William O'Brien

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
William O'Brien
William O'Brien en 1917
Fonctions
Membre du 30e Parlement du Royaume-Uni
30e Parlement du Royaume-Uni (d)
Cork City
-
Membre du 30e Parlement du Royaume-Uni
30e Parlement du Royaume-Uni (d)
Cork City
-
Membre du 29e Parlement du Royaume-Uni
29e Parlement du Royaume-Uni (d)
North East Cork
-
Membre du 29e Parlement du Royaume-Uni
29e Parlement du Royaume-Uni (d)
Cork City
-
Membre du 28e Parlement du Royaume-Uni
28e Parlement du Royaume-Uni (d)
Cork City
-
Membre du 27e Parlement du Royaume-Uni
27e Parlement du Royaume-Uni (d)
Cork City
-
Membre du 27e Parlement du Royaume-Uni
27e Parlement du Royaume-Uni (d)
Cork City
-
Membre du 25e Parlement du Royaume-Uni
25e Parlement du Royaume-Uni (d)
North East Cork
-
Membre du 25e Parlement du Royaume-Uni
25e Parlement du Royaume-Uni (d)
Cork City
-
Membre du 24e Parlement du Royaume-Uni
24e Parlement du Royaume-Uni (d)
North East Cork
-
Membre du 23e Parlement du Royaume-Uni
23e Parlement du Royaume-Uni (d)
South Tyrone (en)
-
Membre du 22e Parlement du Royaume-Uni
22e Parlement du Royaume-Uni (d)
Mallow
-
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 75 ans)
LondresVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Activités
Conjoint
Sophie O'Brien (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
A travaillé pour
Freeman's Journal (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Parti politique
Membre de
United Irish League (en)Voir et modifier les données sur Wikidata

William O'Brien (né le à Mallow, Comté de Cork et décédé le à Londres) est un journaliste, homme politique, écrivain irlandais.

Ses conditions d'emprisonnement sont une des causes des manifestations du qui menèrent au « Bloody Sunday ».

En 1890, il épouse la Française et juive d'origine russe, Sophie Raffalovich (1860–1960), sœur du poète Marc André Sebastian Raffalovich et de l'économiste Arthur Raffalovich[1], qui lui apporte, outre son soutien moral, les moyens d'agir avec indépendance politique et fournissant des fonds pour créer ses propres journaux. Leur relation ajoute à sa vie un amour indéfectible pour la France et un attachement à l'Europe, où il se retirait souvent pour récupérer.

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Discours littéraires et scientifiques fin-de-siècle : la discussion sur les homosexualités dans la revue Archives d'anthropologie criminelle du Dr Lacassagne, 1886-1914 : autour de Marc-André Raffalovich, par Patrick Cardon, p. 14