Wikipédia:Oracle/semaine 33 2009

Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Semaines : 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | 18 | 19 | 20 | 21 | 22 | 23 | 24 | 25 | 26 | 27 | 28 | 29 | 30 | 31 | 32 | 33 | 34 | 35 | 36 | 37 | 38 | 39 | 40 | 41 | 42 | 43 | 44 | 45 | 46 | 47 | 48 | 49 | 50 | 51 | 52  | 53 



Musique militaire russe[modifier le code]

(Repris de la semaine 32 2009)

Bonjour, qui saurait quel est le titre de cette musique jouée à l'ouverture de la cérémonie du 9 mai 1945 ? Entendre par ce lien [1] au début. Il est intéressant d'y voir le Drapeau de l'Union des républiques socialistes soviétiques, Merci Philippe Nusbaumer (d) 10 août 2009 à 00:10 (CEST)[répondre]

Preobrajenskyi marsh, ou Marsh preobrajenskogo polka, un truc comme ça. Il semblerait qu'elle ait déjà été connue du temps du tsar. Félix Potuit (d) 10 août 2009 à 07:57 (CEST) Confirmation ici (écouter par exemple à partir de la 6e minute, car il y a différents airs sur la bande). Pour ceux qui aiment les beaux militaires virils et sont fans de la Grande Russie... Félix Potuit (d) 10 août 2009 à 08:05 (CEST)[répondre]
Pour les amateurs et en bilingue anglo-russe : Preobrazhensky March - Марш Преображенского полка.
Merci Félix ! -O.M.H--H.M.O- 10 août 2009 à 08:24 (CEST)[répondre]
À rapprocher probablement du Régiment Préobrajensky sis à Préobrajenskoïé (mais lequel ? Cf. Preobrajensky). Cela laisse songeur : malgré 75 ans de (plus ou moins) communisme il aura fallu moins de 10 ans pour que renaisse une forte nostalgie du tsarisme et qu'on assiste à un retour massif à la bondieuserie orthodoxe... -O.M.H--H.M.O- 10 août 2009 à 08:38 (CEST)[répondre]
Régiment de la Garde Impériale (Preobrajenskiï leïb-gvardii polk). Félix Potuit (d) 10 août 2009 à 08:48 (CEST)[répondre]

le parti communiste en Tchecoslovaquie[modifier le code]

Bonjour, est-ce que le parti communiste en Tchecoslovaquie fait partie du systeme totalitaire? merci

a priori, plus depuis 1989. Mitch-mitch (d) 10 août 2009 à 15:01 (CEST)[répondre]
Ton premier réflexe aurait du être de consulter l'article sur le totalitarisme, tu aurais su que c’« est le système politique des régimes à parti unique, n'admettant aucune opposition organisée, dans lequel l'État tend à confisquer la totalité des activités de la société ». Ce qui implique deux choses : 1) le totalitarisme n'est pas défini par l'idéologie mais par le régime politique ; 2) conséquemment, si même un parti a pour but d'établir un régime totalitaire, dès lors qu'il n'est pas en état de l'établir, de fait il n'est pas totalitaire. -O.M.H--H.M.O- 10 août 2009 à 15:37 (CEST)[répondre]
Au passage il faut rappeler que la Tchécoslovaquie n'est plus un pays depuis 1992, elle peut donc difficilement avoir un même parti actif dans les deux pays en lesquels elle a été divisée. --Eutvakerre (d) 11 août 2009 à 01:26 (CEST)[répondre]
A mon tour d'avoir un doute :
Même pendant les vacances, le sage Oracle ne fait pas les devoirs à la place des étudiants. Un petit tour à la plage ?
Désolé, l'Oracle ne divulgue pas les réponses des concours. Bonne chance dans votre recherche.

Mais de rien voyons ! .Anja. (d) 11 août 2009 à 11:48 (CEST)[répondre]

Paul Lacroix[modifier le code]

Bonjour. Paul Lacroix est un érudit bien connu. Fut-il un mystificateur ? Autrement dit son Histoire des mystificateurs et des mystifiés est-elle crédible ? Merci à vous, --Égoïté (d) 10 août 2009 à 14:01 (CEST)[répondre]

Je ne sais pas si c'est vraiment ta question, mais s'il s'agit de savoir si Paul Lacroix a réellement écrit cet ouvrage, il semblerait bien, car la BNF le recense son catalogue [2]. Maintenant, si tu cherches à savoir quel crédibilité on peut accorder au contenu, aucune idée. Je suppose qu'il faut le lire comme une source du XIXe, avec toujours un peu de recul, et en se demandant où il a été pêcher ses informations ? Calame (d) 10 août 2009 à 14:57 (CEST)[répondre]
Ben oui, c'est là le problème : l'ouvrage ne cite apparemment aucune source, or l'érudit semble crédible et cet ouvrage est cité plusieurs fois, ailleurs, comme source. Est-il utilisable sur WP ? --Égoïté (d) 10 août 2009 à 22:33 (CEST)[répondre]
Appel à un(e) spécialiste XIXe siècle ! Serein ? de tes vacances ? Amitié, --Égoïté (d) 10 août 2009 à 22:58 (CEST)[répondre]
Ben, ça dépend de ce que tu veux dire par « crédible » : en consultant les premières pages, je ne relève rien qui soit « mystificateur » et ce qu'il rapporte est connu ; de même, le moment d'apparition de « mystifier » et ses dérivés (1755) correspond en gros à ce que donne le TLFi (attestés vers 1760).
Si tu veux savoir s'il est crédible en tant qu'histoire de la mystification, je dirai que non : on a plutôt affaire ici à une compilation d'anecdotes plus ou moins liées et il semble y avoir des inexactitudes, il date par exemple l'apparition de « mystification » dans un ouvrage en 1773 et dans un livre de Jean Monet, alors que le TLFi indique 1768 avec Mystification ou histoire des portraits, de Diderot. De l'autre côté, l'article de Wikipédia indique que ce texte de Diderot fut publié seulement en 1951. -O.M.H--H.M.O- 11 août 2009 à 07:22 (CEST)[répondre]
Merci O.M.H. Bizarre pour Diderot (je connaissais ça. --Égoïté (d) 11 août 2009 à 15:55 (CEST)[répondre]

Salut à tous,

A l'ère du tout numérique, nous utilisons des autoradios, numériques. J'entends par là que les mémoires sont enregistrées sur un support type mémoire flash. Pourquoi dans ce cas continuer à vendre des autoradios avec seulement 6 mémoires (ou 12 ou 18 en passant sur une autre bande)?? Et d'abord qui a décidé (et pourquoi) de mettre seulement 6 boutons de mémorisation sur un autoradio alors que la logique en voudrait 10 (de 0 à 9)?? Mitch-mitch (d) 10 août 2009 à 14:44 (CEST)[répondre]

C'est comme nos ordinateurs, qui disposent de mémoires flash, mais qui continuent à avoir la "CMOS" contenant la configuration et gérant l'heure, dépendante d'une pile. --Serged/ 10 août 2009 à 19:33 (CEST)[répondre]
Et aussi parce que les premières radios haut de gamme qui proposaient cette fonctionnalité avaient une limite : elle ne pouvaient adresser que 2⁴ boutons en tout, les potentiomètres analogiques ne comptant pas. ViZiT (d) 11 août 2009 à 08:24 (CEST)[répondre]
Normalement, en voiture, on conduit. N'avoir accès qu'à quelques boutons est une mesure de sécurité necéssaire. --MGuf 11 août 2009 à 09:06 (CEST)[répondre]
Mouaif, la notion de sécurité me paraît ici toute relative puisque certains véhicules ont des postes permettant de gérer les téléphones, donc 10 touches + le dièse et l'étoile, les téléphone vert et le téléphone rouge... Je pense plutôt que c'est, comme l'a dit ViZiT (d), un héritage d'un passé encore très proche. C'est dommage pour l'innovation. Mitch-mitch (d) 11 août 2009 à 09:21 (CEST)[répondre]
Je penche pour l'ergonomie ; avec 6 stations on doit couvrir assez largement le spectre utile des utilisateurs, pour en avoir plus on passe par le bouton qui balaye les fréquences jusqu'à la suivante. 10 boutons, c'est trop. Ne doutez pas qu'il y a eu et qu'il y aura des modèles avec plein de boutons , mais doutez qu'ils se vendent. gem (d) 12 août 2009 à 12:16 (CEST)[répondre]
La psychologie cognitive aurait plutôt tendance à dire que 7 est le nombre magique, ie le nombre d'éléments que le cerveau humain peut traiter. 6 se situe toutefois dans la "fourchette magique" : l' article de George Armitage Miller associé à ce résultat étant intitulé "Sept, le nombre magique, à plus ou moins 2 près". --Binou (d) 13 août 2009 à 01:18 (CEST)[répondre]

longévité humaine[modifier le code]

Bonjour, A la lecture de lA MARE AU DIABLE de George SAND, je suis étonné de lire : Sa femme, paralytique, ne bougeait de sa chaise depuis 20 ans. Sa mère en a cent quarante et vit encore. Qu'en penser ? AD 21 Lundi 10 Août 2009

Qu'un roman est une fiction et ne rend pas compte de la réalité de manière fiable. -O.M.H--H.M.O- 10 août 2009 à 15:39 (CEST)[répondre]
Dans L'Avare ou l'École du mensonge, un personnage flatte Harpagon en prédisant qu'il dépassera les six-vingts, là aussi une exagération de l'auteur. Par ailleurs, revenant au texte de George Sand, après 20 ans sur une chaise, la pauvre devait souffrir de terribles escarres. — Jérôme 10 août 2009 à 17:47 (CEST)[répondre]

Bonjour à tous, je recherche des indications ou un site parlant de l'analyse du mythe de Dédale et Icare (symbolique, description des personnages, sens, description d'une peinture, ...), merci d'avance.

Par exemple ici [3] Vincent (d) 10 août 2009 à 19:07 (CEST)[répondre]

Merci, mais si quelqu'un a d'autres informations sur le sujet, votre aide sera la bien venue.

Symbolique : ne cherche même pas, tu tomberas forcément sur des interprétations douteuses de pseudo-experts ;
Description des personnages : description physique ou mentale ? Dans le premier cas, il n'y a rien, dans le deuxième, rien de plus que dans leurs pages respectives ;
Sens : qu'entends-tu par là ? Pourquoi y aurait-il un sens particulier ?
Description d'une peinture : aucune idée.
Agrafian Hem Rarko (me parler) 11 août 2009 à 00:02 (CEST)[répondre]
Dans le film I... comme Icare, il y est fait (à la toute fin) un parallèle avec le Soleil qui représente la vérité et Icare se brûlant les ailes à trop vouloir s'en rapprocher. (Excellent film que je recommande, à voir aussi pour l'expérience de Milgram. Mitch-mitch (d) 11 août 2009 à 09:16 (CEST)[répondre]

bonjour je voulais savoir si une tornade peut soulever une personne ? MERCI

Cela peut soulever des toitures et des véhicules alors des personnes bien sûr. Skiff (d) 10 août 2009 à 23:50 (CEST)[répondre]
Bien installé dans les gradins, on peut même assister à une Pluie d'animaux, à quand la pluie d'humains ? Ce serait une sorte de selection naturelle dans laquelle on pourrait inclure sa belle-mère, ou les autres gens qu'on n'aime pas ? Tiens, c'est rouge ?! .Anja. (d) 11 août 2009 à 11:42 (CEST)[répondre]

Disparition du site Oniris[modifier le code]

Bonjour, Ô racle ! Il y a de cela trois ans, je m'intéressait à l'onironautisme. Je tombais alors sur une immense base de donnée : le site Oniris. Hélas, quelques temps après (trop peu pour que j'ai eu le temps d'assouvir ma soif), ce site devait disparaître. J'ai pu lire encore quelque temps ses pages grâce à la fonction " cache " de google, mais cela a également fini par disparaître. Trois ans après, il me reste toujours cette angoissante question qui hante désormais mes nuits et mes quatre heure : Mais bon sang, que s'est-il passé ? Comment un si gros site a-t-il pu disparaître comme ça, sans laisser d'adresse ? Et pourquoi une aussi grande communauté n'en a-t-elle pas recréé un ? Merci d'avance pour votre réponse. --Dahu2004 (d) 11 août 2009 à 00:44 (CEST)[répondre]

Le site a disparu parce que il était géré par une bande de 'rêveurs'. Émoticône. Il existe des sites qui 'archivent' le web, comme 'Internet Archive' ou http://webarchive.org ,... Et Wikipédia a un 'bon article' rêve lucide avec une bibliographie et des liens externes. -- Xofc [me contacter] 11 août 2009 à 05:59 (CEST)[répondre]
De nombreux sites disparaissent, pour des raisons très diverses : faillite de l'hébergeur, manque de ressources financières de l'hébergé, rachat et intégration dans un autre site, cessation d'activité du mainteneur, reprise du nom de domaine par un tiers, etc. Les deux cas les plus fréquents, je crois, sont la défection des mainteneurs du site et sa migration. Il est possible et même probable que ta base de données existe encore mais sous un autre nom. Avec un peu plus d'infos sur les contenus, il doit être possible de la retrouver. Au fait, il semble que le terme approprié soit plutôt « onironautique », c'est en tout cas ce que conseille Google et de fait, il y a plus de résultats. -O.M.H--H.M.O- 11 août 2009 à 06:37 (CEST)[répondre]
Dans les liens externes de l'article en question, il y a un site oniros.fr, qui fonctionne. Erreur de transmission du nom ? --Serged/ 11 août 2009 à 18:49 (CEST)[répondre]
Après un petit tour sur le site indiqué par Serged il semble correspondre à ta description. -O.M.H--H.M.O- 11 août 2009 à 19:57 (CEST)[répondre]
Non, il ne s'agit pas d'oniros. (J'aurais trouvé, quand même. ^^) Oui, je sais, le terme exact est onironautique, et effectivement, depuis, wikipédia a élaboré de bons articles sur le sujet. Néanmoins, même en faisant des recherches par contenu, je n'avais pas réussi à le retrouver (alors qu'avant il était dans les premiers pour les recherches sur google concernant les rêves lucides ou l'onironautique), et le site internet archive ne contenait que deux courtes pages. Mais, Ô surprise ! alors que je faisais encore quelques recherches à l'instant, j'essayais de me souvenir du nom du site, et je tapais http://oniris.forumactif.com (oui, j'avais oublié de spécifié qu'il s'agissait d'un forum), quand soudain, badabam ! Le lien me redirige vers un nouveau forum. Vingt-six messages, rien à voir avec l'ancien, mais il m'a semblé reconnaître un nom. Je vais aller leur demander. Je vous tiens au courant de mes pérégrinations aventureuses ! Tantantan !--Dahu2004 (d) 12 août 2009 à 09:57 (CEST)[répondre]

Refoulons -images de la gare de Montmorency.[modifier le code]

Bonjour. Je suis étonné que sur toutes les images en ligne de la gare de Montmorency, la locomotive apparaisse en première position à l'arrivée en gare, alors que, poussant les voitures dans la montée (Montmorency se trouvant en haut de la ligne), elle devrait, semble-t-il, arriver à Montmorency en queue de train. Je suppose que quelque chose doit m'échapper. Quelqu'un peut-il éclairer? Par avance merci.

Bonjour. Sur la photo « La gare de Montmorency au début des années 1900 » la locomotive est bien placée à l'arrière du train. Ce qui ne semble plus être le cas dans celle de 1930. On peut conjecturer que les progrès techniques de ces machines n'obligeait plus, trente ans plus tard, de placer la loco à l'arrière. Vous pouvez, pour plus de certitude, poser la question en page de discussion de l'article ou interroger l’un des contributeurs principaux de l’article Claude villetaneuse (d · c · b) ou Clicsouris (d · c · b). Cordialement En passant (d) 11 août 2009 à 11:10 (CEST)[répondre]

Merci.

NIETZSCHE[modifier le code]

Bonjour,

Je voudrais que vous m'aidiez,je ne comprends pas la notion de surhomme de Nietzsche?Ces mots dans Wikipédia sont un peu compliqués.Si vous pouvez m'aider.Merci.

Appuie sur la touche caps déjà, ça enlevera ces majuscules.
SUR INTERNET, abuser de CAPITALES est l'équivalent de CRIER (pardon) dans le langage parlé. Merci de respecter la tranquillité de l'Oracle, qui préfère les questions qui lui sont murmurées à l'oreille...
Ensuite, si tu n'as pas compris en lisant wikipédia, tu ne comprendras pas mieux en demandant ici.
Agrafian Hem Rarko (me parler) 11 août 2009 à 12:33 (CEST)[répondre]
Nietzsche est mort fou... et les articles Friedrich Nietzsche et Surhomme ne sont pas forcément évidents pour un non-spécialiste. Si quelqu'un pouvait résumer l'idée en trois ou quatre phrases claires, en mots de tous les jours et avec des exemples, ça pourrait aider tout le monde. Félix Potuit (d) 11 août 2009 à 13:32 (CEST)[répondre]
En trois ou quatre phrases claires, en mots de tous les jours et avec des exemples ? J'attend de voir ça…
Il y a des choses qu'on ne peut pas expliquer aussi facilement. Ou alors il faudrait faire des raccourcis et des approximations…
Agrafian Hem Rarko (me parler) 11 août 2009 à 13:42 (CEST)[répondre]
Je m'y risque à partir de l'article Surhomme :
Le Surhomme devrait être un type d'homme différent car il aurait intégré un ensemble de valeurs, ce qui lui permettrait de ne pas attacher d'importance aux valeurs habituellement nécessaires aux autres hommes. C'est un homme fort, très cultivé, habile physiquement, qui se contrôle bien et se respecte lui-même ; il est capable de jouir pleinement et entièrement des choses naturelles et de vivre la liberté ; il est tolérant ; il est libre dans son esprit, n'étant préoccupé ni des vices ni des vertus ; il accepte les choses avec confiance car il croit que tout peut se résoudre et s'affirmer. Il a cessé de nier. Mais c'est toujours un homme comme un autre sur le plan physique et il ne vit pas en héros solitaire mais bien dans la communauté de tous les hommes.
Ça fait plus de 4 phrases, mais en mots de tous les jours. -Un exemple : moi. Émoticône -Égoïté (d) 11 août 2009 à 15:50 (CEST)[répondre]
Et en plus, selon le philosophe la définition change : Les hommes ont un défi majeur à relever, celui de savoir vivre ensemble. Le surhomme n’est pas celui qui est très fort ou très puissant. Le surhomme, c’est l’ensemble des hommes. Dès lors qu’ils coopèrent, s’allient, dès lors qu’il n’y a pas de compétition entre eux, ils peuvent progresser, atteindre des performances supérieures. C’est pourquoi il faut organiser, encore et toujours, des rencontres entre les hommes. C’est la seule richesse. Être vivant, c’est être ouvert. source. Cela dit ce ne change rien au problème de base, ca en apporte un autre : quel courant de pensée adopter?? vaste question (très philosophique) Mitch-mitch (d) 11 août 2009 à 16:12 (CEST)[répondre]
Wikipédia devrait engendre un type de surhomme... Ok je sors. --Égoïté (d) 11 août 2009 à 16:42 (CEST)[répondre]
Merci à Égoïté... Je vois à la rigueur ce qu'un surhomme n'est pas, mais je me demande bien à quoi il peut passer ses journées... sans doute à réparer son 4x4 ou à construire des bungalows dans les branches, tout en citant Sénèque dans le texte. Finalement, le surhomme, c'est celui qui doit plaire aux femmes. Toutefois il me semble qu'il manque sérieusement d'humour. C'est le contraire de Woody Allen, quoi. Félix Potuit (d) 11 août 2009 à 17:56 (CEST)[répondre]
Tout ça c'est du pipeau : je viens d'acheter le 4x4 de Woody Allen (ou alors je me serais fait avoir?, serais-je un sous-homme?). Cobra Bubbles Dire et médire 11 août 2009 à 21:58 (CEST)[répondre]

Pas mal ton résumé Égoïté. Même si il y a deux trois formules qui restent obscures (et plus de quatre phrases Émoticône), c'est simple à comprendre. Agrafian Hem Rarko (me parler) 11 août 2009 à 23:37 (CEST)[répondre]

Le surhomme a un 4x4 qui fonctionne, il n'a pas besoin de le réparer. Morburre (d) 11 août 2009 à 23:41 (CEST)[répondre]
Le surhomme n'a pas de 4x4 : il n'est pas orgueilleux et ne va donc pas se la péter à bord de sa grosse voiture, et de plus il sait que ça consomme trop pour rien Émoticône. Agrafian Hem Rarko (me parler) 11 août 2009 à 23:44 (CEST)[répondre]
Chuck Norris a créé le surhomme.Cobra Bubbles Dire et médire 12 août 2009 à 11:09 (CEST)[répondre]
Donc le créateur du surhomme roule en 4x4. --Dahu2004 (d) 12 août 2009 à 11:49 (CEST)[répondre]
Pardon ! Le surhomme a un 4x4, il sait que c'est mal, mais comme il est au-delà du bien et du mal, il s'en moque. Félix Potuit (d) 12 août 2009 à 13:16 (CEST)[répondre]
Chuck Norris a inventé les notions de bien et de mal, tout comme le 4x4 et la Toyota Prius. Cobra Bubbles Dire et médire 12 août 2009 à 14:43 (CEST)[répondre]

Le Surhomme est le contraire de l'homme frustré (entre autres les idéologues et les religieux), celui qui est obnubilé par des idées et plutôt porté sur l'enculage de mouche. Contrairement à ce qui est dit plus haut, l'humour est un trait fondamental du Surhomme. C'est un peu l'idée d'épanouissement individuel. Par exemple, le Surhomme est l'inverse de celui qui passe ses journées à contribuer sur Wikipédia en s'y impliquant d'une manière dont il sent qu'elle est malsaine (débats stériles, tensions, insultes, etc.). La définition donnée par Mitch-mitch donnée plus haut ne correspond pas du tout à la définition de Nietzsche. Egoïté donne en revanche une très bonne définition. Le concept est cependant plus complexe que cela, et Nietzsche l'embrouille volontairement avec des mots qui ne sont pas "de tous les jours" ; rien à voir avec la folie. "Mène ta vie comme si tu pouvais souhaiter qu'elle se répète éternellement" dans l'article Surhomme est cependant assez clair.

Pourquoi la grippe A touche t'elle de "jeunes adultes en bonne santé" ?[modifier le code]

Bonjour Oracle !

J'ai lu à maintes reprises que le virus de la grippe A(H1N1) touchait de "jeunes adultes en bonne santé" ? Je ne saisis pas très bien le sens de cette assertion.

Pourquoi cette population - traditionnellement la plus "résistante" - serait-elle plus "touchée" que par exemple, les "moins jeunes adultes en petite santé"? Si cela est avéré, quel est la raison de cette spécificité ?

Merci pour vos merveilleuses lumières.

