orchestre : Alexandre Desplat. Danse (dialogue Jean Yanne, Yvon Back), La cassette (dialogue Jean Yanne, Yvon Back), Les Canards (monologue Jean Yanne), Rideau (monologue Jean Yanne)

Tous les disques ont été publiés par Barclay, sauf indication contraire.

Compilations :

  • 1994 (réédition 1998) : Master Série : La Gamberge, La Légende orientale, Conseils Aux Filles, La Gloriole, Pourquoi m'as-tu mordu l'oreille ?, L'Eunuque, Mon Cher Albert, Si Tu T'En Irais, Rouvrez Les Maisons, Camille, Le Pauvre Blanc, Avec Maria, Je N' Suis Pas Bien Portant, Le Rock Coco, J'aime Pas Le Rock, Saint-Rock, Hue Donc Ou Les Emancipations D'Alphonse, Les Revendications D'Albert, titres enregistrés entre 1958 et 1966, chez Phonogram
  • 2003 (réédition 2011) : Chanson française : ''La Gamberge, La Légende orientale, Conseils aux filles, La Gloriole, Suivez Le Veuf..., Psychose, Allo...Sacha...?, Si Tu N'en Veux Pas (C’est la dernière fois...), Je N' Suis Pas Bien Portant, Le Rock Coco, J'aime Pas Le Rock, Saint-Rock, L'Eunuque, Mon Cher Albert, Si Tu T'En Irais, Pourquoi M'As-Tu Mordu L'Oreille ?, Rouvrez Les Maisons, Camille, Le Pauvre Blanc, Avec Maria, Hue Donc ou Les Emancipations D'Alphonse, Les Revendications D'Albert, Les Routiers (Sketch), Le Permis De Conduire (Sketch), La Circulation (Sketch),titres enregistrés entre 1958 et 1966

Autres interprètes :

  • 1956 : Philippe Clay La chanson de Clopin, musique de J.P. Mengeon, paroles de Jean Yanne
  • 1957 : Philippe Clay La gamberge, paroles et musique de Jean Yanne
  • 1957 : Henry Leca Gwendolina, musique de Gaby Wagenheim, paroles de Jean Yanne
  • 1957 : Line Renaud Gwendolina, musique de Gaby Wagenheim, paroles de Jean Yanne
  • 1957 : Line Renaud Mon cœur au Portugal, paroles de Jean Yanne, musique de Loulou Gasté
  • 1958 : Miguel Amador Mon cœur au Portugal, paroles de Jean Yanne, musique de Loulou Gasté
  • 1958 : Simone Langlois Comme le printemps, paroles et musique de Jean Yanne
  • 1958 : Marcel Mouloudji Le Légionnaire, paroles et musique de Jean Yanne
  • 1960 : Norman Maine et son Orchestre Babylone 21-29 (Allo Brigitte...), avec Jean Yanne
  • 1960 : Le Ramirez Cha Cha Band Allo Brigitte (Babylone 21-29), avec Henri Salvador, Jean Yanne et Brigitte et Scotch cha cha, paroles de Jean Yanne, musique de Jean Bouchéty
  • 1960 : Aladin et ses Joyeux Lampistes Mustapha et Loukoum avec Jean Yanne
  • 1961 : Yvette Giraud Au grand bal de l’amour (… Sie war nicht älter als 18 Jahr’) de Aldo Von Pinelli et Werner Scharfenberger, adaptation française de Jean Yanne
  • 1961 : Annie Cordy Au grand bal de l’amour (… Sie war nicht älter als 18 Jahr’) de Aldo Von Pinelli et Werner Scharfenberger, adaptation française de Jean Yanne
  • 1962 : Bob Azzam et son Orchestre Le twist est en baisse avec Jean Yanne
  • 1963 : Hector T’es pas du quartier et Je vous déteste, paroles de Jean Yanne et Gérard Sire, musique de Jean Yanne et Jean Baïtzouroff
  • 1963 : Fernand Raynaud Et v’lan passe-moi l’éponge, paroles de Jacques Martin et Fernand Raynaud, musique de Jean Yanne et Jean Baïtzouroff
  • 1963 : Betty Clair Dring dring, paroles et musique de Jean Yanne et Gérard Sire
  • 1963 : Ginette Garcin Pourquoi m’as-tu mordu l’oreille, paroles de Jean Yanne, musique de Jean Baïtzouroff, avec Jean Baïtzouroff et son orchestre
  • 1963 : Nadia Gray Mon cœur au Portugal, paroles de Jean Yanne, musique de Loulou Gasté
  • 1964 : Sacha Distel Festival Noir de Chine, album promotionnel pour les stylos Bic avec la participation de Gérard Sire, Jean Yanne, Lawrence Riesner
  • 1964 : Ginette Garcin La Médication de Thaïs, paroles de Jean Yanne, musique de Bob du Pac et Jean Baïtzouroff, avec Jean Baïtzouroff et son orchestre
  • 1964 : Carlo Nell La Médication de Thaïs, paroles de Jean Yanne, musique de Bob du Pac et Jean Baïtzouroff
  • 1966 : Ginette Garcin Cresoxipropanédiol en capsule et Le Ch'veu sur la langue, paroles de Jean Yanne, musique de Jean Baïtzouroff
  • 1970 : Jean-Marie Vivier La Complainte du P3, paroles et musique de Jean Yanne
  • 1972 : Antoine Trop pollué pour être honnête, musique de Gérard Bourgeois, paroles de Jean Yanne
  • 1974 : Les Troubadours Les faucheurs de marguerites, paroles de Jean Yanne, musique de Michel Magne et Claude Germain
  • 1977 : Yvon Etienne La Complainte du P3, paroles et musique de Jean Yanne (enregistrement public à La Boule d'or, Evron, Mayenne)
  • 1981 : Ginette Garcin Paris t'es dégueulasse, une chanson du film Les Uns et les Autres de Claude Lelouch, paroles et musique de Jean Yanne
  • 1983 : Linda de Suza Mon cœur au Portugal, paroles de Jean Yanne, musique de Loulou Gasté
  • 2012 : Vitor Hublot / Jacques Duvall / Isabelle Wéry J'aime pas le rock, paroles de Jean Yanne, musique de Jean Baïtzouroff

