Wikipédia:Lumière sur/Décembre 2006

Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Présentation

Cette page est consacrée à l’organisation et à la maintenance du cadre Wikipédia:Lumière sur de la page d’accueil de Wikipédia. Celui-ci est rempli par l’appel de la page correspondante, dont le contenu est renouvelé quotidiennement de façon automatique. Lorsqu'un article est labellisé à la suite d'un vote AdQ ou BA, il faut créer une sous-page « Wikipédia:Lumière sur/Nom de l'article labellisé ». Cette dernière comprend le résumé introductif de l'article (avec un maximum de 400 mots). L'article sera ensuite mis en lumière sur la page d’accueil le jour programmé.

Il n'y a pas de « sélection », tous les articles de Wikipédia apparaissent sur la page d'accueil, une fois labellisés. Ils peuvent également repasser une nouvelle fois après plusieurs années, s'ils ont été remis à neuf par le projet Après label.

Pour rédiger une Lumière sur un article, suivez les instructions de la page d'aide.


Programme du mois

1er et 2 décembre 2006

Facade du Panthéon
Facade du Panthéon

Le Panthéon de Rome est un édifice religieux antique situé sur la piazza della Rotonda (Rome), bâti sur l'ordre d'Agrippa au Ier siècle av. J.-C., endommagé par plusieurs incendies, et entièrement reconstruit sous Hadrien (début du IIe siècle). À l’origine, le Panthéon était un temple dédié à toutes les divinités de la religion antique. Il fut converti en église chrétienne au VIIe siècle. C’est le plus grand monument romain antique qui nous soit parvenu en état pratiquement intact, du fait de son utilisation ininterrompue jusqu'à nos jours. Il a donné son nom à un quartier de Rome.

Le nom du Panthéon est issu de l'adjectif grec πάνθειον / pántheion, qui signifie « de tous les dieux ». La plupart des auteurs latins le nomment sous la forme grécisante Pantheon. La forme latinisée Pantheum est attestée chez Pline l'Ancien.

Le Panthéon supporte la plus grande coupole de toute l’Antiquité (43,3 m de diamètre à l'intérieur), qui reste la plus grande du monde en béton non armé. Après presque deux millénaires, cette construction remarquable ne présente pas de signe de faiblesse de sa structure en dépit des mutilations volontaires et des mouvements telluriques répétés.

3 et 4 décembre 2006

La théorie du chaos traite des systèmes dynamiques rigoureusement déterministes, mais qui présentent un phénomène fondamental d'instabilité appelé « sensibilité aux conditions initiales » qui, modulant une propriété supplémentaire de récurrence, les rend non prédictibles en pratique sur le « long » terme.

Elle regroupe en son sein des lois universelles applicables dans de nombreux domaines tels que la météorologie ou l’astrophysique. Le calcul de la trajectoire de la fumée est un bon exemple pour illustrer de la théorie du chaos : en effet, la trajectoire des particules de fumée dépend d'une infinité de facteurs (mouvement et position du combustible, humidité de l’air, trajectoire, force et fréquence du vent par exemple).

Théorie scientifique expliquant de manière rationnelle l’imprévisible, caractérisée par l’existence d’invariants prenant la forme de mesures de probabilités, d’attracteurs, de dimensions fractales… Toutes les sciences, y compris sociales, sont concernées par ce changement de paradigme, afin de répondre à l’intuition de Platon (reformulée par James Gleick) : « [...] derrière les formes visibles et particulières de la matière doivent se cacher des formes fantomatiques qui leurs servent de modèle invisible. »

Lire l’article

5 et 6 décembre 2006

Notes de musique
Notes de musique

Dans la musique occidentale, l’harmonie tonale est le procédé d'écriture des simultanéités sonores, spécifique au système tonal.