Hercule

A(H1N1) touche toute la population, mais est souvent plus grave pour les jeunes adultes qui sont infectés. Il semblerait que c'est ainsi parce que le système immunitaire de ces jeunes adultes est le plus efficace, à tel point qu'il réagit TROP violemment à l'attaque du virus, et cause des dommages à son propre organisme. Dhatier jasons-z-en 11 août 2009 à 15:45 (CEST)[répondre]
Une autre "explication" (pas contradictoire) serait que les adultes auraient été déjà en contact avec un virus du même type dans le passé, et que leur corps résisterait mieux ? --Seymour (d) 11 août 2009 à 16:31 (CEST)[répondre]
À noter que ce fut aussi le cas de la grippe espagnole, qui tuait préférentiellement les jeunes adultes. Or elle était aussi due à un Influenzavirus A sous-type H1N1. Je ne peux pas te dire pourquoi, par contre je ne suis pas persuadé que les deux explications précédentes soient valables : si c'était du à une moindre présence ou à une absence d'anticorps, ou à une réaction excessive du système immunitaire, elle devrait être encore plus mortelle chez les très jeunes sujets, ce qui n'est pas le cas. -O.M.H--H.M.O- 11 août 2009 à 16:53 (CEST)[répondre]
Merci de vos réponses. Concernant la grippe espagnole, je suppose qu'elle avait fait des ravages parmi la population de jeunes adultes car on était au sortir de la Grande Guerre et que les conditions d'hygiène étaient épouvantables, mais je n'ai pas trouvé de source sûre pour étayer ce propos. Ni pour expliquer la surmortalité (réelle ou non) des jeunes adultes la grippe originaire du Mexique d'ailleurs. Hercule.
Supposition inexacte : elle a touché les populations de toutes les régions du monde, et de toutes les nations, donc celles n'ayant pas part au conflit. Comme le rappelle l'article, « son surnom “grippe espagnole” vient du fait que seule l'Espagne — non impliquée dans la Première Guerre mondiale — a pu, en 1918, publier librement les informations relatives à cette épidémie », ce qui illustre assez bien qu'il n'y a pas de causalité entre la faiblesse de santé des jeunes anciens combattants et la virulence supérieure chez les jeunes adultes. -O.M.H--H.M.O- 11 août 2009 à 18:34 (CEST)[répondre]
Moi, je serais la grippe A, je préfèrerais m'attaquer aux jeunes gens roses et frais et en bonne santé qu'aux vieilles peaux maladives... Félix Potuit (d) 11 août 2009 à 18:08 (CEST) Ça ne m'étonne pas de toi. Morburre (d) 11 août 2009 à 20:38 (CEST)[répondre]
A ce propos, quelqu'un a t-il déjà vu un article rapportant la mort, du a cette nouvelle grippe, d'une personne jeune initialement en bonne santé? --Lithium57 (d) 11 août 2009 à 19:39 (CEST)[répondre]
D'abord, je précise, cette grippe "touche" à peu près tout le monde. La grande majorité s'en tire avec des symptôme normaux de grippe. Ils ne se rendent donc pas à l'hôpital, ne sont pas testé, et tout va bien. Par contre parmi les gens qui se retrouvent à l'hôpital, certaine personnes sont effectivement en excellente santé et se retrouve piégé par leur propre système immunitaire qui sur-réagit. Je suppose qu'ils détectent simultanément les 3 souches de grippes dans leur corps et forcément c'est beaucoup trop pour une seule grippe.
@Lithium57, la plupart des décès touchent, semble-t'il les gens avec d'autres problèmes de santé. Je suppose que ceux au pris avec cette surréaction s'en sortent tout de même après hospitalisation, mais il y a quand même des personnes en bonne santé qui succombe à la maladie. Je n'ai pas trop d'info. sur la proportion de ces gens en bonnes santé en comparaison avec une souche normale. Désolé. --Iluvalar (d) 11 août 2009 à 20:07 (CEST)[répondre]
Les enfants, cibles privilégiées du H1N1. Comme quoi... HaguardDuNord (d) 12 août 2009 à 15:41 (CEST)[répondre]
Pas tout-à-fait la même chose : ce sont les plus touchés mais non les plus atteints. Puis, c'est plutôt les adolescents (précisément, les teenagers). Comme le dit le même article, si la tranche des 10-19 représente le premier groupe de malades il ne représente que le second pour les malades hospitalisés, le premier étant bien la tranche des 20-29. Sinon (voir diagramme ci-contre) la répartition par tranches d'âge est vraiment atypique pour une grippe. -O.M.H--H.M.O- 13 août 2009 à 05:30 (CEST)[répondre]
Olivier, au risque d'être très chiant avec ça, tu as fait un tableau des cas confirmés et en aucun temps des cas totaux. J'ai un rapport de la même source qui affirme que les nombres de cas hospitaliser représente seulement 1 à 2% de la population. J'en déduit que ton tableau ne touche qu'environ 3% des cas totaux et encore mieux, que le nombre de cas confirmés en europe représente seulement 1/30 à 1/40 de la population touché. Et tient, puisque je n'ai pas d'interdiction de TI ici, ça nous ferait (selon moi) un peu plus d'un million de cas en europe le 12 août. --Iluvalar (d) 13 août 2009 à 06:02 (CEST)[répondre]
Tu as raison de t'interroger sur la validité du tableau. Comme ce sont des pourcentages, ça ne donne pas une représentation proportionnelle des informations : en bleu, le nombre total de cas tels qu'ils se répartissent par tranche d'âges, en rouge le nombre de cas hospitalisés. La différence entre les deux informations indique assez clairement que, comme on peut s'y attendre, il n'y a pas autant de personnes hospitalisées que de malades, sinon on aurait exactement les mêmes valeurs.
Je ne connais pas la proportion des cas rapportée à la population mondiale mais ça n'a pas grand intérêt ici, ni la proportion d'hospitalisés parmi la population touchée mais je te fais confiance pour les environ 3% de cas. Ce tableau indique simplement que les moins de 20 ans représentent 56% des cas recensés mais seulement 35% des cas hospitalisés. -O.M.H--H.M.O- 13 août 2009 à 06:17 (CEST)[répondre]
En complément. Il est en effet probable que le nombre total de cas est supérieur à celui des cas recensés mais le temps passant c'est de moins en moins vrai et en toute probabilité, les données reprise dans ce tableau, qui viennent de l'article indiqué par HaguardDuNord, portent sur bien plus que 3% des cas même si bien moins que le nombre réel de cas. Cela posé, reste qu'il n'y a pas nécessité à recenser tous les cas pour établir un tableau de ce genre : si dans le temps la proportion entre cas recensés/cas hospitalisés, ainsi que la répartition des cas recensés / hospitalisés par tranches d'âge, restent constantes, on peut supposer sans grand risque d'erreur que ça reste vrai pour l'ensemble des cas, recensés ou non. -O.M.H--H.M.O- 13 août 2009 à 06:28 (CEST)[répondre]
Vue sous cette angle... Reste que si ton tableau devait être proportionnel entre la barre bleu et la barre rouge, cette barre bleu serait approximativement 70 fois plus haute que maintenant. Peut-être que les gens plus agés ont aussi simplement moins envie ou moins les moyen d'aller à l'hôpital pour faire ces tests. --Iluvalar (d) 13 août 2009 à 06:37 (CEST)[répondre]
D'accord, je viens de comprendre : j'ai bêtement repris le titre du graphique du Figaro sans trop chercher, et viens de m'apercevoir que ça semble dire quelque chose comme « proportion des cas avec et sans hospitalisation », ce qu'il n'est en aucune manière. À l'occasion je le refais avec un intitulé plus précis et exact. -O.M.H--H.M.O- 13 août 2009 à 10:02 (CEST)[répondre]
ATTENTION !!! un cas hospitalisé est quasiment obligatoirement un cas recensé (il y a peut-être quelques hospitalisations sans que le diagnostic "grippe A" soit fait, mais ça doit être rare, et les hôpitaux ont forcément obligations d'informer les autorités sanitaires sur leur activité) ; inversement, les cas sans hospitalisation doivent comporter une fraction notable de cas même pas recensés... Il y a donc un biais de représentation. Tout ce qu'on peut conclure, c'est que si le cas est recensé, alors il est en moyenne plus hospitalisé chez les + de 20 ans que chez les < 20 ans ; mais ça peut simplement résulter d'une inquiétude plus grande à l'égard des jeunes : dans le doute on va voir le médecin (= recensement du cas), qui confirme que ça n'est pas grave et n'hospitalise pas, alors que les adultes ne prennent pas la peine de voir le médecin pour le même cas (= cas non recensé)
@ iluvalar : en France les vieux sont plus riches que les jeunes (ce qui, à tout prendre, est assez logique, vu qu'ils ont un patrimoine accumulés dansleur vie + l'héritage de leur parents disparus), et en général ils vont beaucoup plus à l'hôpital que les jeunes notamment parce qu'ils ont plus de temps et moins d'obligations
gem (d) 13 août 2009 à 19:35 (CEST)[répondre]
Cela me paraît en effet de bon sens. Merci de ta contribution. -O.M.H--H.M.O- 14 août 2009 à 06:57 (CEST)[répondre]

bonjour, j'ai trouvé des informations concernant le ou les gouverneurs militaire de paris mais pas le maréchal de france. est ce la même personne ou une personne différente. et ou est ce que je pourrais trouver des informations concernant le maréchal de france ?
merci d'avance pour votre réponse.

ce sont deux notions distincts :
  • Le Gouverneur militaire de Paris, comme son nom indique, est une fonction (commander les troupes stationnées dans la région de Paris). Ce sont des généraux en général (!!).
  • Le maréchalat est un grade, distinction honorifique, donnée à un général, qui peut gouverner n'importe quelle groupe militaire, voire (c'est souvent le cas) être à la retraite. --Serged/ 11 août 2009 à 15:53 (CEST)[répondre]
Est-ce que ta question concerne l'histoire récente (à partir de la III° République) ou l'Ancien Régime ? -O.M.H--H.M.O- 11 août 2009 à 17:21 (CEST)[répondre]
Si je me souviens bien de mon service militaire, maréchal n'est pas un grade, mais une distinction (comme 1er classe). Cobra Bubbles Dire et médire 11 août 2009 à 22:03 (CEST)[répondre]
1er de classe ou 1re classe ? Ok je suis sortie ! --Égoïté (d) 12 août 2009 à 23:40 (CEST)[répondre]

Il n'y a plus de Maréchal de France en vie depuis le décès du Maréchal Juin (1967). Le Général d'Armée Pierre Koenig (mort en 1970) a été élevé à la dignité de Maréchal de France à titre posthume en 1984.

Ça sert à quoi ?[modifier le code]

pierres dans un jardin ?

J'ai trouvé ces objets dans le jardin d'un copain. Il y en avait un seau. Ce sont des tétraèdres réguliers en pierre (granit ?). Taille: 3,5cm de côté pour la grande (la rose à gauche) et 3cm pour les deux petites. --Serged/ 11 août 2009 à 15:47 (CEST)[répondre]

Comme c'est un solide de Platon, j'imagine que c'est simplement décoratif, ou alors un astucieux a découvert que cette forme fait mieux circuler l'Energie et propose (à prix d'or) de tels objets pour fluidifier les flux d'éngergie. Mitch-mitch (d) 11 août 2009 à 16:33 (CEST)[répondre]
Non, ce sont des abrasifs céramiques utilisés pour des opérations de barillage. On met dans une centrifugeuse ou dans une barilleuse ("cocotte" vibrante) des pièces métalliques à ébavurer avec ces pierres (+antioxydant) afin d'enlever les bavures. Un fournisseur de ces pierres (où je travaillais) s'appellait Rösler -> cf. la deuxième photo (faut avoir de bon yeux). Skiff (d) 11 août 2009 à 16:52 (CEST) - Encore mieux ici ou Mitch-mitch (d)[répondre]
Bien vu ! Bien vu ! On pourrait même rajouter une petite note en ce sens dans l'article tribofinition (autre nom du barillage sans doute) puisque c'est de cela qu'il s'agit, et les photos confirment. Mitch-mitch (d) 11 août 2009 à 17:05 (CEST)[répondre]
J'allais mettre le bon lien, mais tu es trop rapide, Mitch-mitch (même si tu as été aidé par le plantage de mon PC). Le barillage est une des opération qu'on regroupe sous le nom plus général de tribofinition. Skiff (d) 11 août 2009 à 17:15 (CEST)[répondre]
Merci ! Et si avec mon pote on montait un coup pour revendre ces pyramides comme "fluidifieur d'énergie" ? --Serged/ 11 août 2009 à 17:59 (CEST)[répondre]
Encore mieux : tu les vends comme « graines de pyramides » en expliquant qu'avec un arrosage soigneux qui tienne compte des phases de la lune et du soleil, elles pousseront jusqu'à atteindre la taille des pyramides d'Égypte. Émoticône -O.M.H--H.M.O- 12 août 2009 à 11:45 (CEST)[répondre]
Mais les pyramides d'Égypte sont à base carrée et non triangulaire, la supercherie sera vite découverte... Ça me rappelle une hypothèse farfelue lue dans une BD (La Rubrique-à-brac ?) qui prétendait que les pyramides d'Égypte étaient les restes d'une partie de 421 entre géants... --Serged/ 12 août 2009 à 18:30 (CEST)[répondre]
Mais non, pas du tout. Les égyptiens les ont construites eux-mêmes, très facilement : en creusant un trou en forme de pyramide et en coulant du béton dedans. Plus qu'à les retourner. Adrien' [1729] 19 août 2009 à 02:35 (CEST)[répondre]

emigration l egale[modifier le code]

peut t on avoir la nationalite francaise sachant que ma grande mere paternel est francaise

Théoriquement non, un seul grand-parent, ce n'est pas suffisant.
Il faut remplir plusieurs autres critères : avoir résidé en France un certain temps (voir ici sur le site du Service Public : http://vosdroits.service-public.fr/particuliers/N111.xhtml et ici s'il s'agit d'une demande naturalisation [4]). Les conditions de recevabilité de la demande sont toutes ici : [5] . Entre autres : avoir vécu au moins quelques années vécu en France au moment de la demande, connaître et maîtriser la langue par exemple. .Anja. (d) 11 août 2009 à 19:25 (CEST)[répondre]
Voir l'article Nationalité française je ne l'avais pas vu .Anja. (d) 16 août 2009 à 21:09 (CEST)[répondre]
Et spécialement la partie sur l'obtention de la nationalité française pour les personnes physiques qui confirme la première réponse : un grand-parent (et même quatre grands-parents) ça ne permet pas l'acquisition automatique de la nationalité. -O.M.H--H.M.O- 16 août 2009 à 21:28 (CEST)[répondre]
En ce moment, même quand vous êtes dans les critères, vous n'y êtes pas. Par exemple un mariage avec enfants et nombreux témoins de vie commune peut être décrété blanc, juste parce que vous ne l'êtes pas. Les quotas. Adrien' [1729] 19 août 2009 à 02:31 (CEST)[répondre]
De quels quotas s'agit-il ? Apokrif (d) 20 août 2009 à 20:32 (CEST)[répondre]

L'île de La Réunion et la loi du 9 novembre 1905 (séparation de l'Eglise et de L'Etat)[modifier le code]

Bonjour, je désirerai savoir si cette loi a été appliquée immédiatement comme en métropole, dés sa promulgation. Ou pourrais je trouver une documentation concernant l'application de cette loi à l'Ile de La Réunion? Merci pour votre information ou votre orientation. Sincères salutations; M. Altenbourger

Bonjour. Une rapide recherche renvoie vers le site de l'Assemblée nationale : « La loi du 6 février 1911 étend la séparation des Églises et de l’État à la Guadeloupe, la Martinique et la Réunion. »[6]. Pour plus d'infos, il faudrait, si vous êtes sur place, regarder dans les archives départementales. Sinon voir [7] et [8]. Cordialement. HaguardDuNord (d) 11 août 2009 à 19:13 (CEST)[répondre]
Quant à l'application, j'ai ouï dire (Mona Ouzouf) que ça s'était fait, mollo, mollo : il était recommandé aux instits' d'attendre de passer la prochaine couche de peinture pour "oublier" les crucifix dans le placard. Adrien' [1729] 19 août 2009 à 02:27 (CEST) Lien rouge ??? non, une mauvaise orthographe ! Mona Ozouf HaguardDuNord (d) 20 août 2009 à 20:38 (CEST)[répondre]

Genre d'un lieu[modifier le code]

Bonjour. Il me semble qu'on a déjà parlé de cela mais je ne retrouve pas. Y a-t-il une règle qui détermine si un nom de lieu est masculin ou féminin ? En l'occurrence, je cherche celui de Hermalle-sous-Huy, nommé Harimala en 779 de notre ère, et un pronom personnel me serait des plus utiles, non seulement pour éviter x répétitions de "village" (bourg ne convient pas et je ne peux me permettre "bled" Émoticône) mais aussi pour raccourcir un texte où les caractères et espaces doivent être strictement comptés ! Smiley Colère Merci déjà, --Égoïté (d) 11 août 2009 à 18:41 (CEST)[répondre]

Autant que je sache, un nom de lieu n'a pas de genre, pas plus qu'un nom de personne. Pour une personne, pas de problèmes : le genre du nom sera déterminé par celui de la personne (je dis bien son genre, non pas son sexe). Pour les lieux, et bien, il sera déterminé par le genre du mot qui servira à le définir : une église ou une cathédrale sera de genre féminin, un temple de genre masculin ; une ville est « féminine », un village « masculin ». Pour ne froisser personne, évite ville ou village et parle de cité (féminin donc). Autre avantage : le mot est court. -O.M.H--H.M.O- 11 août 2009 à 19:04 (CEST)[répondre]
Il me semble que souvent les villes sont "féminisées" par ellipse (ou figure de style équilalente) du genre "Hermalle-sous-Huy s'est développée" à la place de "la commune /ville de Hermalle-sous-Huy s'est développée", la seconde forme étant probablement à privilégier, mais est lourde à la longue à mon avis... HaguardDuNord (d) 11 août 2009 à 19:09 (CEST)[répondre]
Merci à tous les 2 ! Je n'avais pas pensé à "cité", O.M.H. donc un merci supplémentaire pour toi Émoticône sourire. --Égoïté (d) 12 août 2009 à 06:50 (CEST)[répondre]
C'est dans de tels cas qu'on se prend à douter sérieusement de l'assertion péremptoirement assénée pendant des siècles, comme quoi la langue française serait la plus claire, la plus logique et la plus admirablement adaptée à l'expression d'une pensée subtile : il est bien évident qu'ici il faudrait employer un neutre grammatical, or le français n'en dispose pas. Félix Potuit (d) 12 août 2009 à 07:59 (CEST)[répondre]
L'allemand ou le latin possèdent un neutre grammatical, mais c'est encore plus le souk qu'en français : Les noms sans sexe ont un genre aléatoire comme en français... --Serged/ 12 août 2009 à 10:25 (CEST)[répondre]
J'abonde. En grammaire, il n'y a pas de correspondance entre genre et sexe, un terme « de genre masculin » peut désigner une réalité femelle, ou « de genre féminin » une réalité mâle, l'un ou l'autre genre peut désigner une réalité androgyne ou asexuée, et bien sûr un mot du « genre neutre » désignera indifféremment une réalité femelle, mâle, androgyne ou asexuée. Plus amusant, le cas de l'anglais : c'est connu, cette langue n'a pas de genre pour les substantifs, mais il y a comme dans la plupart des langues et en tout cas dans toutes celles indo-européennes, des déictiques « genrés », spécialement les pronoms personnels, y compris du genre neutre. Or, pour un certain nombre de réalités le genre n'est pas en adéquation avec le sexe, avec notamment les deux cas bien connus des navires, inanimés donc « neutres », mais du genre féminin, et les bébés, toujours de genre féminin quel que soit leur sexe. Bref, l'opacité et la complexité sont, pour les langues, les choses du monde les mieux partagées... -O.M.H--H.M.O- 12 août 2009 à 11:12 (CEST)[répondre]
Oui, le français est loin d'être seul. Petite chose amusante : en allemand, Mädchen (qui signifie fille) est neutre… Agrafian Hem Rarko (me parler) 12 août 2009 à 11:17 (CEST)[répondre]
Mädchen est neutre parce que c'est un diminutif (en -chen). Bon, eh bien maintenant qu'on a constaté combien les langues naturelles sont illogiques et absurdes, on va tout naturellement en conclure qu'on ferait mieux d'apprendre l'espéranto ? Non ? Aïe pas sur la tête, ça résonne. Félix Potuit (d) 12 août 2009 à 13:23 (CEST)[répondre]
C'est même pas moi, j'étais pas là. Morburre (d) 12 août 2009 à 13:27 (CEST)[répondre]
Je crois que je finirai par comprendre pourquoi je n'ai jamais accroché à l'allemand : fille = neutre, non mais ! Proposez ça au questionneur ci-dessous Émoticône. Sérieusement Félix, je te conseille l'arnica ce soir... --Égoïté (d) 12 août 2009 à 23:38 (CEST)[répondre]
Une phrase célèbre où il a fallu choisir : Paris brûle-t-il ? N'aurait-il pas été mieux de dire : Paris brûle-t-elle ? --Eutvakerre (d) 13 août 2009 à 00:17 (CEST)[répondre]
Émoticône TB ! --Égoïté (d) 13 août 2009 à 00:20 (CEST)[répondre]
[...]Paris ! Paris outragé ! Paris brisé ! Paris martyrisé ! mais Paris libéré ! libéré par lui-même[...] Il s'est beaucoup trompé le général. Vikchill [owi parle mwa§] 13 août 2009 à 12:16 (CEST)[répondre]

Bonjour, ô, éminentes Pythies, dont le savoir rayonne etc. etc. Émoticône
Ma question est la suivante : les médecins font le Serment d'Hippocrate, les pharmaciens celui du Serment de Galien et... les vétérinaires ? Sur quel texte portent-ils serment ? Merci de ta réponse cher Oracle...
.Anja. (d) 11 août 2009 à 19:11 (CEST)[répondre]

Le serment de Bourgelat (Vétérinaire (France)#Serment de Bourgelat). Émoticône sourire HaguardDuNord (d) 11 août 2009 à 19:15 (CEST)[répondre]
Dankon, Thank you, Danke, Gracias, Merci ! .Anja. (d) 11 août 2009 à 19:26 (CEST)[répondre]

Bonsoir. Je voudrais savoir en quoi consiste ce que l'on appelle la masse dans un circuit électrique. Merci d'avance. Francis Martin (d) 12 août 2009 à 03:41 (CEST)[répondre]

Masse (électricité) ? Je suis pas sûr de comprendre l'article. --Iluvalar (d) 12 août 2009 à 04:15 (CEST)[répondre]
<digression>De l'esprit des langues : en France, quelqu'un qui est à la masse, c'est qu'il ne raconte que des conneries. Au Québec, quelqu'un qui est groundé, c'est qu'il a les deux pieds sur terre, ce qu'il raconte est ancré dans la réalité et dans son expérience vécue. Cela dit, être au neutre ou au point mort, on n'avance pas plus d'un côté de l'Atlantique que de l'autre. --Maurilbert (discuter) 12 août 2009 à 04:20 (CEST)[répondre]
Tient, je connais l'expression française, mais j'aurais juré que ça avait plus de lien avec les boulets qu'avec le courant électrique. T'es sûr de l'origine ?</digression> --Iluvalar (d) 12 août 2009 à 04:28 (CEST)[répondre]
Ici au moins, l'expression « être à la masse » (dans le sens de « être dans les patates », « être dans le champ gauche »...), est clairement ratachée au sens électrique du terme. --Maurilbert (discuter) 12 août 2009 à 04:39 (CEST)[répondre]

Merci, Maurilbert, votre intervention m'intéresse. Je suis en train d'y réfléchir, surtout sur le champ de gauche. Dans un premier temps, prenons l'exression "être à la masse". Son sens est assez clair et connu: c'est être dans l'erreur, pour l'expliquer le plus simplement et le plus justement possible. Ensuite on peut passer à l'étape suivante, la suite logique, la première chose que l'on peut envisager une fois exposé qu' "être à la masse" signifierait "être dans l'erreur" : on ne peut poser la notion d'erreur sans se référer, se rapporter à son contraire, son extrême opposé, la vérité. enfin on concluera par le troisième élément, qui est de conclure qu'une chose n'est jamais complètement fausse ni vraie mais un peu des deux dans un mélange à proportion variable. Francis Martin (d) 13 août 2009 à 20:15 (CEST)[répondre]

La masse, dans le cas d'une automobile, c'est la carcasse en métal ; dans le cas d'une maison, c'est la "terre" (dans une prise aux normes, en France du moins, il y a un fil jaune et vert qui doit être raccordé à la terre). Dans une maison, il ne doit en principe pas y avoir de courant qui circule entre la masse et une phase (sinon on pourrait s'électrocuter en touchant un radiateur par exemple) ; c'est le rôle du disjoncteur de contrôler en permanence cet état de choses. On peut tester, si on aime l'aventure, la réaction du disjoncteur en branchant une ampoule de très faible puissance entre une phase et un radiateur : ça marche, mais l'ampoule est sous-alimentée (127 volts au lieu de 220). Si on prend une ampoule plus puissante, le disjoncteur saute. Dans une voiture, l'un des deux pôles de la batterie est connecté à la masse, ce qui notamment économise du câble, la ferraille faisant office de conducteur électrique (et on n'a que 12 volts dans une voiture). Félix Potuit (d) 12 août 2009 à 08:14 (CEST)[répondre]
Il faut différencier "masse" et "terre" :
La masse est la carcasse métallique d'un appareil électrique ou d'un ensemble (voiture par exemple).
La terre est le référentiel zéro (prise de terre), que l'on peut avoir par une ferraille bien ancrée dans le sol (sur un bateau, ça marche aussi avec la mer...).
Normalement, la masse d'un appareil doit être reliée à la terre (par la prise de terre) afin de disjoncter si une phase touche la masse. Néanmoins, ce n'est pas toujours le cas : Une prise sécurisée (pour une salle de bain) doit être isolée par un transformateur d'isolation, afin que la mise à la terre d'une de ses phases par l'entremise d'un corps humain ne fasse pas de dégâts (au corps humain...). --Serged/ 12 août 2009 à 10:23 (CEST)[répondre]
Pour les bateaux à coque composite, comment est réalisé la masse? Y a-t-il un fil noyé dans le composite et qui est en contact avec la mer? Ou est ce que cela passe par l'hélice? Skiff (d) 12 août 2009 à 10:57 (CEST)[répondre]
Il n'y a pas de fil conducteur noyé dans le composite, ça c'est sur, et les organismes de sécurité veulent certainement qu'on prévoit une mise à la terre (la mer, en l'occurrence) spécifique, sous forme d'une plaque métallique de taille raisonnable immergée, plutôt que de compter sur l'hélice ou n'importe quoi d'autre (les annexes d'un paratonnerre, par exemple ?). Cela dit, comme les bagnoles, les petits bateaux utilisent du 12 ou 24 V continu, et leur mise à la terre n'est pas utile (ni obligatoire, donc, sauf erreur de ma part et règlementation toujours envisageable quoique stupide) ; quant aux gros, prévoir l'équipement ad hoc n'est pas une contrainte grave, si leur coque n'est pas suffisamment conductrice. gem (d) 12 août 2009 à 13:04 (CEST)[répondre]

Merci. Je ne voudrais pas abuser, mais pourriez vous préciser ce qu'est la phase? Francis Martin (d) 13 août 2009 à 00:23 (CEST)[répondre]

Trop tard, c'est fait, tu as abusé... la boite de recherche, saisie du mot "phase", t'aurai renvoyé direct vers Phase (électricité) ... gem (d) 13 août 2009 à 01:24 (CEST)[répondre]

Merci. Francis Martin (d) 13 août 2009 à 07:54 (CEST)[répondre]

code de la route[modifier le code]

Bonjour à tous, Existe t'il un tableau qui mette en évidence les petites différences entre le code de la route belge et le code de la route français. Ex :en Belgique on signale son intention de changer de couloir de circulation à l'aide de ses clignotants, une fois la manœuvre exécutée, on arrête les clignotants et l'on effectue le dépassement. En France on laisse les clignotants pendant tout le déplacement. (si je suis bien informé) Merci --Kkbs (d) 12 août 2009 à 05:44 (CEST)[répondre]

En France, on ne laisse son clignotant lorsque qu'on double que si on est sur la voie la plus à gauche. Sinon, cela signifierai qu'on veut encore aller plus à gauche.
Pour la tableau, je ne sais pas si tu en trouvera un. Agrafian Hem Rarko (me parler) 12 août 2009 à 09:48 (CEST)[répondre]
En France, dans certaines grandes villes, on ne se sert même pas du clignotant, à quoi bon? Émoticône Skiff (d) 12 août 2009 à 10:54 (CEST)[répondre]
En France, les Belges conduisent comme des Suisses...Cobra Bubbles Dire et médire 12 août 2009 à 11:12 (CEST)[répondre]
Oui, il ne faut pas confondre code de la route et réalité de la route. Que ce soit dans les grandes villes ou ailleurs, certains ne s'embarassent pas du cligno. Agrafian Hem Rarko (me parler) 12 août 2009 à 11:15 (CEST)[répondre]
En France, et j'imagine que c'est la même chose en Belgique et en Suisse, et en Italie, Espagne, Grande-Bretagne et un peu partout dans le monde, il semble que le principal but des conducteurs, après obtention de leur permis, est d'oublier toutes les règles que leur ont enseigné leurs moniteurs et qu'ils ont respectées pour pouvoir obtenir le précieux document... -O.M.H--H.M.O- 12 août 2009 à 11:18 (CEST)[répondre]
Le jeune mâle a besoin de s'affirmer. Il s'affirme merveilleusement d'ailleurs en se pintant en boîte le samedi soir et en ramenant quatre copains et copines à tombeau ouvert à quatre heures du matin, sur une route sinueuse et pleine de platanes. Après, tout le monde est mort, sauf le platane, mais qu'est-ce qu'on s'est bien affirmé ! Félix Potuit (d) 12 août 2009 à 13:29 (CEST)[répondre]
Des fois même, le père du jeune mâle crée une association pour faire couper les dangereux platanes à l'origine du décès du jeune mâle...Cobra Bubbles Dire et médire 12 août 2009 à 14:45 (CEST)[répondre]
Des fois on voit aussi la mention "la route a encore tué ce week-end" dans les media. Mais oui, il est bien connu que la route a des humeurs assassines, et des vélléités sanguinaires (oui, et la marmotte, elle fait quoi pendant ce temps ???). Je repense de temps en temps à un collègue, retraité depuis longtemps, qui avait perdu un fils de vingt ans lors d'un "accident du samedi soir de retour de boîte". Quelques mois plus tard, lors d'une conversation dans notre contexte professionnel, quelqu'un a évoqué ce fils victime de la route. Mon collègue a posé son stylo, nous a tous regardés en silence, à tour de rôle, et, d'une voix certes un peu blanche et atone, il nous a dit "mon fils n'a pas été victime de la route. Il a été victime de sa fatigue, d'un peu d'alcool qu'il avait bu lui-même, de son manque d'expérience au volant, et probablement d'une erreur de conduite qu'il a commise lui-même. Voilà de quoi il a été victime... mais pas de la route." Cela m'a donné à réfléchir, car je n'avais alors moi-même pas atteint mes trente ans. Mais bon, chères Pythies, je ne veux pas vous plomber le moral. Ceci n'était qu'un avis en plus de ceux d'Olivier, de Félix et de Bubbles. Cordialement. Elsaesser (d) 14 août 2009 à 10:23 (CEST)[répondre]

Pourquoi pique-t-elle ?[modifier le code]

Bonsoir Question bête d'un non-scientifique : pourquoi l'eau gazeuse pique-t-elle ? Merci ^^ --Schwarzer Stern (d) 19 août 2008 à 00:16 (CEST) Question repêchée dans une PdD et pour laquelle je n'ai pas de réponse. --Égoïté (d) 12 août 2009 à 10:50 (CEST)[répondre]

Probablement du fait de sa grande salinité et acidité : le dioxyde de carbone est assez acide, le bicarbonate de sodium à la fois acide et salé. C'est donc l'eau elle-même qui « pique », et non le gaz. -O.M.H--H.M.O- 12 août 2009 à 11:23 (CEST)[répondre]
Merci Olivier. Je recopie ta réponse sur la PdD de l'article et sur celle du questionneur. --Égoïté (d) 12 août 2009 à 14:18 (CEST)[répondre]
Sans aucune source ni preuve flagrante, j'ai tendance à penser que seul le dioxyde de carbone est en cause ; la preuve en est que lorsque tout le gaz a diparu l'eau ne pique plus. Je crois que comme les bulles du champagne se forment au contact de micro-impuretés résiduelles sur le verre, des bulles se forment au contact d'impuretés de notre muqueuse buccale et sont responsables cette sensation de picotements. Cordialement --doc103 (d) 12 août 2009 à 14:27 (CEST)[répondre]
+1. Le sel est clairement hors de cause, quand à l'acidité : le jus de citron ne donne pas la même sensation de picoti, pourtant c'est plus acide que l'eau gazeuse (et, incidemment, le bicarbonate est basique, pas acide !). Facile de tester une boisson gazeuse basique, il suffit de rajouter du bicarbonate (recette maison : prendre un verre de jus d'orange, verser une bonne pincée de bicarbonate et ... boire assez vite sous peine de débordement !)
En revanche la formation des bulles sur la langue et leur explosion sont autant micro-chocs perceptibles (comment s'appelle cette confiserie en petits grains qui pétillent sur la langue, déjà ? ) Mistral gagnant ? En passant (d) 12 août 2009 à 19:02 (CEST)[répondre]
Bref : sans garantie et avant vérification expérimentale, pour moi ce sont les bulles qui piquent gem (d) 12 août 2009 à 15:59 (CEST)[répondre]
Merci pour vos éclairages. J'avais tenté une réponse puisqu'aucune ne venait, mais les vôtres me semblent plus cohérentes et plus exactes. -O.M.H--H.M.O- 12 août 2009 à 16:28 (CEST)[répondre]
✔️ Suivi des réponses recopiées.--Égoïté (d) 12 août 2009 à 16:58 (CEST)[répondre]

C'est pour demander si dans cette formule g, l'accélération de la gravité est égale à 9,81 dans ce contexte.