Théâtre[modifier | modifier le code]

Distinctions[modifier | modifier le code]

Récompenses[modifier | modifier le code]

Nomination[modifier | modifier le code]

Citations[modifier | modifier le code]

  • « Tout le monde veut sauver la planète, mais personne veut descendre les poubelles. »
  • « Ni Dieu, ni Maître, même nageur. »
  • « Dieu est grand, Allah est aux enzymes. »
  • « Il est interdit, d'interdire. »

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Le pseudonyme Yanne provient du prénom breton Yann, son père dont les racines sont bretonnes appelant souvent son fils par ce prénom.
  2. Jean-Baptiste Gouyé (4 mai 1873, Liffré-1916), son grand-père, artisan sabotier vient s'établir à Paris. Il épouse en 1900 une Alsacienne dont il a deux fils : André et Georges. En 1916, pris de démence, le boucher du quartier poignarde Jean-Baptisye Gouyé. Les Gouyé de Liffré acceptent alors de recueillir chez eux les enfants, mais refusent fermement d'héberger la veuve. Devant ce refus, la famille Gouyé reste en région parisienne.
  3. a b et c Jean Yanne extrait
  4. a b et c Interview biographique dans l'émission Tout le monde en parle de Thierry Ardisson, le 25 novembre 2000 [1]
  5. Son aieül est René-Jean Gouillet (13 mars 1789 à Contest-11 octobre 1855 à Fougères.
  6. Il travaille entre autres sur des projets avec Benjamin Rabier, et des affiches représentant Joséphine Baker.
  7. André Gouyé abandonne la lithographie à la suite de l'arrivée de l'offset. Il réalise avec son frère des meubles et des jouets, puis se spécialisent dans le coffrage des postes de télévision.
  8. . Son frère Roger Bonabeaux est artisan-sellier aux Lilas, et ami d'André Gouyé.
  9. Jean Yanne indique alors que sa mère a réalisé les déshabillés de Danielle Darrieux pour le film Katia en 1938.
  10. Etienne Dubois, Jean Yanne. L'esprit libre, City Edition, , p. 11
  11. Bertrand Dicale, Jean Yanne, à rebrousse-poil, Éditions First-Gründ, , p. 7
  12. Étienne Dubois, op. cit., p. 12
  13. Bertrand Dicale, Jean Yanne, à rebrousse-poil, Éditions First-Gründ, , p. 8
  14. Bertrand Dicale, Jean Yanne, à rebrousse-poil, Éditions First-Gründ, , p. 10
  15. Bertrand Dicale, Jean Yanne, à rebrousse-poil, Éditions First-Gründ, , p. 14
  16. [2]
  17. s Album "Le misanthrope provocateur" [3]
  18. a b et c "Avec les Frères Jacques et Jean Yanne", par Claude Sarraute, dans Le Monde le 31 janvier 1958 [4]
  19. "Aux trois-baudets", par Claude Sarraute, dans Le Monde le 17 février 1960 [5]
  20. Bertrand Dicale, Jean Yanne : à rebrousse poil, First, 2012, lire en ligne.
  21. À rebrousse poil, First, coll. Documents 2012, p. 35.
  22. « Humoristes et médias : des relations mouvementées », sur Le Monde.fr, Le Monde, (ISSN 1950-6244, consulté le ).
  23. "RÉACTIONS ET TÉMOIGNAGES DE SOLIDARITÉ", article dans Le Monde du 10 juin 1968 [6]
