Villepot
Villepot | |||||
Mairie de Villepot | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Loire-Atlantique | ||||
Arrondissement | Châteaubriant | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Castelbriantais | ||||
Maire Mandat |
Joël Aunette 2008-2014 |
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Code postal | 44110 | ||||
Code commune | 44218 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Villepotais | ||||
Population municipale |
671 hab. (2014) | ||||
Densité | 33 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 46′ 34″ nord, 1° 16′ 35″ ouest | ||||
Altitude | Min. 66 m Max. 116 m |
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Superficie | 20,59 km2 | ||||
Élections | |||||
Départementales | Rougé | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
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Liens | |||||
Site web | http://www.cc-castelbriantais.fr/ | ||||
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Villepot est une commune de l'Ouest de la France, dans le département de la Loire-Atlantique (région Pays de la Loire). Issue d'une paroisse ayant appartenu au duché de Bretagne, elle fait partie de la marche de Bretagne et du pays de la Mée.
Commune à vocation agricole, de tradition rurale et chrétienne (principalement catholique), Villepot a connu un lent déclin démographique d'un siècle suivi d'une stabilisation à partir des années 1980, et a la particularité de ne pas faire partie de la zone d'influence de Nantes, chef-lieu du département, mais de celle de Rennes.
Géographie
Situation
Villepot est situé à 10 kilomètres au nord-est de Châteaubriant, à 47 kilomètres au sud de Rennes et à 65 kilomètres au nord de Nantes[1]. Les communes limitrophes sont Noyal-sur-Brutz et Soudan en Loire-Atlantique, Martigné-Ferchaud en Ille-et-Vilaine, Pouancé et Carbay en Maine-et-Loire.
Relief
Le relief de la commune est légèrement vallonné. La déclivité de la partie nord est orientée vers l'ouest, celle de la partie sud vers l'est[2].
Hydrographie
La rivière la Brutz traverse la commune au sud du bourg, tandis que la Verzée passe au sud de la commune. De même on compte certains ruisseaux tel que le ruisseau de la Brosse et celui de la Pie-Hoin[2].
Climat
Avec sa façade océanique orientée vers l'Ouest et un relief peu accentué, le climat de la Loire-Atlantique est de type tempéré océanique. Les hivers y sont doux (5 °C en moyenne), les étés faiblement chauds (18 °C en moyenne). Les précipitations sont fréquentes (surtout en hiver et au printemps) mais rarement violentes.
Le tableau ci-dessous indique les températures et les précipitations pour l'année 2007 selon les données de la ville de Rennes, distante d'une cinquantaine de kilomètres à vol d'oiseau :
Mois | J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
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Températures maximales (°C) | 8,1 | 9,4 | 12,3 | 14,7 | 18,4 | 21,5 | 23,8 | 23,6 | 21,1 | 16,7 | 11,7 | 9 |
Températures minimales (°C) | 2,2 | 2,5 | 4 | 5,4 | 8,5 | 11,2 | 13,1 | 13,1 | 11,2 | 8,3 | 4,9 | 3,2 |
Températures moyennes (°C) | 5,2 | 5,9 | 8,2 | 10,1 | 13,4 | 16,4 | 18,5 | 18,3 | 16,2 | 12,5 | 8,3 | 6,1 |
Précipitations (hauteur moyenne en mm) | 61,3 | 52,3 | 49,3 | 45,1 | 58,1 | 46,4 | 42,6 | 47,3 | 56,6 | 63,8 | 68,4 | 69,1 |
Source: Météo France et Lameteo.org[3] |
Le tableau ci-dessous indique les records de températures minimales et maximales :
Mois | J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
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Températures maximales records (°C) | 16,8 | 19,8 | 23,1 | 28,7 | 30,8 | 36,3 | 38,4 | 39,5 | 34,8 | 27,8 | 20,2 | 17,6 |
Années des températures maximales | 2003 | 1990 | 1965 | 1945 | 1953 | 1976 | 1949 | 2003 | 1961 | 1945 | 1993 | 1953 |
Températures minimales records (°C) | -14,7 | -11,2 | -7,3 | -3,2 | -1,2 | 2,2 | 5,5 | 4 | 1,9 | -4,6 | -7,5 | -12,6 |
Années des températures minimales | 1985 | 1948 | 2005 | 1984 | 1945 | 1962 | 1972 | 1956 | 1972 | 1947 | 1955 | 1964 |
Source: Insee et Lameteo.org[4] |
Risques de catastrophe naturelle
La commune est dans une zone de risque sismique négligeable. Elle a connu des dommages ayant entraîné la promulgation d'arrêtés de reconnaissance de catastrophe naturelle suite aux inondations de janvier 1995, décembre 1999 et juin 2008[5].