Tout dépend de ta localisation géographique et de ton altitude. 9,81 est la moyenne pour la France. Agrafian Hem Rarko (me parler) 12 août 2009 à 11:22 (CEST)[répondre]
Et sur la lune, c'est 6 fois moins. Skiff (d) 12 août 2009 à 11:37 (CEST)[répondre]
Juste pour être sûr, si le fluide est statique, c'est qu'il ne tombe pas. C'est parce que la pression que cette accélération exerce sur la partie inférieur compacte le fluide jusqu'à ce que la pression inverse compense la force g. J'ai comme l'impression d'être pas clair. --Iluvalar (d) 12 août 2009 à 16:25 (CEST)[répondre]
heu... g, ce n'est pas une force, c'est une accélération ; pour en faire une force fait lui coller une masse (F = mg : étonnant, non ?), éventuellement sous la forme : masse = masse volumique x volume (et volume = surface x hauteur) ; la pression non plus n'est pas une force, pour en faire une force faut lui coller une surface ; bon, tu te comprenais, sans doute, mais en physique trop d'abus de langage c'est la course au désastre. gem (d) 12 août 2009 à 20:54 (CEST)[répondre]

Non. On ne devrait jamais poser g=9,81. On peut poser à la rigueur PI=3,14 ou e=3 selon la précision que l'on cherche, mais pour l'accélération de la pesanteur, c'est environ 1000 cm/s², 19 nœuds par minute-carrée, ou 80 gigayard par jour-carré (je te laisse deviner en quelles unités exprimer les autres grandeurs pour que la formule fonctionne !). Les formules restent justes quand on passe d'un système d'unités homogène à un autre (SI, CGS, etc), mais l'estimation d'une grandeur physique n'a de sens que si on précise en quelle unité on l'exprime. Ainsi celle que tu proposes marche aussi bien en CGS (p en baryes, ρ en grammes par cm³, S en cm² et z en cm, donc g en cm/s²) qu'en SI (p en Pascal, ρ en Kg/m³, S en m² et z en m, donc g en m/s²). Colo (d) 13 août 2009 à 09:05 (CEST)[répondre]

Oauis, enfin, on a quand même le droit de supposer qu'on utilise le SI sauf mention contraire, même si c'est effectivement mieux de préciser l'unité et, dans le cas de g, le lieu. gem (d) 13 août 2009 à 14:59 (CEST)[répondre]

Amitié homme/femme physiologiquement possible?[modifier le code]

Bonjour à tous,

Suite à une discussion entre collègues nous nous sommes posés la question de savoir si une amitié entre deux personnes de sexe opposés était possible sans ambiguité et ce dans un contexte social particulier.Nous sommes alors arrivés à la proposition suivante:

"Pour deux personnes célibataires amenées à se cotoyer de manière assez régulière, il existe au moins une personne et un instant donné aussi bref soit-il pour lequel cette dernière a ressenti autre chose que de l'amitié"

D'où ma question: pensez vous qu'il se pourrait que de par sa nature l'Homme soit incapable de nouer une relation amicale avec une personne de sexe opposé car la fonction primaire ,au sens historique du terme, de l'Homme comme de tout animal n'est-il pas la survie de l'espèce donc la reproduction?

L'amitié n'est-elle pas en définitive une invention de l'homme pour se distinguer de l'animal?

Je vous remercie par avance de pistes de réflexion que vous pourrez nous apporter

bonne journée

Ah, parce que ce genre de choses n'est pas censer arriver entre personnes du même sexe? Arnaudus (d) 12 août 2009 à 11:35 (CEST)[répondre]
Et puis au passage, le prochain qui parle de «survie de l'espèce» sera sacrifié à l'Oracle avec un couteau rouillé. Arnaudus (d) 12 août 2009 à 11:36 (CEST)[répondre]
"la fonction primaire ,au sens historique du terme, de l'Homme comme de tout animal n'est-il pas la survie de l'espèce donc la reproduction?" Et si c'était faux ? Totodu74 (devesar...) 12 août 2009 à 11:36 (CEST)[répondre]
Déjà, c'est plus social que physiologique comme comportement. Et de plus, il n'est pas universel : moi par exemple, j'ai toujours eu des amies pour lesquelles je n'ai jamais ressenti autre chose que de l'amitié.
L'amitié est le fait d'apprécier quelqu'un pour son comportement. Ce n'est pas une invention. Agrafian Hem Rarko (me parler) 12 août 2009 à 11:37 (CEST)[répondre]
Bonne journée aussi. Je suis célibataire, j'ai un certain nombre d'amies de même statut, et avec beaucoup d'entre elles il n'y a jamais eu d'ambigüité : nous sommes amis, rien de plus. Là-dessus, pourquoi limiter ses pensées à ce cas ? L'ambigüité peut tout aussi bien avoir lieu entre deux hommes ou deux femmes. En fait, l'attirance sexuelle est à la fois indépendante du sexe des personnes concernées et de leur statut : à titre personnel je n'ai jamais eu d'attirance pour des hommes, l'inverse n'étant pas vrai ; et j'ai eu au moins aussi souvent d'attirance pour des femmes mariées que pour des célibataires.
Sur l'autre question, je ne crois pas : « amitié » est le nom que donnent les humains pour une relation suivie et forte entre deux personnes, où la sexualité n'a pas de rôle prépondérant ; dans un grand nombre de sociétés animales autres que celles humaines existe le même genre de rapports, mais par nécessité on ne les nomme pas. -O.M.H--H.M.O- 12 août 2009 à 11:38 (CEST)[répondre]


Effectivement..Mais ce que je voulais dire c'est que lorsqu'on fréquente une personne de sexe opposé, il arrive un moment où l'on va lui trouver un charme particulier et avoir une attirance même brève (peut être même 10 secondes) et qui ne durera pas plus de cet instant où l'on se dira: pourquoi pas.. qu'en pensez vous? merci

Je suis assez d'accord avec toi, lorsque qu'une relation ce crée, il y a a un moment donné la question qui se pose (soit pour lui, soit pour elle dans le cas simple d'une relation homme femme). La relation platonique pure entre homme et femme est impossible dans le sens ou, a un moment donné, aussi bref soit il, l'un des 2 individus aspire à autre chose qu'un simple relation amicale.

Tu est d'accord avec toi-même ? Intéressant. Agrafian Hem Rarko (me parler) 12 août 2009 à 11:56 (CEST)[répondre]
Je ne comprends pas le sens de la question en effet. Elle est bourrée d'ambiguités et d'erreurs:
  1. L'amitié n'existe pas chez les animaux?
  2. On ressent forcément de l'attirance sexuelle pour une personne du sexe opposé (même pour la voisine à moustaches de 75 ans? bienvenu chez les obsédés sexuels)
  3. Les animaux se reproduisent pour garantir la survie de l'espèce (là, on est au début du XIXe siècle :-))
  4. Attirance sexuelle = sexes opposés. Bienvenu au XIXe siècle encore :-)
  5. Amitié et attirance sexuelle sont deux concepts incompatibles.
Alors oui, c'est une belle démonstration qu'avec des prémisses faux, on peut raisonner de travers pour conclure n'importe quoi. Mais sur le fond? Arnaudus (d) 12 août 2009 à 12:19 (CEST)[répondre]
Tous les points énoncés par Arnaudus sont en effet douteux, mais particulièrement le dernier : on peut avoir une « attirance sexuelle » pour des ami(e)s et pour des non-ami(e)s : je ne crois pas que je puisse jamais devenir ami avec Christine Lagarde mais la trouve très « sexuellement attirante »... -O.M.H--H.M.O- 12 août 2009 à 13:03 (CEST) Mince ! Erreur de lecture sur le point en question. N'empêche que, si Christine Lagarde me proposait un petit tour dans sa chambre, ma foi... Émoticône sourire -O.M.H--H.M.O-[répondre]
Pour en arriver à fantasmer sur Christine Lagarde, tu as dû traverser de terribles épreuves ? Félix Potuit (d) 12 août 2009 à 13:33 (CEST)[répondre]
C'est quoi cette histoire ? C'est une très belle femme, qui a une allure superbe. C'est sûr, elle passe mal en photo, mais elle est en revanche très télégénique. Dommage que, de temps à autres, elle se mette à parler d'économie et de politique, tout de suite ça gâche... -O.M.H--H.M.O- 12 août 2009 à 14:10 (CEST)[répondre]
Travaillant dans les mêmes locaux que le créateur de ce sujet, tu as du voir que nous avions la même adresse IP pour nous confondre. Pour en revenir au débat, a mon humble avis, si je prends un homme A et une femme B "classique" (hetero et sans aucun problème social) s'ils se plaisent, alors ils se reproduiront. L'amitié ne sera la que si un élément extérieur empêche la reproduction (que ce soit social ou autre)
  1. Notez que vous avez subrepticement ajouté « ils se plaisent » qui n'est pas dans les prémisses initiales et a un effet immédiat sur la réponse à la question. Si quelqu'un arrive à la conclusion « il ou elle me plait (physiquement) », c'est par définition qu'il a envisagé pendant un bref instant « autre chose que de l'amitié », lors du processus d'évaluation qui lui a permis d'arriver à sa conclusion.
  2. Votre énoncé ne permet pas de réponse correcte. Si on vous cite un contre-exemple, vous pouvez toujours dire « ils ont un problème social » ou chercher un « élément extérieur » jusqu'à en trouver un (on trouve toujours, quand on cherche bien). — Jérôme 12 août 2009 à 15:02 (CEST)[répondre]
Pour répondre moins techniquement (puisqu'Arnaudus a tout dit à ce point de vue) :
Ceux qui ne croient pas à l'amitié sont ceux qui ne l'ont jamais connue, et toutes les raisons sont bonnes à ceux-là pour se rassurer et croire que s'ils ne l'ont pas connue, c'est que cela n'existe pas. — Jérôme 12 août 2009 à 15:09 (CEST)[répondre]
Je me suis permis de rajouter "se plaisent" car je pense que si deux personnes se rapprochent par "amitié" c'est qu'elle se plaisent/s'attirent. En gros, il me semble que si deux personnes sont "ami(e)s", c'est qu'elles s'attirent, et donc qu'elles ont envisagé autre chose que de l'amitié a un moment donné de leur relation et que donc, dans toute amitié (homme femme), il y a eu, a un moment donné, ambiguïté.
C'est une des façons de commencer une amitié, il y en a d'autres. Un exemple : vous invitez vos collègues à aller au cinéma avec vous, puis vous limitez à ceux ayant les mêmes gouts cinématographiques, puis vous vous retrouvez à trainer avec toujours les deux-trois mêmes personnes, probablement des personnes avec qui vous partagez un certain nombre de préoccupations liées à une tranche d'âge, mais pas nécessairement une attirance. — Jérôme 12 août 2009 à 15:31 (CEST)[répondre]

Alors je pense que ceci est une variante du problème posé initialement..on peut devenir ami avec une personne qu'un ami du même sexe nous a présenté par exemple..ce n'est qu'ensuite que je pense que forcément si les relations avec cette dite personne se renforcent il y aura attirance même pour un cours laps de temps..Si jamais il ne se passe rien l'amitié prendra alors forme sans ambiguité ensuite..Mais il n'empeche que tout début d'amitié pour moi se traduit par l'attirance d'au moins une personne envers l'autre..L'amitié ne serait en fait qu'un amour qui n'aurait pas été possible..(entre homme et femme pour les hétéros ou même sexe pour les homos)

RRRrrr ZZzzzzz... pourquoi posez-vous une question si de toutes manières vous n'avez aucunement l'intention de prêter attention aux réponses qui ne correspondent pas à ce que vous attendiez? Franchement, si vous n'avez jamais réussi à être ami avec une femme (ou un homme, selon ce que vous êtes), arrêtez de vous en prendre aux autres! Ce n'est pas en empilant les raisonnement moyennâgeux (être «normal» c'est être hétéro, ne pas vouloir se reproduire avec ses amies c'est avoir un «problème social», ...) que la question va devenir plus intéressante. Arnaudus (d) 12 août 2009 à 15:53 (CEST)[répondre]
Mon opinion est que deux personne célibataire (et un tant soit peu désireux de cesser de l'être) de sexe adéquat ne peuvent pas développer une relation d'amitié satisfaisante sans que tôt ou tard, l'un comme l'autre se mette à jongler, ne serais-ce que brièvement avec l'idée d'être en couple et... ne pas tout à fait être en couple aussi (si une considération morale ne vient pas exclure certaines possibilités). Ceci étant dit, il est très possible à un homme et une femme célibataires d'être de bons amis. Mon avis est qu'il faut tuer le malaise dans un délais court; La relation (quelle qu'elle soit) ne pourra être que plus simple ensuite. --Iluvalar (d) 12 août 2009 à 16:00 (CEST)[répondre]

(conflit d'édit, mais non d'opinion)

Toutes les discussions précédentes (sauf celle sur le sex-appeal supposé ou avéré de Christine Lagarde) montrent ceci : la prémisse initiale, « amitié homme/femme physiologiquement possible », est infondée. Parce qu'il s'agit d'une question sociale et non biologique. Certains d'entre nous ont été éduqués avec le présupposé que les rapports entre humains ne reposent pas sur une sorte de compétition, d'une part entre personnes du même sexe pour la conquête de celles de l'autre sexe, de l'autre entre personnes de sexe différent pour la conquête des unes par les autres. Certains ont reçu une autre sorte d'éducation. De là s'expliquent nos approches différentes de la question.
Un point est particulièrement intéressant : bien que tendanciellement « hétérosexuel », j'ai appris assez tôt à intégrer le fait que certains hommes ont un penchant pour les hommes et certaines femmes un penchant pour les femmes, et à considérer ça comme normal. Même sans une telle éducation, bien des personnes finissent par considérer que « l'attirance » n'est pas une question de sexe mais... d'attirance. De là, ces personnes ne se posent pas de questions sur la possibilité d'une amitié entre personnes de sexe différent : puisque « l'attirance » n'est pas une question de sexe, l'amitié n'en est pas non plus une.
La question initiale, relayée par des interventions ultérieures, part du principe que « l'attirance » est quelque chose de physiologique (probablement, d'hormonal et plus précisément de phéromonal), alors que pour la majorité des Pythies il s'agit de quelque chose de social, interpersonnel et psychique. Dès lors, toute réponse qui sera « non physiologique » ne pourra satisfaire notre questionneur et ses relais. Pour mon compte, et face à l'évidence (ma capacité propre et celle de la majorité de mes connaissances à établir des liens d'amitié non mêlés de « pulsion sexuelle » avec les personnes de « l'autre sexe »), je ne puis que dire ceci à notre questionneur (qui pourrait être une questionneuse, mais c'est peu probable), tiens compte ou non de nos avis, cela ne changera rien à la réalité, qui n'a pas grand chose à voir avec ce que tu nous propose. -O.M.H--H.M.O- 12 août 2009 à 16:21 (CEST)[répondre]
Merci à Iluvalar qui, je pense, est le seul à avoir compris notre question.
Merci à tous ceux qui ont compris cette question mais n'ont pas donné la réponse attendue. -O.M.H--H.M.O- 12 août 2009 à 16:49 (CEST)[répondre]
+1 Émoticône --Égoïté (d) 12 août 2009 à 16:56 (CEST)[répondre]
Je viens de me rendre compte que Christine Lagarde est née en 1956 !!! Je pensais qu'elle avait au moins 60 carats. Mille excuses, Madame. Félix Potuit (d) 12 août 2009 à 17:31 (CEST)[répondre]
Ce qui m'agace, c'est la maladie propre à Wikipédia, mais pas seulement, de tout catégoriser une fois pour toutes : homme, femme, hétéro, homo, amour, amitié, naissance en telle année, qui donne en fonction des catégories un comportement donné, obligatoire. Mais non, ça ne marche pas comme ça, nous sommes encore à résister à la mise en boîte, tant pis pour la rigueur, et vive les verbes irréguliers et les exceptions aux règles qui rendent la vie plus compliquée, mais plus rigolote. Morburre (d) 12 août 2009 à 17:46 (CEST)[répondre]
Iluvalar est un ancien wikipompier, c'est normal qu'il soit toujours prêt à sortir sa lance d'incendie ! Émoticône. Et pour ajouter aux propos de Morburre, notez que certains romantiques ne conçoivent pas seulement l'amour comme une attirance sexuelle. HaguardDuNord (d) 12 août 2009 à 18:39 (CEST)[répondre]
Tut, tut ! Ma charte d'intervention m'interdit d'être ancien_quoi_que_ce_soit. J'éviterais de dire Iluvalar et Wikipompier dans la même phrase, tu va attirer sur toi la foudre de Ceux-qui-ne-vaux-mieux-pas-nommer.
Je tient tout de même à souligner que : Selon l'ip 212.99.95.34, contributeurs de passage de wikipédia, je suis le seul à avoir compris la question et pas VOUS nananère !
PS: je doit-être un romantique alors... Iluvalar (d) 12 août 2009 à 19:45 (CEST)[répondre]
Pour en revenir au débat, a mon humble avis, si je prends un homme A et une femme B "classique" (hetero et sans aucun problème social) s'ils se plaisent, alors ils se reproduiront. L'amitié ne sera la que si un élément extérieur empêche la reproduction (que ce soit social ou autre). Faux, absolument pas. De nos jours, on peut s'aimer (je parle ici d'"amour" avec attirance sexuelle) sans pour autant avoir d'enfant, ni vouloir un jour se reproduire. Quelle vision ancienne des choses (àmha). Pour la seconde phrase, on peut très bien avoir des amis (sens> amitié), les apprécier pour ce qu'ils sont mais ne jamais avoir en tête de les aimer au point de se reproduire avec eux ! (tout simplement parce qu'ils sont bourrés de défauts :P et que jamais on n'envisagerait une relation durable type amour avec eux). .Anja. (d) 12 août 2009 à 18:58 (CEST)[répondre]
Autant je pense qu'on peut définir de façon scientifique (reproductible, mesurable, etc.) l'attirance sexuelle (par exemple : il bande ou pas, c'est mesurable, et équivalent pour madame), autant le concept d'amitié me semble trop flou pour qu'on puisse dire quoi que ce soit d'intelligent sur le rapport entre les deux. Maintenant, si c'est pour dire que, probablement, un(e) célibataire sexuellement actif a de bonnes chance d'avoir à un moment ou à un autre, même bref, une attirance sexuelle pour une personne qu'il fréquente assez et avec assez de plaisir pour considérer que cette personne est un(e) ami(e), OK, mais je ne pense pas que ça fasse vraiment avancer le schmilblik... gem (d) 12 août 2009 à 18:57 (CEST)[répondre]
Conclusion qui devrait mettre tout le monde d'accord : si les phéronomes de x et y ou de x et x ou de y et y (et inversement) ne se manifestent pas au bon moment pour les x et les y, il reste une chance assurée (selon l'expérience de beaucoup et la mienne en passant) qu'une affirmation de Montaigne puisse être vraie, et même dans les cas féminins ou inter-genres : « Parce que c'était lui, parce que c'était moi ». Et n'allez pas me sortir que Montaigne était homosexuel, je m'en fiche complètement ! --Égoïté (d) 12 août 2009 à 23:30 (CEST)[répondre]


Bonjour à tous!! Je crois qu'il y en a qui n'ont pas compris la question. Contexte: 2 amis de sexe opposés On disait juste qu'il y en a au moins un des deux qui pense à avoir plus que de l'amitié avec l'autre. La pensée leur est passé au moins une fois par la tête même que 10 secondes à elle ou lui. Qu'est-ce que vous en pensez?

Salut, j'ai tout lu et toutes ces explications me bien semblent compliquées. J'ai personnellement rencontré une personne du sexe opposé qui a 26 ans de plus que moi (94 ans cette année). Cela fait un peu plus de 20 ans maintenant et ce au hasard d'une passion commune pour les chèvres. Je crois que nous sommes amis de manière réciproque sans jamais avoir eu ne fusse l'espace de quelques secondes (pour ma part tout au moins, je lui pose la question cet après midi à l'hôpital ou elle est en traitement actuellement) la moindre attirance sexuelle. Pour moi, la réponse à la question est oui c'est possible. Pour certaines de mes relations féminines j'ai pu avoir ce sentiment bref, mais non déterminant, pour d'autres jamais et nous sommes amis quand même. Donc ??? --Kkbs (d) 14 août 2009 à 06:31 (CEST)[répondre]
Chère questionneuse ou cher questionneur, nous avons très bien compris ta question mais à ce qu'il en semble tu n'as pas très bien saisi nos réponses : la majorité des pythies t'a répondu que ton hypothèse est infondée et en tout cas indémontrable. À un moment, tu as considéré qu'une des pythies donnait une réponse qui allait dans le sens de ton présupposé, de là tu en as conclu qu'elle était « le seul à avoir compris notre question », puis probablement pris de doutes après relecture de sa contribution tu te demandes si elle a « si bien compris que ça », dit autrement, conforté tes a priori. Et nous revoilà au cas précédent : nous n'avons pas compris la question parce que nous ne donnons pas la réponse que tu espérais. C'est triste, mais je crains que ça doive durer. -O.M.H--H.M.O- 14 août 2009 à 06:53 (CEST)[répondre]

Question dans la question : comment envisager de demander à un ami ou amie, si à un moment ou l'autre il a éprouvé un sentiment amoureux envers soi. S'il répond oui, comment se poursuit la relation, s'il répond non, suivant l'ego du questionneur il risque d'être vexé. --Kkbs (d) 14 août 2009 à 09:07 (CEST)[répondre]

Merci pour ton apport Kkbs, qui est un très bon contre exemple. Afin de le valider il est vrai qu'il faudrait être sur que ton ami(e) n'est jamais eu cette pensée. Maintenant, comment le lui demander, je ne sais pas. Et effectivement, je sais pas quel effet risque de produire cette question sur une relation d'amitié. Je crois en fait, qu'on ne peut pas avoir de réponse à notre question, car il est impossible de certifié les réponses....L'idéal peut être, serait qu'un tierce personne demande à 2 ami(e)s s'il ont déja pensé à autre chose, en certifiant que leur réponse ne sera jamais connu par l'autre ? je sais pas ... sujet pas facile :)
Lorsque j'ai rencontré la personne dont je parle dans ma première intervention, celle-ci devait avoir environ 70 ans et moi 43 ans. Je me connais peut être mal, mais mon attirance pour le beau sexe ne me tente pas dans cette tranche d'âge. Et je suis plus que certain (connaissant mieux la dame en question) que cette idée ne l'aura pas effleurée lors de nos rencontres. N'empêche que depuis toutes ces années nous pouvons dire mutuellement que nous sommes amis. Je verrai cet après midi comment elle réagit aux résultats de ses analyses, et j'essaierai de lui poser la question. Etant donné son âge je ne risque pas de perdre une amie, car malheureusement je crois qu'elle approche de la phase finale. --Kkbs (d) 14 août 2009 à 14:00 (CEST)[répondre]
Suite à cette discussion je me doit de réévaluer ma position. Kkbs donne un exemple dans lequel, la question pourrait ne jamais faire surface à un niveau conscient. Tout dépend alors de ce qu'on entends par "penser". L'expérimentateur n'aura jamais souvenir (au niveau conscient) d'avoir rejeté la possibilité au niveau inconscient. Donc, si la relation ne lui parait pas un minimum plausible, il est possible qu'il rejette l'idée qu'il ait pu y penser. --Iluvalar (d) 14 août 2009 à 17:39 (CEST)[répondre]
De retour de l'hôpital, je n'ai pu poser la question. Il fallait d'abord s'intéresser à ses résultats d'examens, puis il fallait préparer mon amie à ce type de question en expliquant le contexte du sujet posé par le questionneur. Ces enfants sont arrivés peu après moi donc... j'y retourne dimanche, si j'entrevois une possibilité décente de poser la question je le ferai et vous relaterai sa réponse. --Kkbs (d) 14 août 2009 à 18:33 (CEST)[répondre]
Et si on couche ensemble on n'est plus amis ? Ah ben mince alors, quelle solitude tout d'un coup... Adrien' [1729] 17 août 2009 à 15:44 (CEST)[répondre]

Bonjour, désolé mais je ne peux pas vous expliqué le point de vue de la dame en question, son état de santé se dégradant de plus en plus, il est hors de question pour moi d'aborder ce sujet. J'ai bien une amie (femme d'un camarade décédé depuis très longtemps) que je dois connaitre depuis plus de 50 ans, jamais cette idée ne m'est passé par la tête et honnêtement je me vois mal lui poser ce genre de question. --Kkbs (d) 17 août 2009 à 20:00 (CEST)[répondre]

A mon humble opinion très peu d'amitiés sont totalement désexualisée. Quels que soient les genres semblable ou différents des personnes concernées d'ailleurs... Mais au fond, est-ce important ?