  24. « Jean Yanne, féroce râleur et amateur de joyeuses farces, tire sa révérence », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  25. Etienne Dubois, Jean Yanne : L'esprit libre, City, coll. « Biographie », (présentation en ligne)
  26. France Inter - Radioscopie - 10/03/1978
  27. « Deux heures moins le quart avant J.C. », sur jpbox-office.com (consulté le ).
  28. « boxofficestars.com/133-categor… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  29. « Les bonnes ondes des pianos...de cuisson » in Improvisation so piano, Jean-Pierre Thiollet, Neva Éditions, 2017, p. 175-176. (ISBN 978-2-35055-228-6)
  30. Bertrand Dicale, Jean Yanne : À rebrousse-poil, Paris, First éd., coll. « First document », , 510-[8], 23 cm (ISBN 978-2-7540-1722-0, BNF 42789506, lire en ligne), p. 187 + p. 194.
    Page 187 : « Il survient ce que l’on craint quand il s’agit d’une personne qui fume trois paquets de cigarettes par jour depuis des lustres : Jacqueline Gouyé est atteinte d’un cancer du poumon. »
    Plus loin, page 194 : « Épuisée par les bombardements de cobalt – comme on appelle alors la radiothérapie – et par la douleur, Jacqueline meurt le 16 octobre. »
  31. Étienne Dubois, Jean Yanne : L’Esprit libre, Saint-Victor-d'Épine, City éditions, , 252-[8], 24 cm (ISBN 978-2-8246-0287-5, BNF 43602327, lire en ligne).
    « Il vit depuis 1976 une nouvelle histoire d’amour avec une jeune et jolie blonde nommée Dany Coutelier, bien plus connue sous le nom de Mimi Coutelier. »
  32. voir son livre Jean Yanne mon amour accidentellement à Dubaï, Éditions Favre, Lausanne, 2005 (ISBN 978-2-8289-0871-3)
  33. (en) « Jean Yanne », sur Find a Grave
  34. Jean Yanne et sa sépulture au cimetière des Lilas
  35. a et b Article journal Libération du 24/02/2000.
  36. Bertrand Dicale, Jean Yanne, à rebrousse-poil, Éditions First-Gründ, , p. 488

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Dominique de Roux, La France de Jean Yanne, Calmann Levy, 1974.
  • Nicole Calfan, Toi l'ours, Moi la Poupée - Jean Yanne et moi, Michel Lafon, 2004.
  • Gilles Durieux, Jean Yanne : ni dieu ni maître (même nageur) : biographie, Le Cherche Midi, coll. « Documents », Paris, 2005. – 444 p., 16 p. de pl., 24 cm. – (ISBN 2-7491-0237-5).
  • Christianne Fugger von Babenhausen, Jean Yanne, mon amour, Lausanne, Favre, , 200 p. (ISBN 2-8289-0871-2).
  • Bertrand Dicale, Jean Yanne : à rebrousse poil, First, coll. « Documents », , 512 p. (ISBN 978-2-7540-1722-0 et 2-7540-1722-4, lire en ligne).
  • Tito Topin, Tout le monde il est beau, tout le monde il est Jean Yanne, Editions Naïve, 2013.
  • Étienne Dubois, Jean Yanne. L'esprit libre, City Edition, 2013.
  • Fabrice Gardel, Jean Yanne, Je reviens ! Vous êtes devenus (trop) cons, Seuil, 2016.

Liens externes[modifier | modifier le code]

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