Toponymie
La salle paroissiale est ornée d'une plaque de pierre de tuffeau gravée portant la date de 1674 et sur laquelle le nom du village est libellé Villepost[F 1]. À la création de la commune en 1793, le nom a été orthographié Villeport, Villepot a été adopté en 1801[6]. La graphie Villepôt est également utilisée (panneau de signalisation routière, ouvrages[F 2], site de la Mairie[7]), mais le code officiel géographique donne Villepot[8].
Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en Ville- au sens de « domaine rural » ou de « village »[9]. En l'absence de formes suffisamment anciennes et bien caractérisées, il est impossible de dire ce que représente l'élément -pot[10], mais il s'agit probablement d’un nom de personne comme dans la majorité des toponymes en Ville- (et en -ville). Jean-Yves Le Moing associe le second élément -pot au pot des potiers, traduisant leur activité[11].
Les formations toponymiques en Ville-, a fortiori celles en -ville (quasiment absentes), sont rares en Bretagne et ce, contrairement à d'autres régions.
Histoire
Comme tout le Castelbriantais, Villepot a fait partie de la zone de peuplement celte, puis de la zone gallo-romain. Elle est devenue bretonne avant d'être intégrée au royaume de France par le traité d'union de la Bretagne à la France en 1532. La commune est situé dans le pays de la Mée, nom signifiant « pays du Milieu », cette région se situant aux confins des zones d'influence de Rennes, Nantes et Angers.
La paroisse a tout d'abord été un prieuré-cure, donné en 1130 au couvent de la Roë par l'évêque de Rennes Hamelin. Villepot a successivement dépendu des évêchés de Rennes et de Nantes. Les seigneurs de la vicomté de Fercé, les Du Boispréan, exerçaient la haute justice sur la paroisse. Durant les Guerres de religion, les propriétaires de la Berhaudière fortifient leur domaine, comme c'est le cas de beaucoup d'huguenots. Ceux de la Berhaudière sont anoblis par Henri IV. À la Révolution les Du Boispréan émigrent, leurs possessions sont vendues comme biens nationaux. Au XIXe siècle la religion catholique connaît une activité importante. De 1835 à 1945, de nombreuses missions, jubilés, Rogations ont lieu, quarante-deux croix chrétiennes sont édifiées dans cette période[F 2].
Les vingt-sept fusillés, de la carrière de la Sablière à Châteaubriant, le 22 octobre 1941
1ère Sépulture : Villepot
Edmond Lefèbvre : 38 ans, d'Athis-Mons (91), militant communiste. Son corps a été transféré dans le cimetière parisien du Père Lachaise.
Jean Poulmarc’h : 31 ans, né à Paris (12ème), secrétaire général de la Fédération C. G. T. des produits chimiques, militant communiste. Enterré dans le carré des fusillés à Ivry sur Seine.
Henri Pourchasse : 34 ans, d'Ivry-sur-Seine (94), responsable de la Fédération C. G. T. des cheminots, militant communiste. Enterré dans le carré des fusillés à Ivry sur Seine.
Politique et administration
Villepot est située dans le canton de Rougé, arrondissement de Châteaubriant, dans le département de la Loire-Atlantique (région Pays de la Loire)[12]. Comme pour toutes les communes françaises comptant entre 500 et 1 500 habitants, le conseil municipal est constitué de quinze membres en 2011[13].
Liste des maires
De 1789 à 1799, les agents municipaux (maires) sont élus au suffrage direct pour 2 ans et rééligibles, par les citoyens actifs de la commune, contribuables payant une contribution au moins égale à 3 journées de travail dans la commune. Sont éligibles ceux qui paient un impôt au moins équivalent à dix journées de travail.
De 1799 à 1848, La constitution du 22 frimaire an VIII () revient sur l’élection du maire, les maires sont nommés par le préfet pour les communes de moins de 5 000 habitants. La Restauration instaure la nomination des maires et des conseillers municipaux. Après 1831, les maires sont nommés (par le roi pour les communes de plus de 3 000 habitants, par le préfet pour les plus petites), mais les conseillers municipaux sont élus pour six ans.
Du à 1851, les maires sont élus par le conseil municipal pour les communes de moins de 6 000 habitants.
De 1851 à 1871, les maires sont nommés par le préfet, pour les communes de moins de 3 000 habitants et pour 5 ans à partir de 1855.
