Wikipédia:Oracle/semaine 35 2009

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Quelques tracés de chiffres arabes du XIIIe siècle.

Bonjour l'Oracle. Je m'interroge sur le chiffre 4, car j'ai appris à l'écrire différemment du 4 de mon clavier d'ordinateur. Par exemple cette photo trouvée via google montre bien la différence (minime mais flagrante) entre les 2 formes de ce chiffres. Rien n'est indiqué dans 4. L'Oracle aurait une explication à me donner ?

On n'écrit pas tous les caractères de l'alphabet, quels qu'ils soient, de la même manière. Cela tient à l'histoire et à l'évolution de l'écriture, aux outils employés pour écrire, aux styles, etc. On peut écrire la lettre L avec plein de boucles, ou deux traits à angle droit. Il n'y a rien de différent pour le chiffre 4. Morburre (d) 24 août 2009 à 09:07 (CEST)[répondre]
De même le 7 qui se retrouve souvent, soit avec une barre horizontale, soit avec un queue en haut à gauche ou les deux... --Serged/ 24 août 2009 à 09:37 (CEST)[répondre]
Le « 4 » comme celui-ci est la graphie anglo-saxonne. Celle de l'image est la française. De même, le sept sans barre est anglo-saxon, et celui avec barre français. Pour les autres pays, je ne sais pas comment ça marche par contre. Agrafian Hem Rarko (me parler) 24 août 2009 à 10:54 (CEST)[répondre]
Questions d'écriture manuscrite, la typo est à part : en France, généralement (ça veut dire qu'il ne faut pas généraliser), le chiffre 1 s'écrit avec le crochet, et on ajoute une barre transversale au 7 pour ne pas les confondre. Chez les anglo-saxons, le 1 se fait d'une simple barre et le 7 sans barre transversale (puisqu'on ne peut pas les confondre). Morburre (d) 24 août 2009 à 12:44 (CEST)[répondre]

J’ai ajouté une image de la graphie « manuscrite » (pas sur que ce soit exclusivement manuscrit d’ailleurs). @ Agrafian Hem Rarko & Morburre : vous auriez des sources sur le sujet ? (les sources que je connais ne concernent pas l’écriture manuscrite). Cdlt, Vigneron * discut. 24 août 2009 à 15:31 (CEST)[répondre]

Dans le même genre, pourquoi les horlogers (notamment, je ne sais pas si ils sont les seuls) écrivent IIII au lieu de IV ? (Saint Ifrah si tu nous entends !) Cdlt, Vigneron * discut. 24 août 2009 à 15:44 (CEST)[répondre]

Par de sources pour le moment, mais d'après l'histoire, le 4 s'écrivait avec 4 bâtons ou éléments quelconques ; pour aller plus vite, on les joint pour faire une croix : deux traits au lieu de 4. Mais pour aller encore plus vite (l'histoire de l'écriture, c'est toujours aller plus vite), on ne lève pas l'outil scripteur entre les deux traits de la croix, et on a le chiffre 4, dessiné dans le sens que vous voulez. Chez nous, on écrit de la main droite et de gauche à droite, donc le sens d'écriture du 4 s'impose. On écrit souvent avec un calame ou une plume taillée, qui produit des pleins dans certains sens (horizontal et vertical) et des déliés en oblique (en montant de gauche à droite). La partie oblique du 4 est fine et l'ensemble peut faire quelque chose d'un peu étriqué, un petit triangle fermé c'est pas comme une boucle arrondie, ça peut s'empâter avec l'encre et se boucher (caca !) : donc on élargit, on coupe la liaison en haut et on redresse un peu l'oblique pour lui faire prendre de l'épaisseur. En typographie, ce n'est plus de l'écriture manuelle, on a le temps de dessiner précis et lisible, on referme le tracé. Ou on le laisse ouvert pour rappeler le style manuscrit. Morburre (d) 24 août 2009 à 16:46 (CEST) Et donc, les horlogers, eux, ils ont le Temps. La question a déjà été posée sur l'Oracle et comme d'habitude les explications rationnelles ne tiennent pas (je crois). C'est une vieille tradition.[répondre]
ce ste est bien fichu niveau explication. cordialement

Ouah génial merci les épées, voilà une belle huile sur toile: histoire du 4, 4 carrés, le premier contenant 4 cercles, le deuxième 4 traits aux 4 coins, le troisième une croix, le quatrième la croix plus un trait reliant deux des extrémités de cette croix, signé signé. Francis Martin (d) 25 août 2009 à 08:36 (CEST)[répondre]

Médiane/médiale[modifier le code]

Bonjour Oracle !

La rentrée approchant grandement, j'ai eu comme idée fort sympathique d'occuper mon temps à relire mes cours de statistiques. Jusque là rien de bien extraordinaire, mais j'ai juste un petit problème : je n'arrive pas à faire la différence entre une médiane et une médiale. Je sais chère Oracle que tu n'es pas prof de maths mais tu es mon dernier espoir (avant ma réorientation vers des études sans stats) puisque les articles de Wikipédia n'y font pas (encore) allusion et les sites que j'ai trouvé chez ton amant Saint-Google sont tous payants. Merci beaucoup ! Petit Djul tolc2mi - 24 août 2009 à 10:40 (CEST)[répondre]

A lire : médiale/médiane.
Merci IP, simple et clair, tout ce que j'aime. Petit Djul tolc2mi - 24 août 2009 à 11:10 (CEST)[répondre]
Émoticône de rien.
Une bonne idée serait d'intégrer ces éclaircissements dans les articles médiale et Médiane (centre). --Serged/ 24 août 2009 à 13:18 (CEST)[répondre]
Quel est l'article anglais équivalent? (bizarre que quelque chose qui semble si fondamental n'existe qu'en français) -- Xofc [me contacter] 24 août 2009 à 14:39 (CEST)[répondre]
la médiane a son article, quand à la médiale, c'est une notion tout à fait secondaire, voire inutile ; ce n'est d'ailleurs qu'une médiane pondérée ... (et, contrairement à ce que le truc en lien plus haut affirme, la médiale n'est pas toujours plus grande que la médiane) gem (d) 26 août 2009 à 10:19 (CEST)[répondre]

Clavier en qwerty > azerty[modifier le code]

Salut les pitites pythies !
Le clavier de mon ordinateur portable vient de se bloquer en mode "qwerty" : l'enfer ! J'ai du appuyer sur deux mauvaises touches simultanément, lesquelles, je ne sais pas. Auriez-vous une solution de combinaison pour repasser simplement en Azerty ? Je suis en train de me faire un résumé, et du coup ça devient la galère Émoticône. Merci beaucoup ! .Anja. (d) 24 août 2009 à 14:53 (CEST)[répondre]

Peut-être alt+shift (cela m’arrive sous Firefox après une prévisualisation). Cdlt, Vigneron * discut. 24 août 2009 à 15:02 (CEST)[répondre]
Merci, impec' ! .Anja. (d) 24 août 2009 à 16:30 (CEST)[répondre]
Il serait peut-être nécessaire de savoir sous quel OS... En général :
  • Ne configurer qu'un clavier, contrairement à ce que font les installations standard.
  • Sauf si on utilise une langue avec un alphabet spécial, en plus de la sienne (genre arabe, russe, chinois etc.) dans ces cas, on configure un clavier latin (genre français) + le(s) clavier(s) exotique(s)).
  • En général, l'«installation par défaut» a installé dans la barre de tâche, un petit gadget pour changer la langue (genre "indicateur de clavier" sous Gnome). Y penser.
  • « L'Oracle n'est pas le SAV de Linux, Microsoft, Apple etc. ».
Ce sera tout... --Serged/ 24 août 2009 à 16:50 (CEST)[répondre]
Pour l’OS, moi cela me le fait sous Windows XP, dans la config par défaut (enfin je crois).
Pour ta dernière remarque, déjà la question aurait été effectivement plus à sa place chez les Guides que les Oracles. Mais cela n’empêche pas de répondre (surtout que pour un problème aussi courant donc aussi facile à répondre). Cdlt, Vigneron * discut. 24 août 2009 à 17:59 (CEST)[répondre]
Donc, si tu n'as pas vraiment besoin d'une autre configuration clavier, sous XP :
  • "Panneau de configuration", "Options régionales et linguistiques", onglet "Langues", "Détails" et supprimer tout ce qui n'est pas "français" en ne gardant qu'une possibilité correspondant à ton clavier.
  • En prime, cliquer sur "Barre de langue", et régler pour ne plus l'afficher.
J'ai été clair ? --Serged/ 25 août 2009 à 10:39 (CEST)[répondre]
Oui sauf que ça marche pas Euh ? Je n’ai déjà que le français (j’utilise Lexilogos pour écrire en autre langue, c’est le plus simple pour mon besoin) et toujours le un problème de collision de raccourci. Sur Firefox, Alt+Shift+P sert à prévisualiser mais Alt+Shift sert aussi à passer de QWERTY en AZERTY (et inversement) ce qui fait que parfois, on prévisualise et on change le clavier sans le vouloir. Une solution serait de changer un de ces raccourcis mais je ne sais pas comment faire (sinon j’utilise Opera, il fonctionne bien aussi). Cdlt, Vigneron * discut. 25 août 2009 à 11:06 (CEST)[répondre]
Bizarre. J'ai toujours réglé mes Windows comme ça, et je n'ai jamais eu de problèmes, et Dieu sait si je fais des manips pas claires ! Je suis passé maintenant sous Ubuntu, mais sous mes différents Windows (réglés comme je l'ai dit), pas de problèmes !
Le coup du Alt-Shift-P, je ne connaissais pas. Euh... comment qu'on en sort ? --Serged/ 25 août 2009 à 11:32 (CEST)[répondre]
Je viens de tester sur le Windows du portable. Le clavier "anglais" n'avait pas été supprimé : effectivement, Alt-Shift bascule de clavier. Par contre, une fois supprimé, plus de changement intempestif ! --Serged/ 25 août 2009 à 11:39 (CEST)[répondre]
PS: Le réglage doit ressembler à ça : [1] ! --Serged/ 25 août 2009 à 11:43 (CEST)[répondre]
Cela à l’air de fonctionner maintenant (bizarre). Merci, cdlt, Vigneron * discut. 25 août 2009 à 19:59 (CEST)[répondre]

"Syndrome musculaire...."?[modifier le code]

Bonjour Ô Grand Oracle,
j'ai une question à te soumettre, comment appelle t-on la maladie musculaire, lié à la position assise lorsqu'on travaille sur ordinateur? Il me semble que son nom comprend "syndrome" et "musculaire". Voilà, en te remerciant par avance, Яbmk N°vert: 0800-343-343 24 août 2009 à 16:16 (CEST)[répondre]

voir TMS, ou Troubles musculosquelettiques ? Morburre (d) 24 août 2009 à 16:23 (CEST)[répondre]
C'est bien cela, TMS. Finalement il n'y avait pas Syndrome, mes convictions ne sont pas toujours bonnes.. Merci Morburre! Яbmk N°vert: 0800-343-343 24 août 2009 à 16:29 (CEST)[répondre]
Avé plaisir. Morburre (d) 24 août 2009 à 16:53 (CEST)[répondre]
Vous cherchez peut-être Syndrome du canal carpien ? S.M. | D.S.M. (4) 24 août 2009 à 20:15 (CEST)[répondre]

Bonjour à tous. Mon fils ne parvient pas à trouver la bande originale de Tron. Quelqu'un pourrait-il lui indiquer un lien ? Merci déjà pour lui. --Égoïté (d) 25 août 2009 à 12:05 (CEST)[répondre]

Il ne pirate pas, au moins? (ASIN B00005V8J7) [2] -- Xofc [me contacter] 25 août 2009 à 12:18 (CEST)[répondre]
Merci Xofc. Il devra attendre un peu : sa bourse est aussi dégarnie que la mienne pour le moment ! Émoticône --Égoïté (d) 25 août 2009 à 12:58 (CEST)[répondre]
Sur (en) en:Tron_(film)#Music il y a des liens externes avec au moins un extrait officiel. -- Xofc [me contacter] 25 août 2009 à 13:07 (CEST)[répondre]
Merci Xofc, j'ai bien transmis. --Égoïté (d) 26 août 2009 à 14:34 (CEST)[répondre]

mythologie grecque[modifier le code]

Bonjour je recherche dans la mythologie grecque, le nom d'un personnage qui promouvait à des postes important des individus incompétents mais qui plaisaient au peuple. Proxim

Ben y a bien Pisistrate, mais c'est pas un personnage mythologique... --M0tty [Plaidoyers et jérémiades] 25 août 2009 à 12:26 (CEST)[répondre]
Quoique, lui, il était plutôt compétent... Mais c'est un des premiers démagogue. --M0tty [Plaidoyers et jérémiades] 25 août 2009 à 12:29 (CEST)[répondre]
Dans la mythologie ? Non seulement ça ne me dit rien du tout, mais en plus ça me paraît étrange : ça n'est pas dans le style de la mythologie grecque. Peut-être une personnage historique ? Agrafian Hem Rarko (me parler) 25 août 2009 à 14:56 (CEST)[répondre]
L'empereur Caligula avait envisagé de nommer son cheval Incitatus consul, mais ce n'est ni de la mythologie, ni du grec. Félix Potuit (d) 25 août 2009 à 15:04 (CEST)[répondre]
Une telle attitude n'est pas mythologique, elle fait partie de la politique la plus réelle et la plus contemporaine. Morburre (d) 25 août 2009 à 16:06 (CEST)[répondre]
On peut même dire que l'idée d'un personnage qui aurait promu à des postes important des individus compétents mais qui ne plaisaient pas au peuple relèverait du pur phantasme, et aurait fait marrer les anciens grecs autant que nous... gem (d) 25 août 2009 à 17:28 (CEST)[répondre]
Ça me fait penser au Principe de Peter pour ceux qui ne connaissent pas encore. --Iluvalar prophète de malheur 25 août 2009 à 22:44 (CEST)[répondre]

La grenouille qui ne voulait manger que des fourmi[modifier le code]

L'équipe de nettoyage a fait un peu de rangement. Elle a tout entreposé ici.

Voyage à Okinawa[modifier le code]

Bonjour à tous ! Je reviens d'un séjour au Japon et j'ai ramené quelques photos qui accompagnent de petites questions.

Serait-ce un jacque ? Un atemoya alors ? Peut-être un Corossol ou un durian ?

Tout d'abord j'ai souvent aperçu, dans les parcs, ce petit arbre aux fruits apparemment incomestibles. J'ai cherché un peu avant de pouvoir importer l'image. De quel arbre s'agit-il ?

J'ai également été surpris par ces batiments agricoles très similaires aux Horréos asturiens, la différence portant essentiellement sur les matériaux. Raccard est-il le mot français désignant ce type de construction ? — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Ruizo (discuter), le 25 août 2009 à 18:37

Merci de signer de ~~~~ (je mets ça dans un léger oubli du au décalage horaire Émoticône ). Il existe un atelier d'identification sur WP afin de mettre un nom sur ces petites images .Anja. (d) 25 août 2009 à 19:05 (CEST)[répondre]
oui pardon, je sentais bien qu'il manquait quelque-chose. Je vois avec les ateliers en question.--Ruizo (d) 25 août 2009 à 19:31 (CEST)[répondre]
Pour les fruits, quelques pistes ici et , voir la légende de votre photo.Adrien' [1729] 26 août 2009 à 03:41 (CEST)[répondre]

échange de cave - frais de mutation[modifier le code]

Bonjour,

Nous avons, avec un autre copropriétaire,échangé nos caves. Cela entraîne des frais notariés et les habituels diagnostics (amiante, termites etc..)

Le syndic de copropriété demande maintenant à chacune des parties le paiement de frais de mutation(plus de 320 euros).

Je lis dans votre article que cela est illégal dans le cas d'une vente; Un échange est il assimilable à une vente? et dans ce cas y aurait-il deux vendeurs? Qu'en est il de l'état daté? Il y a sûrement des frais,lesquels? merci de votre aide.

madame jeu

Mitch-mitch (d)

Cependant deux précision, l'article Frais de mutation te dira même que c'est tout simplement illégal, pas seulement dans le cas d'une vente (sinon question bête, quand est-ce que cela serait légal ?). Le syndic cherchera à facturer n'importe quoi de toute façon dès qu'il a l'occasion, que ce soit légal ou pas. Si ça passe devant le notaire, c'est comme si c'était une vente et ce dernier notaire serait la meilleur personne pour vous renseigner. De plus si la «vente» est déjà actée, que pourrai facturer le syndic ? Rien, car ils arrivent un peu tard (les seuls qu'ils peuvent facturer légalement c'est les documents nécessaire à la vente, donc préalablement à cette dernière). --Olivemrs (d) 26 août 2009 à 10:10 (CEST)[répondre]

convertion de litre en poids[modifier le code]

quelle est le poids de 50 cl de créme

pour le savoir, il suffit de peser non ? Vincent (d) 25 août 2009 à 19:43 (CEST)[répondre]
4,90 N à Paris. De rien. S.M. | D.S.M. (4) 25 août 2009 à 19:46 (CEST)[répondre]
Pas tout à fait exact... : La crème a une densité de l'ordre de 0,98 à 0,95, diminuant avec l'augmentation de son pourcentage de gras. Mais pour une recette de cuisine, prendre 50cl de crème = 50 g 500 g est une approximation suffisante. Dhatier jasons-z-en 25 août 2009 à 19:57 (CEST)[répondre]
@Dhatier, Ben si c'est tout à fait exact...: on demande le poids pas la masse. Je reprends tes 50g ce qui donne comme poids à Paris -> 50g * 9,81 = 4,9 N. Skiff (d) 25 août 2009 à 20:57 (CEST)[répondre]
Sauf que 50 g est une approximation. 9,81 un peu aussi d’ailleurs, la valeur « conventionnelle » (ce qui n’en fait pas une valeur exacte pour autant) est de 9,80665. Si jamais un jour tu trouves quelque chose « tout à fait exacte », préviens moi, on partagera le prix Nobel Émoticône. Cdlt, Vigneron * discut. 25 août 2009 à 21:18 (CEST)[répondre]
Et en plus ca dépend de l'endroit où on se trouve! L'idéal serait de trouver une formule du type g=f(L,G) qui donne g en fonction de la latitude L et de la longitude G. Quelque chose me dit que ca sera empirique, donc toujours pas exact au sens mathématique du terme. Dommage Mitch-mitch (d) 25 août 2009 à 22:13 (CEST)[répondre]
Masse volumique de la crème: 1g/cm³
Volume à convertir = 50 cl = 500 ml = 500 cm³
Règle de 3 : 1g/cm³ * 500cm³ = 500g
Faites gaffe aux unités. Un cl n'est pas un ml. --Iluvalar prophète de malheur 25 août 2009 à 23:56 (CEST)[répondre]
Et l'altitude ? Que faites-vous de l'altitude ? toi aussi, adopte la crème altitude ! (bouh que c'est mauvais, je vais me cacher). Félix Potuit (d) 26 août 2009 à 08:19 (CEST)[répondre]
Et aussi la température et le degré d'hygrométrie, bien sûr. -O.M.H--H.M.O- 26 août 2009 à 14:24 (CEST)[répondre]
Ça dépend essentiellement de l'alimentation de la vache à ce moment là, foin, pâture, paille ?