Tentatives d'invasion du Japon par Kubilai Khan[modifier le code]

Bonjour Je viens de lire l'article sur Kubilai Khan et les invasions mongoles du Japon. Il est indiqué à un moment donné "On estime aujourd'hui que c'est pendant cette guerre que les mongols levèrent la plus grande armée de l'histoire".

Or dans l'articles consacré aux invasions mongoles du Japon, les chiffres indiqués sont "15 000 marins et 25 000 soldats à bord de 900 vaisseaux" ce qui ne me semble pas si démesuré (compte tenu de l'existence d'armées immenses à cette époque dans cette région). Comment expliquer cette incohérence ?

Merci pour vos passionnantes contributions!

H

Les armées de cette époque (XIIIe siècle) et de cette région (Extrême-Orient) n'étaient pas aussi immenses que tu sembles le croire. Le prédécesseur et grand-père de Kubilai Khan, Gengis Khan, aligna entre 100.000 et 200.000 hommes contre les troupes de la grande puissance du coin, la Chine, qui pour elle rassembla quelques 180.000 soldats. Et cela lui suffit pour s'emparer de tout le pays. Selon ce qu'on peut en comprendre, l'empire de Temüdjin, qui s'étendit des Balkans à la Corée et engloba une large part des terres eurasiennes entre ces deux bornes, fut conquis avec moins de 400.000 hommes. Ce qui implique qu'il eut affaire, sur tout ce territoire, à des forces égales ou à peine supérieures en nombre.
Pour reprendre le cas de la Chine, l'ensemble des armées opposées à l'invasion mongole représente donc moins de 200.000 hommes, avec une force équivalente en face. Tu peux te dire, ça fait quelques cinq fois plus que les troupes envoyées vers le Japon, tu peux aussi considérer que ça fait un territoire 25 à 30 fois plus vaste, idem pour la population. L'ensemble des troupes mongoles contre la Chine est bien plus important, ce qui n'induit pas que la plus grosse armée rassemblée pour un seul combat ait jamais dépassé les 30.000 hommes. C'est en ce sens qu'il faut lire l'indication que tu relèves : le nombre total de membres d'une armée n'équivaut pas forcément au nombre total de soldats mobilisés pour un même combat, voir le cas des armées actuelles où, sur un théâtre d'opération donné, seule une fraction des troupes est mobilisée. -O.M.H--H.M.O- 12 août 2009 à 15:46 (CEST)[répondre]
Comparativement avec l'Armée de Xerxès_Ier pour la Bataille_des_Thermopyles_(-480), c'est en effet peu impressionnant. Encore faut-il prendre en compte la démographie des ces empires

le miroir et l'écho (la réverbération)[modifier le code]

Bonjour; je souhaite réaliser un objet d'art à partir du moulin à aube. Pour cela, je cherche à comprendre son fonctionnement. A la base, c'est le principe du moulin à vent: une roue tourne sous l'action du vent et c'est pareil pour le moulin à eau. Je me dis que je pourrais relier une ampoule électrique et la faire fonctionner comme une éolienne. Le plus simple est un petit moulin tournant dans un cours d'eau. Je ne sais pas si cela se fait, mais je pense que c'est la même technique que celle de la dynamo. Cependant, comment reconstituer le mécanisme d'une éolienne (produisant de l'électricité) avec des moyens artisanaux? D'après ce que je sais, la dynamo fonctionne sous le principe d'un balai (métallique, je suppose) tournant entre deux aimants de pôles négatif et positif et produisant un mouvement d'électrons par une variation du champ magnétique des aimants. C'est sur ce point que porte ma question. Est-il exact que l'électricité d'une dynamo soit due à un mouvement d'électrons crée par des variations du champ magnétique d'un aimant dû au mouvement d'un balai tournantà sa proximité? Je vous remercie d'avance de vos éclaircissements. Francis Martin (d) 12 août 2009 à 12:29 (CEST)[répondre]

Bonjour, en attendant des réponses plus précises et plus pratiques, voir Générateur électrique, Induction électromagnétique et Courant induit - Avatar 12 août 2009 à 13:09 (CEST)[répondre]
Le titre est joli, même si je ne vois pas le rapport. Mais s'il est question de balai, il faut poser la question à un administrateur. Morburre (d) 12 août 2009 à 13:17 (CEST)[répondre]
Il y a aussi des articles 'moulin à eau', 'roue à aubes' et 'énergie hydroélectrique'. Il n'a pas trop de rapport avec 'moulin à vent' ou 'éolienne'. -- Xofc [me contacter] 12 août 2009 à 13:24 (CEST)[répondre]

Merci. On trouvera peut-être un indice sur le rapport entre l'écho et le miroir et mon idée de construire un moulin à aube produisant juste l'énergie électrique suffisante pour allumer une ampoule en consultant la présentation de ma page utilisateur. Peut-être peut-on parler, tenant lieu de lien entre le moulin produisant lumière, le miroir et l'écho, de réflexion plutôt que ou avant de parler de réverbération ou d'image. Il est vrai que l'écho est l'image d'un son répercuté par un mur, une montagne ou une voûte de palais. Francis Martin (d) 12 août 2009 à 14:02 (CEST)[répondre]

Le principe des moulins est simple, faire tourner un axe grace a une force exterieure (vent, eau, frottement quelconque). Si tu souhaites fonctionner une ampoule, avec un "moulin", tu as juste a récupérer le système dynamo d'un velo qui alimente une ampoule.

En effet j'avais oublié l'axe, merci, ça commence à prendre tournure, à prendre forme aussi et c'est bien le cas de le dire, une forme géométrique, même. Resterait à numériser, quantifier, formuler mathématiquement et sous forme littéraire, si possible donner un cadre artistique au moulin à aube, et j'aurais un document scientifique en ce qu'il serait pédagogique (peu de gens connaissent le principe réel de la dynamo que je souhaiterais décomposer et exposer ainsi) et artistique aussi, mais là j'avoue que j'ai encore du mal à définir clairement ce qu'on appelle l'art. Le plus simple pour moi est de prendre l'exemple de l'art de la décoration car c'est le plus facile à envisager. L'art de la décoration serait peut-être à la charnière entre art et science du fait qu'art et science sont deux activités basées sur l'expérience (le savoir accumulé et progressif). Francis Martin (d) 14 août 2009 à 03:11 (CEST)[répondre]

J'ai comme un doute, là, question puissance disponible. La moins gourmande des sources de lumière, la DEL, peut fonctionner avec 30 milliwatt, c'est peu, mais c'est encore beaucoup pour un courant d'air de modèle réduit. gem (d) 12 août 2009 à 19:49 (CEST)[répondre]

Peut-être alors trouver un cours d'eau assez puissant, faire tourner une roue de vélo avec aubes mais j'aimerais bien comprendre tout de même le principe de la dynamo. ça me rappelle une video sur les hackers d'aujourd'hui qui démontent les ordis à Paris et produisent leur électricité avec des fours solaires composés de miroirs et qu'ils fabriquent eux-mêmes avec des moyens très simples. Il y a aussi quelqu'un qui a montré que la lumière (d'un laser je crois) fait ondoyer un miroir souple. Chaleur et pression. Merci pour tout. Tiens, cet après midi j'ai vu une jolie chose: des enfants parlant de l'expression "donner sa langue au chat" en se demandant ce qu'elle veut dire et en concluant que c'est juste le fait de voir le chat tirer la langue et donner la réponse à la question qu'on se pose ( car "donner sa langue au chat" signifie reconnaître qu'on ne connaît pas la réponse à une question donnée). C'est ce que l'on appelle une image en littérature et cela me fait penser à l'opposition classique entre la pratique et la théorie car ici cette image de "donner sa langue au chat" fait appel à l'imaginaire. Je trouve que c'est même de la recherche sur la langue car pour qui a de l'expérience en la matière, cette image est très élaborée. Il faut chercher assez loin pour trouver son origine. Je dirais même qu'il m'est assez difficile d'imaginer quelle pourrait être l'origine concrète de cette expression car il est assez difficile de concevoir qu'un élément du langage (une expression courante, par exemple) puisse se passer d'une référence matérielle. C'est d'ailleurs ce qui m'intéresse (voir la présentation de ma page utilisateur): allant dans le droit fil des plus anciennes philosophies, rélexions et recherches humaines au niveau pratique comme au niveau théorique, et c'est là précisément toujours le même terrain sensible, je considère que les premiers éléments apparus dans le champ de la conscience humaine ont dû relever des notions relatives à la matière, d'une part, et, d'autre part, à l'esprit. Posant cela, on peut remarquer assez rapidement et facilement qu'il y a dans cet énoncé, qu'il y a à la base de cet énoncé une répétition: les premiers éléments apparus dans le champ de la conscience humaine ont dû relever des notions relatives à la matière et à l'esprit. C'est encore la formule de Jacques Deleuze: "différence et répétition". Francis Martin (d) 13 août 2009 à 14:07 (CEST)[répondre]

Bonjour à toutes les Pythies. Pourquoi « redétruire » semble-t-il ne pas exister dans les dicos alors qu'on y retrouve reconstruire et même rarriver ? Pleure Je sais qu'on peu écrire « détruit à nouveau » mais enfin... Ça me tarabuste ! --Égoïté (d) 12 août 2009 à 17:27 (CEST)[répondre]

On peut ajouter "re-" devant un tas de verbes et on sera en général compris, même si le mot n'est pas dans le dictionnaire : regratiner, retartiner, regriffonner, retoussoter, refactoriser... Je suppose qu'ils n'y font figurer que ceux qui sont suffisamment attestés. C'est la preuve qu'il s'agit d'un suffixe préfixe vivant. En allemand par exemple, c'est pareil avec wieder-. Félix Potuit (d) 12 août 2009 à 17:36 (CEST)[répondre]
En même temps, ça ne peut pas s'appliquer à toute action : ce qu'on détruit, on ne peut pas le « redétruire » sinon « détruire » n'a plus de sens, alors que ce qu'on fait ou défait, on peut le refaire. -O.M.H--H.M.O- 12 août 2009 à 18:20 (CEST)[répondre]
Pour être plus précis : une chose peut être détruite puis... reconstruite, mais cette « reconstruction » est un autre objet qui sera donc « détruit à nouveau » ou « détruit à son tour » mais non « redétruit ». -O.M.H--H.M.O- 12 août 2009 à 18:24 (CEST)[répondre]
objection : on peut concevoir que la chose reconstruite soit la même, vraiment la même, que celle qui a été détruite : on peut redétruire le moral d'une personne ; on peut aussi redétruire tout ce qui abstrait, un pont par exemple : certes, ce n'est pas le même objet, mais ça reste le même pont au sens (abstrait) de "voie qui permet de passer d'ici à en face et ayant une instance physique". Bref : je ne me souviens pas avoir user de redétruire, mais je ne vois rien qui s'y oppose en toute rigueur. gem (d) 12 août 2009 à 20:00 (CEST)[répondre]
"Ils ont reconstruit le pont, alors nous l'avons redétruit, et comme ils l'ont re-reconstruit, ben on l'a re-redétruit", etc. Je ne vois pas d'objection. Et si on reconstruit quelque chose, ce n'est pas la même chose que ce qu'il y avait avant (ça peut être la même chose si on s'en tient à sa fonctionnalité, par exemple sa fonctionnalité de pont, n'empêche qu'il sera forcément différent). Et ce qu'on redétruit, pareil. C'est une question philosophique : l'identité, et l'occasion de pleurer sur l'indigence de l'article. Félix Potuit (d) 12 août 2009 à 23:25 (CEST)[répondre]
Rédigeant ma réponse, j'anticipais une objection de ce genre. D'un point de vue grammatical (comme dit plus haut) il n'y a pas de raison de ne pas employer le mot ; d'un point de vue abstrait ou conceptuel non plus : si l'on peut « reconstruire », pas de raison de penser qu'on ne peut pas « redétruire ». Restent les questions d'ordre sémantique et sémiologique : la langue admet « reconstruire » parce que ce qui a été détruit peut être reproduit à l'identique ; elle n'accepte pas « redétruire » parce que l'objet reconstruit n'est pas le même que l'objet détruit mais un nouvel objet construit « à l'identique ». Pour le dire simplement, on ne peut pas détruire deux fois le même objet alors qu'on peut construire deux fois le même objet. Mais ce second objet n'est pas le même que le premier, il lui est seulement identique. Donc la destruction du second objet n'est pas la « redestruction » du premier mais bel et bien la destruction du second. Cela n'empêche qu'on puisse faire, refaire, redéfaire, rerefaire, reredéfaire, etc.
Le sentiment de la langue ne s'appuie pas seulement sur les possibilités syntaxiques de construire une certaine forme mais sur celles sémantiques, notamment : peut-on détruire deux fois le même objet ? -O.M.H--H.M.O- 12 août 2009 à 20:47 (CEST)[répondre]
Personnellement, je trouve dommage que le français s'éloigne tant de sont étymologie. Une Langue polysynthétique ce serait chouette. Quand même, on peut se permettre quelques écarts qui ne sont pas dans le dictionnaire. --Iluvalar (d) 12 août 2009 à 20:12 (CEST)[répondre]
Oui, Gem : un pont ! Abstrait et concret à la fois... Jusqu'en 19021909, le passage d'une rive de la Meuse à l'autre, à Hermalle-sous-Huy, se fait, au choix et à ses risques et périls, à la nage, en barque, en bac, ou à pied par très fortes gelées. 1909 : inauguration (fastueuse) du premier pont – enfin ! –, nuit du 4 au 5 aout 1914 : destruction par l'armée belge, 1923-1924 : reconstruction (mot existant dans les dicos) d'un pont, 11 mai 1940 : redestruction par le génie belge (oh pardon ! non admis, donc Re-Boum Boum le pont !), 1948 : reconstruction d'un pont. Eh oui, après tant de siècles sans, on y tenait au pont...
oui, O.M.H. Le second détruit n'était pas le même que le premier. Mais... le second construit non plus... Je comprends cependant bien ton explication et te remercie pour tes efforts louables et méritoires d'information que je salue humblement. Juste pour le plaisir de te taquiner, j'ajoute qu'on ne peut refaire, défaire, etc. un immeuble ou un pont (et même pas une recette ! Émoticône). Ces verbes-là s'appliquent mieux à un ouvrage de crochet ou de tricot. (et je déteste le tricot).
Bisous à tous pour une bonne nuit. --Égoïté (d) 12 août 2009 à 23:18 (CEST)[répondre]

Quel est le problème d'hygiène lié au short de bain ?[modifier le code]

Bonjour. En rapport avec l'actualité, je constate que dans certaines piscines, on a :

  • short de bain interdit (slip de bain obligatoire)
  • bonnet de bain obligatoire

À quoi bon interdire ou rendre obligatoire certaines formes d'habillements pour les piscines ? Il y a souvent deux raisons invoquées :

  • attentat à la pudeur si on ne porte rien ou pas assez
  • problème d'hygiène si on porte trop ou pas assez

Il parrait que l'« attentat à la pudeur » n'existe plus dans le code pénal (source), donc les piscines n'ont plus vraiment de raison fondamentale de rendre les habillements de bain obligatoires. Mais quel est le soucis à porter un short de bain ou à ne pas porter de bonnet de bain ? Qu'est-ce qui fait qu'il y ai un « problème d'hygiène » à trop ou pas assez porter d'habillements ? Ne suffirait-il pas de se contenter des deux conditions suivantes pour un peu plus de liberté vestimentaire :

  • vêtements de bain propres
  • douche obligatoire avant baignade

Oracle, toi qui a observé tant de naïades se baigner nues, conte-nous tes réponses sur les strictes restrictions de nos municipalités... Gentil ♥ (d) 12 août 2009 à 19:34 (CEST)[répondre]

Je considère que ta question concerne la France. Les règlements pour les piscines étant généralement d'ordre municipal, cher , si ça ne contrevient pas franchement avec les lois du pays on peut y accepter ou refuser n'importe quelle tenue. Pour un exemple autre, sans jurer que ce soit bien cette cité, on a parlé récemment d'un arrêté municipal à Palavas-les-Flots où l'on interdisait les tenues trop dénudées dans les rues, et sans pouvoir dire lquelle, une municipalité où l'on interdit les tenues « légères » dans les restaurants. Pour les piscines il en va de même : l'édile municipal décidera que telle tenue sera autorisée, telle autre interdite. Il donnera des arguments de divers ordres, en général pour des raisons « hygiéniques », lesquelles sont invérifiables donc infalsifiables.
Si tu veux une réponse objective relativement aux motivations « hygiéniques », il n'y en a pas. Il y a bien des critères objectifs pour déterminer si une personne a peu de chances d'être vectrice de maladies mais soit individuels (être « propre »), soit requérant une investigation lourde pour le vérifier. De là, tu peux considérer que tout règlement municipal concernant la tenue vestimentaire qui se pare de motifs hygiénistes est invalide de ce point de vue s'il n'est pas prévu un contrôle médical sérieux, et n'a d'autre but que d'éviter une invalidation administrative (préfecture) ou judiciaire. -O.M.H--H.M.O- 12 août 2009 à 20:20 (CEST)[répondre]
Le maire est doté de pouvoir de police étendus et est responsable, dans tous les sens du terme, de l'ordre public ; il a le droit d'interdire de se balader à poil dans les rues (ou, plus estival, d'interdire les simples tenues de bains dans les magasins), à sa discrétion. Il a aussi le droit d'interdire la burkha (mais oui, même sans que le législateur intervienne), ou plus généralement toute tenue dont il estime, de son propre chef, qu'elle pourra choquer ses concitoyens au point qu'on risque l'émeute.
Pas très libéral, mais c'est ainsi. Sous le contrôle du juge, quand même : untelle qui n'est pas contente peut saisir le juge pour lui demander de faire lever l'interdit, et on verra bien ce qui se passera.
En pratique, il apparait spontanément des zones où ce qui est usuellement interdit est toléré, et la tolérance est d'une façon ou d'une autre entérinée par l'autorité (exemple : des plages de nudistes, même quand le délit d'attentat à la pudeur existait encore)  ; mais ce qui est possible sur une grande surface (plages) ne l'est pas dans un petit espace (piscine) et c'est la norme la plus stricte qui s'applique.
Pour ce qui est de l'hygiène, les cheveux et les vêtements sont des sources potentiels de souillure plus importantes; la peau aussi, bien sur, mais on peut laisser ses vêtements aux vestiaires et couvrir ses cheveux d'une bonnet, alors que la peau, il faut venir avec... Il y a du symbolique autant et plus que du réel dans tout ça, mais en pratique tant que ça fait pas chier le gros de la population, c'est pas grave. Sur ce plan, d'ailleurs, quelqu'un qui estime avoir besoin de cacher son corps s'avoue immédiatement suspect : si on le cache, c'est qu'il est sale (au sens "impur" plus qu'au sens hygiéniste, mais l'esprit fait très mal la différence), donc qu'il n'a rien à faire à la piscine. Enfin, avec les maillots usuels on ne se baigne pas avec sa serviette hygiénique ou la merde au cul, par contre avec un burkhini, on dépend entièrement de la bonne volonté de madame, ce qui n'est pas très rassurant pour les autres baigneurs. Tout aussi peu rassurant est la volonté d'imposer la présence d'une vêture précise (ou plus généralement d'un signe militant) et différente de l'habitude : ce genre de comportement signe l'emmerdeur qui veut imposer à autrui ses convictions, ce qui est toléré du maire (parfois il abuse...) ou dans un cadre politique précis (candidature politique), ou encore de personnalités reconnues comme leader d'opinion (vedette, VIP,...) mais certainement pas du petit con voisin à la piscine (ou dans la rue) ; que, du point de vue de l'emmerdeur, ce soit l'habitude et le peuple qui soit oppressant et intolérable, ne change rien à l'affaire...
Douche obligatoire et vêtements propres, certes, mais qui va vérifier et comment ? Certes on n'a pas de garantie avec les maillots, mais le risque est a priori moindre , en tout cas on fait comme si, ce qui revient au même, en attendant une possible évolution de l'usage.
gem (d) 12 août 2009 à 20:43 (CEST)[répondre]
Je confirme : certains trainent leur short à fleurs à longueur de journée, les salissent à gauche à droite et n'hésiteraient pas à le rincer à la piscine. Le bonnet c'est d'une part pour éviter que les cheveux se barrent dans l'eau (surtout les longs) et puis pareil, les gels et autres laques ainsi que le gras de cheveu sont un peu moins dilués sous un chapeau. Mitch-mitch (d) 12 août 2009 à 21:13 (CEST)[répondre]
Du côté de l’hygiène, je suis bien d’accord avec gem et je voudrais faire quelques ajouts : le nombre de germes (ainsi que d’autres paramètres) dans les piscines publiques est contrôlé régulièrement (vous savez, ce genre de contrôle qui nous apprend que notre clavier contient plus de germes qu’une lunette de cuvette de WC), et les responsables ont plutôt tendance à se plaindre de la difficulté à rester dans des normes acceptables : il faudrait pour cela mettre plus de chlore que le corps ne peut en supporter. Ainsi tout autre moyen d’y arriver est le bienvenu ! Je crois que plus un vêtement contient de tissu, plus il contient de niches (microscopiques) à germe. Or, si on ne légiférait pas, on verrait des maillots contenant facilement 3 à 4 fois plus de textile que les slips de bain. On en a vu qui se baicheveux d'une bonnet, alors que la peau, il faut venir avec... Il y a du symbolique autant et plus que du réel dans tout ça, mais en pratique tant que ça fait pas chier le gros de la population, c'est pas grave. Sur ce plan, d'ailleurs, quelqu'un qui estime avoir besoin de cacher son corps s'avoue immédiatement suspect : si on le cache, c'est qu'il est sale (au sens "impur" plus qu'au sens hygiéniste, mais l'esprit fait très mal la différence), donc qu'il n'a rien à faire à la piscine.gnaient avec un jeans aux jambes coupées ! Sans compter que pour les groupes de jeunes vacanciers qui voyagent dans un certain inconfort, ce jeans qui leur sert de maillot peut très bien être leur seul vêtement depuis une quinzaine de jours ! Les conséquences ne sont pas symboliques, mais des chiffres qui s’affichent clairs et nets sur une échelle. On entend aussi parfois des plaintes sur la difficulté de l’entretien de la piscine, compliqué par les cheveux que s’accumulent dans les tuyaux. À ce sujet il faut rappeler que l’obligation du port du bonnet pour les personnes aux cheveux longs, est beaucoup plus ancien (30 à 40 ans de plus), que la tendance au slip de bain minimaliste, assez récente. Il y a aussi cette … légende ? On dit qu’une personne qui saute dans l’eau, alors qu’un cheveu long est à la surface, courrait un danger de coupure grave. L’accident ne serait pas systématique, tout serait question de malchance.
Si tout le monde était propre, tout serait beaucoup plus simple. Mais l’être humain n’est pas discipliné, et pour le côté pratique du contrôle, il est bien plus facile de dire à un baigneur qu’il a les cheveux longs plutôt que de dire qu’il a les cheveux sales, idem pour les maillots. Et puis la longueur, ça peut se contrôler tout le temps, même quand c’est mouillé. Pas besoin d’un sbire qui vérifierait les entrées comme dans les boîtes de nuit ! --Eutvakerre (d) 12 août 2009 à 22:11 (CEST)[répondre]
Je n'ai absolument pas lu les réponses précédentes. Néanmoins, j'ai ceci : Pourquoi interdirait-on les maillots hyper-couvrants dont il est question, sous couvert de "nids à germes" alors que bien des gens avec maillots "normaux" ne passent même pas par la case "douche" dans les piscines ? .Anja. (d) 13 août 2009 à 09:02 (CEST)[répondre]
Parce que c'est plus pratique : quelques secondes peuvent suffire pour sauter la case douche. Il faudrait un surveillant dans la douche. Bonjour l'ambiance! Par contre celui qui se baigne avec un maillot non règlementaire sera repéré plus facilement, car il est repérable pendant toute la durée du bain. --Eutvakerre (d) 13 août 2009 à 10:57 (CEST)[répondre]
Dans certains pays, la port du maillot de bain et interdit, et celui du short obligatoire. Pour les mêmes raisons… Agrafian Hem Rarko (me parler) 13 août 2009 à 11:01 (CEST)[répondre]
Amha, la surface couverte par les shorts de bain n'est pas en cause. Ce type de vêtement peut tout simplement être utilisé comme short et arriver dans la piscine après avoir été porté plusieurs jours (porteur de salissures corporelles et extérieures). Le slip de bain moins confortable n'est pas utilisé comme culotte et déambuler dans la rue simplement couvert de ce vêtement ne répond pas au canon de la mode actuelle : il est le vêtement qui a le plus de chance d'être propre. Tout est question de mode et de confort.--Walpole (d) 13 août 2009 à 18:37 (CEST)[répondre]
Certes, mais la plupart des piscines interdisent les shortys (au confort probablement comparable au slip de bain) au même titre que les shorts de bains, alors que je connais peu de gens qui utilise un shorty sans rien dessus en pleine rue Émoticône sourire. HaguardDuNord (d) 13 août 2009 à 19:18 (CEST)[répondre]
Un autre aspect qu'il me semble avoir vu quelque part est qu'un maillot de bain de type "short" emporte beaucoup d'eau avec lui lorsque l'on sort de la piscine (quelques chose de l'ordre du litre, à vérifier) et que cette mesure servirait simplement à éviter de perdre trop d'eau.