Depuis 1871, les maires sont élus par le conseil municipal suite à son élection au suffrage universel.
Intercommunalité
Villepot est membre de la communauté de communes du Castelbriantais, qui est constituée de dix-neuf communes regroupées autour de Châteaubriant[14].
Jumelages
Au 5 mars 2011, Villepot n'est jumelée avec aucune ville[15].
Démographie
Selon le classement établi par l’Insee en 1999, Villepot est une commune rurale monopolarisée qui fait partie de l'aire urbaine de Châteaubriant et de l'espace urbain de Rennes[16].
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[18],[Note 1].
En 2014, la commune comptait 671 habitants, en augmentation de 0,45 % par rapport à 2009 (Loire-Atlantique : 5,96 %, France hors Mayotte : 2,49 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (18,3 %) est en effet inférieur au taux national (22,7 %) et au taux départemental (20,8 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (51,3 % contre 48,7 % au niveau national et 48,5 % au niveau départemental).
Économie
Selon la mairie de Villepot, quarante-cinq établissements actifs sont recensés en 2011 : quatre industries, huit entreprises de construction, six commerces et vingt-sept entreprises de services. La zone d'activités de la Croix rouge s’étend sur 3,6 hectares[7]. L'Insee recensait en 2008 hors agriculture 37 entreprises actives, dont trois dans l'industrie, huit dans la construction, vingt dans le commerce, le transport, la réparation automobile et les services divers, et six dans l'administration publique, l'enseignement, la santé et l'action sociale[22].
Selon l'Insee, l'agriculture employait 20,5 % des salariés (18 postes) et comptait 22 exploitations sans salarié en 2008[22]. Le nombre d'exploitations a diminué entre 1988 et 2000, passant de 58 à 36, mais la superficie cultivée est restée stable dans cette période, passant de 1 463 hectares (moyenne 25 hectares par exploitation) à 1 392 hectares (39 hectares par exploitation). En 2000, les exploitations professionnelles étaient au nombre de 18, pour une surface moyenne de 68 hectares[22].
Équipements et services
Enseignement
Villepot dépend de l'académie de Nantes. Il n'y a pas d'école publique dans la commune. L'école privée Notre-Dame-la-Paix fait partie du réseau de l'enseignement catholique[24]. Les collèges et lycées se situent à Châteaubriant[25],[26],[27],[28],[29],[30].
Santé
Il n'y a pas de médecin ni d'infirmier installé à Villepot. Les plus proches sont basés à Soudan[31]. L'hôpital et les cliniques les plus proches se situent à Châteaubriant[32].
Autres équipements et services
La commune dispose d'un bureau de poste et d'une salle polyvalente. La communauté de communes permet aux Villepotais de disposer d'une bibliothèque intercommunale, d'un accueil périscolaire et un club informatique en dehors du territoire de Villepot[7].
Vie sociale
Manifestation culturelles et festivités
En avril, Villepot accueille sa Foire commerciale de Printemps. La Fête annuelle du pain (four à pain) est agrémentée de randonnées pédestres et en VTT. La commune organise également un concours de pêche annuel, et un feu d'artifice chaque 14 juillet[7].
Associations
Villepot est animée par plusieurs associations sportives et éducatives[7] : le comité des fêtes, les associations éclats de rire, villepôt.fr, les baladins d’Araize, les Voix d’Araize, un cracker’s club, etc.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
L'église Notre-Dame est construite au XVe siècle et restaurée au XVIIe siècle. Elle aurait été bâtie en trois étapes : la première partie édifiée aurait été le chœur, puis serait venu le tour de la croisée du transept portant le clocher, et enfin en 1726 aurait eu lieu l'agrandissement final. En 1950 l'architecte Ganachaud conduit une nouvelle restauration. La décoration intérieure date du XVIIe siècle. Le maître-autel, dédié par les moines de la Roë à Notre-Dame de l'Assomption, présente un retable datant de 1692 : il est orné des statues de saint Côme et saint Damien. Le baptistère abrite un tableau du peintre Yves Trévédy intitulée le Baptême de Notre Seigneur. Les vitraux du chœur et des chapelles latérales sont dues au maître-verrier Maurice Rocher. Le sculpteur Jean Fréour a réalisé un grand Christ en bois et une Vierge. On peut également observer une bannière de procession qui date de 1838[33].
Un bâtiment de La Génaudière est mis en valeur, étant caractéristique de l'habitat rural des Pays de la Loire[34].