Bonjour,

"Les contes de la lune vague après la pluie" est un film de Mizoguchi en noir et blanc datant de 1953. Entre 1978 et 1980, on a pu voir en France une version couleur de ces contes. L'affiche présentait une tête de bonze couverte d'idéogrammes, en relation avec un conte précis. Ce film a notamment été projeté au cinéma de la rue Mouffetard à Paris.

Qui en est le réalisateur?

Merci Domingue

Selon Les Contes de la lune vague après la pluie, c’est Kenji Mizoguchi (cf. aussi en:Ugetsu). Cdlt, Vigneron * discut. 25 août 2009 à 20:12 (CEST)[répondre]
ça c'est le fim en noir et blanc de 1953! Domingue
Ah ok, j’avais pas saisi la nuance, désolé. Par contre, en couleur (ie. un autre film) ou bien juste colorisé (ie. le même) ? Si il s’agit juste d’une colorisation (je suppose que non), le réalisateur est le même. Étonnament, IMDb indique que le film est sorti en France en 2006 (re-release) mais ne parle pas de version en couleur. Cdlt, Vigneron * discut. 25 août 2009 à 21:11 (CEST)[répondre]
Il s'agit d'un autre film tourné en couleur et non colorisé. Domingue

Amusant comme les questions de concours sont toujours tournées de la même façon.

Désolé, l'Oracle ne divulgue pas les réponses des concours. Bonne chance dans votre recherche.

Adrien' [1729] 26 août 2009 à 02:51 (CEST)[répondre]

??? Un concours? C'est donc que je pourrais avoir la réponse à ma question une fois le concours terminé. Si je peux trouver ce film après plusieurs années grâce à un concours, alors tant mieux! Le concours parle aussi de l'affiche et du cinéma de la Mouffe? Alors vite l'adresse du concours, stp. Pauvre Oracle! Domingue
Là-dessus, concours ou non, il me semble bien avoir vu, dans ces années-là, une adaptation récente (à l'époque...) et en couleur des Contes de la lune vague après la pluie – pas sûr qu'elle soit japonaise par contre –, et n'ai pourtant rien trouvé à ce sujet sur Internet. Étrange... Mr trompè-je ? -O.M.H--H.M.O- 26 août 2009 à 14:29 (CEST)[répondre]
Le film était en japonais sous-titré français pour autant que je m'en souvienne. Domingue
La description de l'affiche m'évoque Kwaïdan, un film de Masaki Kobayashi. C'est peut-être celui-là que tu as vu bien après sa sortie. Shakki (d) 27 août 2009 à 18:58 (CEST)[répondre]
L'affiche du film dans IMDb, ne correspond pas à mon souvenir, car on voyait toute la tête, et non seulement 1/2 tête, mais l'affiche française était peut-être différente. Cependant c'est peut-être bien le film que je cherche, car dans mon souvenir le film était inspiré de contes écrits par un écrivain anglais japonisant. Kwaïdan est basé sur les histoires de Lafcadio Hearn qui était Irlandais avant de devenir Japonais. Mille fois merci! Domingue
L'affiche française est sur allociné [3]. HaguardDuNord (d) 28 août 2009 à 15:36 (CEST)[répondre]

Aéroport de Madrid : les sculptures présentes ( botero / suqueiros?)[modifier le code]

Bonjour à qui lira ce message J'ai eu beau faire des recherches poussées sur le Web, si je m'adresse à vous, homme ou femme bienveillant qui pourra peut -être m'aider, c'est que je bloque...

je ne veux pas faire long, mais juste vous dire que, de passage à l'aeroport barajas de Madrid, dans un état de profond désespoir, et donc un peu à la masse, j'ai vu 2 sculptures qui ont marqué mes petits neurones douloureux. Mais ai je rêvé?

J'ai vu une sculpture magnifique de Botero ( la dama de Botero), qui se trouvait à l'exterieur direct de L'aeroport ( T4), magnifique architecture d'ailleurs de Richard George Rodgers) Ca m'a donc rassurée, en revenant à Lille, de voir que je n'avais pas rêvé, cette sculpture est bel et bien LA. (ouf)

Mais il y en avait une autre, a l'interieur de l'aeroport, pas loin de l'autre. Et je ne la retrouve pas.... j'ai beau chercher, je ne trouve pas. Et pourtant je n'ai pas révé. Elle se trouvait sur l'un des bancs derriere l'escalier roulant, un homme assis, il me semble avec un chapeau. Une sculpture douloureuse, triste et sombre, torturée.Fabriquée comme avec du papier alu jaune/argent.

Ne la trouvant pas, j'ai continué à explorer ce que je trouvais sur Botéro. Il se definissait lui même comme l'opposé d'un certain Siqueiros. J'ai tapé Siqueiros. Et me suis rendue compte que l'esprit de son travail était absolument en relation avec la sculpture que j'ai vue.

J'attend la semaine prochaine un ami espagnol, peut etre qu'il pourra me renseigner...

Merci infiniment, déja de m'avoir lue, et peut être de m'aider.... à me dire que chu pas folle !





Oui, mais non, ce n'était pas un spectacle ou une performance ou chais pas quoi d'autre. J'ai déja vu ces hommes statues dont vous parlez, à Montmartre ou ailleurs; Et en plus, il était très tôt le matin, et aucun intérêt car rien à gagner ( pis il était placé à un endroit ou pratiquement pas de passage.) Comme je n'ai pas d'autre réponse que la votre ( et je vous remercie et tout le toutim), je vais attendre le retour d'un ami espagnol.


Catherine

Un homme statue sans doute. Agrafian Hem Rarko (me parler) 26 août 2009 à 00:00 (CEST)[répondre]
En attendant une réponse plus précise, voici la liste des artistes de la collection artistique d'AENA (la société qui gère les principaux aéroports espagnols), en version espagnole et en version anglaise. -O.M.H--H.M.O- 26 août 2009 à 07:04 (CEST)[répondre]


Un homme statue, oui.

J'arrive pas à savoir , Agrafian, si vous vous moquez de moi ou quoi.

Parce que ça m'avance pas terrible, si c'est le cas. Si ce n'est pas le cas, cet homme se serait donc satufié en papier alu doré et argent. Pis il bougeait pas. Ce n'est pas une hallu, vous disais je. Même si il est fait en papier alu ( hyper concentré, hin, il avait l'air bien dense.) Alors peut etre il me faut appeler l'aeroport de Madrid, mais je parle pas espagnol. Si vous n'aviez pas d'arrière pensée ( votre message est tellement bref), merci toutefois de votre réponse. Catherine

Non non, je ne me moque pas. C'est juste qu'un homme statue correspond parfaitement à la description : aucune statue n'est en « papier alu jaune/argent », alors que les déguisements d'homme statut sont soit en papier alu, soit en tissu, selon la texture recherchée. Et ça explique aussi sa mystérieuse disparition. Agrafian Hem Rarko (me parler) 26 août 2009 à 12:14 (CEST)[répondre]

Ben Harper est-il encore chinois?[modifier le code]

Fait suite à Ben Harper est-il chinois ? (semaine 15 2009)

Bonjour, J'ai récement vu Crazy Kung Fu de Stephen Chow, et, dans ce film, 2 tueurs joue de cet instrument bizarre qui ne ressemble pas tout à fait à une weissenborn. Il fait au moins 2 metres de long, pour, environ, 20 à 30 cm de large. J'aurais bien posté une image, mais, déjà, je sais pas trop comment faire, et en plus, je doute qu'elle soit libre de droit. Si quelqu'un avait qq info sur cet instrument, il pourra jouir de toute ma gratitude. Rodrinho [MOUJUU] 26 août 2009 à 01:00 (CEST)[répondre]

Par contre, un petit lien vers la page où se trouve l'image serait utile. Merci d'avance. -O.M.H--H.M.O- 26 août 2009 à 07:07 (CEST)[répondre]
Finalement, le lien n'est plus nécessaire : les tueurs jouent du guqin (mais semble-t-il, c'est à lire comme « jouent du couteau », si je comprends bien l'usage qu'ils font de leur instrument), une sorte de cithare – voir image ci-contre. Au fait, il n'y a que sept cordes. -O.M.H--H.M.O- 26 août 2009 à 07:23 (CEST)[répondre]

Merci à toi, cher ami. Comme disent les jeunes, "tu roxxes du poney"Rodrinho [MOUJUU] 27 août 2009 à 02:36 (CEST)[répondre]

Retourner poussière[modifier le code]

Bonjour, comment supporter l'idée de sa propre (prochaine) mort ?? Merci.

Désolé, mais l'oracle ne répond pas à ce genre de question. Consultez plutôt un psychologue ou un médecin. Agrafian Hem Rarko (me parler) 26 août 2009 à 08:41 (CEST)[répondre]

Nous sommes tous confrontés à cette question. Il n'y a pas de réponse. Certains n'y pensent pas d'autres oui. Moi ce qui me tracasse, c'est le comment ? Le tour d'horizon est facile, passé un certain âge. Il suffit de s'imaginer d'être dans la situation de ses parents ou connaissances qui s'endorment pour imaginer ce qui nous attends.

Le mieux étant de ne pas trop y penser, d'autant plus qu'on ne peut rien y changer. J'en sais quelque chose, car j'arrive à me foutre la frousse rien qu'en y pensant, ce qui ne m'aide guère.

Ma réponse ne vous aide pas sans doute, alors suivre le conseil précédent. Amicalement --Kkbs (d) 26 août 2009 à 08:58 (CEST)[répondre]

(confilt d'édit)

Un point de vue supplémentaire sur le sujet. Les voies ordinaires sont la religion et la philosophie. Nombre de religions proposent un réconfort en postulant qu'il y a une vie ou une continuation de la vie après la mort (résurrection, vie éternelle...), ou qu'on passe d'une vie à une autre ou d'une forme de vie à une autre (réincarnation, transmigration, nirvāna...). Certains courants philosophiques exposent des voies pour atteindre à un certain détachement ou un détachement certain envers cette question, dont le stoïcisme, l'épicurisme et même, en partie, le socratisme, qui suppose un certain détachement quant aux contingences terrestres. Et bien sûr, les doctrines qui sont à la fois des religions et des philosophies, comme le bouddhisme et le taoïsme, proposent généralement des éléments de réflexion ou des dogmes qui permettent de se rassurer.
Là-dessus, il n'y a pas de réelle méthode : je connais beaucoup de croyants qui semblent très inquiets de leur fin probable, alors même que leur religion leur promet que « quand c'est fini, n-i-ni-ni, ça recommen-ence », et encore assez de personnes versées en philosophie qui ne semblent pas rassurées par ce qu'elle leurs propose. Il me semble que c'est plutôt quelque chose d'intime : une fois qu'on a intégré le fait qu'on n'est qu'un élément dans la longue chaîne de la vie, et que la mort est la condition nécessaire à la perpétuation de cette vie, la question n'a plus trop d'importance. Cela ne signifie pas qu'on n'éprouve pas une certaine inquiétude, mais c'est plutôt sur le moment de la fin (on espère qu'elle ne viendra pas trop tôt) et sur ses conditions (ne pas finir dans un état trop délabré et ne pas trop souffrir dans les instants ultimes). Et là, désolé, je n'ai pas de méthodes, il y a beau temps que je « supporte l'idée de ma propre mort », que j'espère point trop prochaine – en fait, il y a beau temps que je ne m'en inquiète plus – et comme dit, c'est quelque chose d'intime : certains la craignent, d'autres non, et je crois que ça ne s'apprend pas. En tous les cas, si vraiment tu veux te rassurer, il se peut que la méthode Coué de soit d'un certain secours... -O.M.H--H.M.O- 26 août 2009 à 09:14 (CEST)[répondre]
La mort des autres autour, ça oui, c'est pénible, mais sa propre mort, quel est le problème, au juste ? Une fois mort, soit il y a quelque chose et la mort n'est qu'une porte à franchir, ce qui peut justifier un genre de trac comme pour une première entrée en scène, mais pas de quoi fouetter un chat ; soit il n'y a rien, et je ne serais même plus là pour m'en plaindre. Dans les deux cas, la mort n'est pas un problème.
Cette question n'en est donc pas une, mais on la pose quand même, et on doit avoir une bonne raison pour ça. Et la raison, je pense, c'est une question connexe beaucoup plus difficile et pénible : comment supporter l'idée d'être vivant ?, alors qu'on a plein de raisons pour trouver ça insupportable (et vous pouvez faire vous-même une liste, non exhaustive...), et que manifestement plein de gens en viennent à se tuer (parfois avec leur enfants qu'ils aiment, et qu'ils tuent non pas pour leur faire du mal, mais pour leur éviter la vie !). A cet égard, rappelons que très généralement les religions font toutes beaucoup d'efforts pour convaincre les fidèles que la vie vaut la peine d'être vécue (et perpétuée), ce qui prouve que ça ne va pas de soi. gem (d) 26 août 2009 à 11:06 (CEST)[répondre]

Mon intervention ne concernait pas ce qui se passe après la mort, mais dans quelle condition de maladies, de souffrances etc on mourrait. Connait on le pourcentage de gens qui meurent spontanément tout en étant en bonne santé apparente (mon cas actuellement, on ne sait pas ce que demain réserve). La mort inopinée n'est pas un problème (à mon avis) pour soi. Pour le reste de la famille c'est tout autre, ils ont la consolation de croire que l'on est parti sans souffrir, pour eux c'est un choc. Et j'estime que ce choc est plus facile à vivre que l'usure d'une longue agonie. Ce n'est qu'un humble avis. Pour l'espoir que certaines religions en donne, c'est un autre sujet. --Kkbs (d) 26 août 2009 à 12:05 (CEST)[répondre]

Merci de ne pas m'avoir répondu "42" ! Personnellement ce n'est pas la souffrance qui m'angoisse mais l'idée du néant éternel (sa propre annihilation quoi)... je vais donc creuser dans cette direction : "une fois qu'on a intégré le fait qu'on n'est qu'un élément dans la longue chaîne de la vie, et que la mort est la condition nécessaire à la perpétuation de cette vie, la question n'a plus trop d'importance".

Une autre approche est de se demander qui meurt. Vous dans dix ans, c'est vous ? Nous mourrons à chaque instant ; se coucher le soir est un enterrement. Je vous assure qu'une fois qu'on s'est fait à l'idée d'abandonner sa vie à la personne un peu différente qui se réveillera le lendemain à notre place, savoir qu'un jour, une personne assez différente de nous mourra, ce n'est rien. Adrien' [1729] 26 août 2009 à 13:30 (CEST)[répondre]
Bien d'accord ! Là-dessus, un petit conseil de lectures : Henri Laborit et Gregory Bateson m'ont beaucoup apporté quant à mes réflexions concernant la vie – et donc la mort. Loin que leurs travaux soient de grands questionnements métaphysiques sur ces objets, simplement leurs approches à la fois vastes et terre-à-terre sur tout sujet dont ils traitent tendent à remettre les choses à leur juste place – et à relativiser la métaphysique, justement. -O.M.H--H.M.O- 26 août 2009 à 13:37 (CEST)[répondre]

Ça peut marcher quand on n’envisage pas de mourir bientôt, mais quelque chose me dit que quand on a un cancer bien avancé ça ne doit consoler que modérément. rv1729 26 août 2009 à 14:55 (CEST)[répondre]

« Mourir, ce n'est rien ! Mourir, la belle affaire ! mais vieillir ... ah, vieillir ... » le grand Jacques - (mais non, pas Chirac Smiley Colère). Une manière très efficace de supporter l'idée de mort est de méditer sur ce fait: on ne souffre que quand on est vivant. Truisme, mais quand on rappelle ça à ceux qui se plaignent de leurs bobos quotidiens, curieusement ça calme. La mort est une libération, quelque part... Bon, évidemment, il y en a qui feront des dissertations sur l'enfer, mais ce n'est pas le même genre. Biem (d) 26 août 2009 à 20:45 (CEST)[répondre]

explosion nucléaire[modifier le code]

une explosition de type nucléaire peut-elle modifier la trajectoire de la terre en orbite autour du soleil?

logo Chère visiteuse, cher visiteur. C'est avec plaisir que nous répondrons à votre question si nous le pouvons, mais nous aurions grandement préféré qu'elle fût formulée avec un peu plus de courtoisie : bonjour, s'il vous plaît et merci sont toujours appréciés. Bonne navigation sur Wikipédia.
Si par ailleurs on considère qu'une explosion nucléaire est capable de désintégrer la Terre, alors la répons est oui puisque chaque morceau ainsi créé prendra une direction différente. L'astuce est donc de faire une explosion qui ne désintègre pas la Terre et qui, par le principe d'action-réaction fera dévier la Terre de sa trajectoire. Mitch-mitch (d) 26 août 2009 à 10:57 (CEST)[répondre]
Mais avec des Si...
Une poussière céleste suffit à modifier la trajectoire de la terre, quoi pas de façon notable. L'envoi d'une sonde plus loin que la lune aussi, pour un effet tout aussi négligeable.
Inversement, et supposant que c'est une déviation notable qui vous préoccupe, la réponse est non. Même des monstruosité tellurique type éruption du mont Saint Helens en 1980 (équivalent 27 000 Hiroshima, 350 mégatonne ) ne déplace "que" quelque km3 de matières (ce qui est beaucoup pour nous mais peanut pour la planète), qui retombe sur terre sans déplacer le moins du monde le centre de masse de la planète.
Si on exclut l'ejection de débris, contrairement au volcan, avec la bombe A, il y a perte de masse (principe de la bombe), d'où modification epsilonesque de l'orbite terrestre. Skiff (d) 26 août 2009 à 13:13 (CEST)[répondre]
non, la fameuse relation E=mc² marche dans les deux sens et traduit une parfaite conservation. La modification de masse est compensée exactement par de l'énergie, la masse globale est donc inchangé (je sais, c'est pas intuitif, mais c'est comme ça... un ressort comprimé pèse plus lourd que le même au repos, à cause de l'énergie supplémentaire, et là c'est pareil : l'atmosphère chauffée par une bombe A pèse plus lourd qu'avant l'explosion, dans une proportion égale à la perte de masse de l'engin) gem (d) 26 août 2009 à 14:24 (CEST)[répondre]
Un ressort comprimé pèse plus qu'un ressort au repos ? Je prends un ressort, un bout de fil de fer et je les pèse. je comprime le ressort et le bloque avec le fil de fer, je pèse l'ensemble. Si la masse varie, vous m'apprenez quelque chose. C'est seulement si le ressort agit sur la balance que la masse variera. Ce cas est valable pour le magnétisme aussi: un pièce magnétisée ne change pas de masse sauf si il y a action sur la piece. ViZiT (d) 26 août 2009 à 20:24 (CEST)[répondre]
Peut-être que je t'apprend un truc, mais c'est comme ça. C'est logique, en fait : aucune mesure de masse ne peut te permettre de détecter l'apparition ou la désintégration d'une particule dans une boite fermée, cela violerait les principes élémentaires de physique. Et ça explique l'usage des physiciens de mesurer les masses de particule en unité d'énergie. Cela dit, tu ne mesurera rien avec une balance ordinaire, E= mc² ça veut dire aussi que m = E/c², soit environ 10-17 kg par joule ... C'est valable pour tout apport d'énergie, y compris sous forme magnétique bien sûr. gem (d) 27 août 2009 à 12:09 (CEST)[répondre]
Extrêmement intéressant, je ne me souviens pas d'avoir croisé cette affirmation dans mes lectures. Aurais-tu une source ? ViZiT (d) 27 août 2009 à 21:10 (CEST)[répondre]
Cours de physique, section relativité ; n'importe quel cours fera l'affaire et il s'en trouve sur internet. Ou une recherche "cours relativité poids énergie ressort" qui te remonte notamment une conf de Jean-Marc Lévy-Leblond : http://www.fabriquedesens.net/La-revolution-relativiste-de-E-mc2 (chercher le mot "ressort"). Et puis il y a aussi la la boite d'Einstein. gem (d) 3 septembre 2009 à 14:55 (CEST)[répondre]
Vous pouvez lire le roman de Jules Verne "sans dessus dessous", ça vous donnera une idée des puissances vraiment nécessaire pour faire une chose qui touche à la planète
gem (d) 26 août 2009 à 11:26 (CEST)[répondre]
Et c'est à cause d'un appel téléphonique intempestif, déjà à cette époque, que le savant se trompe d'un zéro dans ses calcul. Bon roman. -- Arcane17 d 27 août 2009 à 16:54 (CEST)[répondre]
Pour qu'un événement puisse modifier notablement (disons, d'au moins vingt centimètres) la trajectoire de notre bonne vieille orange bleue, il faudrait qu'il exerce une poussée énorme, ce qui ne peut en aucun cas arriver avec une « explosition » (sic) nucléaire, même considérable. Donc la réponse est non. -O.M.H--H.M.O- 26 août 2009 à 11:54 (CEST)[répondre]
Pour être précis, ce n'est nullement une question de poussée (force (physique)), c'est une question de déplacement de masses (travail (physique) ou, éventuellement, de quantité de mouvement. Une poussée faible mais appliquée longtemps aura à la longue le même effet qu'une brusque explosion. gem (d) 26 août 2009 à 14:37 (CEST)[répondre]
Hem ! Définition de travail (physique) : «Une force constante qui s'applique sur un objet parcourant un trajet rectiligne fournit un travail W correspondant à une variation de l'énergie du système mécanique ». Bref, sans une force exerçant une poussée, pas de travail... -O.M.H--H.M.O- 28 août 2009 à 07:04 (CEST)[répondre]