Bonsoir à tous, Pourquoi compacte-t-on la sciure de bois pour en faire des pellets au lieu de bruler directement la sciure? Si je prend le parallèle avec les moteurs thermique, on cherche a diffuser le carburant dans la chambre de combustion le plus finement possible pour avoir une combustion complête alors qu'avec les pellets on fait le contraire, pourquoi? Skiff (d) 12 août 2009 à 22:31 (CEST)[répondre]

En compactant la sciure on arrive à reconstituer des bûchettes de bois qui brûlent plus longtemps que la sciure simple. Dans l'âtre, pas de souci de combustion incomplète (ou moins) puisqu'il n'y a pas de piston qui force les imbrûlés à sortir périodiquement, on peut donc laisser le combustible se consumer lentement sans avoir besoin d'augmenter la surface de contact comburant/combustible en le pulvérisant. Autre point important (dans le cas du bois) : la densité joue sur la qualité des braises; plus le bois est dense (Chêne, hêtre, érable, frêne), plus les braises durent longtemps et sont chaudes. En compactant la sciure on retrouve des bûchettes de bois dense, donc meilleur pour la chaleur. Mitch-mitch (d) 12 août 2009 à 22:44 (CEST)[répondre]
Complément d'information : pouvoir calorifique des granulés : 4.7 kWh/kg soit 16,92MJ/kg contre 15MJ/kg pour le bois. Ici on parle de la capacité qu'a la sciure à absorber l'humidité, à l'inverse des granulés. Et on sait que le bois sec brûle quand même mieux. Et de façon beaucoup plus pratique, le transport, stockage et nettoyage de granulés est plus aisé que la sciure qui fait plein de poussière et qui vole partout au moindre courant d'air Mitch-mitch (d)
bref : si tu avais manipulé un tant soit peu de la sciure, tu ne poserais même pas la question !
la poussière, c'est trop chiant :
ça colle ou ça se compacte dès qu'il y a de l'humidité, c'est pénible à transporter (déjà vu les livraisons de farine chez ton boulanger du coin ? instructif...) et à mesurer (asse volumique variable selon les conditions d'aération et humidité), ça brule de manière incontrôlable, ça s'envole avec la fumée au lieu de bruler dans le foyer, parfois même ça explose sans crier gare (ex : explosion de silo, coup de grisou, ...) et en plus c'est malsain (maladies pulmonaires).
Et c'est aussi pour ça qu'on fait des couscous ou des bouillies au lieu de cuisiner directement la farine...
gem (d) 13 août 2009 à 01:15 (CEST)[répondre]

Objet russe non identifié[modifier le code]

Fichier:Objetrussenonidentifié.JPG
Objet russe non identifié

Cher Oracle,

je rentre à peine d'une petite virée chez nos amis russes. Et j'ai eu l'occasion d'observer à plusieurs reprises le curieux objet dont j'ai mis la photo à côté. Cette photo est prise au musée ethnographique russe de Saint-Pétersbourg et est plutôt ouvragé, mais j'ai vu le même en plus « brut » dans des reconstitutions d'intérieurs russes typiques dans un musée de Novgorod. Sais-tu, Ô Oracle omniscient, ce que ça peut être ? Mon entourage hésite entre la pelle à tarte géante et le chausse-pied, je subodore qu'il s'agit d'autre chose... pour info, l'objet en question fait environ 30 cm de long et le « manche » était environ de la même taille. Merci de tes lumières, Eau Racle (et je t'offre quelques grammes de vodka si tu trouves la réponse Émoticône). --Serein [blabla] 12 août 2009 à 23:00 (CEST)[répondre]

Porte manteaux? Skiff (d) 12 août 2009 à 23:20 (CEST)[répondre]
Peut-être des formes pour fabriquer les lapti, ces chaussures en écorce de bouleau qu'on voit à l'arrière-plan. Félix Potuit (d) 12 août 2009 à 23:36 (CEST) Envoyez la vodka.[répondre]
A tout hasard une patinette des neiges pour enfant (l'équivalent d'une trotinette)...---Walpole (d) 12 août 2009 à 23:41 (CEST)[répondre]
Ou des jambes artificielles pour les vétérans d'Afghanistan qui ont marché sur des mines, oui. Félix Potuit (d) 12 août 2009 à 23:43 (CEST)[répondre]
Je rentre ! C'est un OCNI voyons ! (merci pour la vodka que je préfère en dl) --Égoïté (d) 12 août 2009 à 23:45 (CEST)[répondre]
@Félix : peut-être des formes, en effet (c'est pas bête ça !). Mais ça me semble un poil trop long et pas assez larges. Mais ça pourrait à la limite coller...
@Egoïté : mais enfin, la vodka se mesure en grammes, voyons ! Émoticône --Serein [blabla] 13 août 2009 à 00:16 (CEST)[répondre]
Ah non Serein (et bien le bonjour à propos ! tu es de retour de vacances ? Tu es appelée à la section Paul Lacroix !) ça se mesure en % vol. Émoticône --Égoïté (d) 13 août 2009 à 00:27 (CEST)[répondre]
Les objets ne présentent pas de trace d'usure à la base (seul le second est protégé sur sa colonnette), sont richement décorés... S'ils étaient présentés par paire cela aurait pu servir pour sécher des chaussures (comme ceci ou comme cela). Leur mobilité pourrait permettre de les rapprocher du poële ou de la cheminée.--Walpole (d) 13 août 2009 à 08:43 (CEST)[répondre]
Les-yeux-fermés-les-doigts-dans-le-nez : ces petits objets sont des chausse-pieds ! Émoticône .Anja. (d) 13 août 2009 à 09:05 (CEST) C'est juste pour les géants[répondre]
Alors, on n'écoute pas la guide pendant la visite ? C'est mal. Bon, résumons : cet objet ne va pas par paire. Il n'a pas d'équivalent par chez nous, donc il concerne un usage local, fréquent, il a une valeur symbolique car il peut avoir une fonction uniquement décorative. La partie plate reposant sur le sol, qui joue le rôle de support, n'est pas symétrique par rapport à la colonne : ça me fait supputer qu'on peut mettre le pied dessus tandis qu'une traction est exercée sur la colonne. Le tissu en boule placé dessus joue aussi un rôle. Et à part ça ? À part ça, je ne sais pas. Morburre (d) 13 août 2009 à 09:14 (CEST) Tout compte fait, je me rangerais à l'avis de Walpole (d) si ça marchait par paire.[répondre]
je rejette la supputation : si tu met ton pied sur la partie plate et que tu tires, le bidule pete au premier essai, ça ne fait pas un pli.
L'idée du machin qui sert à sécher les bottes est la plus évidente (notamment à cause de la boule facultative en haut de la tige), si ça venait par paire, ce qui ne semble pas le cas ; et on ne trouve pas ça chez nous, contrairement aux accessoires bottiers. Mais sur la même base, pourquoi pas un support à sécher un bidule qui ne vient pas par paire, mais à l'unité, et plus fréquent là-bas que chez nous : un couvre-chef bien épais ? Chez nous, on se contente de poser le chapeau sur un support fixe près de l'entrée, mais ça ne permet pas de le mettre à chauffer comme ils en avaient certainement plus l'usage gem (d) 13 août 2009 à 11:58 (CEST)[répondre]
D'abord tu n'es pas obligé de tirer dessus comme un malade, ensuite vu le bras de levier c'est ton pied qui se soulèvera avant que le bois ne casse. Mais bon. Je réfute le chapeau parce que le support est asymétrique (à moins que ce ne soit une casquette à longue visière). Pour une botte ça va, le pied de la botte étant en direction du support. Et puis on va bien rigoler quand on apprendra que ça n'a absolument rien à voir. Morburre (d) 13 août 2009 à 12:16 (CEST)[répondre]
Ce qui est étrange, c'est que notamment à Novgorod où les objets étaient présentés « en situation », ce truc était tout bonnement posé sur une étagère dans la pièce commune de l'habitation. Et pas par paire, toujours en individuel. Pas du tout ouvragé comme celui que j'ai pris en photo, juste en bois poncé. Sinon, Morburre, je n'avais pas de guide, ces musées étant malheureusement (ou heureusement) pas très fréquentés par les touristes, qui préfèrent faire 5h de queue à l'Ermitage. Aucune explication en anglais, et pour cet objet précis, même pas de description en russe que j'aurais pu prendre en photo pour la faire traduire. Visiblement ça doit être un truc évident pour les russes... --Serein [blabla] 13 août 2009 à 13:59 (CEST)[répondre]
Je remarque la différence de forme entre les deux machins sur la photo. La base de celui de droite me semble incurvée, et présente des crénelures à son extrémité, alors que celui de gauche a une forme beaucoup plus arrondie et plus convexe. Ce dernier a, apparemment, deux trous à son orifice (non ?). Elsaesser (d) 13 août 2009 à 14:22 (CEST)[répondre]
Reste plus qu'à poser la question à l'Oracle russe. Morburre (d) 13 août 2009 à 14:25 (CEST)[répondre]
Non, non, non, non : BINGO ! C'est un outil de fileuse, visiblement. On a un lien ici.Du moins ça y ressemble étrangement. Maintenant, si une Pythie correctement russophone peut consulter cette page, on aura peut-être le fin mot de l'histoire.. Elsaesser (d) 13 août 2009 à 15:22 (CEST)[répondre]
Qu'est-ce que je disais ? on met le pied dessus et on tire délicatement le fil qu'on forme et qu'on enroule sur le fuseau. C'est une quenouille, mais à pied au lieu d'être une quenouille à main ou à bras comme cheu nous. Morburre (d) 13 août 2009 à 15:37 (CEST) Ou alors non, j'ai du mal à lire le russe, mais d'après l'article quenouille en russe, ce truc-là serait l'équivalent du fuseau ou du rouet, un intermédiaire entre les deux. Morburre (d) 13 août 2009 à 15:45 (CEST)[répondre]
La source qui m'a filé des tuyaux crevés va être sérieusement châtiée. Adieu vodka. Félix Potuit (d) 13 août 2009 à 15:54 (CEST)[répondre]
Bref, c'est un Веретено, même deux, mais je ne connais pas le pluriel de Веретено. Félix, il te reste une chance d'avoir une goutte. Morburre (d) 13 août 2009 à 16:07 (CEST)[répondre]
<mode autobaffe>M... alors, ça faisait partie des hypothèses que j'avais classé dans les fantaisistes, avec le télémètre à martien, le sextoy et le grattoir/marteau à massage :-( </mode autobaffe> gem (d) 13 août 2009 à 16:47 (CEST)[répondre]
<mode soiffard> Bon, et moi, je l'ai méritée, ma goutte de gnôle ? </mode soiffard> Elsaesser (d) 13 août 2009 à 16:52 (CEST)[répondre]
Mégotons pas, patronne, une tournée générale ! Morburre (d) 13 août 2009 à 16:54 (CEST)[répondre]
Pour l'usage, je ne sais pas (mais ça m'étonne un peu) ; pour le nom en revanche, ça ne colle pas : les modèles de Веретено visibles sur Internet sont bien des fuseaux ou des quenouilles (plutôt des quenouilles) tout ce qu'il y a de classiques. -O.M.H--H.M.O- 13 août 2009 à 17:06 (CEST)[répondre]
Soit dit en passant, le pluriel de Веретено est веретена. Elsaesser (d) 13 août 2009 à 17:29 (CEST)[répondre]
Allez, soyons coquets : веретёна. je peux avoir un peu de vodka quand même alors ? Félix Potuit (d) 13 août 2009 à 17:54 (CEST)[répondre]
Il semble que le mot soit très général et n'apporte pas beaucoup de précisions : il désigne à la fois le fuseau, la quenouille, le rouet, plus notre objet-mystère (qui sont des outils fondamentalement différents) et même d'autres objets qui n'ont rien à voir. Il doit exister des termes plus précis, j'imagine... Morburre (d) 13 août 2009 à 17:50 (CEST) Entre nous, WP est très faible dans ce domaine d'archéotechnologie.[répondre]
Merci à vous tous ! Effectivement, quand on voit l'ensemble ça devient évident. Vous me tapez dessus si je vous dis qu'il y avait en effet un atelier de tissage dans l'isba que j'ai vue ? Émoticône En tous cas je vais pouvoir uploader téléverser cette photo sur Commons et l'attribuer correctement. Merci beaucoup ! Et hop, tournée de vodka pour tout le monde ! --Serein [blabla] 13 août 2009 à 19:39 (CEST)[répondre]
Ah ben c'est pas trop tôt. Na zdorovie ! Félix Potuit (d) 14 août 2009 à 08:15 (CEST) [répondre]
Mais hors de question que qui que ce soit tape Serein, je m'y oppose formellement et prendrai personnellement sa défense si quelqu'un s'avise de la menacer. Na Zdorovie !! Elsaesser (d) 14 août 2009 à 08:42 (CEST)[répondre]

Bonjour. Quelqu'un pourrait-il(elle) rendre compréhensible la redirection de Air fixe vers Acide carbonique en ajoutant un paragraphe dans ce dernier article ? Pourquoi cette redirection ? Qu'est-ce que l'air fixe ? Qui l'a nommé ainsi ? Comment l'a-t-on découvert ? Etc. Il s'agit quand même d'une expression bizarre qui mériterait une explication, non ? Merci déjà. --Égoïté (d) 13 août 2009 à 07:55 (CEST) un peu énervée...[répondre]

La première entrée que me donne Google pour "Air fixe" est dans l'Universalis [9] :
« J. Black désigne du nom d'« air fixé » le gaz (CO2) qui s'échappe de la craie attaquée par un acide. ».
La deuxième dans Google book « Essai sur différentes espèces d'air, qu'on désigne sous le nom d'air fixe - Par Joseph Aignan Sigaud-Lafond » [10] --Serged/ 13 août 2009 à 09:18 (CEST)[répondre]
Cette redirection est tout à fait inopportune. Il s'agit bien du dioxyde de carbone (page où l'anecdote est relatée) et non de l'acide carbonique. Colo (d) 13 août 2009 à 10:01 (CEST)[répondre]
J'allais justement passer au bistro demander un chimiste pour corriger ça ! Je me suis aperçue de l'erreur grâce à Histoire de la chimie#La chimie pneumatique ou chimie des gaz... Peux-tu corriger ? J'ai perdu beaucoup de temps à tenter de comprendre et je suis vraiment à la bourre aujourd'hui ! Grand merci déjà ! Émoticône sourire --Égoïté (d) 13 août 2009 à 10:35 (CEST)[répondre]
Bof bof... acide carbonique est le nom courant du gaz carbonique selon l'usage ancien (et archaïque), et je ne savais même pas qu'on avais pris la peine de spécialiser le terme pour désigner seulement la forme aqueuse. gem (d) 13 août 2009 à 12:07 (CEST)[répondre]

Eau de Seltz[modifier le code]

Bonjour (re). J'ai toujours entendu parler de l'Eau de Seltz ; j'ai vu des siphons en brocante. Mais je n'en sais rien d'autre. Quelqu'un aurait-il des notions de son histoire ? Du mode d'emploi ? Merci déjà. --Égoïté (d) 13 août 2009 à 08:58 (CEST)[répondre]

C'était courant dans les cafés au début du siècle précédent (et même la fin de celui d'avant). C'est de l'eau gazeuse sous pression. Pour le mode d'emploi, il suffit d'appuyer sur la valve pour que l'eau jaillisse (pour les remplir, mystère...). Je suppose qu'il a été détrôné par l'eau minérale gazeuse en bouteille (c'est fou...). --Serged/ 13 août 2009 à 09:25 (CEST)[répondre]
Un tour ici, par exemple... --Serged/ 13 août 2009 à 09:27 (CEST)[répondre]
Ca sert aussi à avoir des visions. Mitch-mitch (d) 13 août 2009 à 09:28 (CEST)[répondre]
... et a priori, on en fabrique encore [11] --Serged/ 13 août 2009 à 09:29 (CEST)[répondre]
Apparemment, c'est une altération de « Aqua Seltzer » / « Selterswasser » (voir de:Selterswasser), qui tire son nom de la ville de Selters (pas d'article en français, donc se référer à de:Selters (Taunus) ou en:Selters (Taunus), qui est la traduction anglaise de l'article allemand) où existe une source d'eau minérale naturellement gazeuse. -O.M.H--H.M.O- 13 août 2009 à 09:32 (CEST)[répondre]
Enfin non : pas une altération mais une transposition. D'après l'article, « Selterswasser » et ses déclinaisons en diverses langues fut une marque déposée qui devint nom commun (à l'instar de Frigidaire par exemple) pour désigner toute eau gazeuse. -O.M.H--H.M.O- 13 août 2009 à 09:39 (CEST)[répondre]
Je me posais la question il y a peu. Les siphons à eau de Seltz, c'est de l'eau ordinaire propulsée par de gaz carbonique qui lui donne son pétillant. J'ai lu que les bistrots les faisaient remplir par un fournisseur extérieur. Mais il existe toujours des siphons (pas aussi beaux que ceux d'avant) qui fonctionnent avec des cartouches spéciales, et qu'on peut acheter (sur internet aussi, y'en a plein). Morburre (d) 13 août 2009 à 09:43 (CEST)[répondre]
Smiley Colère Je crois que je vais abandonner l'eau et ne plus boire que du vin ! là au moins les articles paraissent plus fiables... Dans quelle galère me suis-je embarquée ! Bon Dans les pharmacies bien tenues on fabrique des eaux de Seltz, de Sedelitz, de Spa, de Balaruc, de Barèges ; on les fabrique plus fortes ou plus faibles que celles de la nature. Donc l'eau de Seltz au départ devait être une imitation d'une eau naturelle. Mais pourquoi Seltz ? J'ai bien lu ce que vous me dites, mais des sources il y en a à Sed(e)litz, Spa, Balaruc, Barèges (j'ai vérifié !). Y en a-t-il eu à Seltz ? Ou fut-ce vraiment une déformation franco-centrée Émoticône de Selters ?
Et malheureusement, Serged, l'explication du fonctionnement n'est pas sur le site que tu donnes Pleure --Égoïté (d) 13 août 2009 à 11:04 (CEST)[répondre]
Le fonctionnement est exactement celui d'un pulvérisateur de jardin : Un tube equipé d'un robinet (ou soupape) d'un côté plonge dans la bouteille, jusqu'au fond, à travers le bouchon. Si on laisse le robinet fermé, la pression dans la bouteille est supérieure à la pression atmosphérique (à cause du gaz dissous qui a tendance à se dégager de l'eau). Donc si on ouvre le robinet, la pression du gaz va chasser l'eau à travers le tube et l'eau sort toute seule de la bouteille! Mitch-mitch (d) 13 août 2009 à 11:17 (CEST)[répondre]
Merci Mich-mitch.
Trouvé pour Seltz ! Ça n'a rien à voir avec l'eau de Selters ! Larousse XIXe dixit : « Eaux gazeuses ou acidulés thermales. Elles sont caractérisées par la prédominance du' gaz acide carbonique libre, et par leur température plus ou moins élevée. Ce sontles eaux du Mont-d'Or, de Vichy, d'Ussat, d'Audinac, d'Encausse, de Bagnolles, de la Malou, de la source de Capus, de Chatel- Guyon, de Clermont-Ferrand, dc Foncaude, de Saint-Mart, de Saint-Alban. Eaux gazeuses froides. Pougues, Sultzmatt, Chateldon, Seltz, Saint-Myon, Langeac, gesse, Médague, Saint-Galmier, Montbrison Sail sous Cousan, Vic-te-Comte, Bar, Gabian, Saint-Martin de Fenoutlla, Premeaux, Sainte-Reine, source de la Madeleine, source de la Verhière source de Cours de Saint-Gervais, Saint-l'arize, Vergèze, Alfter. » (Je souligne) in [12] Bon si je me sers de tout ça pour "étendre" l'article alors que partout on affirme que c'est une déformation de eau de Selters, ce sera un TI ou non ? Émoticône --Égoïté (d) 13 août 2009 à 11:26 (CEST)[répondre]
Un petit schéma. On considère que le liquide de freins de l'image est l'eau, on ignore le manomètre et au lieu d'une arrivée d'air, la pression est crée par le dégagement gazeux. Une petite valve sur le tube jaune et hop. Mitch-mitch (d)
Attention ! Il est déconseillé de boire du liquide de freins ! Morburre (d) 13 août 2009 à 14:23 (CEST)[répondre]
Dans l'article sur Seltz il est justement précisé : « La localité n'a rien à voir avec l'eau de Seltz, qui doit son nom à la commune allemande de Selters. L'eau de Seltz est appelée en allemand Selterswasser ». Si tu consultes les articles allemand ou anglais indiqués plus haut, tu comprendras pourquoi, et surtout pourquoi le nom figure déjà dans l'article du Larousse du XIX° : « Besides the rather unimportant taking of the waters, the Electorate of Trier ran a quickly growing water shipping business, sending the water in crocks from the Kannenbäckerland (a small nearby region in the Westerwaldkreis, well known for its ceramics) to Scandinavia, Russia, North America, Africa and even, as confirmed for the year 1791, as far as Batavia in the Dutch East Indies. From the placename “Selters” on the crocks then soon arose the name “Selters Water” as a brandname for mineral water of worldwide repute ». Bref, dès le XVIIIe siècle les braves gens de ce coin ont vendu de l'eau gazeuse venant d'autres sources sous le nom de marque « eau de Seltz », et ce n'est que par hasard qu'il existe bien une ville de Seltz en France où se trouve aussi une source d'eau pétillante naturelle. -O.M.H--H.M.O- 13 août 2009 à 16:51 (CEST)[répondre]

Dénombrement et probabilités[modifier le code]

Bonjour à tous,
En revoyant récemment Las Vegas 21, j'ai été intrigué par un problème qu'un professeur pose à un étudiant dans le film. Données de départ : un candidat est face à 3 portes fermées, l'une d'elle cachant un gain et les deux autres rien.

  1. il en désigne une au hasard, ce qui donne une espérance mathématique de 33,33%
  2. l'animateur, qui sait ce qu'il y a derière chaque porte, en ouvre une autre que celle choisie, une perdante, et demande au candidat s'il veut modifier son choix.

Pour moi, les deux tirages sont indépendants et le candidat a donc 50% de chances pour chaque porte lors du 2e essai. Pour le personnage (et donc selon le scénariste), il a intérêt à modifier son choix initial puisque la probabilité gagnante s'il change est de 33,33 + 33,33 = 66,66%.

J'étais doué en probabilités mais la logique de la chose m'échappe un peu. Quelqu'un parmi les oracles peut-il confirmer/infirmer ce résultat ? -- Mister BV (d) 13 août 2009 à 10:48 (CEST)[répondre]