Cette technique de composition musicale est née dans le courant du XVIe siècle, en même temps que la musique tonale qui lui est indissociable. C'est à cette époque en effet, que l'harmonie a progressivement remplacé le contrepoint, procédé plus ancien dont elle est dérivée. Alors que le contrepoint qui se rattache à la musique modale, ignore la notion d'accord et donne la primauté aux lignes mélodiques, l'harmonie au contraire, tente d'unir les principes d'horizontalité — la mélodie — et de verticalité — les accords.

7 et 8 décembre 2006

Faneuil Hall de Boston et statue de Samuel Adams.
Faneuil Hall de Boston et statue de Samuel Adams.

Boston est la capitale et la principale ville de l’État du Massachusetts, au nord-est des États-Unis d’Amérique. Elle constitue le centre économique et culturel de la Nouvelle-Angleterre. La ville, dirigée par le maire Thomas Menino, comptait 617 594 habitants (recensement fédéral de 2010), alors que la zone métropolitaine de Boston-Cambridge-Quincy concentrait environ 4 588 680 habitants, la dixième agglomération des États-Unis.

Boston est connue pour son excellence culturelle mise en œuvre par ses universités, ses bibliothèques et ses festivals. Fondée en 1630 par des puritains anglais fuyant les persécutions religieuses de leur pays, elle s’est rapidement développée dès le XVIIe siècle sur un site particulier, dont elle a su tirer profit.

Son économie a longtemps reposé sur les activités portuaire et textile, avant sa reconversion dans les industries de haute technologie. Aujourd’hui, les secteurs les plus dynamiques sont l’enseignement, la santé et la finance.

Enfin, la ville ne ressemble pas aux autres métropoles américaines : son centre a gardé de nombreux édifices de l’époque coloniale, ses rues ne sont pas rectilignes et la cité réserve de nombreux axes aux piétons ou aux vélos.

9 et 10 décembre 2006

Ruines inca de Ingapirca, près de Cuenca

La république d’Équateur est un pays d’Amérique latine, à l'ouest de l’Amérique du Sud, entouré par le Pérou au sud et la Colombie au nord. Il a fait partie avec la Colombie, le Venezuela et le Panama de la Grande Colombie. Il occupe une surface de 283 560 km², soit environ la moitié de la surface de la France et 9 fois la surface de la Belgique. Le nom du pays vient de sa position sur l’Équateur.

La capitale est Quito, mais la plus grande ville est Guayaquil, l’un des ports les plus importants d’Amérique du Sud. Le pays compte 13 360 000 habitants (2005) et est divisé en 22 provinces (îles Galápagos comprises).

Lire l’article

11 et 12 décembre 2006

Carte de la Tunisie
Carte de la Tunisie

La Tunisie (arabe : تونس) est un pays d'Afrique du Nord appartenant au Maghreb. Elle est bordée au nord et à l'est par la mer Méditerranée. Sa frontière ouest s'ouvre sur l'Algérie (965 km) et sa frontière sud-est sur la Libye (459 km). Son nom est dérivé de celui de sa capitale, Tunis, située dans le nord-est du pays.

Près de 40 % de la superficie du territoire est occupée par le désert du Sahara, le reste étant constitué de terres fertiles, berceau de la civilisation carthaginoise qui atteignit son apogée au IIIe siècle av. J.-C., avant de devenir le « grenier à blé » de l'Empire romain.

Longtemps appelée Régence de Tunis, notamment sous la domination ottomane, la Tunisie passe sous protectorat français en 1881. Avec l'avènement de l'indépendance, le , le pays prend l'appellation officielle de Royaume de Tunisie à la fin du règne de Lamine Bey qui, cependant, ne porta jamais le titre de roi. Avec la proclamation de la république, le , c'est le leader nationaliste Habib Bourguiba qui devient le premier président de la République tunisienne et modernise le pays. Toutefois, au terme de trente ans à la tête du pays dont la fin est marquée par le clientélisme et la montée de l'islamisme, le Premier ministre Zine el-Abidine Ben Ali finit par le déposer mais poursuit dès lors les principaux objectifs du « bourguibisme » tout en libéralisant l'économie. Ben Ali, après vingt-trois ans d'une présidence souvent jugée autoritaire et policière, cède à la pression de la rue le , fuyant le pays et trouvant refuge en Arabie saoudite. Avec son épouse, il fait l'objet d'un mandat d'arrêt international.