Ca me rappelle l'exercice de physique: si quelqu'un lève le doigt pour poser une question, du fait du ralentissement de la rotation terrestre qui s'ensuit (conservation du moment d'inertie, tout ça) de combien l'heure de cours sera-t-elle prolongée? Les grosses bombes que l'on sait faire, genre Tsar Bomba, ont aussi peu d'effet sur la planète qu'un pet de mouche sur la trajectoire d'un Boing 747 - probablement moins, même. Biem (d) 26 août 2009 à 20:50 (CEST)[répondre]

Bon sang de bois, arrêtez de dire que ça a un effet faiblard ! Comme ça a été dit plusieurs fois au-dessus, de façon implicite : ça n'a aucun effet, sauf si on arrive à éjecter de la matière. En gros, tout ce qui est déplacé par l’explosion finit par retomber et tout est comme avant. C’est comme quand vous sautez en l’air dans un train, tant que vous n’êtes pas retombé sur le plancher du wagon vous avez peut-être modifié d’un pouillème la vitesse du train, mais une fois que vous êtes retombé, c’est fini. rv1729 26 août 2009 à 23:33 (CEST)[répondre]

je m'excuse pour l'impolitesse et vous remercie pour vos reponse merçi a tous :)

Vos excuses sont acceptées ! Émoticône sourire rv1729 27 août 2009 à 10:26 (CEST)[répondre]

unités de mesures[modifier le code]

comment convertir des ampères en chevaux vapeur ? Exemple : 10 ampères = combien de chevaux ? Peut-on passer par une conversion par les watts ? Merci d'avance .

Heu... et pourquoi pas convertir des souris en or, tant que vous y êtes ? les ampère et les cv ne mesurent pas la même chose, on ne peut donc pas les convertir ! gem (d) 26 août 2009 à 11:35 (CEST)[répondre]

Pour compléter la juste remarque du camarade gem : les chevaux vapeur mesurent une puissance ; vous pouvez les convertir en watts. rv1729 26 août 2009 à 11:43 (CEST)[répondre]

Convertir, ou donner une équivalence ? Du genre :
cf. article sur le watt. -O.M.H--H.M.O- 26 août 2009 à 11:56 (CEST)[répondre]

Si vous multipliez des ampères par des volts, vous obtenez également des watts. Par exemple, en Europe, 10A * 220V = 2200 W. Si je divise par 736 (W/ch), cela me fait à peu près 3 chevaux (pour 10 ampères sur un réseau de distribution à 220 volts). (puissance efficace?) -- Xofc [me contacter] 26 août 2009 à 12:18 (CEST)[répondre]

C'est en ce sens que je parle d'équivalence. -O.M.H--H.M.O- 26 août 2009 à 12:34 (CEST)[répondre]
Et le  ? --Serged/ 26 août 2009 à 18:02 (CEST)[répondre]
L'ampère est une mesure d'intensité du courant électrique. Félix Potuit (d) 26 août 2009 à 18:03 (CEST)[répondre]
le c'est trop technique et hors sujet gem (d) 26 août 2009 à 18:30 (CEST)[répondre]

Science, enfin je crois[modifier le code]

S'il vous plait help

Pourquoi les oiseaux ne s'électrocutent pas lorsqu'ils se posent sur les lignes électriques?

Merci pour la réponse

Parce qu'ils ne se posent que sur un seul fil, et ce, avec une seule patte. Voir différence de potentiel. S.M. | D.S.M. (4) 26 août 2009 à 12:35 (CEST) Même avec deux pattes sur le même fil y a pas vraiment d’inquiétude à avoir.[répondre]
Confiture d'édition.
On peut s'électrocuter en touchant deux points qui ont un potentiel électrique différent : la terre avec ses pieds, une ligne électrique avec ses mains, par exemple. Les oiseaux ne touchent que la ligne électrique avec leurs petites pattes, ils n’ont pas ce problème.
Attention, n’essayez pas pour autant de faire du funambulisme en sautant sur une ligne moyenne tension depuis le haut du poteau. Nous déclinons toute responsabilité en cas d'accident. rv1729 26 août 2009 à 12:36 (CEST) Salut SM ça va ?[répondre]
Parce que le courant passe dans le fil, bien sûr ! Plus sérieusement (quoique cette réponse soit sérieuse, d'un sens), parce que le courant électrique choisit toujours le chemin le plus court et le plus facile pour voyager : un oiseau, même mouillé, est beaucoup moins conducteur qu'un fil de cuivre, d'acier ou de tout autre métal utilisé pour transporter l'électricité, et en outre l'arc que forme ses petites pattes est plus long que le segment de fil sous lui. De ce fait il n'a guère de risque, sur un fil à moyenne ou basse tension, de s'électrocuter.
Mais comme le dit rv, je ne te conseille pas de tenter l'expérience : contrairement aux humains, quand ils se posent sur le fil les oiseaux ne sont pas en contact avec un élément qui peut faire court-circuit. -O.M.H--H.M.O- 26 août 2009 à 12:50 (CEST)[répondre]
Dans mes jeunes années, j'avais vu un document d'EDF, montrant des ouvriers intervenant sur des lignes haute-tension (sous tension), avec un chariot roulant sur un fil de phase : L'ouvrier est à la tension du fil et ne risque rien, tant qu'il ne touche pas une autre phase ou la terre. --Serged/ 26 août 2009 à 13:38 (CEST)[répondre]
J'avais vu quelque chose de semblable, mais le technicien portait une combinaison en aluminuim qui jouait le rôle d'une cage de Faraday. Mitch-mitch (d) 26 août 2009 à 13:58 (CEST)[répondre]
En fait, une combinaison en alu pour la haute tension, mais pour la moyenne tension, sans isolation particulière... --Serged/ 26 août 2009 à 17:24 (CEST)[répondre]
La règle qu'on apprenait à l'école étant : "Mieux vaut travailler sous tension en le sachant, que hors tension en le croyant"Bb98 (d) 26 août 2009 à 18:48 (CEST)[répondre]
Ouais bah moi j'ai vu un hélicoptère auquel était rattaché une nacelle dans laquelle étaient perchés les gars de l'EDF Émoticône .Anja. (d) 26 août 2009 à 20:52 (CEST)[répondre]
Et ta grand-mère en vélo sur les fils électriques ? Émoticône Félix Potuit (d) 27 août 2009 à 20:48 (CEST) [répondre]

pendule huygens hanet[modifier le code]

Bonjour,je posède une pendule de HANET,je sais qu'il a travaillé avec HUYGHENS,mais je ne trouve aucune documentation,si quequ'un peut m'aider j'en serai ravie.Merci d'avance et j'espére pouvoir être aider.Brigitte

Effectivement, peu de choses, même google nous en apprend peu, si ce n'est qu'il a vécu au XVIIe... Mitch-mitch (d) 26 août 2009 à 17:42 (CEST)[répondre]
Christian Huygens --
Nicolas Hanet (-1723), horloger à Paris, occupait deux boutiques au Collège des Quatre-Nations page 54.
[4]. Il aurait travaillé à La Haye pour Salomon Coster avant d'aller à Paris. (Cherher 'Hanet' dans [5], il y a pas mal d'informations (en anglais)). Il semble avoir eu une longévité étonnante. -- Xofc [me contacter] 26 août 2009 à 17:56 (CEST)[répondre]
Il aura vécu de 1625 à 1690 ( [6] ou de 1660 - 1723 [7] ) Domingue
D'après un bouquin dont j'ai oublié de prendre la référence... Les trois horlogers français importants de cette époque étaient : Isaac Thuret, Balthazar Martinot et Hanet... Il y a une bibliographie dans les deux premiers articles. Et le Dictionnaire des horlogers français de Tardy est à la bibliothèque de ma ville. J'irai jeter un coup d'oeil demain.. -- Xofc [me contacter] 27 août 2009 à 19:30 (CEST)[répondre]
Le bouquin dont j'ai oublié de prendre la ref. était : Encyclopédie de la pendule française du Moyen-Âge au XX-ième siècle, Pierre Kjellberg, 1997, les éditions de l'amateur (ISBN 2-85917-244-0). Il n'était pas indiqué que c'était les trois principaux, mais les trois Français ayant reçu le privilège de fabriquer des horloges à pendule après la mort de Salomon Coster en 1659. Dans le dictionnaire des horlogers français, Nicolas Hanet est établi à Amsterdam puis La Haye (1660); Paris 1690; Place du Collège Mazarin, 1717. Il se retire à Saint-Vincent près du Mans où il meurt en 1723. (associé? à Gouchon, Paris 1710. (Curieusement à Gouchon, on retrouve un Jacques Hanet et un mariage en 1723... Place du Collège Mazarin). À 'Annet', on trouve deux Nicolas. Le premier s'installe Place du Collège des quatre Nations en 1717, s'achète une propriété au Mans où il meurt en 1723. Le second, fils du premier, F. de m. (?), 1674, établi à Saint-Germain-des-Prés. Bref, cela se perd un pey dans les brumes de l'histoire... -- Xofc [me contacter] 28 août 2009 à 19:41 (CEST)[répondre]

Big Apple - New York[modifier le code]

Madame, monsieur, J'ai cherché sur votre site wikipédia les raisons pour lesquelles la ville de New York est surnommée "big apple", soit en français "la grosse pomme". L'article parle de palefreniers et de personnages de radio, mais semble oublier la raison première du surnom de New-York qui me semble venir du fait que les hollandais ont échangés le territoire de New-York contre une pomme avec les indiens. Votre article n'en faisant nulle mention, j'ai jugé opportun de vous demander si l'erreur est de mon fait ou du votre. Avec toute ma considération. Frédéric

Il a un article Big Apple. -- Xofc [me contacter] 26 août 2009 à 17:58 (CEST)[répondre]
« Les hollandais ont échangés le territoire de New-York contre une pomme avec les indiens » vous êtes sûr de cela ? Agrafian Hem Rarko (me parler) 26 août 2009 à 19:22 (CEST)[répondre]
Et d'après l'article New York#La Nouvelle-Amsterdam (1610-1664) :
« ...en 1626, le directeur de la colonie Peter Minuit acheta l’île de Manhattan à ses occupants, les Manhattes pour la somme dérisoire de 60 florins (24 $) de verroterie et autres colifichets. »
24 $ la pomme, c'est un peu cher ! --Serged/ 26 août 2009 à 19:30 (CEST)[répondre]

(conflit d'édit)

Dans le même sens : Wikipédia n'est certes pas l'Évangile mais dans la partie de l'article sur Manhattan qui traite de sa fondation on y rapporte, références à l'appui, ce que j'avais appris en mon temps, les Hollandais ont acheté le « territoire à ses occupants (les Manhattes) pour quelques articles de verroterie et autres colifichets », et l'article sur Pierre Minuit précise même qu'ils représentaient « l'équivalent de 60 florins », ce qui paraît plus réaliste : si même l'expédition qui en fit l'acquisition était partie avec des pommes à bord, il y aurait eu beau temps qu'elle aient disparu, après de nombreuses semaines et probablement plusieurs mois de navigation.
Désolé de le dire mais l'anecdote me semble peu vraisemblable. -O.M.H--H.M.O- 26 août 2009 à 19:33 (CEST)[répondre]
Peu vraisemblable ? Carrément irréaliste oui ! Agrafian Hem Rarko (me parler) 26 août 2009 à 19:48 (CEST)[répondre]
Dans un pays où Dieu est si présent, le moins que les hommes aient pu faire c'est d'y apporter une pomme... Ok Je sors. --Égoïté (d) 26 août 2009 à 23:05 (CEST)[répondre]
Surtout que les pommes génétiquement modifiées mûrissent moins rapidement lors des grandes traversées... Égoïté, attend moi... — Antaya     21 septembre 2009 à 23:50 (HNE)
D'après (en), c'est en référence aux courses hippique du New York horse-racing (dans le sens the big apple = the biggest bet = le plus grand pari) que John J. Fitz Gerald[1], au début des années 1920, lui donna ce surnom. Piero (d) 27 août 2009 à 16:14 (CEST)[répondre]
  1. Cf. Barry Popik, The Big Apple et Gerald Cohen, Origin of New York City's Nickname "The Big Apple" (1991), (ISBN 3631437870).
  2. Euh, je suis pas spécialiste, mais il me semble plutôt improbable que les premiers colons aient des pommes avec eux, non ? (ça supporte mal le voyage ces fruits, non ?). Cdlt, Vigneron * discut. 27 août 2009 à 17:46 (CEST)[répondre]

    De nouvelles informations ont été apportées sur l'article New York : « Quelques années plus tard, en 1626, le directeur de la colonie Peter Minuit « acheta » l’île de Manhattan au peuple Lenape, précisément au clan Manhattes du groupe Wappinger, pour l'équivalent de 60 florins néerlandais en verroterie et autres colifichets (soit environs 700 € de valeur marchande actuelle — et non pas 24 $). Mais on sait maintenant que ces peuples n'avaient pas la notion de propriété foncière permanente, ce qui diminue la portée du geste. » Agrafian Hem Rarko (me parler) 28 août 2009 à 09:11 (CEST)[répondre]
    Merci Agrafian Hem Rarko ;-) Piero (d) 28 août 2009 à 09:28 (CEST)[répondre]

    Bonjour l'Oracle, je me pose depuis un bon moment déjà, du moins je crois depuis longtemps qu'il se peut pour un être humain, que sa conscience du Temps soit altérée (pathologie),est-ce possible? Pour ma part, je me convainc que oui, pour les schizophrènes notamment (et peut être pour les personnes atteintes de psychose en général). Peux-tu me confirmer, ou m'infirmer mes dires? En te remerciant, РБМК N°vert: 0800-343-343 26 août 2009 à 19:16 (CEST)[répondre]

    Toute sorte de choses peuvent altérer la conscience du temps de quelqu'un. Et es plus simples (et aussi les plus stupides) sont celles du travail et celle des loisirs : quand on travaille, le temps paraît plus long, et quand on s'amuse, il parait plus court. Pour les maladies mentales, je ne sais pas. Agrafian Hem Rarko (me parler) 26 août 2009 à 19:26 (CEST)[répondre]
    Tout dépend si l'on aiment son travail! Émoticône
    Ce qui m'intéresse vise plutôt du côté des maladies mentales, quelque chose d'irréversible et handicapant. РБМК N°vert: 0800-343-343 26 août 2009 à 20:00 (CEST)[répondre]
    Même si on n’aime pas passionnément son travail, on s’y absorbe facilement. Si le temps te paraît plus long quand tu travailles, tu mérites de te faire virer rapidement (proverbe coréen). rv1729 26 août 2009 à 20:26 (CEST)[répondre]
    Du nord, du Sud ou Japonais ? Amicalement, --Égoïté (d) 26 août 2009 à 23:07 (CEST)[répondre]
    Bon, disons « labeur » à la place de « travail ». Enfin un truc bien ch**** qui paraît interminable.
    Pour les maladies mentales, la conscience du temps est sans doute altérée, mais ça me paraît normal dans le cas de maladies grâves où le patient a des hallucinations violentes, et que sa perception de la réalité entière est altérée. Agrafian Hem Rarko (me parler) 27 août 2009 à 00:21 (CEST)[répondre]
    Les maladies mentales, et spécialement la schizophrénie, provoquent des troubles de la perception, ce qui inclut la perception du temps. Une fois cela dit, ça ne fera pas beaucoup avancer tes interrogations, considérant ceci : les maladies psychiques ne font que fixer et systématiser des troubles psychiques que tout un chacun peut ressentir, pour diverses raisons et par divers moyens. Par exemple, les psychotropes, ingérés volontairement ou fortuitement, provoquent des distorsions dans les perceptions très similaires à celles qu'une psychose hallucinatoire chronique provoque, et avec des effets induits similaires (délire de persécution, troubles de la parole...).
    Autre problème qui ne permet pas de donner une réponse simple et univoque : il n'y a pas de tableau clinique exact pour une maladie mentale. Du fait que les symptômes et les conséquences de ce type de maladie dépendent autant de l'histoire, de la personnalité et du contexte de chaque malade que de ses causes physiologiques, on ne peut dire à coup sûr que, par exemple, la schizophrénie induit des troubles de la perception du temps, ni surtout quel type de trouble ce sera. -O.M.H--H.M.O- 27 août 2009 à 06:14 (CEST)[répondre]
    Hmmm, très bien, très bien, merci beaucoup. Ma curiosité s'est satisfaite des liens donnés, même si ceux-ci ne répondent pas, ils m'apportent du bon foin tout de même. En fait, ma question exacte (que j'avais mal exprimée) était de savoir si il était possible d'être totalement "hors-temps" (de ne pas pouvoir le sentir, ? D'être incapable de donner une valeur quelconque au temps (de ne pas pouvoir prendre un repère, comme par exemple les feuilles qui tombent des arbres en automne, et se dire: "c'est l'automne"; ou la nuit , de ne pas savoir que c'est la nuit, même si tous les indices disent que oui, effectivement c'est la nuit)? Désolé d'être pinailleur, ça me travaille sérieusement. РБМК N°vert: 0800-343-343 27 août 2009 à 10:29 (CEST)[répondre]
    Faudrait en discuter avec Michel Siffre (article un peu indigent, d'ailleurs). Morburre (d) 27 août 2009 à 10:33 (CEST)[répondre]
    Oui, merci Morburre, je n'avait pas pensé à ça. Je me rappelle, étant enfant, que ça m'avait passionné cette histoire de claustration (vu à la télé). Je vais regarder par là. Merci pour tout et à tous! РеакБо-МоКа(Rbmk) (une fessée? un susucre? ou l'bout d'gras??) 27 août 2009 à 10:56 (CEST)[répondre]
    Là, c'est plus simple : la catatonie est un des syndromes possibles de la schizophrénie et de certaines formes d'autisme, et dans les cas extrêmes le malade semble ne plus avoir aucune conscience de son environnement ; on peut donc supposer qu'il est « hors temps », qu'il ne dispose plus de moyens sensibles permettant de situer l'instant présent dans le cycle circadien ou annuel ou autre rythme biologique. -O.M.H--H.M.O- 27 août 2009 à 11:23 (CEST)[répondre]
    Je suis pas loin d'être d'accord pour la catatonie, seulement il me semble (et en regardant l'article je me confirme), que c'est de l'ordre du refus (d'ailleurs, est-ce "volontaire"? Ou est-ce une incapacité? Bref).
    Sans être catatonique, est-il possible que, si on se voit incapable de cerner le temps, de mourir de ce fait? Par un épuisement (là je ne suis pas certain de ce que je vais dire, mais il me semble que si un individu quelconque est privé de rêves, celui-ci "perd l'esprit" et peut même mourir, je crois. Je sais qu'une expérimentation de ce type à été faite, un médecin avait privé de sommeil son cobaye). Finalement la réponse à la question originelle, en considérant la démence, n'est pas prête de trouver sa réponse. La proposition de Morburre, à savoir la perte de repères temporels dans un contexte "sain", et peut être la meilleure solution de se renseigner sur le sujet.
    A votre connaissance, à t-il déjà été pratiqué une expérience similaire à celle de Michel Siffre, mais cette fois-ci en laboratoire? РеакБо-МоКа(Rbmk) (Le bâton? un susucre? ou l'bout d'gras??) 27 août 2009 à 11:50 (CEST)[répondre]
    L'expérience de Siffre a été faite « dans des conditions de laboratoire ». Sinon, je sais que depuis d'autres expériences ont été faites, quelques-unes par Siffre lui-même, certaines dans des laboratoires tels que tu l'entends. J'avais ouï ça sur ma radio il y a quelques années. Allez, un petit coup de sonde Googlesque...
    Et voilà ! Une page qui en cause. Tu peux consulter avantageusement l'ensemble de ce dossier qui, au-delà de son aspect militant, contient pas mal d'informations factuelles. Ça éloigne de ta question de départ mais il est toujours bon d'apprendre, non ? -O.M.H--H.M.O- 28 août 2009 à 06:53 (CEST)[répondre]
    Tiens, dans les démences, justement, ça arrive. rv1729 27 août 2009 à 18:18 (CEST)[répondre]