Je vous invite à (re-)lire cet article, où tout est expliqué, bien mieux que je ne saurais le faire. Pleclown (d) 13 août 2009 à 11:11 (CEST)[répondre]
Et moi qui m'attendais à une solution simple... Je vais relire l'article en question de manière approfondie, mais à première vue il n'y a pas consensus sur la solution. Merci bien en tout cas. -- Mister BV (d) 13 août 2009 à 11:32 (CEST)[répondre]
Si, si bien qu'éventuellement contre intuitive au 1er abord il y a bien consensus sur la solution : changer d'avis fait passer la proba de 1/3 à 2/3; néanmoins il faut bien sûr bien lire l'énoncé. --Epsilon0 ε0 13 août 2009 à 16:12 (CEST)[répondre]
Il y a consensus sur la solution. Seulement, la première fois qu'on est confronté au problème, on risque de tomber dans le piège d'un raisonnement auquel on est habitué mais qui, dans ce cas-ci, mène à une fausse piste car il oublie de tenir compte de la sélection délibérée et essentielle qui est faite par l'expérimentateur, qui, lors du second essai, élimine sélectivement les choix qu'il sait invalides, sauf un. Si vous êtes féru de mathématiques, la lecture de la démonstration devrait vous satisfaire. Sinon, pour le commun des mortels, comme moi, il existe un truc qui aide à comprendre plus simplement. Supposez qu'au départ, au lieu de trois portes, il y en a un plus grand nombre. Disons qu'il y a mille portes. Au premier essai, le candidat en choisit une parmi les mille. Il y a seulement une chance sur mille que le gain se trouve derrière cette porte, contre 999 chances sur mille qu'il se trouve derrière une des 999 autres portes. Ensuite, l'expérimentateur, qui sait où se trouve le gain, ouvre délibérément 998 portes derrière lesquelles il sait qu'il n'y a rien et il laisse fermées seulement deux portes : 1) la porte choisie au départ par le candidat, derrière laquelle il n'y a toujours qu'une chance sur mille que se trouve le gain, puisqu'elle avait été choisie véritablement au hasard parmi les mille portes ; et 2) une porte désignée par l'expérimentateur, pas du tout au hasard, et derrière laquelle il y a encore 999 chances sur mille que se trouve le gain. -- Asclepias (d) 13 août 2009 à 17:12 (CEST)[répondre]
L'ennui, c'est que dans le 1) de votre exemple il n'y a plus 1 chance sur 1000 pour la porte choisie au début puisqu'il s'agit d'un second choix, indépendant (c-à-d dont les probabilités ne dépendent pas des résultats du 1er), et dans lequel les paramètres ont changé (cardinal des possibles 2 au lieu de 1000). Ce qui me gêne, c'est ce report des chances de succès d'une porte éliminée sur une porte « qui reste en course ». C'est pas grave, une lecture attentive de la démonstration de l'article devrait m'orienter. -- Mister BV (d) 13 août 2009 à 17:31 (CEST)[répondre]
Le piège est justement de supposer erronément que la seconde étape offrirait simplement un choix ordinaire entre deux portes correspondant à des possibilités identiques. Or, le choix en deuxième étape ne se fait pas indépendamment et il ne se fait pas entre deux choix équivalents. Le choix du candidat lors de la première étape était vraiment fait au hasard entre mille possibilités équivalentes. Et le gain n'a pas changé de place. Il y a bien toujours une chance sur mille que le gain soit derrière cette porte choisie par le candidat au début. Cela n'a pas changé. Quant à l'autre porte, celle délibérément sélectionnée par l'expérimentateur, elle n'a pas du tout été insérée dans l'expérience de la même manière. Si vous préférez, imaginez qu'en deuxième étape toutes les mille portes restent fermées. Car, en réalité, le fait pour l'expérimentateur d'ouvrir toutes autres portes (derrière lesquelles il sait qu'il n'y a rien) ou de les laisser fermées ne change rien à l'affaire, sinon que le fait de les ouvrir sert à favoriser l'illusion (et ainsi le piège) de croire erronément que la deuxième étape constituerait un choix indépendant et simple entre deux possibilités identiques, ce qui n'est pas le cas. Lors de la deuxième étape, le choix qui est en réalité imposé par l'expérimentateur au candidat revient tout simplement à demander au candidat si le gain a plus de chances de se trouver d'une part derrière la porte initialement choisie par le candidat lors de la première étape (où le gain n'avait et n'a toujours qu'une seule chance sur mille de se trouver) ou d'autre part derrière l'une quelconque des 999 autres portes prises collectivement (où il avait et a toujours 999 chances sur mille de se trouver). La réponse est évidente. Le reste n'est que de la poudre aux yeux pour tenter distraire l'attention de l'observateur et pour tenter de favoriser l'illusion que la deuxième étape serait autre chose que cela. -- Asclepias (d) 13 août 2009 à 18:25 (CEST)[répondre]
Une chose est curieuse dans ce supposé paradoxe, le fait de ne pas vraiment tenir compte que l'animateur sait, au moment où il ouvre une porte, que derrière elle se trouve une chèvre et que le candidat le sait aussi. Ceci implique que dès le départ il sait n'avoir de choix qu'entre deux portes. Dès lors, on ne se trouve pas dans le cas d'une personne qui fait un premier choix, puis un deuxième choix, sur trois possibles, mais dans celui ou elle fait un choix, s'écrie non non, pas celle-là et décide de choisir l'autre porte, autrement dit, qui change d'avis pour son premier choix et non, qui fait un second choix. Bref, au départ elle avait une chance sur deux de trouver la bonne porte, à l'arrivée elle a toujours une chance sur deux, et au milieu on a fait semblant de réduire le risque de choisir la porte caprine. -O.M.H--H.M.O- 14 août 2009 à 06:29 (CEST)[répondre]
Pour être plus précis : au départ, le candidat sait qu'il va choisir une porte et que après cela l'animateur va ouvrir une des portes qu'il n'a pas désignées ; donc il sait que que son choix initial n'a aucun effet sur la phase suivante puisque dans tous les cas la porte ouverte en premier n'est pas celle choisie par lui. De cela on peut inférer que, par avance, il sait, et l'animateur sait, et le public sait, que le vrai choix se fera non sur trois mais sur deux portes puisque, pour le redire, quoi qu'il y ait derrière la première porte choisie ce ne sera jamais celle-ci que l'animateur ouvrira. Bref, qu'il désigne ou non une porte n'a aucune incidence sur ce qui se passera ensuite. De là on peut dire : le premier « choix » n'est pas un choix et de ce fait, ni ne réduit ni n'augmente ses chances de désigner la porte sans chèvre lors de la dernière phase. Conclusion : à tous les moment du jeu le candidat a une chance sur deux de désigner la bonne porte, et changer son premier choix à la fin ne diminue en rien ses chances de désigner celle avec chèvre. -O.M.H--H.M.O- 14 août 2009 à 08:52 (CEST)[répondre]
NON ! Car contrairement à ce que tu dis, le premier choix importe : si le candidat avait bien choisi au départ, l'animateur élimine forcément une mauvaise porte, il peut choisir au hasard ; au contraire si le candidat avait mal choisit, l'animateur n'a pas le choix et la porte qui reste est forcément la gagnante ; ce n'est donc pas la même situation. Le choix initial est donc très important ; aussi paradoxale que ça puissa paraitre, il vaut mieux pour le candidat choisir initialement une mauvaise porte (ce qu'il a 2/3 de faire) : ainsi le candidat élimine une porte, l'animateur élimine l'autre, et celle qui reste est forcément la gagnante. gem (d) 14 août 2009 à 14:39 (CEST)[répondre]
Ben ça n'est pas évident : une des données du problème est que dans tous les cas l'animateur va ouvrir une porte, dans tous les cas cette porte ouvre sur une chèvre et dans tous les cas ce n'est pas celle choisie par le candidat. Puisque dans tous les cas deux portes ouvrent sur une chèvre, dans tous les cas le candidat choisit celle qui ouvre sur une chèvre ou non. S'il choisit une mauvaise porte il ne choisit pas « la mauvaise porte » mais une des deux mauvaises portes', ce qui ne change rien à la donnée de départ : il y a deux mauvaises portes. Donc, quel que soit son choix, au moins une des portes restantes est une porte à chèvres, et c'est obligatoirement une de celles-là que l'animateur ouvrira. Est-ce que ça donne le moindre indice sur ce qui est derrière celle choisie initialement par le candidat ? Non, puisque c'est une des deux portes restantes, donc soit la bonne, soit la mauvaise. Il y a donc une chance sur deux qu'en conservant son premier choix il tombe sur la bonne et une chance sur deux qu'en changeant son choix il tombe sur la bonne.
J'ai bien lu l'article indiqué, et même si c'est présenté plus savamment, la logique là derrière est très similaire à celle que tu exposes en dernier et consiste à dire qu'il « augmente ses chances » parce qu'il a plus de chances (ou risques) de choisir « la mauvaise porte » que « la bonne porte », et qu'après l'ouverture d'une porte par l'animateur il « augmente encore ses chances » en modifiant son choix. Or, il y a une légère erreur d'analyse, qui consiste à croire ou prétendre que l'animateur choisit « au hasard » une des deux portes que n'a pas désignées le candidat, ou qu'il l'évite « parce que » ça ouvrirait sur une chèvre. Or, une donnée initiale du problème est que quel que soit le choix du candidat, l'animateur ouvrira une des deux autres portes. Et que dans tous les cas, cette porte ouvrira sur une chèvre. Donc, dès le départ le candidat est informé qu'en réalité il devra choisir non pas entre trois mais entre deux portes, le pseudo-choix initial n'en étant pas un puisque la non ouverture de cette porte après la première phase n'est en aucun cas liée à ce qui est derrière, ça fait partie du règlement.
Je ne suis pas spécialiste des probabilités mais ai quelques talents en logique et en logique du discours : le « paradoxe des trois portes » est un paradoxe de discours, et non un paradoxe mathématique, on s'y arrange pour présenter les arguments dans un certain ordre, qui donne une impression de logique mathématique ou arithmétique, mais n'est qu'une logique de discours, un simple syllogisme mais surtout, un faux syllogisme, de ce genre qui fera dire que Socrate est un poulet. -O.M.H--H.M.O- 14 août 2009 à 16:28 (CEST)[répondre]
Je n'arrive pas à te suivre, et je ne sais pas comment te rattraper, mais clairement tu dérapes : certes, le candidat aura au final à choisir entre deux portes, dont une cache le gros lot et l'autre pas, mais ce ne sera pas le même lot de deux portes selon son choix initial. Il y a trois façon de choisir 2 portes parmi trois, dont deux qui résulte d'un mauvais choix au départ (conduisant à un gain automatique si il change de porte, et perte automatique si il garde la même porte) et une seule qui résulte du bon choix (conduisant à un gain si il garde la même porte et perte si il change), tu vois bien que ce n'est pas la même chose, quand même non ? En somme, tu raisonnes comme si toutes les portes étaient identique et interchangeable, ce qu'elles ne sont pas. Il n'y pas le moindre syllogisme ni paradoxe dans cette affaire, il y a juste une bonne façon de raisonner et calculer, et des mauvaises. gem (d) 14 août 2009 à 20:09 (CEST)[répondre]
Tout juste. Comme dans toute « énigme » du genre, la formulation du problème vise à égarer le lecteur et à lui faire perdre de vue l'essentiel. Dans ce problème-ci, il importe de réaliser que le concurrent n'est jamais appelé à choisir entre deux portes isolées et équivalentes. En réalité, il est appelé à choisir entre, d'une part, une seule porte isolée et, d'autre part, l'ensemble de toutes les autres portes prises collectivement (quel qu'en soit le nombre selon ce qu'on aura mis comme données de départ du problème). Une fois cela réalisé, il est évident que, au hasard, le gain a toujours plus de chances de se trouver derrière l'ensemble de deux de ces portes que de se trouver derrière une seule porte. Idem si on a 1000 portes au départ, le gain, au hasard, a plus de chances de se trouver derrière l'ensemble de 999 de ces portes que de se trouver derrière un seule des portes. Donc, dans la partie finale du show, le concurrent a toujours avantage à changer son choix et donc à choisir la collectivité des N-1 portes sur N plutôt que de laisser son choix sur la porte isolée qui n'a que 1 chance sur N. -- Asclepias (d) 14 août 2009 à 21:27 (CEST)[répondre]
En effet, il n'y a qu'une seule chose qui représente la répartition des probabilités d'un bout à l'autre du problème. Le nombre de portes du départ (trois dans le show télévisé, mille dans mon exemple plus haut, ou tout autre nombre « N » qu'on voudra utiliser comme donnée de départ du problème) est la seule chose qui détermine la répartition des probabilités entre, d'une part, la porte choisie par le concurrent (porte pour laquelle la probabilité du gain est de 1 sur N) et, d'autre part, la collectivité des autres portes (collectivité de portes pour laquelle la probabilité du gain est de N-1 sur N). Ainsi, pour tout nombre N de portes supérieur à 2, la probabilité est nécessairement toujours supérieure que le gain se trouve quelque part derrière la collectivité qui comprend l'ensemble de toutes les portes non choisies par le concurrent plutôt que derrière l'unique porte isolée choisie par le concurrent. Et plus le nombre N de portes qu'on définit dans la donnée de départ du problème est élevée, plus la probabilité relative de la collectivité des portes (N-1 sur N) est élevée. Après, il suffit juste de constater que la deuxième étape du problème n'est qu'une pure mise en scène, elle ne comporte aucun nouveau tirage, elle n'a aucun effet d'aucune façon que ce soit sur la répartition des probabilités. Cette deuxième étape, qui ne modifie rien à rien aux données de départ, n'est qu'une façon différente de poser la question au concurrent, question qui aurait pu être posée dès la première étape (mais ça aurait enlevé tout le charme de la mise en scène et du problème), question qui, une fois qu'on lui enlève ses déguisements et qu'on la formule en termes clairs est essentiellement celle-ci : Cher concurrent, à votre avis, y a-t-il plus de probabilités que le gain se trouve derrière une porte prise au hasard parmi les trois portes (ou parmi les 1000 portes ou parmi les N portes) ou plutôt qu'il se trouve derrière l'ensemble des deux autres portes (ou l'ensemble des 999 autres portes ou l'ensemble des N-1 autres portes) ? -- Asclepias (d) 14 août 2009 à 20:54 (CEST)[répondre]
J'apprécie beaucoup cette manière de présenter le problème, qui a l'avantage d'être mathématique mais arrive à la même conclusion que mon approche logique : le véritable choix a lieu lors de la dernière phase, celle où le candidat doit choisir entre deux portes. Avant cela, les (N-2) portes non choisies par le candidat ni n'augmentent ni ne réduisent l'incertitude : il désigne une porte et (N-2) portes sont ouvertes, sauf celle qu'il a désignée et « une autre ». Et n'importe laquelle des deux cache une chèvre. -O.M.H--H.M.O- 15 août 2009 à 17:49 (CEST)[répondre]
« N'importe laquelle des deux », si on veut le dire comme ça, mais pas avec la même probabilité, et c'est ce qui importe, puisque la probabilité de gain derrière la première porte est de seulement 1 sur N, alors que la probabilité de gain derrière la seconde porte est de N-1 sur N. Appliqué à un exemple comportant trois portes au départ, cela fait une probabilité de 1/3 contre 2/3. Appliqué à un exemple comportant 1000 portes au départ, cela fait une probabilité de gain de 1/1000 (autrement dit 0,1 %) derrière la première porte contre une probabilité de gain de 999/1000 (autrement dit 99,9 %) derrière la seconde porte. On aura compris que l'ouverture des autres portes par l'animateur n'a aucune importance ni aucun effet sur l'essence du problème. Que c'est seulement une affaire de mise en scène, qui permet d'introduire une astuce dans la formulation de la question posée au concurrent en lui parlant de « deux » portes, alors qu'en réalité on demande au concurrent de choisir entre d'un côté une seule porte (donc une chance sur mille de gagner) et de l'autre côté 999 portes (donc 999 chances sur mille de gagner). -- Asclepias (d) 15 août 2009 à 20:08 (CEST)[répondre]

J'ai pondu un petit programme pour vériffier expérimentalement la chose. Le bénéfice a été double : avec un nombre raisonnablement élevé d'expériences, on approche bien les 66,66% de réussite en choisissant une autre porte (sur 3) ; de plus j'ai compris le raisonnement en écrivant le code. J'aurais peut-être dû commencer par là et ne pas vous embêter avec ça. -- Mister BV (d) 17 août 2009 à 09:51 (CEST)[répondre]

Lexicologie poétique : "Iris en l'air" - "Orkenise"[modifier le code]

Dans la littérature baroque et précieuse, une "Iris en l'air" est une belle imaginaire à qui on dédie des madrigaux. Cela, je l'ai lu il y a très longtemps. Chez Boileau ? Chez Molière ? Ailleurs ? Je ne me souviens plus. Qui peut éclairer ma lanterne ? Citations et références souhaitées : lexiques du temps, auteurs, même très obscurs, etc. Merci à tous ceux qui voudront bien me répondre.

J'ai une autre question du même ordre, tout aussi pointue. "Orkenise" est le nom d'une ville imaginaire, formé probablement à partir de "Venise". Guillaume Apollinaire l'utilise, mais je ne me rappelle plus à quelle ccasion. Ma source : l'édition, déjà très ancienne, d'André Billy à la Pléiade. Qui connaît le texte précis d'Apollinaire, et existe-t-il par ailleurs une documentation sur ce terme "Orkenise" ? D'AVANCE MERCI

Identifiant : Avergill - xx@xx.fr

Logo de courriel Comme indiqué dans son en-tête, l'Oracle ne répond pas par courriel. Votre adresse a donc été effacée, d'autant qu'elle risquait d'être exploitée à des fins commerciales par le biais d'aspirateurs d'adresses (en savoir plus).
Jamais donner son adresse sur internet... et lire les conseils de l'oracle en haut de page. Bien à vous, --Égoïté (d) 13 août 2009 à 11:28 (CEST)[répondre]
"Pour quelque Iris en l'air faire le langoureux ?" Boileau, Sat. IX. Totodu74 (devesar...) 13 août 2009 à 11:52 (CEST)[répondre]

bis repetita

On trouve ça chez Boileau, dans la Satire IX, plutôt vers la fin :
Faudra-t-il de sens froid, et sans être amoureux,
Pour quelque Iris en l'air faire le langoureux ;
Lui prodiguer les noms de Soleil et d'Aurore,
Et, toujours bien mangeant, mourir par métaphore ?
Autre emploi, là aussi ironique même si moindrement, dans l'ouvrage critique de Charles Félix Lenient La poésie patriotique en France au Moyen Age (1891), et chez Croiset, Histoire de la littérature grecque, t5
Première référence de la recherche (et la plupart de celles qui suivent). Mmmm.... Tu as entendu parler de Google ? Les recherches simples se font bien plus rapidement par ce moyen qu'en venant consulter l'Oracle. -O.M.H--H.M.O- 13 août 2009 à 12:13 (CEST)[répondre]

Mystères...[modifier le code]

Dans WP en je lis que les émanations dues à la fermentation de la bière appelé "air fixe" était connues pour tuer les souris en suspension dans celui-ci. Air fixe = (indiqué ci-dessus) Anhydride carbonique = Dioxyde de carbone (CO2). Dans Fermentation de la bière, je lis que

C6H12O6 + 2 ADP + 2 Pi ---> 2 C2H5OH + 2 CO2 + 2 ATP
glucose                       éthanol

Question : qu'est-ce qui tue la souris ?
Autre question : comment un bol d'eau plate suspendu au-dessus d'une cuve de bière peut-il voir son eau transformée en eau gazeuse ?
--Égoïté (d) 13 août 2009 à 11:56 (CEST) encore et toujours[répondre]

La souris meurt sans doute par asphyxie dûe au gaz carbonique.
Pour la deuxième question, en es-tu sûr ? Ça me paraît douteux. Agrafian Hem Rarko (me parler) 13 août 2009 à 12:09 (CEST)[répondre]
Donc, émanations d'air fixe et d'éthanol ? En gros, tu demandes si une souris qui attrape la peste ET le choléra meurt de la peste OU du choléra. À mon avis, un peu des deux... Émoticône sourire -O.M.H--H.M.O- 13 août 2009 à 12:19 (CEST)[répondre]

Question 1 : la fermentation alcoolique produit du CO2 (45 litres par litre de vin). L'air contient normalement 0,03 % de CO2. A partir d'une certaine concentration dans l'air, ce gaz s'avère dangereux voire mortel. La valeur limite d'exposition est de 3% sur une durée de 15 minutes. Cette valeur ne doit jamais être dépassée. Au-delà, les effets sur la santé sont d'autant plus graves que la teneur en CO2 augmente. Ainsi, à 2% de CO2 dans l’air, l'amplitude respiratoire augmente. A 4%, la fréquence respiratoire s'accélère. A 10%, peuvent apparaître des troubles visuels, des tremblements et des sueurs. A 15%, c'est la perte de connaissance brutale. A 25%, un arrêt respiratoire entraîne le décès [13]). Il est regrettable que tous les ans quelques vignerons meurent dans ces conditions (Smiley: triste)

Question 2 : fermenter de fervere = bouillir. Une cuve en fermentation dégage du CO2 dans sa partie supérieure, CO2 qui coulent ensuite le long des parois. Le bol se trouve donc dans un flux continu de CO2 qui se dissout progressivement dans l'eau qui devient alors gazeuse. Une petite visite dans une cave au moment des vendanges s'impose. --Yelkrokoyade (d) 13 août 2009 à 12:27 (CEST)[répondre]

conflit d'édition
à OMH : Pleure
à Agrafian Hem Rarko : Le CO2 est toxique ? Pas indiqué dans l'article ! C'est le CO qui l'est à ma connaissance.
Pour la deuxième question, c'est , section History ! Et comme j'ai cherché à comprendre et prouver toute la matinée, je deviens hystérique ! Smiley Colère --Égoïté (d) 13 août 2009 à 12:31 (CEST)[répondre]
à Yelkrokoyade : Merci ! Effectivement, une visite me serait utile ! Pourrais-tu ajouter l'info "danger" dans l'article, STP ? Ce serait très gentil à toi. --Égoïté (d) 13 août 2009 à 12:35 (CEST)[répondre]
✔️ Si tu pouvais simplement placer une référence ? --Égoïté (d) 13 août 2009 à 16:29 (CEST)[répondre]
Le monoxyde de carbone est très toxique en effet, mais, dans une moindre mesure, le dioxyde de carbone aussi. Yelkrokoyade l'a bien expliqué. Agrafian Hem Rarko (me parler) 13 août 2009 à 12:42 (CEST)[répondre]
Tout est toxique, ça dépend de la dose ;) (en grec pharmaka c'est à la fois le remède et le poison si ma mémoire est bonne). Erdrokan - ** 14 août 2009 à 12:56 (CEST)[répondre]
Apollo 13 (film) ? Clin d'œil (Mais pour un résumé préférer l'article de WP-en car celui de WP-fr omet cet élément.) -- Asclepias (d) 13 août 2009 à 20:14 (CEST)[répondre]
Hypercapnie. -- Asclepias (d) 13 août 2009 à 16:07 (CEST)[répondre]

Titre de film[modifier le code]

Bonjour,

Je cherche le titre d'un film. C'est un film américain de type reportage. Il doit etre de 2009. Des extraits en ont été diffusé dans l'émission "ce soir ou jamais" consacré à la virilité en 2009 (en avril ou juin je crois). Un jeune homme y traite de sa vie sentimentale et sexuelle. C'est autobiographique.

Je ne trouve rien sur google. Ni sur le site de "ce soir ou jamais". Pouvez vous m'aider?

merci d'avance.

Charly

Il peut s'agir du film anglais Toute l'histoire de mes échecs sexuels. L'article anglophone est plus détaillé. Ou sinon, en français, l'article d'ecrans.fr. --CHristoPHE (d) 13 août 2009 à 14:12 (CEST)[répondre]
Oui, je confirme que c'est ce film. HaguardDuNord (d) 13 août 2009 à 14:21 (CEST)[répondre]

Bonjour, j'aimerais connaître la différence entre la pop music et la variété? Proxim

Dans un premier temps :Pop (musique) et Variété (musique). Mitch-mitch (d) 13 août 2009 à 15:19 (CEST)[répondre]
La Pop music est un cas particulier de musique de variétés, il n'y a donc pas de « différence » mais un rapport hiérarchique entre les deux : la musique de variétés est une forme de musique populaire qui s'inspire des genres musicaux non savants mais est composée et exécutée selon les canons de la musique savante, et c'est en cela notamment qu'elle se sépare de la musique folklorique. Cela ne signifie pas que les interprètes et créateurs de musique de variétés ou de musique pop ont une formation savante mais quand un interprète de musique populaire entre dans les circuits de production de la musique de variétés, il sera amené à « normaliser » ses interprétations pour qu'elles répondent aux canons des genres admis par elle.
La Pop music est donc une catégorie de musique de variétés, celle qui découle des musiques populaires qui se sont développées initialement en Amérique du Nord dans la première moitié du XXe siècle. -O.M.H--H.M.O- 14 août 2009 à 13:24 (CEST)[répondre]

oulad rabou (au maroc)[modifier le code]

avant le village s'appeler jamaa foucaut.il y avait méme un lustre avec la téte de mr foucautl plus une egilse

logo Chère visiteuse, cher visiteur. C'est avec plaisir que nous répondrons à votre question si nous le pouvons, mais nous aurions grandement préféré qu'elle fût formulée avec un peu plus de courtoisie : bonjour, s'il vous plaît et merci sont toujours appréciés. Bonne navigation sur Wikipédia.
Image de bienvenue Nous vous remercions pour votre suggestion. Lorsque vous pensez qu'un article devrait être amélioré, n'hésitez pas à faire vous-même les changements nécessaires. Wikipédia est une encyclopédie basée sur un système wiki, que n'importe qui peut éditer en suivant le lien Modifier situé en haut de chaque page. La communauté des utilisateurs de Wikipédia vous encourage à être audacieux. Ne vous inquiétez pas pour les erreurs que vous pourriez commettre de bonne foi, elles seront probablement détectées et corrigées très rapidement par d'autres contributeurs. Si vous n'êtes pas sûr de la manière de modifier une page, vous pouvez lire Comment modifier une page ou vous entrainer dans le bac à sable. Les nouveaux arrivants sont toujours les bienvenus. Bien que cela ne soit pas obligatoire, vous pourriez trouver des avantages à vous créer un compte utilisateur. Bienvenue parmi les éditeurs de Wikipédia !

Mitch-mitch (d) 13 août 2009 à 17:31 (CEST)[répondre]


S’agirait-il de Oulad Abbou (en arabe : اولاد عبو) ? Alphabeta (d) 15 août 2009 à 18:49 (CEST)[répondre]

Parti fasciste américain créé par Philip Johnson[modifier le code]

Bonsoir, l'architecte Philip Johnson aurait essayé de fonder un parti fasciste américain, cette tentative n'apparaît dans Wikipédia que dans la page dévolue à cet architecte: Par ailleurs, Philip Johnson milita un temps dans les milieux d'extrême-droite en tentant de créer un parti fasciste américain avant la Seconde Guerre mondiale. Pourrais-je en savoir plus ? Merci. Philippe Nusbaumer (d) 14 août 2009 à 00:00 (CEST)[répondre]

C'est guère plus long, mais sur l'article anglophone, il est dit :
« In the 1930s Johnson sympathized with Nazism, and expressed antisemitic ideas.[1] Regarding this period in his life, he later said, "I have no excuse (for) such unbelievable stupidity... I don't know how you expiate guilt."[2] »
HaguardDuNord (d) 14 août 2009 à 00:42 (CEST)[répondre]
bah, un intello qui suit des doctrines débiles qui trainent dans l'air du temps, c'est banal, c'est même quasiment la norme  ; qu'il reconnaisse la stupidité de la chose, c'est déjà arrivé, quoique ça soit moins courant en France gem (d) 14 août 2009 à 19:56 (CEST)[répondre]
  1. Robert A. M. Stern, « Philip Johnson: An Essay by Robert A.M. Stern », Architectural Record,‎ (lire en ligne, consulté le )
  2. Kazys Varnelis, « We Cannot Know History », Journal of Architectural Education,‎ (lire en ligne, consulté le )

Bonjour, Parmi les figures des très riches heures du duc de Berry, ce trouve le mois de septembre ! les commentaires concernant cette image disent : d'une part qu'il s'agit du château de Saumur (49), et en final qu'il s'agit du château de Mehun sur Yèvre (18) !!, cette affirmation est reprise dans l'article sur Mehun sur Yèvre. Pour moi, qui connais Saumur ou je suis né, il s'agit du château de Saumur !! que je reconnais , et ou j'ai joué ! Alors ?

Mehun est représenté dans La Tentation du Christ et non le mois de septembre. [14]. Merci de votre attention, je vais corriger ça de suite. Cordialement. HaguardDuNord (d) 14 août 2009 à 15:47 (CEST)[répondre]

pour rédaction d'un mémoire de licence pro[modifier le code]

Bonjour cher(es) oracles, je voulais comprendre ce qu'est -1.la problématique ? -2. l'intérêt et la justification d'un thème ?

Tout cela me semble trop nuancé à l'esprit ! je vous remercie par avance du service que vous allez me rendre!

Comment, tu ne sais pas cela ?
Le sage Oracle ne fait pas les devoirs à la place des étudiants. Bonne chance dans ta recherche…
Et pour cette saison,
Même pendant les vacances, le sage Oracle ne fait pas les devoirs à la place des étudiants. Un petit tour à la plage ?
Un des buts des mémoires et rapports est précisément d'apprendre à chercher des informations et à réfléchir par soi-même, d'où notre réserve quant au fait d'aider les étudiants dans cet effort. Bon courage ! -O.M.H--H.M.O- 14 août 2009 à 15:58 (CEST)[répondre]
Bon, allez, un petit coup de main : problématique. Comme tu le vois, le voudrions-nous que nous ne pourrions rien puisque « dans un mémoire de fin d'étude, la problématique est la question à laquelle l'étudiant va tâcher de répondre ». -O.M.H--H.M.O- 14 août 2009 à 15:59 (CEST)[répondre]
l'intérêt et la justification d'un thème>> Pourquoi est-il complètement inutile de faire une thèse sur le nombre de carreaux présents sur une feuille A4 quadrillée 5x5mm?? Peut être parce que l'étude est inutile?? Mitch-mitch (d) 14 août 2009 à 16:18 (CEST) merci à tout le monde pour les contributions apportées.Il est tout à vrai que je suis appelé chercher,percer afin d'aboutir à ce que je cherche.Encore merci sans en faire économie.Bye![répondre]

Volume d'infomation(s) ?[modifier le code]

Bonjour, ô incarnation du savoir.

J'ai une question d'ordre orthographique, pour un travail que je dois effectuer. Je n'ai pas réussi à trouver de réponses ailleurs, donc je m'en remets à vous. Pour l'expression « volume d'information(s) », faut-il un « s » ou non à information ? Je n'ai pas trouvé de réponses sur la présence ou non d'un pluriel après « volume de », et les deux versions, sinon, obtiennent sur Google un score quasi-identique (aux environs de 30 000).