Intégrée aux principales instances de la communauté internationale, la Tunisie fait également partie de la Ligue arabe, de l'Union africaine et de la Communauté des États sahélo-sahariens.

13 et 14 décembre 2006

Los Angeles
Los Angeles

Los Angeles (en anglais [lɑˈsændʒələs], en espagnol [los ˈaŋxeles]) est la deuxième plus grande ville des États-Unis après New York. Elle est située dans le sud de la Californie, sur la côte pacifique. Les Américains l'appellent souvent par son diminutif, L.A., prononcé « èl é ». Cette ville est le siège du comté portant le même nom. Los Angeles signifie « les anges » en espagnol et ses habitants sont appelés Angelenos (quelquefois Angelinos) — les Angelins. Son nom complet est Pueblo de Nuestra Señora la Reina de Los Ángeles del Río de Porciúncula, c'est-à-dire « Le village de Notre-Dame la Reine des Anges de la rivière de Porcioncule ».

La population de la municipalité est de 3 833 995 habitants en 2008, alors qu'elle n'était que de 11 500 en 1887. Le comté rassemble 10 179 716 habitants alors que l'aire urbaine de Los Angeles (city-region) compte environ 18,5 millions d’habitants, ce qui en fait la deuxième agglomération des États-Unis après celle de New York. Mais la municipalité propre de Los Angeles est relativement restreinte face à l'agglomération angeline, même si elle est plus grande que New York et Chicago. Los Angeles est une ville olympique : elle a accueilli les Jeux deux fois (en 1932 et 1984). Mondialement connue pour son activité scientifique et culturelle, elle entend conserver son statut de ville-région mondiale (world city-region). L. A. est cosmopolite et demeure l'un des points d'entrée d'immigrants les plus importants aux États-Unis.

15 et 16 décembre 2006

Puits sacré de Sardaigne

L’histoire de la Sardaigne est très méconnue malgré sa spécificité et son importance. Elle est pourtant ancienne (depuis le Paléolithique inférieur), particulièrement riche, et permet de mieux comprendre la culture et la mentalité sarde. Le peuplement initial de la Sardaigne résulte de mouvements de population qui se sont produits vers 6000 av. J.-C. en provenance de la péninsule italienne, de la péninsule ibérique et d’Afrique. Mais il s’est poursuivi, au fil des invasions, pour donner le peuple sarde. Christophe de Chenay fait remarquer que :

« Les Sardes ont toujours dû surveiller les envahisseurs [...], ainsi, de cachettes naturelles, puis de nuraghes en villages perchés, le peuple de Sardaigne assiégé a toujours su résister. Il en reste une méfiance à l’égard de l’étranger qui disparaît cependant bien vite. »

On peut trouver deux origines supposées du nom de l’île. En effet, la première, qui est plus de l’ordre du mythe, provient du terme Ichnusa qui dérive de la racine grecque qui signifie trace de pied. Ce terme fait référence à la forme de l’île, « par la ressemblance grossière que les anciens trouvaient entre sa forme et celle de l’empreinte d’un pied d’homme. » Par la suite le nom change pour devenir Sardon également du grec, qui peut se traduire par sandale, ce qui confirmerait cette explication.

Mais une seconde origine, plus probable, viendrait d’un chef d’Afrique du Nord (la Libye actuelle) appelé « Sardus, prétendu fils d’Hercule », qui établit une colonie au sud de la Sardaigne. Sardus fut vénéré, à tel point qu'« on lui érigea des statues dans l’île, avec cette inscription, Sardus Pater ». Une autre thèse alternative à cette dernière serait que les peuples Shirdana et Sikala se seraient joint aux phéniciens, d'où dérive le nom de l'île. Plus tard le nom changera de forme avec les Phéniciens (Shardan) qui écrivent les premiers ce nom, puis les Romains (Sardinia).