    j'ai confiance en la justice de mon pays[modifier le code]

    Bonsoir,

    Je voudrais savoir la difference entre trois termes juridiques: acquittement, relaxe et non-lieu. Merci !

    Il suffit de consulter les articles qui leur sont consacrés : acquittement, relaxe, non-lieu. De plus, pas vraiment besoin de faire appel à l'Oracle ni de troubler nos valeureuse pythies pour trouver vos réponses :

    et

    .Anja. (d) 26 août 2009 à 20:58 (CEST)[répondre]


    Le non-lieu est l'abandon de la procédure judiciaire avant sa fin (c'est à dire avant le procès, donc pendant l'instruction ou juste à la fin de l'instruction) si le juge considère qu'il n'y a pas suffisamment d'éléments à charge pour valoir un renvoi devant les tribunaux. La relaxe et l'acquittement c'est deux mots pour une même chose, sauf que la relaxe c'est en correctionnel et l'acquittement en criminel: c'est la décision, à l'issu du procès, prise par le juge ou les jurés, de considérer l'accusé comme non coupable des charges pour lesquelles il a été renvoyé devant le tribunal. .: Guil :. causer 27 août 2009 à 10:54 (CEST)[répondre]

    Y a-t-il un Pyrénéen dans la salle ?[modifier le code]

    J'ai posé la question dans le Refuge du portail Pyrénées, mais ça ne se bouscule pas. Voilà la question : quel édifice est représenté sur ces trois photographies pourries, qui sont des scans de négatifs de 1998 ?

    Information Cliquez sur une vignette pour l’agrandir.

    C'est en Vall de Boí, Espagne, et j'étais persuadé que c'était la chapelle Sant Quirc de Durro, mais en vérifiant, ça ne colle pas du tout avec les autres photos de Sant Quirc qu'on peut voir sur Commons. Mais c'est quand même pas loin. Et moi, je suis un peu loin pour aller vérifier sur place. Si une Py-Py sait... Merci. Morburre (d) 26 août 2009 à 23:24 (CEST) Quoi ? Ben, une Pythie Pyrénéenne, pardi ![répondre]

    As tu essayé chez nos collègues espagnols ? es:Wikipedia:Consultas. HaguardDuNord (d) 27 août 2009 à 00:51 (CEST)[répondre]
    Bonne idée, fait. Merci. Morburre (d) 27 août 2009 à 01:42 (CEST)[répondre]
    Probablement qu'il y a quelques pyrénéens dans (l'un des) La Salle mais il ne sont pas majoritaires, à coup sûr ; par contre, Lasalle est bien pyrénéen, essaie de le contacter, il saura peut-être... -O.M.H--H.M.O- 27 août 2009 à 04:57 (CEST)[répondre]
    Premier élément : une peinture intitulée Ermita de Sant Quirze. Vall de Boí, qui ressemble bien à ton bâtiment (indice déterminant : pas d'éléments d'architecture au-dessus de la toiture). Je cherche encore en espérant trouver plus. -O.M.H--H.M.O- 27 août 2009 à 05:09 (CEST)[répondre]
    Pas évident à localiser, ton truc ! Des Sant Quirze / Sant Quirc, il y en a à foison dans ce coin ! Au bout du compte, il semble que ce soit l'ermita Sant Quirze de Taüll, voir photo sur cette page (presque le même angle de vue que ta troisième). -O.M.H--H.M.O- 27 août 2009 à 05:31 (CEST)[répondre]
    Ben voilà : Sant Quirze de Taüll, en effet. En plus, ça correspond bien avec la chronologie des autres photos avant et après celles-ci. Grand merci ! Morburre (d) 27 août 2009 à 09:06 (CEST)[répondre]
    Je n'avais absolument pas prévu de faire celui-là, il y en a de plus urgents, mais voilà : Sant Quirc de Taüll. Morburre (d) 27 août 2009 à 20:14 (CEST) Et Sant Quirc de Durro, pour comparer. Morburre (d) 28 août 2009 à 01:18 (CEST)[répondre]

    Stockage du CO2[modifier le code]

    Bonjour,

    On parle de plus en plus de stocker du CO2 (pour se donner bonne conscience et continuer à consommer as usual). Comme on est parti pour cette connerie (qui va amputer le rendement des centrales et qui ne va pas changer fondamentalement le problème du réchauffement de mon point de vue), je me demande pourquoi n'y rajouterait-on pas de l'eau?

    Question: Est-il imaginable de stocker sous pression du CO2 et de l'eau dans des gisements profonds et chaud, pour obtenir au bout d'un certain temps des hydrocarbures? Quelles seraient les pressions, les températures nécessaires? Est ce compatible avec des stockages profonds? Si oui, peut-on chiffrer le "certain temps"? Quite à y mettre de l'eau, pourquoi pas ne pas y ajouter un catalyseur (En existe-t-il pour cette réaction?)? Skiff (d) 27 août 2009 à 02:22 (CEST)[répondre]

    Bonjour. Non, ça ne peut pas marcher, les hydrocarbures contiennent beaucoup plus d'énergie que les "cendres" de leur combustion que sont le CO2 et l'H2O. Et pour mémoire, comme la combustion d'un hydrocarbure consomme de l'oxygène, il faut inversement trouver un exutoire à l'oxygène qui se formerait. On pourrait effectivement imaginer inverser une réaction comme par exemple C6-H12-O6 + 6O2 => 6CO2 + 6H2O en y mettant la pression, puisqu'il y a plus de moles côté droit que côté gauche ça veut dire qu'une augmentation de la pression diminue la vitesse de la réaction (tant que les choses restent gazeuses!) parce que dans la combustion le système récupère de l'énergie mais la dépense en augmentant le volume à haute pression, ce qui est énergétiquement pénalisant. Mais jusqu'au point d'inverser la vitesse et le sens de la réaction, je ne crois pas que ce soit possible, parce que à haute pression tout devient solide et la différence en nombre de moles n'entraîne plus de différence en volume, donc l'effet pression cesse d'être énergitiquement significatif. Biem (d) 27 août 2009 à 07:24 (CEST)[répondre]
    Kool ! Ça ferait des sources d'eau de Seltz ! --Serged/ 27 août 2009 à 08:46 (CEST)[répondre]
    Thermodynamiquement, est-il possible ou pas d'obtenir (avec la bonne pression, la bonne température, et le temps qu'il faut) à partir de l'eau et du CO2 (ie: de l'eau de seltz Émoticône) des hydrocarbures?
    thermodynamiquement, c'est possible ; en pratique, ça ne l'est pas, il n'y aura que quelques molécules d'hydrocarbure dans un océan d'eau de Seltz, qu'on aura bien du mal (= besoin de beaucoup d'énergie) à extraire. Ce qu'on sait faire de mieux c'est le procédé Fischer-Tropsch. gem (d) 27 août 2009 à 12:27 (CEST)[répondre]
    Bonjour à tous et pardonnez-moi si je ne maitrise pas (encore) le Wiki-langage, mais en regardant la page concernant le procédé Fischer-Tropsch et la page de discussion associée, je ne sais pas quels sont les fameux "investissements" qui font que ce procédé est lourd à mettre en place: s'agit-il d'impératifs thermodynamiques, cinétiques, liés au dimensionnement... Je serais bien curieux d'en savoir plus et vous remercie par avance (pendant ce temps, je cherche de mon côté!). Bonne journée, Benoît
    J'ai parcouru l'article : a priori le procédé Fischer-Tropsch permet de transformer du carbone en hydrocarbure. Pas de récycler le CO². Tout au plus il permettrait de transformer la biomasse et les déchets organiques en pétrole...
    Seule la photosynthèse chlorophylienne est un procédé fiable... --Serged/ 27 août 2009 à 15:23 (CEST)[répondre]
    PS : d'ailleurs dans l'article procédé Fischer-Tropsch on peut lire :
    « Elle présente le désavantage d'un bilan CO2 très lourd qui pourrait cependant être limité en mettant en place des solutions de captage et de stockage de ce CO2. Le rendement énergétique global de cette technologie demeure également un point faible. » --Serged/ 27 août 2009 à 15:26 (CEST)[répondre]
    C'est pour ca que j'ai posé ma question sur les contraintes: l'idée d'utiliser le carbone est séduisante, mais le rendement n'est que peu satisfaisant (bon, ca, à la limite...) et ca demande des "Investissements" lourds... et pourtant l'AfSud se débrouille pas mal avec... Donc ca me titille... Benoit
    L'avenir c'est clairement la forêt : on trouve dans la littérature des chiffres tels que "1 m3 de bois stocke 1 tonne de CO2 par an " et aussi qu'on a une densité de 90 stères/ha selon les endroits. Bref plantez du vert, c'est du bon Mitch-mitch (d) 27 août 2009 à 15:40 (CEST)[répondre]
    Pour ceux que ca intéresse, les réponses à mes questions sur Fischer-Tropsch se trouvent dans cette présentation. Quand on la lit on se dit que, oui, la forêt c'est peut-être plus facile en fait... Benoît
    Oui la forêt c'est facile...quand on a la place. Avec bientôt 7 milliards d'être humain la terre devient trop petite pour la forêt, les hommes et les animaux. Pour revenir à Fischer-Tropsch, ca ne répond pas à ma question initiale car le procédé utilise de l'hydrogène (y a pas trop de gisement de H2 sur terre), du CO (résidu d'une mauvaise combustion) et mais pas de CO2. Ma question initiale visait à connaitre un moyen thermochimique de stabiliser le CO2 gazeux de façon utile (même si cela prend du temps). Skiff (d) 27 août 2009 à 19:04 (CEST)[répondre]
    Les hommes, ils tiennent pas tant de place : on les empile dans des grandes tours... enfin, il faut des terres agricoles pour les nourrir ; mais pas dit que toutes les forêts peuvent laisser la place à des cultures (sols trop pauvres).
    Mais cette histoire de 1 m³ de bois qui stocke une tonne de CO2 par an, ça me paraît complètement débile. 1 m³ de bois, ça pèse moins d’une tonne ! Les ordres de grandeurs sont complètement erronés, même si il n’y a bien sûr pas d’équivalence de masse entre le bois et le CO2 piégé. rv1729 27 août 2009 à 19:49 (CEST) C’est pas plutôt 1 m³ de bois = 1 tonne de CO2 stockée ? sans le « par an » ?[répondre]
    Ouais, c'est bizarre, de toute façon, un arbre ne stocke pas du CO2, mais le capture pour le transformer. quoiqu'il en soit, même si on retranche O2 qui est rejetté, et qu'on se dit que pour 1m³ de bois, il y a 1m³ de racines, 1 tonne de CO2 par an ca fait quand même beaucoup. Skiff (d) 28 août 2009 à 09:22 (CEST)[répondre]
    Tsss, homme de peu de foi, je te rappelle ce que tu dois déjà savoir pourtant : que dans 44 g de CO2 il y 12 g de C, qui se retrouve dans le bois, et 32 g de O2, qui se barre (en partie) dans l'atmosphère pendant la photosynthèse ; seul le par an est évidemment erroné. gem (d) 28 août 2009 à 12:51 (CEST)[répondre]
    Oui, ben du coup, pour un un ha de forêt nouvelle, on attrape 90 tonnes de CO2, allez : 100 tonnes, je suis généreux. Ça nous fait 10 000 tonnes au km². Donc il faut 500 000 km² de forêt nouvelle tous les ans pour attraper 5 milliards de tonnes de CO2 (c’est bien les ordres de grandeurs dont on a besoin), soit la superficie de la France. Chaque année. Ça me paraît pas si clair que ça soit l’avenir. rv1729 28 août 2009 à 13:24 (CEST)[répondre]
    De toute façon, on voit mal comment en plantant des arbres on pourrait récupérer ce que l'on dégage en CO2, si l'on songe que en 2 siècles de révolution industrielle on a déjà renvoyé dans l'atmosphère une part significative de ce que la nature avait photo-synthétisé durant près d'un demi milliards d'années, lors du carbonifère. Il y a plusieurs ordres de grandeur de différence. gede (dg) 28 août 2009 à 13:36 (CEST)[répondre]
    Bref : c'est clair que planter des arbre n'est pas la solution, même si ça fait toujours plaisir de croire qu'on peut sauver la planète (en supposant qu'elle en a besoin, ...) grâce aux 30 centimes que le fabriquant d'un bidule qu'on achète reverse à une ONG qui plante des arbres ailleurs sur la terre. (NB le bon ordre de grandeur pour la croissance végétale, c'est 10 tonnes par ha et par an, plutôt que 100 tonnes ; RV était donc trop généreux d'un facteur 10, et pour les 5 GT de CO2 il faudrait la moitié de la Chine plutôt que la France ; Jancovici est encore plus pessimiste. ça ne change évidemment pas la conclusion. ). gem (d) 28 août 2009 à 14:33 (CEST)[répondre]
    Je me suis basé sur les chiffres de Mitch-Mitch, et j'ai effectivement fait le calcul en supposant qu'on avait une forêt à maturité (ce qui évidemment ne s'obtient pas en un an). Une forêt qui a atteint sa maturité a un « bilan carbone » à peu près nul... rv1729 28 août 2009 à 14:49 (CEST)[répondre]

    Transsubstantiation et surtout le contraire[modifier le code]

    Bonsoir, oh détenteur et garant du savoir, ma question est la suivante. y a t'il un terme pour l'inverse de la Transsubstantiation qui est le fait que le vin et l'hostie se transforme en sang et chair du christ

    par exemple si on transforme le sang du Christ en vin et sa chair en hostie, comment appelle t'ont ça

    merci et bonne soirée

    Ça me parait impossible mais pour le jeu : détranssubstantiation. --Égoïté (d) 27 août 2009 à 18:01 (CEST)[répondre]

    C'est aussi une transsubstantiation, à la limite la transsubstantiation retour. Attention, il s’agit de cette substance et non de cette substance, contrairement à ce que dit le chapeau de transsubstantiation. Je vais corriger de ce pas. rv1729 27 août 2009 à 18:14 (CEST)[répondre]

    L'inverse de la transsubstantiation, c'est plutôt Consubstantiation, dogme qui dit qu'il n'y a pas substitution mais coexistence. Pour transformer le sang du Christ en vin et sa chair en hostie, il faudrait avoir du sang. Et quand Jésus dit "ceci est mon sang", il ne s'est pas saigné avant (où alors, il y a une ellipse dans le scénario). HaguardDuNord (d) 27 août 2009 à 23:51 (CEST)[répondre]
    Hérésies ! rv1729 28 août 2009 à 08:14 (CEST)[répondre]

    flottabilité d'un individu[modifier le code]

    Bonjour à tous, Donnée du problème : mon poids 105kgs Question : combien de litres d'air une bouée doit elle contenir pour me maintenir à la surface de l'eau. Cette question saugrenue m'est venue cet après midi allongé sur un matelas pneumatique partiellement dégonflé. Merci de répondre à cette question existentielle. --Kkbs (d) 27 août 2009 à 21:46 (CEST)[répondre]

    Je dirais que ça dépend de ton volume. Tu mesures combien de mètres-cubes ? Morburre (d) 27 août 2009 à 21:55 (CEST)[répondre]
    Pas besoin de bouée. Une personne de poids "normal" ou plus grasse a une densité légèrement inférieure à 1, et par conséquent flotte dans l'eau douce, et encore mieux dans l'eau salée; s'il y a des vagues, ça se complique. Dhatier jasons-z-en 27 août 2009 à 22:05 (CEST)[répondre]
    Très peu d'air, quel que soit son poids. Comme le dit Dhatier, un être humain (vivant) est de toute manière légèrement moins dense que l'eau, cela d'autant plus qu'il est enveloppé, donc les instruments qui augmentent sa flottaison n'ont pas besoin d'être importants. La bouée sert surtout à augmenter sa flottabilité vers le haut du corps, de manière que la partie importante pour sa survie en milieu liquide, la tête, soit aussi émergée que possible. -O.M.H--H.M.O- 28 août 2009 à 06:39 (CEST)[répondre]
    Dépend aussi si on a les poumons remplis d'air, vidés, ou remplis d'eau (noyé). Ne pas oublier aussi que la position d'équilibre ne maintient pas forcément la tête hors de l'eau (condition indispensable pour rester en vie). --Serged/ 28 août 2009 à 09:15 (CEST)[répondre]

    Bien c'est bon tout cela, mais à la piscine sans mouvement, je coule progressivement. Pourquoi ? si d'après vos dires nous sommes moins dense que l'eau. La tension superficielle de l'eau serait elle concernée?