Merci d'avance, Grande Pythie ! Cordialement, Suprememangaka**Papoter** 14 août 2009 à 16:26 (CEST)[répondre]

Les deux peuvent se dire, tout dépend alors de ce que toi-même tu veux exprimer : au pluriel si tu veux parler de la quantité de nouvelles (d'« informations ») ou de messages ; au singulier si tu veux parler de la quantité de savoir nouveau, « l'information disponible ». -O.M.H--H.M.O- 14 août 2009 à 16:37 (CEST)[répondre]
Mouais, pas terrible comme intervention. Pour mieux préciser je vais te prendre un cas concret, les capteurs (par exemple ceux qui servent à évaluer la qualité de l'air). Soit tu parles de l'augmentation en nombre et en variété de ces capteurs et de ce sur quoi ils informent, à ce moment le pluriel s'impose ; soit tu parles de l'augmentation globale de connaissance que permettent ces nouveaux capteurs, à ce moment le singulier est préférable (ça vaut aussi quand il n'y a pas d'augmentation...). -O.M.H--H.M.O- 14 août 2009 à 16:42 (CEST)[répondre]
Ah très bien, j'ai compris ! Merci Émoticône beaucoup Olivier. Pour info : d'après tes explications, le « s », en ce qui me concerne, ne s'impose pas. Cordialement, Suprememangaka**Papoter** 14 août 2009 à 16:53 (CEST)[répondre]
Voici comment JE trancherais. Visiblement, tu ne cherche pas à exprimé l'espace en 3d de l'information. Je n'ai jamais vu quelqu'un mesurer l'information en M³. Tu te sert donc de "volume" dans un sens figuré. Soit ton intention est d'exprimer cette espace figuré occupé par l'information. Tu diras « volume d'information ». Soit tu te sert de "volume" dans un sens figuré de "quantité". Dans ce cas, il faudrait tout mettre au pluriel : « Le grand volume des informations ». Mais je suis peut-être juste nul en français... --Iluvalar (d) 14 août 2009 à 18:01 (CEST)[répondre]
+1 Tu n'a qu'a voir ça comme l'air ou l'eau : si parle de l'eau en général (le volume d'eau sur terre), tu mettra le singulier ; si c'est pour parler du stock d'eaux minérales dans un supermarché, se sera pluriel ; à toi de voir quelle est ta perspective. gem (d) 14 août 2009 à 20:16 (CEST)[répondre]

Anatomie : vaisseaux lymphatiques[modifier le code]

Bon jour ô Oracle, Dans l'article des vaisseaux sanguins, seuls les veines et les artères sont des vaisseaux sanguins mais je crois avoir vu que les vaisseaux lymphatiques faisait parties aussi des vaisseaux sanguins. Donnez moi des informations. Jérôme6210 (d) 14 août 2009 à 22:04 (CEST)[répondre]

Bonjour. Vous trouverez les informations ici : Système lymphatique. Respectueusement En passant (d) 14 août 2009 à 22:36 (CEST)[répondre]

Ah merci, donc je rajouterais sur la page des vaisseaux sanguins que les vaisseaux lymphatiques sont aussi des vaisseaux sanguins.Jérôme6210 (d) 14 août 2009 à 22:39 (CEST)[répondre]

Acide muriatique[modifier le code]

Bonsoir. J'ai trouvé une formule du XVIIIe s. où l'on utilise x gr de carbonate de soude et la même quantité d'"acide muriatique" ; manifestement on parle de poudre. L'acide muriatique (= Acide chlorhydrique me dit WP) peut-il être en poudre ? Ou était-ce autre chose ? Merci pour vos réponses. --Égoïté (d) 14 août 2009 à 23:54 (CEST)[répondre]

Salut, pas à ma connaissance, aussi appelé esprit de sel. Certains disent aussi "du fumant", car lorsque l'on ouvre une tourie ou un fût, une fumée âcre et piquante s'échappe du goulot. Dans ta formule que souhaitait on obtenir. --Kkbs (d) 15 août 2009 à 05:28 (CEST)[répondre]

Pour tout dire, je ne connais pas de présentation commerciale en poudre. Mais de l'acide séché sur le goulot d'un fût ou dans la paille de la tourie se cristallise et pourrait donner de l'acide en poudre, mais cette production à une grande échelle me semble assez improbable. --Kkbs (d) 15 août 2009 à 05:33 (CEST)[répondre]
Bonjour et merci Kkbs mais non ; j'ai trouvé un autre exemple là, page 349 : on y cite des poudres, en grains, dont cet acide muriatique... --Égoïté (d) 15 août 2009 à 08:52 (CEST)[répondre]
L'académie française, en 1835, donne : Il se dit D'un acide connu autrefois sous le nom d'Acide marin, et qui entre dans la composition du sel commun. Et le sel = NaCl. Elle dit aussi que muriate = Nom générique des sels neutres formés par la combinaison de l'acide muriatique avec une base alcaline, terreuse ou métallique. Muriate d'antimoine, de baryte, de chaux, de cuivre, d'étain, de fer, de mercure, de potasse. Muriate de soude, Le sel commun. Cela peut-il aider ? --Égoïté (d) 15 août 2009 à 09:01 (CEST)[répondre]
AMHA le muriate est un synonyme de chlorure. Quand à la cristallisation sur les bouteille, AMHA, ce sont soit des impuretés, soit une réaction avec le verre ou l'air. De toute façon l'acide chlorhydrique est un gaz (le chlorure d'hydrogène H-Cl) dissout dans l'eau. --Serged/ 15 août 2009 à 09:47 (CEST)[répondre]
oui l'acide chlorhydrique est un gaz, mais lorsque l'on en parle il s'agit généralement de la solution. Les cristaux sur la tourie ont probablement des impuretés, mais je peux t'assurer que ce résidu remis en contact avec de l'eau lorsque l'on en a sur les mains, te brûles la peau plus rapidement que la solution. J'aimerai savoir quelle était alors la composition des grains dont on parle dans l'article mentionné par Egoité. --Kkbs (d) 15 août 2009 à 12:25 (CEST)[répondre]

Bonjour,

HCl n'existe que sous forme gazeuse, ou sous forme solvatée dans l'eau. Il ne peut pas former de solide, à moins de réagir sur une impureté (telle qu'une amine, pour former un chlorhydrate). Du moins, je n'ai jamais pu observer de dépôt solide autour du goulot d'une bouteille de HCl (je suis technicien chimiste).

Après quelques recherches, il semble apparaître que l'acide muriatique soit, ou de l'acide hypochloreux de formule HClO (ou NaOCl, un solide de la même famille), ou de l'acide chlorhydrique HCl. D'après Chimie appliquée aux arts, Volume 3, de Jean-Antoine-Claude Chaptal (téléchargeable au format .pdf), l'acide muriatique a des usages et une chimie proches de ceux de NaOCl et de HCl. Voyons cela de plus près (en gras la formule hypothétique du composé) :

  • p. 87 : « le muriate de soude forme la saumure » donc notre produit libère du NaCl, caractéristique chimique de NaOCl, selon la réaction 3 NaOCl → NaClO3 + 2 NaCl
  • p. 87-88 : l'acide muriatique est plus léger que l'acide sulfurique et que l'acide nitrique. Pour comparer : d(H2SO4) = 1,83 et d(HNO3 = 1,4), tandis que d(HCl(aq) 37%) = 1,19 et d(NaOCl(aq) 14%) = 1,21 ; les deux correspondent à la définition.
  • p. 88 : cet acide précipite l'argent et le mercure de leurs dissolution dans l'acide nitrique : propriété bien connue de HCl (eau régale !)
  • p. 88 : « il est susceptible de se surcharger d'oxygène » : par oxydo-réduction en milieu acide ou basique, on passe de NaOCl à NaClO2, puis NaClO3 et enfin NaClO4. À partir de HCl, on peut obtenir Cl2, puis NaOCl, et ainsi de suite...
  • p. 90 : « [H2SO4] forme avec la base alcaline du muriate un sel qu'on peut livrer au commerce sous le nom sel de Glauber » : le sel de Glauber a pour formule Na2SO4. Plus loin, l'auteur donne les proportions : 2 mesures de muriate pour 1 mesure d'acide sulfurique, soit : H2SO4 + 2 NaOCl → Na2SO4 + 2 HClO
  • p. 95 : l'auteur décrit la réaction d'oxygénation de l'acide muriatique par MnO2. J'ai jeté un rapide coup d'œil aux potentiels rédox, mais apparemment, les réactions avec HCl et NaOCl ne peuvent pas avoir lieu...
  • p. 103-104 : la dissolution d'acide muriatique dans une solution alcaline permet de former de l'eau de Javel ; avec du carbonate de chaux et NaOCl par ex., on forme de l'hypochlorite de calcium, qui est de l'eau de Javel à fort degré chlorométrique.

L'ouvrage donne d'autres réactions, faisant intervenir trois réactifs dans une équation d'oxydo-réduction, mais cela devient difficile à suivre pour moi. HCl ne pouvant pas être solide, j'en conclus que l'acide muriatique est un sel de NaOCl.

Mais ! Une autre référence, Traité de chimie, Volume 3 de Jöns Jacob Berzelius (téléchargeable au format .pdf), indique que l'acide muriatique est un gaz, ce qui ajoute encore plus de confusion à notre étude !

Tout comme vous, je suis piqué de curiosité pour ce produit... Tachymètre (me parler) 15 août 2009 à 13:32 (CEST)[répondre]

L'article de WP sur l'acide chlorhydrique, vaut la peine d'être compulsé. On y trouve toutes les informtions voulue. Moi, je ne suis que teinturier et j'en ai utiliser quelques milliers de litres dans ma carrière (43 ans), un dépôt blanchâtre apparait sur les pompes automatiques, les pompes manuelles et le long des fûts lorsque l'on verse dans des seaux. Ce dépôt apparait après plusieurs utilisations du fût (séchage). Le fournisseur de produits chimiques est sensé procéder au nettoyage des fûts avant de les remplir (mais il ne le fait pas toujours) d'où à la longue l'apparition d'une espèce de sel blanc cristallisé. Idem pour la lessive de soude 38°Bé., l'Hypochlorite de soude et des tas d'autres produits chimiques. --Kkbs (d) 15 août 2009 à 16:13 (CEST)[répondre]
Le procédé de fabrication de HCl produit des composés secondaires ; le dépôt blanc dont vous parlez doit probablement être un sel. Le HCl 37 % que j'utilise en laboratoire subit une purification avant commercialisation. Mais bon, mes 6 mois de stage en labo ne sont peut-être pas suffisants pour résoudre l'origine de ce précipité. Émoticône
Égoïté m'a contacté sur ma PdD pour me donner la fameuse recette. Il s'agit de mélanger 8 g de bicarbonate de sodium (ou carbonate de soude) avec 8 g de ce mystérieux acide, pour former une eau gazeuse. D'après la nomenclature, nous sommes d'accord sur le fait que l'acide muriatique est un composé qui libère H+, tandis que le muriate de soude est un composé qui libère Na+. Mon hypothèse est que la racine muriat désigne ClO. Voici ce que ça donnerait, avec 8 g de composé mystère dans un litre d'eau, avant ajout du bicarbonate de sodium :
Na2CO3Composé mystère

Dissolution totale :

concentration = 0,075 mol/L


Réactions acido-basiques :

pKa = 6,5
pKa = 10,5


Diagramme de prédominance :

  H2CO3  HCO3   CO32–
├──────┼──────┼──────> pH
0     7,5   10,5

NaOClHClO

Dissolution totale :

concentration = 0,107 mol/L


Réaction acido-basique :

   pKa = 7,5


Milieu basique. Calcul du pH de la solution :

  • NaOCl seul : 10,3
  • après mélange : 11,4

Dissolution totale : pas de composé ionique

concentration = 0,152 mol/L


Réaction acido-basique :

   pKa = 7,5


Milieu acide. Calcul du pH de la solution :

  • HClO seul : 4,2
  • après mélange : 7,4
Donc, avec NaOCl, la réaction donnée par Égoïté ne fonctionne pas : on se trouve dans le seuil de prédominance de CO32–. En revanche, avec HClO, on est dans le seuil de H2CO3 (qui s'échappe sous forme de gaz). Mais dans l'article acide hypochloreux, on y découvre que HClO n'existe qu'en solution, et non sous forme solide... Je donne ma langue au chat.
Si ça n'est, ni HClO, ni NaClO, et que l'on exclut HCl car c'est un gaz, il ne nous reste plus grand chose... Un perchlorure métallique, qui libèrerait ses ligands Cl en échange de molécules d'eau, peut-être ? Tachymètre (me parler) 15 août 2009 à 19:07 (CEST)[répondre]
Je viens de trouver un texte où on cite différemment l'opération : Venel faisait un mélange de deux solutions, l'une contenant un carbonate alcalin (du bicarbonate de soude par exemple), l'autre un acide (l'acide tartrique ou citrique). La décomposition du carbonate avait lieu aussitôt ; (...) L'un de ces trucs est donc l'acide muriatique... --Égoïté (d) 16 août 2009 à 07:16 (CEST)[répondre]
L'acide tartrique et 'acide citrique sont tous deux des acides organiques. Contrairement aux acides inorganiques tels que HClO et HCl, il est beaucoup plus difficile de leur faire subir des réactions d'oxydo-réduction (c-à-d une oxygénation par ex.). Ils n'ont pas d'action blanchissante, et je ne pense pas qu'ils puissent décaper les métaux. Tachymètre (me parler) 16 août 2009 à 08:50 (CEST) (édit) J'ai rajouté les valeurs de pH manquantes dans le tableau, c'était pas logique sinon ! Tachymètre (me parler) 16 août 2009 à 09:59 (CEST)[répondre]
D'après le TLFi, muriate => Synon. de chlorure
Acide muriatique => Acide Chlorhydrique
Acide muriatique oxygenée => HClO
— Le message qui précède, non signé, a été déposé par 86.211.172.68 (discuter), le 17 août 2009 à 04:40
Soit. Mais comment l'obtient-t-on sous forme solide, dans ce cas ?
Acide muriatique, on aura ta peau ! Tachymètre (me parler) 17 août 2009 à 09:11 (CEST)[répondre]

Mouvement contre-religieux[modifier le code]

Bonjour! Un ami m'avait parlé d'un mouvement des années '80 ou '90, aux États-Unis je crois, qui consistait à porter des signes religieux (un chapelet par exemple) pour ridiculiser minimiser banaliser symboliquement les péchés capitaux... mais je ne trouve rien nulle part sur ce mouvement. Pouvez-vous m'en dire plus? Note : mon ami est homosexuel, peut-être cela a-t-il un rapport... Marci! Émoticône sourire Félixggenest le 15 août 2009 à 03:41 (HAE)

erf :-( Félixggenest le 16 août 2009 à 00:52 (HAE)
Mon vieux, on ne peut pas avoir une réponse à tout, c'est ainsi Émoticône sourire. Je vais tout de même tenter d'en trouver une parce que ça m'intrigue.
Bon (si dire se peut), rien trouvé. Une piste cependant : le mouvement gothique qui, comme le mouvement punk, a utilisé les symboles religieux principalement chrétiens pour les tourner en dérision. -O.M.H--H.M.O- 16 août 2009 à 21:01 (CEST)[répondre]
À la fin de années 1990, aux États-Unis, il y avait (existe toujours certainement) les Americans United for Separation of Church and State qui ont manifesté contre une loi qui interdisait de ridiculiser les croyances et objets religieux. Peut-être un lien avec ce "mouvement" ? --A t a r a x i e--d 17 août 2009 à 11:24 (CEST)[répondre]
Merci beaucoup pour ces pistes, Olivier et Ataraxie Émoticône sourire Je vais les fouiller un peu plus! Félixggenest le 19 août 2009 à 05:31 (HAE)

Physiologie[modifier le code]

Bonjour ô Oracle,

Je lisais un article sur les globules rouges quand j'ai vu qu'ils transportaient le dioxygène. Alors je me demandais qu'est-ce qui transporte le dioxyde de carbone ? Jérôme6210 (d) 15 août 2009 à 10:37 (CEST)[répondre]

les mêmes tu peux le retrouver ici dans l'article Érythrocyte : Rôle des hématies
  • Le transport de l'oxygène des poumons aux tissus et cellules du corps, grâce à l'hémoglobine contenue dans l'ergastoplasme, l'intérieur des globules rouges.
  • La régulation du pH sanguin et le transport du CO2 grâce à l'anhydrase carbonique, une enzyme présente à la surface des hématies qui transforme les bicarbonates en CO2 ou l'inverse, selon les besoins du corps. Ainsi, les hématies transforment le CO2 fabriqué par les cellules en bicarbonates, puis elles vont jusqu'aux poumons, où elles retransforment le bicarbonate en CO2.

Cobra Bubbles Dire et médire 15 août 2009 à 10:48 (CEST)[répondre]

lieu de naissance d'Eddie COCRHAN,[modifier le code]

Bonjour, Eddie COCHRAN est-il né dans le Minnesota ou à Oklaoma City?

MERCI POUR VOTRE REPONSE.Bonne journée.

Paul.

En orthographiant correctement le nom Eddie Cochran, vous auriez appris qu'il est né à Albert Lea (Minnesota), le 3 octobre 1938. Le wiki anglais fournit même le certificat de naissance du monsieur --Serged/ 15 août 2009 à 15:12 (CEST)[répondre]

vie sur la lune[modifier le code]

bonjour,

pourquoi les conditions pour le developpement de la vie sur la lune ne sont pas réunies, alors que c'est le cas sur la terre ?

merci

La chose à faire est de lire l'article sur la gravitation. Ensuite tu lis l'article sur la Terre et celui sur la Lune, tu fais les calculs nécessaires et tu comprends que la distance Terre-Lune rend impossible la présence d'une atmosphère autour d'un corps aussi peu attractif quand un objet aussi massivement attractif est à une aussi faible distance. -O.M.H--H.M.O- 15 août 2009 à 17:39 (CEST)[répondre]
La Terre aurait aspiré l'atmosphère de la Lune ? Euh ? Félix Potuit (d) 16 août 2009 à 08:01 (CEST) [répondre]
Non : si même c'était possible, la Terre empêche la formation d'une atmosphère autour de la Lune donc elle n'en a jamais eu, mais en toute probabilité la force d'attraction de la Lune est de toute manière insuffisante pour qu'elle ait une atmosphère. -O.M.H--H.M.O- 16 août 2009 à 12:00 (CEST)[répondre]
A vrai dire on ne connait pas vraiment les conditions nécessaire à l'apparition de la vie, et justement on les cherche ! Constaté qu'il n'y a pas de vie sur la lune est une information utile. Cependant au vu des peu nombreux exemples à notre disposition, la vie réclame de l'eau liquide, ce qui fixe une gamme de température relativement restreinte et oblige à disposer d'une gravité assez forte pour empêcher la dispersion de l'eau sous forme gazeuse qui est inévitablement présente en même temps que le liquide. Raté pour la lune... gem (d) 17 août 2009 à 13:55 (CEST)[répondre]

gazettes anciennes[modifier le code]

bonjour, j'ai retrouvé un livre qui regroupe deux anciennes gazettes pour lesquelles je ne touve aucune information:

  1. "Paris caprice" , qui se definissait comme une gazette illustrée litteraire et artistique dont le directeur était Eugène schnerb et publiée à Paris en 1869
  2. "le magazin d'illustrations" , journal publié tous les jeudis au prix de 0.10 centimes et dont les bureaux d'abonnement était soit au 13, rue bonaparte , soit à la librairie de Michel Levy Frères , 2bis rue vivienne à Paris .

merci de toutes autres informations concernant ces deux gazettes qui comportent beaucoup d'illustrations interessantes et pour lesquelles je n'ai rien trouvé nulle part concernant leurs origines

cordialement

GoogleBooks m'apprend que Paris-Caprice a été fondée par Fernand de Rodays [15]. Une recherche plus large semble donner de plus amples informations [16]. Il y a peut-être aussi des choses sur Le magasin d'illustrations. -- Xofc [me contacter] 15 août 2009 à 18:22 (CEST)[répondre]
Il y a une tête de collection de "Le Magasin d'illustrations" sur eBay [17] avec un peu d'informations sur le sujet. -- Xofc [me contacter] 15 août 2009 à 18:31 (CEST)[répondre]

Comment chasser des charançon sans les tuer ?[modifier le code]

Bonjour, J'ai des charançons chez moi. Il sont noir marrons/noirs, et il mes semble qu'ils volent. Étant partisan du respect de la vie de chaque chose, je me demandais s'il y a avait un moyen non létal de faire disparaitre ces envahissantes petites bestioles car je doit en avoir quelques centaines vu que y en a plein qui meurt (de mort naturelle) et que l'invasion ne s'est pourtant pas stoppé... Merci d'avance pour vos réponses.

Zanj

Éliminer toute disponibilité de féculents : Ne pas laisser accès aux sacs de farine, pâtes alimentaires, riz, etc. donc placer ces aliments dans des contenants fermés de plastique ou de métal. Les charançons mangent aussi la colle des panneaux de bois pressé, ce qui est moins évident à mettre hors de portée. Dhatier jasons-z-en 15 août 2009 à 19:23 (CEST)[répondre]
Même solution : fut un temps, j'avais des charançons chez moi et bien que n'ayant pas les mêmes réticences que toi en ce qui concerne la suppression de la vie, j'ai considéré qu'il n'y avait guère autre moyen que de me débarrasser de tous les aliments infestés (paquets de farine, riz, pâtes ouverts) . Depuis, je place ces aliments dans des contenants hermétiques. Plus de problème. -O.M.H--H.M.O- 15 août 2009 à 19:45 (CEST)[répondre]
En complément. Il semble que les feuilles de laurier (laurus nobilis) et les feuilles et graines de fenugrec (c'est moins assuré) éloignent les charançons alimentaires. Plutôt préventif que curatif. -O.M.H--H.M.O- 15 août 2009 à 19:55 (CEST)[répondre]
Si vous voulez, j'ai des doryphores à adopter, parce que j'ai passé mes vacances à ne pas respecter leur vie ! HaguardDuNord (d) 15 août 2009 à 20:16 (CEST) (je crois qu'un coup de -25° dans le congélateur doit les tuer)[répondre]
Seule l'éducation parviendra à faire comprendre aux charançons qu'il ne faut pas se conduire mal, et au contraire assumer pleinement ses responsabilités au sein de notre société. Félix Potuit (d) 16 août 2009 à 08:04 (CEST)[répondre]
Ne vaut-il mieux pas les tuer sans souffrance inutile, d'un coup sec sur la nuque, que de les condamner à une lente agonie en les privant de nourriture ? Morburre (d) 16 août 2009 à 11:10 (CEST)[répondre]
Les Américains ont essayé différentes méthodes : le mettre dans le sable brûlant, puis dans la glace, mais ça n'a pas marché. Le charançon a fait son nid dans leurs chapeaux Stetson et y a fait plein de trous. Ce charançon, encore un immigré latino. Félix Potuit (d) 16 août 2009 à 15:38 (CEST)[répondre]

Corps séparés[modifier le code]

Allo. A propos de François de Briqueville, baron de Colombières, chef protestant durant les guerres de Religion en Normandie, je lis « que sous François II, il commandait une compagnie de cent lances, et que, sous son successeur, il eut à ses ordres des corps séparés. » (p. 10). Ma question est simple : c'est quoi les corps séparés ? HaguardDuNord (d) 15 août 2009 à 22:57 (CEST)[répondre]

Bonsoir, HaguardDuNord. Il me semble que dans le vocabulaire militaire on parle de "corps d'armée" dans un but de classification, peut-être par critère du nombre des effectifs et d'importance de l'environnement matériel. Ainsi dans ton exemple, les corps séparés pourraient être des unités militaires distinctes, des groupes de soldats cantonnés dans plusieurs casernes. Francis Martin (d) 15 août 2009 à 23:22 (CEST)[répondre]

Une recherche dans Google et lecture attentive des textes me donne deux acceptions au terme, selon le contexte:
Je pense que ça veut simplement dire qu'il est monter dans la hiérarchie, et qu'un lieu de commander un seul groupe de combattants (une compagnie), il en commandait plusieurs groupes, probablement plus petits que sa compagnie d'origine car dans le cas contraire l'auteur l'aurait probablement indiqué pour lui faire honneur.
En terme moderne il est passé de capitaine à colonel.
gem (d) 17 août 2009 à 14:35 (CEST)[répondre]
Merci de vos réponses. En effet, la séparation tactite me semble par principe trop temporaire pour être mentionnée. Le sens apporté par Gem me semble plus probable. Les problèmes des dico biographiques du XIXe s., c'est qu'ils se copient tous les uns les autres, avec la même expression, sans plus de précision Émoticône. Merci encore à vous deux. HaguardDuNord (d) 22 août 2009 à 01:47 (CEST)[répondre]

satellite[modifier le code]

Bonsoir à toutes et à tous. Etant actuellement en France, je me permets, si vous le voulez bien, de vous souhaiter une bonne fête de l'Assomption. A vrai dire, je ne sais même pas ce que le mot "Assomption" signifie. J'en ai entendu parler depuis mon enfance mais je n'ai presque rien retenu de ce qu'on a pu m'en dire. Tout ce que je pourrais dire c'est que c'est une fête religieuse. On m'a dit cet après midi que l'Assomption serait le jour de la mort de la Sainte Vierge Marie ou de sa montée au ciel. Je n'ai pas fait assez attention, par contre ça m'a fait penser à la ressemblance qu'il y a entre le prénom de Marie et le mot "mariage", je me demande s'il y a un rapport. J'ai même joué un peu avec les mots en pensant "la vierge mariée" en référence aux personnes arrivant vierges au mariage ou décidant d'attendre leur mariage pour avoir des relations sexuelles. Encore un point commun avec Marie à la fois vierge et enceinte. La dernière chose que j'aurais à dire sur ce sujet serait d'envisager qu'il y ait un rapport entre l'image de la vierge marie et la notion de virginité au mariage. Pour continuer, et c'est comme par hasard un peu sur le même registre, j'ai vu hier une chose qui a retenu mon attention au point que je l'ai filmée car je suis, ces temps-ci, comme Christian Zuber, toujours "caméra au poing": passant devant une église, j'ai vu qu'il y avait une croix au sommet de son clocher, bien visible, un mètre de hauteur environ. C'est assez courant pour une église mais ce qui l'est moins est qu'il y avait une sorte de paratonnerre fixé sur cette croix, la prolongeant en hauteur de cinquante centimètres environ. C'était un tube de métal gris brillant surmonté d'une boule de même matière de vingt centimètres de diamètre environ. La meilleure explication est qu'il s'agit d'un paratonnerre, car il y avait un fil ressemblant à un câble électrique accroché au tube et continuant sur le toit. Ce qui m'a paru remarquable est que je crois bien que c'est la première fois que je vois un tel objet aussi visible sur le toit d'une église et sur la croix de son clocher. Je ne sais pas si l'un de vous aurait déjà vu ça. Cela m'intéresserait de le savoir, n'hésitez pas. Pour parler franchement, je me demande bien si c'est bien un paratonnerre et pourquoi il est là. Est ce que cela veut dire qu'on craint que la croix du toit attire la foudre? En fait je ne suis pas sûr que ce soit un paratonnerre mais je ne vois pas ce que cela pourrait être d'autre. La seule chose que je peux dire c'est qu'on voit ce tube et cette boule autant que la croix. On ne pense alors pas seulement à la croix mais aussi on se demande ce qu'est cet espèce de paratonnerre. Je n'avais jamais fait attention jusqu'à présent aux paratonnerres sur les toits ni ne les avais remarqués. Ce que l'on voit surtout ce sont les antennes de télévision et maintenent les paraboles. Passons sur cela. Si j'ai parlé de la fête de l'Assomption c'est que je suis connecté à Wikipédia depuis la France, donc je suppose que sur cette page de l'Oracle d'autres personnes écrivent depuis la France. Et peut-être d'ailleurs car je réfléchis actuellemnt à l'intervention de Maurilbert sur l'expression "être dans le champ de gauche" qui aurait un rapport avec l'expression "être à la masse" dont le sens serait "être négatif". Or la masse est un concept utilisé en électricité. Du fait que vous ayez parlé du Canada, Maurilbert, je me demande si vous postez de là-bas et quels sont les divers pays depuis lesquels écrivent les participants de l'Oracle dans le cas, bien sûr, où il y aurait plusieurs pays depuis lesquels les intervenants de cette page publieraient. Je me demande ça du fait que je ne suis internaute que depuis janvier dernier (janvier 2009) et n'ai fait jusqu'à présent que me connecter sur des sites et échanger avec les personnes qui s'y trouvent sans aller plus loin. Maintenant je commence à m'intéresser à autre chose qu'aux connexions et échanges d'écrits et documents, je découvre la façon dont fonctionne internet et les moyens de l'utiliser d'un pays à l'autre par les contacts qu'on peut y trouver. J'en viens au sujet qui m'intéresse, à savoir les satellites. La première notion que j'ai eu de ce qu'on appelle les satellites est qu'on dit, par exemple, que la lune est un satellite de la terre. On dit aussi qu'un pays peut être appellé "pays satellite" d'un autre. Enfin on parle de "télévision par satellite". C'est sur ce dernier point que je réfléchis actuellement. Je crois qu'on peut recevoir des émissions et des chaînes de télé par satellite via parabole. Ce dont je ne suis pas sûr, c'est s'il en va de même pour les émissions des stations de radio et même pour se connecter sur internet. Je vous serais reconnaissant de bien vouloir me renseigner sur ce point, dans le cas ou vous connaîtriez la réponse. Francis Martin (d) 15 août 2009 à 23:04 (CEST)[répondre]