17 et 18 décembre 2006

S. A. Andrée (1854–97).
S. A. Andrée (1854–97).

L’expédition polaire de 1897 de S. A. Andrée fut une tentative tragique de rejoindre le pôle Nord qui vit le décès de ses trois participants. S. A. Andrée, le tout premier aérostier suédois, proposa de réaliser un périple en ballon à hydrogène du Svalbard à la Russie ou au Canada, avec pour objectif de survoler en cours de route le pôle Nord. Cette initiative fut accueillie en Suède avec un grand enthousiasme, exacerbé par le patriotisme d’une nation nordique jusqu’alors à la traîne dans la course au pôle Nord.

Les dangers inhérents à cette expédition furent négligés par Andrée. Une conduite efficace du ballon était nécessaire à la bonne marche du voyage, mais le dispositif de conduite, développé par Andrée et utilisant un système de guideropes, montrait de nombreux signes de faiblesse. Ce sont ces guideropes qui scellèrent le sort de l’expédition.

19 et 20 décembre 2006

Une mosquée est un lieu de culte où se rassemblent les musulmans pour les prières communes. L’ensemble architectural est le plus souvent entouré d’une ou plusieurs tours, ou minarets, dont le nombre est limité à six pour ne pas excéder celui de la mosquée de La Mecque qui en comporte sept. Le toit est souvent en forme de dôme. C’est du haut d’un des minarets que le muezzin (Moadhin) appelle à la prière au cours de l’adhan. Une mosquée est plus qu’un lieu de culte, c'est, également, une institution sociale, éducative et politique : elle peut, ainsi, être accompagnée d’une madrasa (école), d’un centre de formation, voire d’une université. Elle sert aussi de lieu de rencontres et d’échanges sociaux.

Le nom mosquée, attesté en 1550 dans la langue française, est un emprunt à l’italien mosche(t)a, par le truchement de l'espagnol mezquita, venant lui-même de l’arabe مسجد masjid, lui-même emprunté à l'araméen masged. Il dérive d’une racine proto-sémitique signifiant « poser le front au sol » et rappelle qu’il s’agit d’un lieu de prosternation.

La première construite pendant le règne de l’islam serait la mosquée de Quba à Médine. Elle aurait été édifiée lors de l’hégire, fuite de Mahomet et ses compagnons de la Mecque à Médine. Quelques jours après avoir commencé sa construction, Mahomet aurait entamé la construction d’une deuxième mosquée à Médine, connue aujourd’hui sous le nom de masjid al-Nabawi, ou « mosquée du prophète ». D'après la tradition, son emplacement serait celui de la première prière de vendredi effectuée à Médine. Selon cette tradition, prié par les habitants de Médine d’accepter plusieurs terrains, Mahomet, pour ne froisser personne, laissa à sa monture, Qoçoua, le soin de déterminer le lieu d’arrivée en lui relâchant la bride. C’est ainsi qu’après nombre de détours elle s’arrêta enfin sur un large terrain vide et s’agenouilla. C’est sur ce terrain que la mosquée de Médine aurait été bâtie

21 et 22 décembre 2006

Soldats juifs dans le quartier Katamon de Jérusalem.
Soldats juifs dans le quartier Katamon de Jérusalem.

La guerre civile en Palestine de 1947-1948 couvre la période du , lendemain du vote du plan de partage au qui marque la fin du mandat britannique sur la Palestine.

Cette période constitue la première phase de la guerre de Palestine de 1948. Durant celle-ci, la communauté juive et la communauté arabe de Palestine s'affrontent tandis que les Britanniques, qui sont censés y garantir la sécurité, organisent leur retrait et n'interviennent que ponctuellement.