    C'est quoi "poids normal" pour moi c'est le poids où l'on se sent bien. Pour mon toubib, compte tenu de mon âge, je devrai perdre 25 à 30 kgs, mais alors je me sens mal. --Kkbs (d) 28 août 2009 à 09:13 (CEST)[répondre]

    Je vois trois possibilités à ton problème de non flotabilité dans ta piscine:
    1- ta piscine est remplit d'un liquide moins dense que l'eau
    2- ta piscine est oxygénée (comme dans les bassins de station d'épuration) et là pas moyen de faire autrement que de nettoyer le fond, même avec une bouée
    3- soit tu viens d'ailleurs...Émoticône sourire

    Skiff (d) 28 août 2009 à 09:32 (CEST)[répondre]

    Ben oui, c'est ça, il vient d'ailleurs (d'outre-Quiévrain) Émoticône Cobra Bubbles Dire et médire 28 août 2009 à 10:34 (CEST)[répondre]
    Archimède mon ami, Archimède ! Sachant qu'un corps doit déplacer au moins un volume d'eau dont la masse et aussi importante que la sienne, euh, bah, je sais qu'il vaut mieux avoir une carrure de tank que ressembler à un fil de fer (mais c'est mieux dans une piscine que dans sa baignoire). Et ça m'arrange en plus. Eurêka ?
    :Tout corps plongé dans un fluide au repos, entièrement mouillé par celui-ci ou traversant sa surface libre, subit une force verticale, dirigée de bas en haut et opposée au poids du volume de fluide déplacé ; cette force est appelée « poussée d'Archimède ».
    .Anja. (d) 28 août 2009 à 11:09 (CEST)[répondre]
    Je connaissais :
    « Tout corps plongé dans l'eau et qui ne ressort pas au bout de 20 minutes est considéré comme noyé. ».
    OK, je sors... --Serged/ 28 août 2009 à 11:34 (CEST)[répondre]
    Je connaissais :
    « Tout corps humain plongé dans une baignoire déclenche la sonnerie du téléphone » (Principe de Murphy-Archimède).
    Je sors aussi ... Odejea (♫♪) 28 août 2009 à 14:47 (CEST)[répondre]

    C'est vrai, je viens d'ailleurs mais ce n'est pas une raison suffisante pour couler.

    Je me permet toutefois de rappeler que ma question portait sur la quantité d'air que devait contenir une bouée ou un matelas pneumatique pour m'empêcher de couler. --Kkbs (d) 28 août 2009 à 12:18 (CEST)[répondre]

    Et la réponse donnée est 0,00 cm³. Tu dois flotter sans. Peut-être pas très très bien, ni très confortablement, mais enfin : flotter. Même moi qui suis à l’aise dans l’eau comme une vache dans un aéroport, j’arrive à peu près à faire la planche sur le dos, s’il n’y a pas de vagues... rv1729 28 août 2009 à 12:47 (CEST)[répondre]
    Perso (1,80 m, 80 kg), dans une eau calme et salée (Atlantique Gironde, petit coef, glassy), en shorty de bodyboard et en position verticale, bras le long du corps, je flotte parfaitement et l'eau m'arrive juste au niveau des sourcils. Cobra Bubbles Dire et médire 28 août 2009 à 14:25 (CEST)[répondre]
    La réponse dépend de ta masse grasse + poumons, et de ta masse musculaire/osseuse, la première étant +légère que l'eau et la seconde, +lourde (quand au reste, ça pèse a peu près autant que l'eau) . Un gars très musclé et pas gras peut couler les poumons remplis d'air, c'est rare mais je connais personnellement un cas. Les gens ordinaires flottent. La masse (105 kg) ne permet pas de savoir. gem (d) 28 août 2009 à 19:10 (CEST)[répondre]

    Oui Cobra Bubbles, ça je fais aussi, sur le dos ou vertical, mais avec l'eau jusqu'aux sourcils on, ne vit plus longtemps. Pas plus qu'en faisant la planche quand l'eau arrive aux narines, on abandonne.

    Donc pour moi, on peut flotter mais pas longtemps. Merci pour vos réponses. --Kkbs (d) 28 août 2009 à 19:27 (CEST)[répondre]

    Ite missa est[modifier le code]

    l'abbaye ND du Vœu

    Salut. Quelqu'un pourrait-il me traduire cette phrase latine :

    Hic terrae steriles et vinea (vinca ?) nulla supertes,
    silva caret foliis ; desunt sua pascua pratis

    Je sais que c'est la lamentation d'un abbé sur le désert qui entoure son monastère, mais j'aurais souhaité avoir une traduction plus stricte. Merci. HaguardDuNord (d) 27 août 2009 à 23:38 (CEST)[répondre]

    Ici la terre est inféconde et nulle vigne ne subsiste,
    La forêt est privée de ses feuillages, il n'y a pas de prairies à brouter
    Approximatif, mais c'est le sens. Le mot est bien vinea et Cherbourg fut une triste terre, semble-t-il... -O.M.H--H.M.O- 28 août 2009 à 05:54 (CEST)[répondre]
    Brrr, ça apparaît terriblement prémonitoire, une fois que l'Usine de retraitement de la Hague nous aura pété au nez... Félix Potuit (d) 28 août 2009 à 07:56 (CEST)[répondre]
    Je comprends pratis (paturage) mais desunt sua pascua me laisse complètement perplexe. Olivier, peux-tu détailler mot à mot cette dernière phrase ? rv1729 28 août 2009 à 08:11 (CEST) Ça a l'air d’être du latin de presbytère...[répondre]
    L'avantage est justement le côté « latin de cuisine d'Église », du vrai latin ça ne se traduit pas si aisément. Desunt est une forme de desum ==> « manquer à » ; pascua est une forme de pasco ==> « faire paître » ; littéralement, « (ils) manquent à les faire paître dans les patûres ». D'où ma « traduction », qui est donc assez approximative mais suffisante pour ce cas, je pense. Autant que je le comprenne, HaguardDuNord est intéressé par une plus grande précision que « Il serait difficile de concevoir un lieu plus triste, plus stérile que ne l'était alors l'abbaye de Cherbourg » comme équivalence de ce texte, et non par une traduction parfaite. Enfin, je l'espère... Émoticône sourire -O.M.H--H.M.O- 28 août 2009 à 08:31 (CEST)[répondre]
    Je m'attendais à ce que quelqu'en demande ce que Pasqua vient faire là.... même pas. Tant pis. Elsaesser (d) 28 août 2009 à 08:40 (CEST)[répondre]
    Couillon que je suis, je piochais chez Charles de Gerville, sans voir que mon bon Jean Fleury avait fait aussi une traduction  ! Merci à Olivier qui a percé le secret de mes intentions (va falloir que je vérifie que j'ai pas un spyware dans mon ordi, moi... Émoticône). Et pour info, ce n'est pas l'emplacement de l'usine de la Hague (qui peut fuire, mais pas exploser), mais plutôt le port militaire, avec ses réacteurs de sous-marins nucléaires lanceurs d'engin ! Autant savoir de quoi on va mourir précisément... Merci encore. HaguardDuNord (d) 28 août 2009 à 10:00 (CEST)[répondre]
    Pour les ceusses qui veulent savoir :
    « Ici le sol n'a point de moissons ni de vignes ; «
    « Les bois sont sans feuillage et les prés sans troupeaux ».
    À considérer que le but de Fleury était de rendre des alexandrins plus que de suivre le texte avec précision. Sinon, tu es ton propre spyware : la recherche sur ce morceau de texte
    ne ramène qu'un résultat, le livre où figure ce passage Émoticône. -O.M.H--H.M.O- 28 août 2009 à 10:32 (CEST)[répondre]
    Je n'en doutais pas, c'est comme cela que j'ai retrouvé Fleury aussi Émoticône HaguardDuNord (d) 28 août 2009 à 10:57 (CEST)[répondre]

    L'essentiel des relations internationales[modifier le code]

    On trouve en kiosque une publication intitulée L'essentiel des relations internationales, dont je me demande si elle est lisible ou si elle souffre de non-pertinence et de forte non-neutralité. Son numéro actuel est consacré au Tchad: on y trouve, en apéritif, une couverture montrant une photographie du chef de l'Etat, accompagnée de la légende "un bâtisseur au service de son pays", puis, en guise de plat, un article intitulé "Idriss Deby Itno, président bâtisseur de la nation tchadienne", écrit dans un style très louangeur (article suivi d'un entretien avec ce monsieur puis, plus loin, d'une page de louanges adressées à son épouse). On trouve, d'autre part, de nombreuses publicités pour des entreprises tchadiennes et des pages de présentation de divers services publics tchadiens, pages dont je n'arrive pas à savoir si elles contiennent des articles ou des réclames pubs publi-communiqués. Bref, je voudrais savoir quelle est la réputation de ce canard. Apokrif (d) 28 août 2009 à 02:37 (CEST)[répondre]

    Le terme usuel est publireportage. Autant que je sache, réputation nulle. Autant qu'il y paraisse, il s'agit bien d'une publication promotionnelle qui veut se donner pour une revue sérieuse ; cette page de présentation, quelque peu grandiloquente, se trahit cependant par cette remarque : « Le pays invité sur le N°1 a été la Chine ». « Pays invité », ça veut tout dire...
    En cherchant plus, on découvre deux choses : son éditeur, « Prestige communication », publie des revues très... « communication », justement, voir cette page ; c'est en fait (on tourne en rond) un « cabinet de communication » qui appartient à un nommé Laurent Taïeb, dont la spécialité semble d'organiser des soirées très select autour d'une personnalité – souvent un chef d'État africain – dans des lieux choisis (luxueux) où l'on consomme force cigares.
    Tout cela est bel et bon mais de toute manière, si une revue présente Idriss Deby comme « un bâtisseur au service de son pays », peu importe qu'elle soit « réputée », on ne peut pas la considérer sérieuse ni honnête. -O.M.H--H.M.O- 28 août 2009 à 06:28 (CEST)[répondre]
    Et il y a des gens pour acheter ce truc ? Ça paraît fabuleux... Félix Potuit (d) 28 août 2009 à 13:23 (CEST)[répondre]
    On peut présumer que la facture qui a été adressée à Idriss Deby inclut le prix de l'achat de la revue par des acheteurs fictifs, ou de la combine qui fait que les kiosquiers l'acceptent. gede (dg) 28 août 2009 à 15:01 (CEST)[répondre]

    Bonjour,

    Je lis dans Histoire d'Internet que « le premier lien ARPANET (ARPA Network) fut établi entre l'Université de Californie à Los Angeles et le Stanford Research Institute le 21 novembre 1969 ». Mais on ne dit pas ce qu'était concrètement ce lien. S'agissait-il d'un lien matériel, d'un cable tiré entre ces deux machines? Ou bien s'agissait-il d'un lien immatériel, de logiciels installés sur ces machines pour les faire communiquer? Mais alors, s'il s'agissait de liens immatériels, je ne comprends pas pourquoi chaque machine du début de l'Arpanet n'était pas connectée avec toutes les autres? En effet, sur le schéma du réseau ARPA de fin 1969, on a UCLA, SRI et UCSB qui sont connectés ensemble, mais UTAH n'est connecté qu'avec SRI? S'il s'agissait simplement d'une histoire de logiciel installé sur ces quatre machines, UTAH devrait également être connecté à UCSB et UCLA. C'est donc qu'il y a autre chose. Mais quoi? Un cable particulier qu'on aurait tiré?

    Merci par avance de votre réponse,

    PE

    Bonjour. Logiquement, il devait y avoir un cable : aucune technologie de transfert d'information à distance n'existait à cette époque. Agrafian Hem Rarko (me parler) 28 août 2009 à 09:17 (CEST)[répondre]
    Désolé, j'ai dû mal me faire comprendre. Il y avait bien sûr un support matériel à ces communications. Mais ma question était la suivante : A-t-il fallu tirer un câble spécifique? Je pourrais la reformuler de cette manière : si la construction du premier réseau ARPANET, avec ces quatre noeuds, ne reposait que sur l'installation de logiciels sur ces quatre machines, alors elles auraient dû pouvoir toutes communiquer entre elles (en s'appuyant sur des lignes "classiques", peut-être des lignes de téléphone, peu importe). Mais il se trouve que toutes ces quatre machines ne sont pas directement liées à toutes les autres. Il n'y a donc pas que des histoires de logiciels. Et j'aimerais savoir ce qu'il y a d'autre.
    Avez vous consulté History of ARPANET de Michael Hauben, par exemple ? Piero (d) 28 août 2009 à 09:59 (CEST)[répondre]
    Merci de ce le lien, mais mon anglais est assez pauvre (et je n'ai hélas pas beaucoup de temps à consacrer à cette question, c'est d'ailleurs pourquoi je la pose ici).
    Voyez translate.google alors. Piero (d) 28 août 2009 à 10:25 (CEST)[répondre]
    Hum...
    Un exemple de cette "traduction" : « au cours du développement initial de l'Arpanet, il ya eu simplement une limite quant à la façon loin devant tout le monde pouvait voir et à gérer »
    Quoi qu'il en soit, je ne vois rien dans ce document (après l'avoir parcouru rapidement) qui puisse répondre à ma question. Et je le répète, si je pose cette question ici, c'est que je n'ai précisément pas le temps d'investir la littérature.
    Mais si vous avez la réponse, pourquoi ne pas me répondre directement? Sinon ce n'est pas grave, quelqu'un d'autre l'aura peut-être?
    Il semble y avoir une réponse précise à la question dans en:ARPANET#Creation of ARPANET, mais je ne connais pas suffisamment le sujet pour pouvoir fournir une traduction digne de ce nom. Une pythie informaticienne y verra sans doute plus clair. - Mu (d) 28 août 2009 à 11:54 (CEST)[répondre]
    « The IMPs at each site performed store-and-forward packet switching functions, and were connected to each other using modems connected to leased lines ». Et en:Leased line nous apprend qu’il s’agit de lignes fixes, de connections permanentes et privées, et non pas de lignes téléphoniques — si je comprends bien, j’ai pas fait Telecom Paris... rv1729 28 août 2009 à 12:09 (CEST)[répondre]
    Confit d'oie d'Edtih... je n'ai pas eu le temps d'approfondir ma lecture de l'article en anglais, mais si tu regardes le schéma d'ARPANET, tu vois que deux universités avaient deux connexions (UCSB et UCLA avaient chacune une connexion avec SRI, plus une entre elles respectivement), SRI avait trois connexions (UCSB, UCLA et UTAH), et UTAH n'était interconnecté qu'avec SRI. De ce fait, il faut se dire que chaque connexion était une ligne physique directe et dédiée. Les lignes étaient en fait des lignes tph mais qui ne servaient qu'A cela exclusivement. Le poste de de SRI pouvait retransmettre des données de UCLA vers UTAH, par exemple, mais à condition d'être en marche (1) et de disponibilité des deux lignes (2) (une ligne, même dédiée, peut connaitre un dysfonctionnement). Internet fonctionne différemment : une seule connexion par poste avec le reste du monde, et c'est là que le protocole TCP/IP entre en oeuvre. Le routage se fait par ce biais, et internet en fait est un maillage, ce qu'Arpanet préfigurait bien. Seulement, ARPA nécessitait, pour une comm entre UTAH et UCLA, que SRI soit disponible, alors que le www est tellement maillé que les données passeront par Pétaouchnoque-les-Bains, peu importe, mais elles passeront.. voilà Elsaesser (d) 28 août 2009 à 12:24 (CEST)[répondre]
    OK, merci de ta réponse très précise. Il y a cependant quelque chose qui me chafouine encore un peu. Entre UTAH, à Salt Lake City, et le SRI, à Menlo Park, il y a près de 1000 km à vol d'oiseau! Ont-ils vraiment tiré un cable sur plus de 1000km pour relier ces deux machines? Sinon, qu'ont-ils fait concrètement?
    PS : c'est quoi une "ligne tph"?
    93.13.173.128 (d) 28 août 2009 à 13:41 (CEST)[répondre]
    les compagnies téléphonique louent des lignes dédiées à qui le demande. Parfois elles ont besoin de tirer une ligne spécifique, mais le plus souvent il suffit d'utiliser une ligne pré-existante, ou d'intégrer la demande dans un programme de développement en cours, comme il devait en exister entre Salt Lake City et San Francisco. gem (d) 28 août 2009 à 16:32 (CEST)[répondre]

    Bonjour,

    J'ai lu quelque part que certaines piscines serait plus rapide que d'autres (ie: plus propice aux records du monde). Il y a bien sûr les dispositifs anti remous sur les coté des lignes de nage, mais y a-t-il autre chose? En clair, est ce qu'on ajoute un/des produits à l'eau pour la rendre moins résistante à l'avancement? Skiff (d) 28 août 2009 à 09:36 (CEST)[répondre]

    Probablement les vagues oui, et les courants y sont inexistants ainsi que le vent, donc pas de gène de ce côté là non plus. Pour le reste l'eau n'est pas additivée (à part les désinfectants et autres produits d'entretien) à ma connaissance. Mitch-mitch (d) 28 août 2009 à 09:49 (CEST)[répondre]
    Et celles qui sont en pente, alors. On va plus vite en descendant. Morburre (d) 28 août 2009 à 10:43 (CEST) Bon, ben je m'en vais.[répondre]
    Il faut que l'eau soit légèrement chauffée (l'idéal, c'est 28°C par exemple). Je crois que c'est un peu plus "portant" Émoticône . A Pékin, c'était 28.8°. .Anja. (d) 28 août 2009 à 11:11 (CEST)[répondre]

    Liberté d'expression aux États-Unis[modifier le code]

    Bonjour,

    Un ami et moi avons une discussion récemment liée à la liberté d'expression aux États-Unis, et nous n'avons pas pu nous accorder sur un point : cette liberté d'expression autorise-t-elle l'outrage envers un agent de police (plus particulièrement l'insulte) ? Un exemple simple étant un conducteur arrêté par un agent de police et qui commence à l'insulter pour une raison quelconque. Le policier a-t-il le droit de verbaliser le conducteur, de l'arrêter, etc. ?