Honnêtement, t'es là pour poser des questions où raconter ta vie ? Ta logorrhée m'empêche de me percevoir le reste, et l'envie de tout effacer me titille sincèrement, simplement parce que télévision par satellite, Assomption, paratonnerre + église, et Wikipédia:Ce que Wikipédia n'est pas#Un groupe de discussion ni #Un journal intime... HaguardDuNord (d) 15 août 2009 à 23:24 (CEST)[répondre]

Francis Martin 1 kkbs 0, et le champion des questions compliquées à comprendre est ... Pour faire court : Assomption = montée de la Vierge au ciel après sa mort comme Ascension = montée au ciel de son fils Jésus. Pour le reste, voir proposition de HaguardDuNord. --Kkbs (d) 16 août 2009 à 05:39 (CEST)[répondre]

Maintenant que j'y pense, je me demande si Marie a vraiment été enceinte. Ce n'est pas que je m'intéresse particulièrement à la question mais ce sont des choses dont on parle. Si l'on ne m'avait pas dit que c'était la fête de l'Assomption hier (jour férié, d'ailleurs), je ne l'aurais pas su. D'ailleurs cette histoire de paratonnerre sur les croix d'église montre bien que même si l'on s'intéresse à l'esprit, eh bien la matière (ici le paratonnerre) est égalemant là. C'est ce dont je parlais dans de précédents posts. Le couple esprit-matière. En science on parlerait plutôt de la relation matière-énergie. Il va peut-être falloir chercher de ce côté-là aussi. Mais là, honnêtement, c'est peut-être en effet une question compliquée à comprendre et surtout pour un dimanche. Francis Martin (d) 16 août 2009 à 07:10 (CEST)[répondre]

Vivement lundi. Morburre (d) 16 août 2009 à 11:14 (CEST)[répondre]
Vous avez vu juste. En effet certains se connectent depuis la France, et d'autres d'ailleurs. --Eutvakerre (d) 19 août 2009 à 10:53 (CEST)[répondre]

Merci, Eutvakerre et bonne soirée à toutes et à tous. Aujourd'hui je n'ai malheureusement rien à signaler, tout est nominal. Tant pis ou tant mieux, sûrement un peu des deux, comme d'habitude. ça devient la routine ici, vivement qu'on sorte en boîte. Au fait, quelqu'un pourrait-il me dire où se trouve le c cédille majuscule? Dans le pavé caractères peut-être? ça commence à m'agacer de le faire en minuscule après un point. Francis Martin (d) 19 août 2009 à 19:16 (CEST)[répondre]

Composez le code Alt + 0199 pour faire apparaître le Ç. Tachymètre (me parler) 19 août 2009 à 20:13 (CEST)[répondre]

Merci. Francis Martin (d) 19 août 2009 à 21:30 (CEST)[répondre]

Piqures d'insectes.[modifier le code]

Bonjour et j'espère que l'un d'entre vous pourra m'aider. Actuellement je vis en Ardèche, je suis régulièrement "piqué ou mordu" par un insecte invisible (par moi), ce à l'intérieur de mon habitation. En partant des symptômes une des pythies pourrait elle me renseigner sur cet étrange bestiole. Torse nu, je regarde la TV (par ex.)et tout à coup une sensation de brûlure intense se manifeste, localement c'est assez rouge et rapidement une gourme assez étendue se développe. La douleur instantanée est difficile à atténuée. Puis un peu plus tard (une ou deux heures) tout a disparu. C'est la cause de mon réveil ce matin, je dors nu et une de ses bestioles m'a agressée. Cela pourrait il être une déjection d'une bestiole qui m'est totalement invisible? Merci à vous. --Kkbs (d) 16 août 2009 à 06:07 (CEST)[répondre]

Bonjour. Le plus simple serait de penser qu'il s'agit d'insectes, oui. Même les mouches piquent et il y a de toutes petites mouches sur les fruits. ça pourrait être aussi la chaleur et la sueur. Effectivement il est difficile de repérer et chasser les moustiques, par exemple, ou d'autres insectes, les poursuivre et les tuer, c'est fatiguant mais il faut faire l'effort, après on est tranquille. Moi j'ai compris la leçon: surtout en été mais presque toute l'année il faut au moins des rideaux bien tendus ou alors même fenêtres fermées, peut-être fenêtres ouvertes avec volets fermés à condition de placer des pièces de tissu du genre de celui des rideaux (il y en a de jolis) sur les trous des volets et ça va mieux. Francis Martin (d) 16 août 2009 à 07:40 (CEST)[répondre]

Cherchez pas, c'est la Vengeance du Charançon. Morburre (d) 16 août 2009 à 11:12 (CEST)[répondre]
En toute probabilité : des aoûtats qui, comme leur nom l'indique, se manifestent particulièrement au plus chaud de l'été. -O.M.H--H.M.O- 16 août 2009 à 11:49 (CEST) Ps si tu trouves autre chose fais moi signe.[répondre]

Désolé, après lecture et vue des photos d'aoutats ce ne dois pas être la cause de mes tourments. Je souffre de ces démangeaisons à l'intérieur et la précedente période se situe en juin. Il doit s'agir d'autre chose, mais quoi? J'ai bien précisé aussi qu'après 2 ou 3 heures on ne voyait plus rien.--Kkbs (d) 16 août 2009 à 15:24 (CEST)[répondre]

Peut-être des punaises des lits. Cet insecte se loge typiquement dans les mousses des sofas et des matelas, ne se fait remarquer qu'après piqure et attaque les parties du corps immobiles. Cela correspond au récit qui est fait. Seule une patiente observation permet de les mettre en évidence. — Jérôme 16 août 2009 à 18:20 (CEST)[répondre]
Merci Jérome, j'ai lu l'article, mais cela ne correspond pas à mon avis. Lorsque je regarde la TV, j'ai parfois l'ordi sur les genoux, et je suis éclairé. Je ressens une sensation de brûlure assez intense, mais je ne vois pas de bestioles ni sur moi ni alentour. C'est comme si quelque chose tombait du plafond sur mon corps. J'ai déjà utilisé différents désinfectants sans succès. Même ceux que l'on laisse brûler dans une pièce vide et fermée plusieurs heures (cela vient normalement à bout de tout, sauf de cela). Et cela arrive par période. --Kkbs (d) 16 août 2009 à 19:55 (CEST)[répondre]
Je ne dis pas que c'est ça mais les aoûtats me semblent des bons candidats, parce que j'ai déjà expérimenté. Il faut que tu considères les indications sur les symptômes apparents (localisation des piqûres, marques laissées) et non sur les conséquences les plus spectaculaires, qui sous nos latitudes sont plus que rares (pour comparaison, les moustiques sont vecteurs du paludisme mais il y a plusieurs décennies que ça n'est plus le cas en France ou en Belgique). -O.M.H--H.M.O- 16 août 2009 à 20:19 (CEST)[répondre]

Suite à ta nouvelle intervention je suis retourné lire l'article de WP sur les aoutats. Rien ne correspond quand aux symptômes, l'effet est immédiat, dure 2 à 4 heures (les 10 premières minutes sont très pénibles) et disparait ensuite totalement. Plus aucune trace visible, pommades, solution ammoniacale, vinaigre, etc rien ne calme cette douleur sur le moment. La localisation c'est pareil, je suis piqué ou mordu au ventre ou sur les épaules, c'est pour cela que je pense à quelque chose qui me tombe dessus, pas aux endroits privilégiés renseignés par l'article. Merci --Kkbs (d) 16 août 2009 à 21:42 (CEST)[répondre]

C'est une abduction, les symptômes correspondent. --A t a r a x i e--d 17 août 2009 à 11:17 (CEST)[répondre]

Voila, on a trouvé de quoi il s'agit, je t'emmène avec moi pour aider les gens de cette planète au cas où? Émoticône --Kkbs (d) 17 août 2009 à 13:06 (CEST)[répondre]

Il peut s'agir d'un urticaire dont la cause n'est pas nécessairement un élément extérieur (urticaire cholinergique, lié au stress...) Quelle est la localisation des lésions, leur aspect ( papule, aspect en cocarde) ? Existe-t-il un prurit associé ? Sans plus de précision il est bien difficile de vous orienter. ÉmoticônePourriez-vous définir ce que vous nommez gourme ? Cordialement.--doc103 (d) 17 août 2009 à 13:19 (CEST)[répondre]

@doc103, je donne le plus de précision possible. 1. ressenti d'une douleur vive (genre brûlure) sur le ventre, ou la poitrine, une fois sur le scrotum (la nuit, je dors nu) 2. Dans l'immédiat on ne vois rien mais la douleur est présente. 3. Développement d'une grosseur qui généralement s'oriente en longueur qui peut atteindre 3cm sur 7 ou 8mm 4. La douleur s'estompe après un moment de crise (10-15 min). 5. Trois ou quatre heures plus tard tout a disparu. C'est la troisième année que je suis victime de cet inconvénient. Mon épouse, n'a jamais rien eu. Voila, je ne sais rien dire de plus, et au risque de me répéter, je ne vois ni insectes volants, ni insectes rampants. --Kkbs (d) 17 août 2009 à 19:49 (CEST)[répondre]

suite à la lecture de l'article "urticaire" je dois reconnaitre une ressemblance de la description du gonflement, mais pas pour le reste des symptômes. Je dois dire que je vis dans assez bien de nature et je me balade pratiquement toute la journée en short. Donc possible que des pollens réagissent quelques heures plus tard. --Kkbs (d) 18 août 2009 à 15:34 (CEST)[répondre]

renseignement sur la production agricole dans la prefecture.[modifier le code]

J' aimerais savoir comment fonctionne la production du coton depuis 2004 à ce jour c'est à dire à 2009 dans la prefecture de yoto.

Bonjour à tous, ma grand mère m'a toujours dit que la Rue Flégier, sise à Marseille, l'était en hommage à l'un de ses cousins compositeur de musique, quelquun a t'il des renseignements au sujet de ce personnage ? Merci d'avance.

Il s'agit probablement de Ange Flégier. Pour de plus amples informations, essaie cette recherche :
Bonnes trouvailles ! -O.M.H--H.M.O- 16 août 2009 à 11:54 (CEST)[répondre]

Langue du conclave[modifier le code]

Bonjour ô racle qui sait tout, même ce qui doit rester secret,

Dans quelle langue se déroule un conclave ? Je sais que l'ensemble des phrases traditionnelles sont pronconcées en latin, mais les cardinaux débattent-ils entre eux dans cette langue ? Si ce n'est pas le cas est-ce en italien ? Ou dans la langue véhiculaire (autrefois français puis maintenant anglais ?). Merci d'avance, ô racle ! Turb (d) 16 août 2009 à 12:29 (CEST)[répondre]

On y cause en latin, première langue officielle du Vatican, quand on veut se faire comprendre de tous les conclavistes ou de n'importe lequel, et pour le reste dans toutes les langues de Babel, si l'on désire n'être compris que par quelques-uns. -O.M.H--H.M.O- 16 août 2009 à 12:53 (CEST)[répondre]

Touches Entrée[modifier le code]

Bonjour à l'Oracle,

Ma question porte sur l'informatique. En utilisant un logiciel de gestion de base de données, je me suis rendu compte que dans ce logiciel, la touche entrée située à côté du pavé numérique ne réagissait pas de la même manière que la touche issue du "retour chariot" des machines à écrire. (La touche "retour chariot" passe à la ligne dans le champ et la touche "entrée" du pavé numérique valide le contenu du champ)

Or j'étais persuadé que ces deux touches étaient strictement équivalentes, et n'avaient été doublées que pour des raisons pratiques. Et c'est justement ce que laisse entendre votre article touche entrée, même s'il n'est actuellement qu'une ébauche.

Je ne suis pas un as de l'informatique, mais je suis curieux... Alors si on pouvait m'expliquer.

Merci d'avance, Joël

Chaque touche du clavier envoie un code différent à l'ordinateur : chaque chiffre 'du haut' a un code différent du même chiffre 'de droite', même les touches 'majuscule' gauche et droite sont différentes, etc. Dhatier jasons-z-en 16 août 2009 à 14:12 (CEST)[répondre]

(conflit d'édit)

D'un point de vue physique, chaque touche d'un clavier est différente. Le clavier informatique est une sorte de matrice bidimensionnelle où chaque touche est sur un emplacement repérable par des coordonnées (x,y). De ce fait, la touche « retour chariot » n'envoie pas le même signal que la touche « Entrée » du pavé numérique. D'un point de vue logique, ces deux touches sont « la même » du fait que l'on associe aux deux la valeur symbolique « retour chariot » (caractère de valeur 13) ; de même la touche 1 du pavé numérique est « la même » que la deuxième touche de la deuxième rangée du clavier normal, en minuscule pour les claviers américains et en majuscule pour les claviers français, et « la même » que la touche « Fin » des touches du pavé de déplacement et de contrôle (quand le verrou numérique est « ouvert »).
Mais tout cela est donc logique et conventionnel. De fait, chaque touche renvoie un signal de valeur différente. Nous autres informaticiens appelons cette valeur le « scancode », la valeur logique renvoyée par le pilote étant le « keycode » ou « keymap code ». La majorité des logiciels récupère le « keycode ». Pour être précis, il ne s'occupent pas de la question et se contentent de soumettre une requête au système, quelque chose comme « en attente de saisie clavier », et le système leur retourne les keycodes. Cependant il est toujours possible, avec la majeure partie des langages de programmation, de passer par-dessus le pilote de clavier logique, de récupérer directement le scancode et de lui attribuer une valeur symbolique quelconque. C'est très courant pour les jeux (le fait de traiter directement le scancode permet d'accélérer légèrement les temps de réaction) ce qui explique pourquoi, dans beaucoup de jeux, les « valeurs de touches » peuvent différer de celles attendues (par exemple, on a un clavier logique « français » mais le jeu associe les scancodes aux valeurs habituellement retournées par un clavier américain : Q sur le A, W sur le Z, et réciproquement).
De même, tu auras pu remarquer que dans beaucoup de jeux on peut associer une action à toutes les touches, et notamment une action différente pour les touches « contrôle » et « majuscule » gauche et droite, alors que pour le pilote de clavier logique elles sont indifférenciables.
En espérant avoir été clair. -O.M.H--H.M.O- 16 août 2009 à 14:14 (CEST)[répondre]
Intéressant. Y a-t-il un moyen quelconque de récupérer le scancode par JavaScript ? (Apparemment non, d'après mes recherches sur Google). Félix Potuit (d) 16 août 2009 à 14:48 (CEST)[répondre]
Non, parce que Javascript n'est pas un langage de programmation stricto sensu, c'est, comme son nom l'indique, un langage de script qui pourra « s'affranchir des contraintes de bas niveau — prises en charge par l'intermédiaire de l'interface — et bénéficier d'une syntaxe de haut niveau ». Ce qui se traduit par : il a toutes les fonctionnalités d'un langage de programmation sauf celles qui, justement, permettent d'agir sur les données de plus bas niveau (lecture/écriture directe dans un fichier, interception des événements générés par les interruptions matérielles, etc.). Ce qui explique pourquoi les scripts en Javascript ne sont pas en état de récupérer les scancodes. Cela est le cas, d'ailleurs, pour Java et pour le PHP, et plus largement pour tous les langages interprétés, exception faite du LISP (il y a une bonne raison pour ça, mais je ne vais pas refaire ici toute l'histoire des langages de programmation – il y a Wikipédia pour ça Émoticône sourire) qui ont en commun le fait de ne pas pouvoir accéder directement aux processus informatiques de bas niveau. -O.M.H--H.M.O- 16 août 2009 à 15:15 (CEST)[répondre]
Damned, je m'en doutais, chaque fois qu'il y a un truc intéressant, ça ne marche pas. Smiley Colère Et en Java ? Félix Potuit (d) 16 août 2009 à 15:24 (CEST) Ah pardon, je n'avais pas vu que la réponse était apparemment au-dessus, donc pas en Java non plus. Bon, ben je ne vais pas me remettre à l'Assembleur, j'ai donné dans le temps... Félix Potuit (d) 16 août 2009 à 15:25 (CEST)[répondre]
Ne te casses pas la tête, même si tu concevais un programme en assembleur, dès lors qu'il devra tourner sur Internet tu ne pourras pas accéder aux fonctions de bas niveau. C'est simplement une question de sécurité : aucun logiciel de type client-serveur n'est autorisé à accéder aux fonctions de bas niveau sur le client, sauf si le client l'autorise expressément (et dans ce cas on parle plutôt de relation maître-esclave), sinon n'importe qui pourrait modifier le contenu de n'importe quelle machine à l'insu de son utilisateur, et ce n'est pas vraiment ce que l'utilisateur d'Internet souhaite... -O.M.H--H.M.O- 16 août 2009 à 15:34 (CEST)[répondre]
La différence entre les deux touches est expliquée dans l'article en anglais en:Enter key :
  • la touche entrée valide la boite de dialogue (exécute sa fonction par défaut).
  • la touche de retour de chariot introduit une ligne supplémentaire
La différence ne se voit que dans certains logiciels spécialisés (dessin, mise en page...) où la notion de « ligne supplémentaire » à l'intérieur d'un champ de saisie a un sens. Hormis le cas de ces logiciels spécialisés, le retour de chariot conduit à valider la saisie et a donc une fonction identique à la touche entrée. — Jérôme 16 août 2009 à 15:32 (CEST)[répondre]
Ah ben tiens puisqu'on en parle, quelqu'un sait-il comment faire un retour chariot à l'intérieur d'une cellule du tableur Open Office ? Sous Excel, j'avais fini par trouver que c'était Alt-N si je me souviens bien, maintenant que j'ai migré, je n'ai plus qu'à repartir à zéro. Félix Potuit (d) 16 août 2009 à 15:43 (CEST)[répondre]
C'est Controle-Entrée ou Controle-Retour de chariot. — Jérôme 16 août 2009 à 15:52 (CEST)[répondre]

(conflit d'édit)

Mais oui ! « Quelqu'un » sait. En d'autres matières je puis me tromper ou ne pas savoir mais en ce qui a trait à l'informatique j'ai toujours au moins une réponse, et en plus une bonne réponse. Il te faut consulter l'aide d'OpenOffice. Tu cliques sur l'onglet « Index » et, dans la zone de saisie, tu tapes « Raccourcis clavier » (en fait, tu peux te limiter à la saisie de « ra », vu que cette entrée est la seule commençant par ces deux lettres) ; en dessous apparaît une petite liste, et l'élément qui t'intéressera est « classeurs ». En cliquant dessus tu obtiendras à droite un tableau de tous les raccourcis clavier de Calc. Pour information, cette page d'aide est très mal faite et le machin qui t'intéresse n'est pas dans les tableaux mais perdu au hasard d'un paragraphe, et en plus si mal rédigé qu'on se demande si c'est bien ça : tu appuies sur Alt+Entrée, et voilà le toutim ! -O.M.H--H.M.O- 16 août 2009 à 16:01 (CEST) PS. Un grand problème avec l'aide des logiciels libres est que leur rédaction est due à leurs programmeurs, qui sont probablement très compétents dans leur domaine (quoique parfois...) mais un peu moins en ergonomie, tant de leurs programmes que des manuels qui les accompagnent... -O.M.H--H.M.O-[répondre]
"Ctl-Entrée", ça marche, hourra ! Je me fais illico un post-it que je colle en haut de mon écran, c'est ma méthode perso d'aide en ligne, c'est beaucoup plus rapide que de farfouiller dans l'aide... Émoticône En plus, j'ai dû réinstaller récemment Open Office et j'ai été assez bête pour charger la version en anglais, ce qui est très enrichissant linguistiquement, mais assez horripilant quand on a un truc à faire rapidement... Merci à vous autres. Félix Potuit (d) 16 août 2009 à 16:24 (CEST)[répondre]
C'était une Bonne question, bien répondu par HMO. Ajoutons que ce genre de problème a été l'objet d'horribles débats en groboutistes et petiboutistes, les uns (ou bien était-ce les autres ?) tenant à transcrire l'appui sur la touche "entrée" par CR + LF ("carriage return" : retour en début de ligne, + "line feed" : ajout d'une ligne), les autres prétendant que le CR suffisait à impliquer un "line feed". L'implication n'étant pas neutre en cas de transfert de document entre plateformes informatique usant de convention différente. gem (d) 17 août 2009 à 14:51 (CEST)[répondre]

bouge de là[modifier le code]

Bonjour, j'ai entendu dire que la chanson "bouge de là" chantée par mc solaar serait en fait une reprise. J'aimerais bien savoir si c'est vrai, je veux dire s'il est vrai que mc aurait repris une chanson originale de quelqu'un d'autre et quel serait l'original, s'il vous plaît? Merci de votre aide. Francis Martin (d) 16 août 2009 à 14:48 (CEST)[répondre]

Voir Bouge de là, je cite : « L'instrumental sample un morceau du groupe Cymande, The message, datant de 1973. ». Bonne lecture. — Jérôme 16 août 2009 à 15:35 (CEST)[répondre]
La question ne se pose pas vraiment pour le rap pur et dur : il est basé sur du sampling mais n'est jamais une reprise à proprement parler. Des éléments de morceaux existants sont intégrés au morceau mais le résultat est une œuvre originale. Par exemple, Gangsta's Paradise reprend des éléments de Pastime Paradise de Stevie Wonder (de l'album Songs in the Key of Life) mais n'en est pas la reprise. -O.M.H--H.M.O- 16 août 2009 à 15:47 (CEST)[répondre]

Merci et bonne soirée à tous. Francis Martin (d) 16 août 2009 à 20:27 (CEST)[répondre]

Simone Veil[modifier le code]

Bonjour

Je suis membre d'une association du nom de "Westlake Brother's Souvenir", dont le but est la promotion du devoir de mémoire chez les jeunes...

Je suis très interessée par le passé de Simone Veil, femme avec un lourd passé qu'elle doit porter à vie...

Je l'ai rencontré dernièrement à Cinteaux, en Normandie, ma région natale. Nous avons pris des photos ensemble, d'autres membres et moi-même, mais nous avons peu profité de sa présence car beaucoup de monde souhaitait lui parler...

Alors j'aimerais savoir si par hazard, vous sauriez si son site officiel fonctionne car cela ne marche pas de mon côté. De plus, je cherche désespérément un moyen de la contacter par courriel.. Quelqu'un pourrait-il m'aider ??

Je vous remercie d'avance pour vos réponses.


Kathy, Normandie

L'Oracle de Wikipédia n'est pas le bon endroit pour ce genre de demandes. En passant par l'article sur Simone Veil vous auriez trouvé des éléments pour parvenir à vos fins. La partie Simone Veil#Autres fonctions indique un certain nombre d'organismes dont elle est membre et qui ont en toute probabilité les moyens de vous répondre positivement. -O.M.H--H.M.O- 16 août 2009 à 17:11 (CEST)[répondre]

Téléphone Wikipédia n'est ni un annuaire, ni une base de données, ni un site de renseignements téléphoniques, mais une encyclopédie.
De ce fait, les articles qui la composent ne doivent pas se borner à être de simples compilations de sources primaires, mais doivent au contraire s'appuyer sur des sources secondaires qui analysent le sujet et le mettent en perspective.

.Anja. (d) 17 août 2009 à 10:25 (CEST)[répondre]

ô grand oracle, nous venons a toi, dans ta grande sagesse, afin que tu nous éclaire de ton immense savoir.

lors d'un débat passioné, mes amis et moi en sommes venus à la conclusion, sans nul doute lumineuse, et ce grâce à l'argument de la phylogénétique que l'oeuf etait apparu avant la poule.

Nous vint alors une interrogation cocasse, un gentil fermier digne d'un hingals vendait des oeufs en affirmant qu'il s'agit d'un oeuf de poule, ce dernier me vend-t'il alors l'oeuf de poule parce que l'oeuf est issu d'une poule ou bien me vend-t'il l'oeuf de poule parce qu'il contient le code génétique du fameux galinacé ?

Ce n'est pas que nous soyons tatillons, mais en darwinistes convaincus que nous sommes, nous voulons éviter d'acheter un oeuf dénominé comme etant un oeuf de poule alors qu'il ne le serait pas vraiment, et tout cela a cause d'une simple subtilité de langage.

Merci infiniment d'àvance de faire la lumière dans l'ignorance encyclopédique qui nous habite.

Bien à toi.

les intellectuels de comptoirs du soir.

Réponse la semaine prochaine. -O.M.H--H.M.O- 17 août 2009 à 08:22 (CEST)[répondre]
Quel suspens ! Émoticône .Anja. (d) 17 août 2009 à 10:27 (CEST)[répondre]
Nous sommes tous aujourd'hui des fermiers alors que jadis nous étions des jardiniers Émoticône sourire. GLec (d) 17 août 2009 à 12:15 (CEST)[répondre]