La phase suivante, la guerre israélo-arabe de 1948-1949 démarre le , avec la création de l'État d'Israël et l'entrée en guerre contre Israël des armées de plusieurs États arabes voisins.

Les différents épisodes et événements clés de la période de la guerre civile constituent la première phase de la guerre de Palestine de 1948.

23 et 24 décembre 2006

Entrée de la mosquée du Shah.
Entrée de la mosquée du Shah.

L’appellation art safavide regroupe la production artistique qui a eu lieu en Perse durant la dynastie éponyme, entre 1501 et 1722. Elle marque un apogée dans l’art du livre et de l’architecture persans alors que les arts mineurs tels que la céramique, l’art du métal ou le verre ont plus ou moins tendance à péricliter. Bien que nourri de culture persane, l’art safavide est fortement influencé par les cultures turkmène (eu égard aux origines de la dynastie), chinoise, ottomane et occidentale. La dynastie safavide est issue d’une confrérie appelée Safavieh qui apparaît en Azerbaïdjan vers 1301, avec le Shaykh Safi al-Din, qui lui donne son nom. Pratiquant le chiisme duodécimain, les safavides considèrent leur dirigeant comme le douzième imam, le déifiant et lui offrant une obéissance aveugle.

25 et 26 décembre 2006

Père Noël
Père Noël

Noël est une fête chrétienne célébrant chaque année la naissance de Jésus de Nazareth, appelée Nativité. À l'origine, cette fête était païenne et existait sous des formes différentes pour marquer le solstice d'hiver.

Au XXIe siècle, Noël revêt un aspect largement profane. Elle est devenue une fête commerciale et un moment de l'année célébré, y compris par des non-croyants. Cette fête est caractérisée par un regroupement des cellules familiales autour d'un repas et d'un échange de cadeaux, particulièrement (mais pas seulement) à destination des enfants, qui dans plusieurs pays occidentaux associent ces cadeaux au personnage du Père Noël.

Noël est actuellement fixé au 25 décembre dans les calendriers grégorien et julien par la plupart des Églises.

Lire la suite

27 et 28 décembre 2006

Un tsunami (en japonais, « vague portuaire ») est une série de quelques vagues provoquée par une action mécanique brutale (séisme) dans un océan ou une mer, le plus souvent d’ordre tectonique ou volcanique. Un glissement de terrain de grande ampleur ou un impact météoritique peuvent aussi en être la cause.

S’ils sont imperceptibles au large, ils peuvent provoquer d’énormes dégâts sur les côtes où ils se manifestent par un raz-de-marée. En fonction de l’intensité de l’action mécanique qui les génère et de la géométrie de l’océan, ils se propagent sur des milliers voire une dizaine de milliers de kilomètres et peuvent toucher plusieurs continents, dans des zones où le séisme ou l’éruption volcanique ne sont pas détectés. Lors d’un fort tremblement de terre en zone côtière, ils sont généralement plus meurtriers et destructeurs que la secousse elle-même. Par exemple, le séisme du 26 décembre 2004 dans l'océan Indien a fait plus de 300 000 morts.

Lire l’article

Du 29 au 31 décembre 2006

Trou noir de Schwarzschild vu par un observateur fixe situé à une distance de 50 rayons de Schwarzschild du centre de la Voie lactée.

En astrophysique, un trou noir est un objet dont l’existence est prédite par la théorie de la relativité générale. Un trou noir crée autour de lui une région de l’espace-temps dont la courbure est telle qu’au delà d’une limite appelée « horizon des événements, » rien, pas même la lumière, ne peut s’échapper. Malgré l’impossibilité fondamentale de voir un trou noir en tant que tel, leur existence dans l’univers est bien admise suite à de nombreuses observations indirectes, notamment de microquasars et de noyaux actifs de galaxies.

Lire la suite