    D'avance merci, — Frór Oook? 28 août 2009 à 13:01 (CEST)[répondre]

    Non, elle n'autorise pas l'insulte "gratuite", qui ne transmet aucune idée, ne participe à un discours véritable, mais "brise la paix" et "blesse par le seul fait d'être prononcé". La jurisprudence de la court suprême a d'ailleurs été établi à partir du cas d'un témoin de Jéhovah qui, arrêté par un policier municipal, alors qu'il se livrait à une activité de prosélytisme, a déclaré à ce dernier qu'il était "a god-damed racketeer" et un "damned fascist". Il a été condamné. Voir l'article anglais : [8]. --gede (dg) 28 août 2009 à 13:19 (CEST)[répondre]
    Merci beaucoup et bonne journée ! Émoticône sourireFrór Oook? 28 août 2009 à 13:28 (CEST)[répondre]
    J'ai vu un reportage récemment (magazine Reportages sur TF1 je crois) sur les brigades autoroutières en Californie où justement l'insulte n'est pas répréhensible au nom de la liberté d'expression. On y voit un exemple d'un homme insultant le policier qui vient de le verbaliser. Surtout on y voit les policiers s'approcher très prudemment des voitures qu'ils arrêtent pour un simple excès de vitesse, de peur de se faire tirer dessus. Voici le lien : TF1.fr Kfadelk (d) 28 août 2009 à 16:00 (CEST)[répondre]
    Je crois savoir que l'un des arrêts les plus importants en matière de liberté d'expression aux États-Unis est Brandenburg v. Ohio (1969). DocteurCosmos (d) 28 août 2009 à 16:29 (CEST)[répondre]
    Les policiers ne peuvent pas accuser l'insulteur de Disorderly conduct ? Apokrif (d) 29 août 2009 à 13:19 (CEST)[répondre]
    Voir également : Chaplinsky v. New Hampshire, qui est l'arrêt de la court suprême qui a statué sur les limitations apportées au principe de la liberté de parole dans le cas des insultes, et que je résumais dans ma réponse au dessus, mais qu'elle n'a pas toujours suivi pour le cas qui nous occupe. --gede (dg) 29 août 2009 à 13:35 (CEST)[répondre]

    Café crème[modifier le code]

    Bonjour. Ceci est un appel aux physiciens.
    Dans des conditions initiales identiques, contrôlées scientifiquement, je sers deux tasses de café bien chaud.
    Dans la première, je verse immédiatement un godet de crème froide
    J'attends 3 minutes à la température ambiante que le tout refroidisse partiellement, puis je verse un godet de crème froide dans le second café
    Les deux cafés-crème seront-ils à la même température, et sinon, lequel sera plus chaud? Merci de vos lumières. Un croissant en offrande. Dhatier jasons-z-en 28 août 2009 à 15:18 (CEST)[répondre]

    Ce problème me fait penser à un article paru, je crois, dans un des premiers No. de Pour la Science. De la crême, pour faire de la crême glacée, gelait, prenait plus vite, lorsqu'elle était mise encore chaude au congélateur que losqu'on attendait, comme il est généralement recommandé, qu'elle refroidisse avant de l'y mettre Domingue
    Si tu laisses les deux tasses tranquilles pendant longtemps, elles tendront à atteindre la même température (qui peut se calculer à partir de la chaleur massique du café, de celle de la crème, des températures initiales des liquides et de la température de l'air. Par contre, si tu compares les températures à peine versée la deuxième dose de crème, les températures seront différentes. Si je suppose que la température de la crème est inférieure à la température ambiante (elle sort du frigo), le café dans lequel tu as versé la crème en premier aura nettement refroidi en 3 minutes, alors que le deuxième café, qui aura passé ces mêmes trois minutes seulement au contact de l'air, se sera moins refroidi (il n'aura pas commencé son échange thermique avec la crème). J'ajoute que les quantités versées sont également importantes (je pars du principe que les deux tasses contiennent la même quantité de café, et que tu mets strictement la même quantité de crème dans les deux). Asheka [lazvie est belle] 28 août 2009 à 16:33 (CEST)[répondre]
    Bref : la seconde tasse sera plus froide. SAUF QUE. Pendant que le second café refroidi, la creme froide, elle, se réchauffe. Ce qui joue en sens exactement inverse.
    Ce qui veut dire qu'avec des conditions bien choisies, tu peut obtenir ce que tu veux comme résultat : tasse isotherme pour limiter la perte de chaleur du second café, récipient conducteur pour le "godet" de crème fraiche pour augmenter le gain de chaleur, températures adéquates pour le café (60° C), la crème (1°), et l'atmosphère (il fait chaud : 35 °C),... Et la 2ieme crème chope plus de calories que le 2ieme café n'en perd, et le résultat est inversé. gem (d) 28 août 2009 à 16:43 (CEST)[répondre]
    En toute vraisemblance, si tu mesures la température peu après (disons, dans les trente secondes après le dernier versement de crème) le liquide dans la seconde tasse devrait être légèrement plus chaud. Pas tellement plus, mais un peu. C'est rapport au fait que la baisse initiale de température induite par l'ajout de la crème devrait être proportionnelle à la température du liquide chaud. Comme l'air aura un effet moindre, la baisse de température instantanée dans la première tasse sera un peu plus importante que dans la seconde, tandis que la baisse dans les deux tasses suivra une même courbe pendant les trois minutes d'attente. Cela dit, ça ne devrait pas faire une grande différence. -O.M.H--H.M.O- 28 août 2009 à 18:44 (CEST)[répondre]

    Bonjour. On suppose que le godet de crème froide est sorti du frigo, donc à température constante, et qu'on l'ajoute en touillant, donc que la tasse se trouve dans un équilibre thermodynamique suffisant pour que la chaleur qu'elle échange avec l'extérieur ne dépende que de sa température moyenne. Dans ce cas, il n'y a qu'à voir quelle tasse perd le plus de chaleur: c'est évidemment la seconde, puisque sa température (moyenne, externe) pendant les trois minutes a été plus élevée que celle où barbotait déjà la crème = elle a perdu plus de chaleur. Ensuite, quand on rajoute la crème dans la seconde, les conditions entre les deux tasses reviennent à l'identique (même café, même crème, même mélange) sauf qu'entre temps la deuxième a perdu plus de chaleur (et en plus, la crème qu'on lui a ajouté a bénéficié de trois minutes de frigo en plus!) : donc, sa température est nécessairement plus basse. Biem (d) 28 août 2009 à 19:30 (CEST) Au beurre, pour moi, le croissant... [répondre]

    Hervé This traite de ce sujet dans son livre Casseroles et éprouvettes ( (ISBN 2-84245-039-6) chapitre café, thé et lait, comment refroidir efficacement une boisson trop chaude.) La discussion du chapitre débute par une réflexion analogue de Stephen Hawking mais concernant l'ajout de sucre dans du café... Comme l'effet prédit par SH n'est pas mesurable avec du sucre (effet trop faible), HT fait l'expérience avec du lait. L'idée est que les corps chauds rayonnent plus d'énergie que les corps froids. Pour obtenir un café plus froid, il vaut donc mieux ajouter le lait, juste avant de le boire, pour permettre la meilleure dispation au début. Pour le puriste, la discussion se poursuit sur l'effet radiateur de la cuillère qui touille le café et la couleur de la boisson : l'effet est il le même avec du café et du thé ? La conclusion est que pour refroidir le café, le mieux est de souffler dessus...82.66.99.251 (d) 30 août 2009 à 20:34 (CEST)[répondre]

    Appel aux aérodynamiciens.[modifier le code]

    Hello, ceci me turlupine. Je suis assis dans une voiture du RER (vers l'arrière), par temps de grosse chaleur, je crève de chaud comme tous mes malheureux coreligionnaires, vu qu'il n'y a que de petites fenêtres de place en place et d'un seul côté, afin que l'inconfort soit maximal. Or, au moment de l'arrivée dans chaque gare (qu'elle soit "ouverte" ou "fermée"), lorsque le train ralentit, donc, un bienfaisant courant d'air envahit le wagon et me fait pousser un soupir de soulagement. Rien de tel lorsque le train accélère ou roule à vitesse normale. Pourquoi donc le courant d'air se produit-il lorsque le train ralentit et s'arrête ? J'aurais supposé que plus on va vite, et plus il y a de courant d'air (comme en voiture), mais pas du tout. Qu'en pense l'Oracle ? (s'il estime que ça vaut la peine d'en penser quelque chose). Merci ! Félix Potuit (d) 28 août 2009 à 15:59 (CEST)[répondre]

    Intuitivement je dirais que c'est parce que le train est plus long que la voiture. Un écoulement laminaire doit se mettre en place le long du train, et le résultat est qu'au lieu d'avoir de l'air qui s'engouffre dans le wagon, tu as d'abord une légère dépression au niveau de la fenêtre, et puis ensuite un état d'équilibre quand le train est à vitesse constante... rv1729 28 août 2009 à 16:31 (CEST)[répondre]
    Intuitivement je réclame plus de données : quel sens ce courant d'air apparait-il (d'avant en arrière ou inversement ? de l'intérieur vers l'extérieur ou inversement ? ), est-il systématique, comment varie-t-il avec la position dans la rame (quid en tête et au milieu ?), est-ce la même chose à l'air libre qu'en voie sous tunnel ?, ... gem (d) 28 août 2009 à 18:43 (CEST)[répondre]
    Cela dit, une consultation de effet Venturi me semble un préalable utile, à partir du moment où on parle d'un effet de vent (= dépression) apparaissant lors d'une variation de vitesse gem (d) 28 août 2009 à 18:46 (CEST)[répondre]
    Pour préciser : j'ai remarqué cet effet quand je suis assis tout à l'arrière du wagon, du côté opposé aux fenêtres (qui sont ouvertes, bien évidemment), et les portes pas encore ouvertes, à l'entrée dans une station. On a l'impression que le courant d'air entre par les fenêtres et balaye l'intérieur, pendant quelques secondes. Ça semblait assez systématique pour que je l'aie remarqué. Le fait que la station soit fermée ou à l'air libre n'a pas l'air d'y changer grand chose. Il faudrait peut-être que je fasse des expériences complémentaires, en me mettant à d'autres places (mais difficile de virer les gens en leur expliquant que c'est dans l'intérêt de la science...) Félix Potuit (d) 28 août 2009 à 21:29 (CEST)[répondre]
    L'écoulement dépend fortement de la vitesse du train (nombre de Reynolds) et de manière non triviale. Il se peut qu'à un certain régime de vitesse, l'écoulement traverse l'intérieur du train et on peut imaginer que l'écoulement adopte un angle différent selon la vitesse pour « balayer » les différents sièges lors de la décélération. Pour les fortes vitesses, l'écoulement est peut-être confiné près des fenêtres. — Jérôme 30 août 2009 à 16:11 (CEST)[répondre]
    Oui, ça doit être quelque chose comme ça, en effet. Ce serait amusant de visualiser un schéma de l'écoulement de l'air dans ce cas de figure. Félix Potuit (d) 31 août 2009 à 08:06 (CEST)[répondre]
    Tu fais style que tu tousses et tu balances un kilo de farine dans l'air. Un complice filme. — Jérôme 31 août 2009 à 18:27 (CEST)[répondre]
    Émoticône Faut pas faire ce genre de blague à des gens qui ont une imagination visuelle développée... j’en ris encore tout seul devant mon ordi comme un nigaud... rv1729 31 août 2009 à 23:35 (CEST)[répondre]

    La veuve de Carpentras[modifier le code]

    Bonjour, De quand date cette appellation et qui l'a inventée ? Merci à tous :AD 21 Vendredi 28/08/09 15h59

    J'ai réussi à trouver que c'est l'équivalent en français de the Tallahassee widow [9]. Mais à part ça... --Serged/ 28 août 2009 à 16:19 (CEST)[répondre]
    « La veuve de Carpentras est imaginée par Gérard de La Martinière, en mars 1989. Du temps où il officie comme sous-directeur de la Comptabilité publique... » [10]. Lire aussi Les Echos, en 1999. HaguardDuNord (d) 28 août 2009 à 16:38 (CEST)[répondre]

    Un film de guerre au Moyen-Age[modifier le code]

    Bonjour ô pythies pleines de sagesse,

    je me permet de vous écrire afin que vous m'aidiez à retrouver un film que j'ai vu il y a plusieurs années et que j'aimerais retrouver.

    Le film se déroule au Moyen-Age, en Europe. Une bande de mercenaires menée par un certain Martin s'empare d'une ville pour le compte d'un noble en échange de la promesse de pouvoir pillée la cité une fois celle-ci vaincue. Le noble les trahi et les fait chasser sans les payer. La bande se débâcle et en chemin ils enlèvent une princesse qui sera violée par Martin. Finalement, la bande s'installe dans un château, prend une statue de Saint-martin comme protecteur et les pillards shabillent tout en rouge. La peste finie par les chasser du château.

    Quelqu'un ou quelqu'une parmi vous saurait-il reconnaître ce film ?

    Merci d'avance.

    --Martin C. (d) 28 août 2009 à 19:25 (CEST)[répondre]

    La Chair et le Sang (film). --gede (dg) 28 août 2009 à 21:07 (CEST)[répondre]
    C'est bien ça. Mille mercis. --Martin C. (d) 28 août 2009 à 22:10 (CEST)[répondre]

    Le corsaire[modifier le code]

    Bonjour, l'un ou l'une d'entre vous peut elle m'aider à retrouver l'interprète de la chanson suivante. Elle date des années 50. Je croyais qu'il s'agissait d'Armand Mestral, mais l'article ne traite que de sa filmographie.

    Où est tu camarade où est tu ?
    En prison et le ciel pardessus
    Que fais tu camarade, que fais tu ?
    Un corsaire, fait toujours un pendu
    J’en ai passé des nuits d’amours
    Chacun pour soi, chacun son tour

    Etc.

    Merci. --Kkbs (d) 28 août 2009 à 20:07 (CEST)[répondre]

    Mais tu as raison. La complainte du corsaire Dhatier jasons-z-en 28 août 2009 à 20:16 (CEST)[répondre]

    Merci Dhatier --Kkbs (d) 28 août 2009 à 21:06 (CEST)[répondre]

    Faites des gosses[modifier le code]

    Chère pythies que si souvent je me réjouis de lire, avez-vous déjà entendu parler de cette étrange horloge biologique, pas celle-là, mais celle qui fait vouloir des enfants vers 25, 30 ans, et qui devient de plus en plus pressante si l'on n'obtempère pas ? Moi, oui, et je m'interroge. Y aurait-il une hormone qui dit "faites des gosses" ? Adrien' [1729] 28 août 2009 à 23:44 (CEST)[répondre]

    Non, c'est un comportement social, voir culturel. Cette volonté d'avoir des enfants à 25/30 ne touchent pas tout le monde, et n'est pas présente dans de nombreux pays (typique de l'occident, et encore, peut-être pas partout). Agrafian Hem Rarko (me parler) 28 août 2009 à 23:57 (CEST)[répondre]
    Je précise : c'est aussi mon avis, je voudrais juste pouvoir répondre aux gens qui évoquent une nécessité biologique que c'est n'importe quoi. Adrien' [1729] 29 août 2009 à 03:10 (CEST)[répondre]
    À mon sens, c'est un peu plus qu'un comportement social ou culturel. Si la Nature sélectionnait les individus qui n'ont pas envie de se reproduire, il y a longtemps qu'il n'y aurait plus personne... L'injonction divine « Croissez et multipliez! » est secondaire, ce besoin est profondément inscrit dans la machine; c'est chimique. - Xofc [me contacter] 29 août 2009 à 06:41 (CEST)[répondre]
    Ce que la nature a certainement mis en nous, c'est la pulsion sexuelle, et le caractère fortement agréable de l'activité consistant à s'accoupler. Cela tend à signaler que la pulsion "avoir des enfants" n'est pas si forte que cela : sinon il n'y aurait nul "besoin" de tout cela pour induire les hommes (comme la plupart des autres espèces) à se reproduire. La capacité à dissocier la sexualité plaisir de la sexualité reproduction est trop récente dans l'histoire de l'homme pour avoir eu des conséquence phylogénétiques en créant une pulsion spécifique vers la "sexualité reproduction". Enfin, il me semble n'étant pas biologiste. gede (dg) 29 août 2009 à 07:07 (CEST)[répondre]
    Ce serait donc le seul 'truc' inventé par la Nature et ce bon monsieur Pincus aurait résolu le problème en supprimant les effets indésirables au risque de provoquer l'extinction de l'espèce. ;-) Une question annexe est de savoir si la différenciation jouer à la poupée/jouer aux petits soldats est uniquement culturelle ou s'il existe une prédisposition liée au sexe. -- Xofc [me contacter] 29 août 2009 à 10:05 (CEST)[répondre]
    Il me semble que ce sont surtout les femmes qui ont un besoin irrépressible et instinctif de faire des gosses. Moi par exemple, je n'y tiens pas du tout. J'aime bien les gosses quand ils sont bien élevés, pas trop près et pas trop longtemps. Je suis définitivement allergique aux hurlements et aux couches-culottes. De plus, l'évolution de l'enfant vers l'âge stupide de l'adolescence a de quoi plonger n'importe quel être raisonnable dans la consternation. Et si on songe qu'en plus, le futur ex-ado va se retrouver au chômage et donc à votre charge pendant de longues années encore, on se demande bien pourquoi il faudrait à tout prix passer au stade de la production. On a bien moins de problèmes avec le préservatif. Félix Potuit (d) 29 août 2009 à 10:59 (CEST)[répondre]
    J’ai l’impression que cette légende est liée au fait que la vie et la fertilité sont des phénomènes transitoires. On est toujours un peu emmerdé à l’idée que si on fait pas un truc maintenant, on ne pourra plus jamais le faire. Alors il y a peut être chez certaines femmes, à partir de la trentaine, un raisonnement du type « il sera bientôt trop tard »... joint à la pression de normalité (une personne normale est maquée, un couple normal a au moins un enfant), ça peut suffire à créer un sentiment de besoin...
    En ce qui concerne la poupée et les petits soldats, c’est tellement incongru d’envisager que ça fait partie du patrimoine génétique des primates que je ne sais même pas quoi dire pour réfuter... les bras m’en tombent. rv1729.
    Je n'ai jamais entendu parler d'une hormone qui stimulerait le désir de faire un gosse à cet âge... Par contre rv a raison : à un certain âge, bien des femmes qui n'ont pas encore enfanté se disent "Si j'attends encore, je ne pourrai plus" ou "je mettrai ma vie / celle de l'enfant en danger". Je ne sais si la pression de la normalité intervient. Mais je sais que le désir de se perpétuer existe bien. Chez la femme comme chez l'homme qui y ajoute souvent le désir de perpétuer son nom, celui de sa famille. Ce désir-là fait passer outre l'appréhension de la douleur à l'accouchement, le risque d'y perdre la vie (mais oui, encore et toujours...), les hurlements du bambin, les langes, le cout de l'éducation voire de la dot ou de l'établissement, les possibilités de frasques de l'ado, etc. L'être humain n'est fondamentalement différent des autres espèces ; il se reproduit et assure la continuité de la sienne... --Égoïté (d) 29 août 2009 à 15:58 (CEST)[répondre]

    Vu à la télé il y longtemps, une personne qui prétendait que ce désir d'enfant venait de l'espace, donc nous ne serions en rien responsable, la chose est forcée par un destin que l'on ignore. L'émission traitait d'horoscopes etc. et un des intervenants a avancé (affirmé) ce propos. Suivait toute une explication que je n'ai pas retenue. --Kkbs (d) 29 août 2009 à 18:57 (CEST)[répondre]

    Merci pour ces réponses qui, si elles ne correspondent pas toutes à ma demande initiale, m'intéressent énormément. Je ne puis m'empêcher d'y répondre à mon tour : selon moi, les femmes ne font qu'exprimer plus ce que les hommes pensent et vivent tout autant, conformément aux rôles appris des unes et des autres. En outre, l'âge où une telle pression sociale devient sensible (ou pénible) est décalé, un peu plus tardif pour les hommes. Il se trouve que j'adhère à la plupart des arguments de Félix Potuit. Or, si je suis biologiquement une femme, ce n'est pas mon genre. Ce qui éclairera peut-être aux yeux de Xofc la part "naturelle" des comportements décrits. (Je reviens d'une interminable partie de petits soldats et ne me sens décidément concerné' par les poupées d'aucune sorte.) Adrien' [1729] 30 août 2009 à 03:49 (CEST)[répondre]

