Virelade

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Virelade
Virelade
La mairie (sept. 2012)
Blason de Virelade
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Langon
Intercommunalité Communauté de communes Convergence Garonne
Maire
Mandat
Laëtitia Faubet
2023-2026
Code postal 33720
Code commune 33552
Démographie
Gentilé Vireladais
Population
municipale
1 109 hab. (2021 en augmentation de 6,12 % par rapport à 2015)
Densité 83 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 40′ 04″ nord, 0° 22′ 55″ ouest
Altitude Min. 4 m
Max. 31 m
Superficie 13,41 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Podensac
(banlieue)
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Landes des Graves
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
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Virelade
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Virelade
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Virelade
Liens
Site web www.virelade.fr

Virelade[1] est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde en région Nouvelle-Aquitaine en France.

Ses habitants sont appelés les Vireladais, La population en 2023 est de 1101 habitants (source:) [2].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Commune de l'aire d'attraction de Bordeaux située dans le vignoble des Graves, arrosée par la Garonne et la Barboue[3], affluent de rive gauche de la Garonne, la commune se trouve, au sud-est du département et en limite du département des Landes, à 31 km au sud-est de Bordeaux, chef-lieu du département, à 17 km au nord-ouest de Langon, chef-lieu d'arrondissement et à 3 km nord-ouest de Podensac, ancien chef-lieu de canton[4].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes en sont Paillet au nord-nord-est sur la rive droite (nord) de la Garonne, Rions au nord-est sur les deux rives de la Garonne, Podensac à l'est, Illats au sud-est, Saint-Michel-de-Rieufret au sud-ouest et Arbanats au nord-ouest.

Communes limitrophes de Virelade
Arbanats Paillet                    

Rions
Virelade Podensac
Saint-Michel-de-Rieufret Illats

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 856 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Cadaujac à 15 km à vol d'oiseau[8], est de 13,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 918,3 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Virelade est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[12],[13],[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Podensac, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[15] et 5 747 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[16],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[18],[19].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (66,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (73,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (64,5 %), cultures permanentes (15,9 %), mines, décharges et chantiers (6,7 %), zones urbanisées (5,5 %), prairies (4,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2 %), eaux continentales[Note 3] (0,7 %), terres arables (0,5 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La principale voie de communication routière qui traverse le village est la route départementale D1113, ancienne route nationale 113, qui mène vers le nord-ouest à Arbanats et au-delà à Bordeaux et vers le sud-est à Podensac et au-delà à Langon ; la route départementale D214e8 qui commence dans le village au droite de la D113 mène vers le sud-ouest vers Saint-Michel-de-Rieufret.

L'accès le plus proche à l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) est le no 2 de Podensac distant de 8,5 km par la route vers le sud-est, tandis que le no 1.1 de La Brède se trouve à 10 km par la route vers le nord-ouest.
L'accès no 1 de Bazas à l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe à 34 km vers le sud-est.

Au plan du transport ferroviaire SNCF, Virelade est située entre la gare d'Arbanats distante de 2 km par la route vers le nord-ouest, et celle de Podensac distante de 3 km par la route vers le sud-est, toutes deux sur la ligne Bordeaux-Sète du TER Nouvelle-Aquitaine.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Virelade est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité très faible)[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Garonne, l'Aqueduc de Budos et la Barboue. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2009 et 2021[23],[21].

Virelade est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt[24]. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[25],[26].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Virelade.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 468 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 468 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[21].

Toponymie[modifier | modifier le code]

L'origine étymologique serait l'expression latine Villa lata signifiant domaine d'une grande étendue et le village devrait son nom à une importante villa gallo-romaine, selon le site officiel de la commune[28].
En gascon, le nom de la commune se dit Viralada.

Histoire[modifier | modifier le code]

Le site, occupé précocement, a été le siège d'une seigneurie médiévale ayant appartenu à l'origine à la famille de Got[29] puis aux Soudan de la Trau[30].

Pour l'état de la commune au XVIIIe siècle, voir l'ouvrage de Jacques Baurein[31].

À la Révolution, la paroisse Notre-Dame de Virelade forme la commune de Virelade[32].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes

Les armes de Virelade se blasonnent ainsi :

D'or à la guivre de gueules couronnée d'azur.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1971 1995 Paul Faubet    
juin 1995 2020 Dominique Faubet[33] SE Retraité de l'industrie électronique
2020 mars 2023 Pascal Rapet    
mars 2023 En cours Laëtitia Faubet    
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[35]. En 2021, la commune comptait 1 109 habitants[Note 4], en augmentation de 6,12 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
589563579622671638593613607
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
691668686699737724768726709
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
630599544518539516520424530
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
566559646727734749850854917
2014 2019 2021 - - - - - -
1 0301 0921 109------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie et Patrimoine[modifier | modifier le code]

La commune est située au cœur du vignoble des Graves produisant les vins d'appellation d'origine contrôlée Graves rouges et blancs.

Au milieu du XIXe siècle, le comte Joseph de Carayon-Latour, sénateur-maire de Virelade, entreprit de régénérer la race déclinante des chiens de Saintonge. Il unit pour cela les derniers descendants de cette race avec les « Bleus de Gascogne » du baron de Ruble afin de créer le Gascon-Saintongeois ou chien de Virelade[28].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Aude Guiheneuc et Rémy Toulouse, Le Patrimoine des Communes de la Gironde, t. 2, Paris, Éditions Flohic, , 1632 p. (ISBN 2-84234-125-2), p. 1152-1153

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Cathy Bouchard-Camedescasse, Il était une fois le canton de Podensac, Canton de Podensac, Catybou, , 192 p. (ISBN 978-2-9533141-3-7, BNF 42529133), [..]...en 1869, Joseph de Carayon-Latour demande la construction d'un lavoir. Il se découvre en contrebas de la route nationale, on y accède après avoir dévalé quelques marches...... [..] ..le château Les Tilleuls est une belle demeure au lieu-dit Ailley. Sa construction remonte........
  2. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 25 novembre 2011.
  3. La Barboue, également appelée Rieufret, Batijean ou ruisseau de Manine sur le site du SANDRE et sur le site du SIEAG (Système d'Information sur l'Eau du Bassin Adour-Garonne), consultés le 9 septembre 2013.
  4. Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 25,3 km pour Bordeaux, 16,2 km pour Langon et 2,6 km pour Podensac. Données fournies par Lion1906.com, consulté le 9 septembre 2013.
  5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Orthodromie entre Virelade et Cadaujac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Cadaujac-inra » (commune de Cadaujac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Cadaujac-inra » (commune de Cadaujac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Unité urbaine 2020 de Podensac », sur insee.fr (consulté le ).
  16. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Virelade », sur Géorisques (consulté le ).
  22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  24. « Le risque feux de forêts. », sur gironde.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. », sur gironde.gouv.fr (consulté le ).
  26. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  27. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  28. a et b Historique et Patrimoine sur le site officiel de la commune, consulté le 9 septembre 2013.
  29. La famille de Got est celle dont fit partie le pape Clément V.
  30. a et b (Le Patrimoine des Communes de la Gironde, p. 1152).
  31. Jacques Baurein, Variétés Bordeloises, t. 3, Bordeaux, , 2e éd. (1re éd. 1786) (lire en ligne), article 5.XV, pages 112-114
  32. Historique des communes, p. 68, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 9 septembre 2013.
  33. Commune de Virelade sur le site de l'AMF, Association des Maires de France, consulté le 25 novembre 2011.
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. « Inscription MH du château », notice no PA33000136, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 9 septembre 2013.