La chapelle de Notre-Dame-de-Bon-Secours a été bâtie durant la Révolution et rénovée en 1891[F 1]. Elle contient une statue de bois polychrome intitulée Vierge à l'enfant, œuvre naïve rescapée des destructions de la Révolution et repeinte en 1890 sur ordre du curé de l'époque pour voiler les seins dénudés de la Vierge[F 3]. La commune recèle un four à pain en pierre du début du XXe siècle en état de fonctionnement[F 3]. Villepot abrite également une maison de maître datant de 1900 et la croix des Soucis de 1948, placée à la jonction des diocèses de Nantes, Rennes et Angers[F 3].
Héraldique
De sinople au chevron alésé versé surmonté d'un rencontre de cerf et soutenu à dextre et à sénestre d'une fleur de lys, le tout d'or ; une croisette d'argent somme le rencontre de cerf ; au chef d'hermine. Le chef d'hermine évoque le blasonnement d'hermine plain de la Bretagne, rappelant l'appartenance passée de la ville au duché de Bretagne. Blason conçu par Eugène Charron. |
Notes et références
Notes
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Références
- Jean-Luc Flohic (dir.) et Gilbert Massard, Le Patrimoine des communes de la Loire-Atlantique, (voir en bibliographie).
- p. 1033
- p. 1032
- p. 1034
- Autres références.
- « Villepot », sur Localisation interactive, orthodromie et navigation (consulté le )
- « Carte IGN de Villepot » sur Géoportail.
- Lameteo.org et Météo France, « Base de données météo et observations en temps réel », sur http://www.lameteo.org, lameteo.org, (consulté le )
- Insee et Lameteo.org, « Températures records de Rennes », sur http://www.linternaute.com, L'internaute, (consulté le )
- « Villepot », sur Portail de la prévention des risques majeurs, (consulté le Date invalide (1mars 2011))
- « Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui », sur cassini.ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- « Villepôt », sur communauté de communes du Castelbriantais (consulté le )
- « Code officiel géographique - Villepot », sur insee.fr (consulté le )
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 718b
- ibidem, p. 722b.
- Jean-Yves Le Moing, Noms de lieux de Bretagne, éditions Bonneton, 2007, p. 148.
- « Fiche de la commune de Villepot », sur insee.fr (consulté le )
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales
- « Villepot », sur Communauté de communes du Castelbriantais (consulté le )
- « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur Ministère des affaires étrangères (consulté le )
- « Carte thématique », sur Insee (consulté le ) ; cheminement : sur la petite carte de France, onglet Départements, puis choisir le département, puis menu déroulant Couches d'aide à la sélection
- L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
- Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 2011201220132014 .
- « Villepot 1836 », sur Archinoë, portail d'indexation collaborative, archives départementales de la Loire-Atlantique (consulté le ).
- « Résultats du recensement de la population - Villepot - POP T3 - Population par sexe et âge en 2009 », sur recensement-2009.insee.fr, Insee (consulté le ).
- « Résultats du recensement de la population de la Loire-Atlantique - POP T3 - Population par sexe et âge en 2009 », sur recensement-2009.insee.fr, Insee (consulté le ).
- « Les écoles de l'académie », sur Académie de Nantes (consulté le )
- « Les collèges publics de la Loire-Atlantique », sur Académie de Nantes (consulté le )
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- « Les lycées publics de la Loire-Atlantique », sur Académie de Nantes (consulté le )
- « Les lycées privés de la Loire-Atlantique », sur Académie de Nantes (consulté le )
- « Les lycées publics professionnels publics de la Loire-Atlantique », sur Académie de Nantes (consulté le )
- « Les lycées professionnels privés de la Loire-Atlantique », sur Académie de Nantes (consulté le )
- « Recherche », sur Les pages jaunes (consulté le )
- « Liste des hôpitaux et cliniques de la Loire-Atlantique », sur Annuaire sanitaire et social (consulté le )
- « Patrimoine de Villepot », sur Infobretagne (consulté le )
- François Le Bœuf, « Les enjeux d’une approche chronologique de la maison paysanne dans les Pays de la Loire - In Situ no 9 », sur Service régional de l'inventaire des Pays de la Loire, (consulté le )
Voir aussi
Bibliographie
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article..
- Jean-Luc Flohic (dir.) et Gilbert Massard, Le Patrimoine des communes de la Loire-Atlantique, vol. 2, Charenton-le-pont, Flohic éditions, , 1383 p. (ISBN 2-84234-040-X), p. 1032-1034.