    Quant à l'idée qu'une femme pourrait vouloir se saisir de l'opportunité biologique "avant qu'il ne soit trop tard", je n'y avais pas pensé en termes de différence entre hommes et femmes. L'hétéropatriarcat est partout, brandissant son image d'Épinal du couple. Il est vrai qu'un homme peut, et ceci même au sein d'un couple classique et en considérant que sa compagne approche de l'âge fatidique, s'imaginer procréer bien plus tard. Je ne saurais attribuer des poids respectifs dans la moindre expression par les hommes d'un désir d'enfant à cette pensée et à la traditionnelle réserve "masculine" sur ce sujet, ou à la moindre sanction sociale de la non-parentalité chez un homme. Et "vous" ? Adrien' [1729] 30 août 2009 à 04:13 (CEST)[répondre]
    (Je continue un peu dans mon idée parce que je n'ai pas encore assimilé celle des autres...) Il n'y a bien sûr pas de gène 'jouer à la poupée', mais, sans être éthologue, je suis convaincu que le comportement des animaux est fortement lié à leur sexe. Et, pas uniquement au moment de la parade. L'origine doit en être génétique, c'est une question de chimie. Je n'ai pas connaissance non plus d'une hormone particulière qui provoquerait le désir de fonder une famille. Mais, il existe des hormones qui modifient le comportement. Par exemple l'ocytocine qui semble induire le comportement maternel. Le démon de midi aurait-il (lui aussi) une cause hormonale? ;-) (Créer l'article ou faire une redirection vers crise de la quarantaine?). -- Xofc [me contacter] 30 août 2009 à 07:01 (CEST)[répondre]
    (conflit d'édition) Oui, il y a réelle différence entre la femme et l'homme quant aux possibilité de procréer et quand on parle d'hommes âgés qui viennent d'avoir un enfant, on pense automatiquement que c'est d'une femme plus jeune car il n'est pas encore dans nos habitudes de songer que ce couple pourrait faire appel à un certain médecin italien par exemple. D'autre part, nous avons tendance à condamner moralement le parent âgé qui engendre car le risque pour l'enfant est de se trouver orphelin et sans son appui naturel (voir la dame de 60 et des ans devenue mère et récemment décédée). Oui, le désir d'enfant existe pour les deux genres et oui, les deux en parlent mais souvent chacun avec ceux de son genre. J'ai constaté qu'il est plus fréquent pour une femme de demander des nouvelles de ses enfants à une autre femme qu'à un homme, mais aussi que les hommes entre eux s'en demandent souvent. Je n'ai, dans mon entourage, jamais constaté de sanction sociale pour non-parentalité, que ce soit vis-à-vis d'une femme ou d'un homme. Amitiés, --Égoïté (d) 30 août 2009 à 07:13 (CEST)[répondre]
    "le comportement des animaux est fortement lié à leur sexe" ? Plutôt à leur espèce, non ? Il y en a où c'est le mâle qui s'occupe des petits et non la femelle. --Égoïté (d) 30 août 2009 à 07:15 (CEST)[répondre]
    Oui, mais au sein d'une même espèce, j'ai dans l'idée qu'un oeil exercé peut déterminer le sexe à partir du comportement. Mais, c'est peut-être parce que j'ai trop lu de Marsupilami (*) et vu trop de Disney quand j'étais petit...  ;-) ((*) C'est extraordinaire comme Franquin est parvenu à différencier ces boules de poils à longue queue; c'est à la fois subtil et évident) -- Xofc [me contacter] 30 août 2009 à 08:21 (CEST)[répondre]
    C’est le pire exemple que tu puisses trouver : les marsupilamis de Franquin sont nettement anthropomorphes, les comportements sexués qu’il leur prête sont calqués sur tout ce qu’il y a de plus évidemment culturel chez l’homme... (talons aiguilles, parfum...)
    Je suis extrêmement sceptique quand à la capacité du biologique à déterminer des comportements sociaux complexes. Quelques hormones plus ou moins bien dosées vont certes modifier notre agressivité, notre libido, etc ; mais tout ça s’exprime à travers des comportements codifiés. Il est bien évident, comme tu l’as dit, que les comportements, et même sans doute les structures sociales, qui favorisent la reproduction sont sélectionnés positivement, mais il n’est en rien évident que le support de cette sélection soit biologique (ni chez nous, ni chez d’autres animaux. Jamais entendu parler de ces tigresses nées en captivité qui, lorsqu’on tente de les réintroduire dans des parcs naturels, délaissent leurs tigrons sitôt après la mise bas ?).
    Il est évidemment difficile de réfuter totalement l’existence d’une composante biologique dans les différences comportementales. Les mâles ont quelques gènes de plus sur leur chromosome Y (dont SRY), qui peuvent suffire à activer en cascade d’autres gènes sur les chromosomes autosomaux ; les femmes ont deux chromosome X, et ça peut créer des différences biologiques autres que sexuelles (en particulier une meilleure vision des couleurs) ; il existe aussi des phénomènes d’empreinte qui peuvent être le support de différences sexuelles.
    Cependant... y a pas grand chose qui résiste à l’examen. Comme le dit Adrien’ il est évident que nous apprenons nos rôles sociaux. Pour en rester aux jeux des enfants, si tu ouvres un peu les yeux et que tu as la chance d’évoluer dans des milieux dit « culturellement favorisés » (où on ne dira pas trop souvent à un tit mec/une tite gamine « joue pas avec ça c’est pour les filles/les garçons ») tu verras des petits garçons jouer avec des bébés roses et des petites filles pousser des engins de chantier miniature en faisant brrrrr (malheureusement, quand ils arrivent à l’école, leurs camarades se chargent de leur apprendre la normalité).
    Adrien’, je pense que tu sais que je ne peux qu’adhérer quand tu dis que les mecs ont tout autant envie d’enfant que les femmes Émoticône ! (et ça peut vouloir dire « tout aussi peu », caro Félix). rv1729
    Je m'engage rarement dans ce genre de débat, parce qu'il relève de l'échange de convictions entre croyants, et que rien ne fait généralement vaciller la foi de chacun. J'observerais seulement ceci : les partisans du biologique manquent de voir ce que le biologique a réellement mis en nous et qui est d'une nature très différente de ce qu'il a mis dans les autres espèces animales auxquels ils se référent. Le propre de l'homme, c'est précisément d'avoir une nature qui lui permet de dépasser la naturalité : nous avons une conscience, et nous entreprenons la totalité de nos actions humaines en fonction de celle-ci. Aucune pulsion animale n'existe qui ne passe par la médiation de cette conscience et des intentionnalités qui lui sont propres. On a affaire à des phénomènes émergents, qui rendent vain l'analyse à partir des pulsions "animales" comme il est vain de vouloir analyser les pulsions animales à partir de la physique quantique qui pourtant les régit. Cette intentionnalité des actions humaines confère à l'homme une particularité fondamentale : l'homme est le seul animal qui produit consciemment de la société pour vivre, comme le dirait Maurice Godelier. Il crée de la société, et il l'a reproduit, volontairement, consciemment ; de même qu'il la transforme. C'est pour cette raison qu'il y a une multitude de formes de société, alors que les variations dans les sociétés animales sont extrêmement réduites. Pour dire les choses différemment, si il existe d'autres animaux sociaux, nous sommes les seuls animaux à réellement disposer d'une culture, c'est à dire d'un ensemble de représentation mentales et de pratiques liées entre elles, à partir desquels nous organisons notre vie sociale. Or, la plasticité culturelle des sociétés humaines défit toute analyse biologique simple. Elle force à comprendre comment s'élaborent ces contenus culturels, et comment ils se reproduisent : et le biologique joue une place seconde dans cela. S'il n'en était pas ainsi, il n'y aurait précisément pas cette infinité des cultures humaines. Cela n'interdit pas l'existence d'invariants parmi ces cultures, comme ceux auxquels se sont attaché les structuralistes. Mais ces invariants sont en petit nombre : seul la prohibition de l'inceste est véritablement générale. Même la domination des femmes par les hommes n'est plus véritablement un invariant, en ce sens que nos sociétés contemporaines procèdent lentement et consciemment à sa disparition. Ce qui est par contre toujours présent c'est une série de questions existentielles qui n'existent précisément que parce que nous sommes doués de consciences et non pas régis par des mécanismes infra-conscients. Parmi ces questions existentielles, qui font la condition humaine, la plus commune tourne autour de la double interrogation que crée la vie. Nous sommes les seuls animaux à savoir que nous allons mourir. Nous sommes les seuls à savoir consciemment que nous pouvons faire naître des enfants, crée de la vie, si nous le désirons. Toutes les sociétés humaines ont élaboré des contenus culturels qui s'efforcent de rendre compte de ces deux interrogations. L'interrogation qui résulte du fait que nous enfantons consciemment a pris un tour particulier, qu'esquisse RV plus haut : la transformation de notre vie sociale (poursuite des études tardivement, etc.) a pour conséquence que nous sommes en état (social) de procréer à un âge où il ne nous reste plus beaucoup de temps (biologique) pour le faire. L'âge (25/30 ans) qui est donné dans la question initiale correspond précisément au moment où nous pouvons, aujourd'hui, sociologiquement, avoir des enfants, c'est-à-dire fort tard biologiquement puisqu'à 30 ans il ne reste plus que 10 ans, à une femme, pour avoir un enfant. Pourtant, aujourd'hui, c'est pratiquement l'âge moyen de la naissance du premier enfant pour les femmes françaises. Ces interrogations, et la façon que nous avons de nous en saisir en inventant cette "pulsion" biologique, n'existent absolument pas dans toutes les sociétés humaines qui nous ont précédé et où les femmes commençaient leur vie de mère bien plus tôt. gede (dg) 30 août 2009 à 11:56 (CEST)[répondre]

    bonjour, je voudrais juste savoir comment on prononce le nom de Victoria MXENGE ? vous aurez compris qu'il s'agit de son nom de famille et non de son prénom ! merci d'avance

    Si j'ai bien suivi l'article en:Xhosa language, le x représenterait l'un des six "clics latéraux" de la langue xhosa, et pourrait se comparer au son émis "pour appeler les chevaux"... Bon courage ! Félix Potuit (d) 29 août 2009 à 16:14 (CEST)[répondre]
    L'article Clic (phonétique) donne tout de même des explications abordables. Adrien' [1729] 30 août 2009 à 03:20 (CEST)[répondre]
    Je serais quand même curieux de savoir comment on peut prononcer ce son juste après un "m". C'est le cas-type où la présence d'un fichier-son en ligne remplacerait avantageusement de longues explications théoriques. Félix Potuit (d) 30 août 2009 à 09:47 (CEST)[répondre]
    Après, ou en même temps ? Si c'est clic sonore, le m peut aussi bien indiquer qu'il se produit bouche fermée. rv1729

    matiéres grasses[modifier le code]

    bonjour j'aimerais savoir s'il y a des matieres grasse dans la créme fraiche et la creme de marons et si oui quelle pourcentage au minimum merci d'avance. qulqu'un peut -il m'aider?

    Dans la crème fraîche bien sûr, mais le pourcentage est variable selon les cas. Pour la crème de marron, ce n'est pas réelement de la crème, c'est plutôt comme de la confiture, donc sucré mais non gras. Agrafian Hem Rarko (me parler) 29 août 2009 à 18:16 (CEST)[répondre]
    La teneur de matière grasse de la crème fraiche est indiqué sur l'emballage (crème fraiche allégée 18% par exemple signifie 18% de matière grasse). La composition d'une crème de marron "grand-mère" est : brisures de marrons glacés + pulpe de marrons + sirop de confisage + sucre + vanille (éventuellement), donc peu de graisse (mais gavé de sucre).Cobra Bubbles Dire et médire 29 août 2009 à 18:23 (CEST)[répondre]

    Quel recour a t'on si on ne possede pas l"etat des lieux de sortie ?[modifier le code]

    Bonjour, J'ai quitté un appartement il y a un mois. En rendant les clé j'ai signé l'état des lieux de sortie mais le bailleur ne m'a pas donné de duplicata. Et maintenant il me réclame des frais de caution (il ne me l'a pas encore rendu), alors qu'à l'établissement de l'état des lieux de sortie il n'y avait pas de réparations à effectués. Je voulais savoir quels recours j'avais et aussi qu'elle est la date de prescription pour que le bailleur puisse signaler des vices cachés. Merci d'avance a tous.

    Renfora

    En France, il existe des organismes de conseil aux locataires, les ADIL. Pour les autres pays je ne sais pas. Si vous ne trouvez pas d'aide rapidement, je vous conseille (sans être expert') de commencer par une réponse en recommandé avec accusé de réception, lui demandant de vous fournir un duplicata du document que vous avez signé, sans vous engager à rien ni annoncer que vous refusez quoi que ce soit. Quelque chose comme : Votre courrier me laisse perplexe car l'état des lieux de sortie que nous avons établi ensemble ne faisait état d'aucune réparation à effectuer. Je vous prie de me faire parvenir rapidement le double de ce document, que vous ne m'avez pas fourni lors de sa signature. ne devrait pas pouvoir être retourné contre vous. Bon courage. Adrien' [1729] 30 août 2009 à 03:14 (CEST)[répondre]
    Bonjour. De toute manière, s'il y a un recours quelconque devant un tribunal ou un médiateur, la première chose qui sera examinée sera le fameux état des lieux, parce que c'est lui la preuve de l'état dans lequel l'appartement a été laissé, donc il n'y a pas de problème de copie (sauf s'il s'amuse à faire un faux). Il faut surtout savoir rapidement pourquoi il réclame des frais, normalement ça doit correspondre à des dégradations qui ne relèvent pas d'un usage et d'une usure normale, et là, c'est à lui de dire ce qui ne va pas, et d'apporter la preuve que ces dégradations figurent sur l'état des lieux. Il n'y a pas de délai particulier pour des « vices cachés », l'état des lieux sert précisément à examiner ça de manière contradictoire. Après, si vous n'êtes pas d'accord sur le côté « normal » ou non de telle dégradation, à la limite ce sera à un tribunal de trancher en fonction de ce qui aura été décrit sur l'état des lieux. Biem (d) 30 août 2009 à 08:33 (CEST)[répondre]
    Je me souviens qu’un monsieur connu pour avoir gagné maints procès contre des agences immobilières lyonnaises m’a jadis conté que si au bout d'un mois le bailleur n'a pas présenté de facture correspondant à ses exigences, il ne peut plus rien retenir de votre caution ; sans garantie de ma part... Allez d’urgence dans une ADIL, comme vous le suggère Adrien’, ou dans toute association équivalente. Restez prudent tant que vous n’avez pas une aide juridique éclairée. rv1729

    suppression d'article[modifier le code]

    Bonjour,

    Pourquoi l'article de présentation de l'universitaire algérien, Mokhtar Lakehal, et de son oeuvre, a été effacé --88.160.186.59 (d) 30 août 2009 à 09:45 (CEST)?[répondre]

    Quand on essaye de recréer l'article (ou, en faisant une recherche dans Spécial:Journal), on peut lire : « 21 août 2009 à 18:38 Tinodela (d · c · b) a supprimé « Mokhtar Lakehal » (Violation de copyright : + Copie de site web sans autorisation explicite !) ». Et en jouant un peu à Sherlock Holmes, on apprend que c'est suite à une demande de Kilianours (d · c · b) [11]. L'article aurait été une copie de [12]. -- Xofc [me contacter] 30 août 2009 à 10:13 (CEST)[répondre]
    Voir aussi : Wikipédia:Le copyvio pour les nuls. -- Xofc [me contacter] 30 août 2009 à 10:18 (CEST)[répondre]
    Par ailleurs, une fois ce problème de copie sans autorisation explicite d'un site web, il restera à examiner si l'auteur respecte les critères d'admissibilité sur Wikipédia. Ce dernier point ne me semble pas établi : bien qu'il ait beaucoup publié, il a pour l'essentiel écrit des ouvrages scolaires ou des manuels qui ne rentrent pas dans le cadre des travaux scientifiques justifiant l'inclusion d'un chercheur dans Wikipédia. Bref, il restera à prouver la notoriété particulière de cet auteur au sein du champ universitaire qui est le sien. gede (dg) 30 août 2009 à 11:14 (CEST)[répondre]
    Heu 65 résultats lui sont attribués dans Sudoc (effectivement beaucoup de manuels, comme le signale Gede). Vuibert, l'Harmattan, Ellipses, etc. lui trouvent des qualités rédactionnels, en tout cas. Ne soyons pas trop pointilleux, les pédagogues ont leur place ici aussi :-) Son témoignage sur les pratiques universitaires des années 70-90 est peut-être intéressant, de plus. Piero (d) 30 août 2009 à 12:47 (CEST)[répondre]

    CST THONON ;;;[modifier le code]

    JE suis thononais de naissance et de coeur.En 1941,j'étais cadet à la STELLA THONON,mais supporter du CST.Pourriez-vous me faire l'historique du CST pendant la guerre.Y a-t-il un lien avec ETG? Quel a été le role de Joseph-MOYNAT? Cordialement VOTRE RJ

    N'hésitez pas à compléter vous-même les articles concernés :
    et d'une manière générale tous les articles de Catégorie:Thonon-les-Bains. Vous semblez le mieux placé pour le faire (et, en plus, vous savez déjà comment écrire dans Wikipédia :-).  ;-) -- Xofc [me contacter] 30 août 2009 à 13:27 (CEST)[répondre]

    Limite entre préhistoire et protohistoire[modifier le code]

    Bonjour,
    La limite entre préhistoire et protohistoire se définit par l'apparition de traces écrites concernant un peuple ; je présume qu'il s'agit d'une convention établie par les historiens. Une Pythie saurait-elle de quand date cette convention et éventuellement qui en a eu l'idée.
    Certains peuples ou certaines tribus sont de découverte récente (c'est le cas de tribus amazoniennes et de peuplades indonésiennes mais je n'ai pas le temps de chercher les sources) ; peut-on dire qu'ils sont encore actuellement en période protohistorique puisque les écrits les concernant sont récents, ou passent-ils directement de la préhistoire à l'histoire ?
    Merci de vos lumières. Cordialement. --doc103 (d) 30 août 2009 à 14:54 (CEST)[répondre]

    Apparemment, l'inventeur du terme (en Français du moins) serait un nommé René Dussaud, dans son ouvrage Les civilisations préhelléniques dans le bassin de la mer Égée, sous-titré « études de protohistoire orientale ». C'est du moins ce que donne le TLFi : « Étymol. et Hist. 1910 (R. DUSSAUD, Les Civilisations (etc.) ». Comme tu le dis, c'est une convention et plus précisément, elle concerne la période durant laquelle, après que des formes d'écriture aient été inventées en certains endroits d'Asie et d'Afrique du Nord (le « Moyen Orient »), des peuples de cette zone ou proches (Europe, Asie centrale) n'en disposaient pas et vivaient dans des systèmes culturels de types qu'on classe comme « préhistoriques ». La protohistoire est donc une période, en gros entre -5000 et -1000, à 500 ans près. De ce fait, les peuples dont tu parles ne sont pas considérés « protohistoriques ». En revanche ils furent qualifiés (ainsi que quelques autres en Océanie ou en Afrique) de peuples « sans histoire » (et non pas sans histoires...) pour la raison même qui fit qualifier certains peuples de protohistoriques : un peuple sans écriture est censé ne pas avoir la mémoire événementielle de son histoire – ce qui n'est plus si évident depuis que la notion a été inventée. -O.M.H--H.M.O- 30 août 2009 à 16:05 (CEST)[répondre]
    Un autre élément que l'article ne mentionne pas, c'est qu'il peut y avoir des récits (sacrés / mythologiques / ...) qui se transmettent de manière relativement stabilisée dans une civilisation, qui reflètent des évènements historiques à la base, mais sont tellement déformés que l'évènement initial devient assez méconnaissable, et que l'histoire elle-même n'est plus nécessairement perçue comme historique: par exemple, la guerre de Troie vue par Homère, ou le Déluge comme interprétation de l'inondation de la Mer noire. Dans tous les cas, ce n'est ni vraiment de la préhistoire (puisqu'on en a des traces verbalisées), ni réellement de l'histoire (parce que ce que l'on a conservé ne se rattache pas à des archives historiques, mais à des constructions mythiques intermédiaires). La protohistoire correspond alors à cette zone où les récits oraux traditionnels ont duré jusqu'à leur fixation par l'écrit. Biem (d) 30 août 2009 à 20:43 (CEST)[répondre]
    Enfin, on peut ajouter à tout ça que les notions de périodes « préhistorique », « protohistorique » et « historique » sont avant tout idéologiques, au départ : dans cette conception, la protohistoire est la période où les peuples possédant une écriture ne sont pas « entrés dans l'Histoire », c'est-à-dire, ne racontent pas des événements historiquement attestables mais plutôt des récits mythiques ou mythologiques. Le titre de l'ouvrage cité est explicite quant aux motifs d'ordre idéologique qui ont présidé à cette division des époques : les « civilisations préhelléniques » ne peuvent faire l'objet que d'une « études de protohistoire orientale », car l'Histoire avec un grand H (ou comme disait l'autre, l'Histoire avec une grande Hache..) commence seulement avec la civilisation hellénique et sa suivante, la civilisation romaine... -O.M.H--H.M.O- 30 août 2009 à 21:53 (CEST)[répondre]
    Je m'interroge sur ce que vous dites, Olivier et Biem, et qui ne correspond pas à ce que je crois savoir. Olivier nous dit que l'expression "peuple sans histoire" signifie "sans mémoire historique". Il me semble que l'expression remonte à Hegel, et qu'elle veut bien dire peuple dépourvu littéralement d'histoire : non pas au sens de dépourvu d'événements (comme des guerres), mais dépourvu de transformations sociales véritables : à la structure sociale, à la culture, immuables. Hegel qualifiait même, en ce sens, les habitants de l'Inde de "peuple sans histoire", car enfermés, selon lui, dans une tradition pétrifiée. Cette idée était extrêmement présente dans les débuts de l'ethnographie : les peuples premiers étaient censés être des peuples sans histoire dans ce sens là. Elle a toutefois était lentement infirmée. Ainsi Marcel Mauss en était venu à considérer qu'il n'existait que deux peuples vraiment primitifs, car réellement dépourvus d'histoire (les Australiens et les Fuégiens). C'est Claude Levi-Strauss, dans un texte célèbre, qui franchissant le dernier pas, entreprend le démontage de l'idée elle même, écrivant : "un peuple primitif n'est pas davantage un peuple sans histoire, bien que le déroulement de celle-ci nous échappe souvent" (Anthropologie structurale, p. 120 de l'édition de poche). Il y a donc bien une puissante charge idéologie à cette expression : elle est dans l'opposition de peuples capables d'invention, de transformation, de progrès que l'on oppose à des peuples enfermés dans la tradition, sans transformation, sans progrès. La critique de l'expression en raison de cette charge idéologique est d'ailleurs maintenant devenue un poncif, remâché à toutes les sauces. Par ailleurs, il me semble que la protohistoire est couramment définie, comme la période où certains peuples sans écriture sont entourés par des peuples qui en font usage, et qui ont laissé des témoignages écrits sur les premiers, comme les Gaulois avant la colonisation romaine, et dont on peut, pour cette raison, de manière incomplète, écrire l'histoire. A ce que je crois comprendre, il n'y a donc pas de rapport avec le mode de construction de la conscience historique de ces peuples (même si on dispose d'études importantes sur la façon dont l'apparition de l'écriture a conduit à transformer les récits mythiques, notamment ceux de Jack Goody (La raison graphique. La domestication de la pensée sauvage)). gede (dg) 30 août 2009 à 22:23 (CEST)[répondre]
    Je suis d'accord avec toi pour l'acception hégélienne, mais aussi d'accord avec la suite, sur « les débuts de l'ethnographie : les peuples premiers étaient censés être des peuples sans histoire dans ce sens là ». Les fondateurs de l'ethnographie ont précisément pris pour objet les « peuples premiers » (qu'à l'époque on appelait avec moins de précautions « primitifs » ou « sauvages ») parce que dans leur cas l'absence apparente de systèmes d'écriture « expliquait » leurs situation anhistorique.
    Pour le terme « protohistoire », ce que tu donnes est l'acception actuelle, qui rationalise son emploi et donc son sens ; notre questionneur s'intéressait à deux choses : son moment d'apparition et son possible usage pour des situations contemporaines, ou au moins assez récentes. Sur le second point c'est clair : la protohistoire est une période, que j'avais certes un peu élargie et décalée, entre -3500 et -500, à 500 ans près, donc ne s'appliquant pas à des situations du XXe siècle, moins encore du XXIe siècle ; pour la première, ça me semble aussi assez clair : le fait qu'elle soit « définie comme la période où certains peuples sans écriture sont entourés par des peuples qui en font usage, et qui ont laissé des témoignages écrits sur les premiers, comme les Gaulois avant la colonisation romaine, et dont on peut, pour cette raison, de manière incomplète, écrire l'histoire » confirme mon assertion : cette définition vaut pour toute la période allant, en gros, de -2500 à +2000, même si la validité des témoignages d'époque avant, en gros, +1500, est souvent douteuse, donc la restreindre pour l'essentiel à la période -2000 à +200 est à l'origine idéologique et considère le cas des peuples d'Europe occidentale et méditerranéenne qui ne disposent pas encore de l'écriture. Cela dit, même s'il en reste une trace dans le nom même, la notion actuelle est plus de commodité qu'autre chose, la protohistoire est la période allant du chalcolithique jusqu'au second âge du fer, voilà tout. -O.M.H--H.M.O- 31 août 2009 à 00:02 (CEST)[répondre]
    Tu as des source sur le fait que la définition actuelle de protohistoire que je donne est une "rationalisation" d'une acception initiale différente ? gede (dg) 31 août 2009 à 00:12 (CEST)[répondre]
    Et non, pas de sources, juste la simple preuve de l'évidence : les mots « protohistoire » et « préhistoire » n'on de sens que dès lors qu'on suppose qu'une « histoire » n'est envisageable que pour les peuples disposant d'une écriture : la préhistoire est « ce qu'il y a avant l'Histoire », la protohistoire, comme l'indique son premier formant, proto ==> « qui se situe au commencement de » ou « qui est immédiatement antérieur » (TLFi), est donc « ce qui se situe au commencement de l'Histoire ». Cela dit, je n'écrivais pas que c'est une rationalisation du terme mais qu'on rationalise son usage, ce qui est assez différent ; les historiens actuels ne sont pas sujets à un « processus inconscient ou non par lequel [ils ont] une certaine tendance à considérer comme des choix personnels dictés par une attitude rationnelle ce qui est souvent le résultat de concours de circonstances » : ils héritent d'un appareil terminologique forgé dans un certain contexte, n'ont guère moyen de s'en défaire mais du moins, en font un usage rationnel en appliquant ces termes à des périodes données, sans tenir compte de leur substrat idéologique initial. -O.M.H--H.M.O- 31 août 2009 à 00:41 (CEST)[répondre]

    tianeptine[modifier le code]

    La tianeptine.

    comment agit la tianeptine ?--90.33.175.80 (d) 30 août 2009 à 19:28 (CEST)[répondre]

    logo Chère visiteuse, cher visiteur. C'est avec plaisir que nous répondrons à votre question si nous le pouvons, mais nous aurions grandement préféré qu'elle fût formulée avec un peu plus de courtoisie : bonjour, s'il vous plaît et merci sont toujours appréciés. Bonne navigation sur Wikipédia.
    Si vous lisez l'anglais, rendez-vous sur l'article de la Wikipédia anglophone, ou un article en français ici. Dhatier jasons-z-en 30 août 2009 à 19:44 (CEST)[répondre]
    Sinon, je suis certain que ceci devrait t'aider :
    Bonnes recherches ! -O.M.H--H.M.O- 30 août 2009 à 19:46 (CEST)[répondre]
    Bonjour, voici une traduction rapide d'un passage de l'article en:Selective serotonin reuptake enhancer qui fournit une réponse :
    « Le mécanisme précis selon lequel agit la tinapetine demeure peu clair malgré des dizaines d'années de recherches et d'utilisation du produit. Bien qu'il ait été supposé que la tinapetine puisse agir comme un modulateur allostérique du transporteur de la sérotonine sur un site différent de celui des ISRS, des recherches plus récentes suggèrent que son action directe est en fait une modification de la réceptivité des récepteurs AMPA de glutamate, ce qui conduit à une augmentation de la recapture de la sérotonine via un mécanisme qui n'est pas complètement caractérisé, mais qui semble impliquer une modification de la neuroplasticité et la sécrétion de facteurs neurotrophiques. » Le gras est de moi
    Bonne lecture. — Jérôme 30 août 2009 à 19:48 (CEST)[répondre]

    tianeptine (2)[modifier le code]

    Bonjour,

    j'ai posé la question "Comment agit la tianeptine ?". C'est la première fois que j'utilise l'oracle et je vous demande pardon si je n'ai pas été courtois. Je précise le pourquoi de ma question. Mon médecin généraliste a diagnostiqué que je souffre de dépression et m'a prescrit du stablon qui contient de la tianeptine. Je voudrais savoir comment agit ce médicament.

    D'avance merci de votre réponse.--90.33.175.80 (d) 30 août 2009 à 19:53 (CEST)[répondre]

    Bonjour, j'ai ajouté juste au-dessus la traduction d'un passage de Wikipédia qui répond à la question de façon précise mais très technique. En plus simple, ce médicament agit sur des récepteurs placés sur les cellules du cerveau (neurones), ce qui entraine une augmentation de la recapture de sérotonine par les neurones. L'augmentation de la sérotonine a un effet particulier sur l'état émotionnel, vous pouvez lire l'article sérotonine à ce sujet. Bonne continuation. — Jérôme 30 août 2009 à 20:00 (CEST)[répondre]
    Bonjour aussi, et merci de ce retour moins sec et plus descriptif. Cependant, comme déjà indiqué,
    Chaque malade est unique et nous ne pouvons donner ici que des indications générales. Dans ce cas par exemple, la description donnée ci-dessus par Jérôme de l'action de la tianeptine, « une modification de la réceptivité des récepteurs AMPA de glutamate, ce qui conduit à une augmentation de la recapture de la sérotonine », correspond largement à celle de nombreux antidépresseurs ; comme le spécifie notre article, « tous les antidépresseurs ont une activité sur les neuro-transmetteurs monoaminergiques », même si « ils n'interfèrent pas sur les mono-amines de la même manière ». Par exemple, les antidépresseurs tricycliques « vont agir principalement par inhibition de la recapture présynaptique des monoamines (effets prépondérant sur la sérotonine et la noradrénaline, dans une moindre mesure sur la dopamine) ». En consultant l'article ATC code N06, tu découvriras plusieurs molécules ayant une même description générale quant à leur action. Tu devrais demander à ton médecin plutôt qu'à l'Oracle pourquoi, dans ton cas, il a prescrit un médicament contenant cette molécule. -O.M.H--H.M.O- 30 août 2009 à 21:21 (CEST)[répondre]

    étalon de masse[modifier le code]

    Bonjour, oh grand réceptacle de la sagesse

    ma question concerne l'étalon de masse du kilogramme, je sais que le bureau des poids et mesure cherche un moyen d'indexer l'étalon du kilogramme sur une donnés physique et pas sur le modèle conservé à Paris. Pourquoi n'utilise pas le carbone 12 car on sait que 12 grammes de carbone 12 contiennent 6,02214179 x 10 puissance 23 atomes, donc pour faire un kilo, il suffirait d'une règle de trois mais je suis pas physicien. merci de ta futur réponse Oh ! Racle

    Alors, sans être spécialiste, je pencherais pour un problème de raisonnement circulaire, puisque le nombre d'Avogadro est défini comme étant le nombre d'atomes dans 12g de carbone pur... Arnaudus (d) 30 août 2009 à 20:06 (CEST)[répondre]
    Le CODATA pourrait déclarer que la valeur approchée du nombre d'Avogadro est exacte, et ils ne nous resterait plus qu'à compter des atomes pour le reste du temps de l'univers pour obtenir un étalon basé sur le carbone. Mais deux remarques : 1) quelle différence fondamentale alors entre un étalon en platine iridié (comme celui conservé au Pavillon de Breteuil) et un étalon en carbone ? On a des étalons métalliques et on en est relativement content. 2) Dans tous les cas, si on choisit un étalon « physique », on se retrouve avec les mêmes problèmes : énergie stockée sous forme de liaison chimique qui constitue une petite part de masse (équivalence masse-énergie), stabilité à long terme, nettoyage de la surface. — Jérôme 30 août 2009 à 20:10 (CEST)[répondre]
    Il est bien évident que fixer le nombre d’Avogadro à une valeur arbitraire est une bonne piste, la question est : comment utiliser cette définition ? Il faut trouver un moyen de compter (avec la meilleure précision possible) les atomes d’un bout de carbone. Je crois qu’on a depuis peu des pistes pour faire ça, mais ça n’est pas encore assez au point pour changer de définition... rv1729 30 août 2009 à 21:55 (CEST)[répondre]
    Dans 'Kilogramme#Propositions de futures définitions', il est question d'une sphère de Silicium (mais aussi de carbone). -- Xofc [me contacter] 31 août 2009 à 06:34 (CEST)[répondre]
    J'avais posé une question semblable à mon prof de physique, à une époque ou le mètre et la seconde étaient définis indépendamment l'un de l'autre (ce qui n'est plus le cas aujourd'hui : j'étais un visionnaire !) : J'avais demandé pourquoi on ne définissait pas la seconde à partir du mètre et de la vitesse de la lumière ou vice-versa. Le prof m'avait répondu que la mesure de la vitesse de la lumière n'était pas assez précise. Je suppose que le nombre d'Avogadro n'est pas connu avec assez de précision pour ça. Je pense aussi que la notion de "carbone pur" n'est pas assez précise : Il y a plusieurs isotopes de carbone, et la répartition des isotopes varie en fonction de l'origine du carbone (pensez à la Datation par le carbone 14). --Serged/ 31 août 2009 à 17:19 (CEST)[répondre]
    La difficulté qui vient immédiatement à l'esprit, c'est de compter un grand nombre d'atomes. Dès que l'on a affaire à un bloc solide, même un cristal très pur, il existe un nombre très élevè de défauts de répartition, lacunes, dislocations, qui rendent les estimations trop imprécises. Compter exactement un kilo d'atomes de C12, c'est compter environ cinq millions de milliards de milliards d'atomes. Même avec un compteur tournant à un gigaherz, un étalon d'un milligramme demande de compter pendant environ cent cinquante huit ans et six mois. Quant à peser un seul atome avec une précision suppérieure au cent-millionième, on ne sait pas encore faire. D'ailleurs, à quoi cela servirait-il ? Tant que l'on a pas d'outil pour peser avec plus de précision que l'étalon n'est défini, une définition plus précise est une complication inutile, voire trompeuse. Il est peut-être plus profitable de choisir une autre unité fondamentale que la masse (on est déjà passé d'un système longueur-temps-masse à un système longueur-célérité(vitesse)-masse, on peut très bien se baser sur un système utilisant le rapport e/m d'un électron ou d'un proton, par exemple. Le choix se fera si ça sert à quelque chose, si une méthode nouvelle et/ou de nouveaux appareils permettent de faire des mesures plus précises. Pour l'instant, mesurer une force, une accélération, ou une masse avec treize chiffres exacts est hors d'atteinte, donc une définition aussi précise pour l'étalon de masse que pour les autres unités fondamentales est au mieux une perte de temps. Colo (d) 1 septembre 2009 à 09:46 (CEST)[répondre]

    Expérience 'barbare' acquistion du langage.[modifier le code]

    Je me souviens que lors de mes études de psycho un prof nous avait fait part du récit d'une expérience faite, je crois, en Russie du temps des Tsars, où on avait isolé un enfant de tout contact, le but était de savoir quel langue allait-il développé (latin/grec, russe?) évidemment l'enfant ne développera jamais le langage...

    Je ne suis pas parvenu à retrouver trace de cette expérience, si ce n'est dans "Le cas Kaspar Hauser Autres possibilités Il a également été évoqué le fait que Kaspar Hauser ait été le fruit d'une expérience cruelle. Une question qui agita beaucoup le XVIIIe et le XIXe siècle était de savoir si un enfant éloigné de tout contact humain développerait ou non une sorte de langage, et quelle serait en ce cas la langue primale qui se dégagerait ainsi.

    Pourriez-vous m'éclairer?

    Merci

    Denis (posté par Minibus32 (d · c · b) - 30 août 2009 à 21:49}}

    L'expérience est prêtée à Frédéric II du Saint-Empire (voir partie Une large ouverture d'esprit) et, contrairement à ta perception, elle n'avait rien de barbare, au contraire c'est la preuve d'un esprit éclairé et très en avance sur son temps en ce qui concerne la démarche de type scientifique. Par contre, question respect du droit des personnes, il fut nettement moins éclairé... -O.M.H--H.M.O- 31 août 2009 à 00:14 (CEST)[répondre]
    Hérodote rapporte déjà une telle expérience (mythique), mais je n'ai pas la référence sous la main. Félix Potuit (d) 31 août 2009 à 08:00 (CEST)[répondre]
    C'est dans l'Enquête, II, 2, à propos du pharaon Psammétique III (Psammitichus). Cf. [13]. Les enfants auraient fini, après deux ans (...), par prononcer βεκός (bécos, soit pain en Phrygien) devant le souverain (mais Apollonius de Rhodes supposait qu'ils avaient prononcé bec, le cri des chèvres). ouala. Piero (d) 31 août 2009 à 14:20 (CEST) Merci Félix Potuit, pour la piste ![répondre]
    Je ne suis pas expert en la matière, mais selon toute logique, si l'enfant n'est réellement exposé à aucun contact, il ne développera aucun langage du tout. Il n'y a qu'à voir l'exemple des personnes qui naissent sourdes, et qui donc n'ont jamais entendu parler les autres personnes : elles sont muettes...Du moins elles peuvent pousser de petits cris ou babiller, mais on ne peut pas vraiment parler de langage. -Deva (d) 31 août 2009 à 20:04 (CEST)[répondre]
    Je suis d’accord sur le fait que l’expérience est très probablement fictive, et que le résultat en serait l’absence de langage ; mais je trouve l’argument de la surdité congénital insuffisant : le sourd ne s’entend pas parler, au contraire d’enfants élevés ensemble qui peuvent entendre leur propre babil et le babil de l’autre enfant. Enfin bref. rv1729 31 août 2009 à 23:37 (CEST)[répondre]