Villeperdrix

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Villeperdrix
Villeperdrix
Église du village.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Nyons
Intercommunalité Communauté de communes des Baronnies en Drôme Provençale
Maire
Mandat
Jacques Nivon
2020-2026
Code postal 26510
Code commune 26376
Démographie
Population
municipale
101 hab. (2021 en diminution de 12,93 % par rapport à 2015)
Densité 3,9 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 26′ 34″ nord, 5° 17′ 20″ est
Altitude Min. 365 m
Max. 1 480 m
Superficie 26,15 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Nyons
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Nyons et Baronnies
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Villeperdrix
Liens
Site web villeperdrix.fr

Villeperdrix est une commune française située dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Villeperdrix est située à 9 km au nord-ouest de Rémuzat et à 21 km au nord-est de Nyons (chef-lieu du canton).

Relief et géologie[modifier | modifier le code]

Sites particuliers :

  • Montagne d'Angèle[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 961 mm, avec 7,3 jours de précipitations en janvier et 4,5 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Remuzat », sur la commune de Rémuzat à 6 km à vol d'oiseau[4], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 889,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Villeperdrix est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nyons, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 17 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (91,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (92,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (65,4 %), forêts (17,8 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (8,6 %), zones agricoles hétérogènes (5,4 %), cultures permanentes (2,9 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Voir Géoportail[14].

Logement[modifier | modifier le code]

Projets d'aménagement[modifier | modifier le code]

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attestations[modifier | modifier le code]

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[15] :

  • XIVe siècle : mention du prieuré : prioratus de Villeperdicis (pouillé de Die).
  • 1449 : mention du prieuré : prioratus de Villaperdis (pouillé hist.).
  • 1509 : mention de l'église paroissiale Saint-Pierre : ecclesia parrochialis Sancti Petri Ville Perdricis (visites épiscopales).
  • 1516 : mention du prieuré : prioratus Villae Perdicis et Guimianae (rôle de décimes).
  • 1529 : Villeperdriz (archives hosp. de Crest).
  • 1610 : Saint-Pierre de Villeperdix (archives de la Drôme, E 2357).
  • 1891 : Villeperdrix, commune du canton de la Motte-Chalancon.

Étymologie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité : les Gallo-romains[modifier | modifier le code]

Vestiges de l’arche du pont.

Villeperdrix se trouve sur l'ancienne voie qui reliait les deux cités et capitales du peuple voconce : Vasio et Lucus Augusti (Luc-en-Diois). Cette voie passait par la vallée de l'Eygues, de l'Oule et de la Béoux.
La présence romaine[1] est attestée par les vestiges du pont romain[16].
Inscrit à l'inventaire des Monuments Historiques depuis 1989, il est composé d'une arche unique ancrée sur le rocher, parementé en petit appareil de moellons réguliers ; on peut voir les trous de boulins (pour les échafaudages).
Le pont était encore utilisable au début du XXe siècle ; il aurait été détruit dans les années 1930.
Franchissant le torrent de la Croix, il fait partie de la voie antique que l'on peut encore voir en suivant l'escarpement, avec murs de soutènement et traces d'ornières. Il daterait de la fin du premier siècle[17].

Du Moyen Âge à la Révolution[modifier | modifier le code]

La seigneurie[15] :

  • Au point de vue féodal, Villeperdrix était une terre du fief des évêques de Die.
  • 1236 : possession des Bourdeaux.
  • 1475 : possession des (de) Pierre.
  • Elle passe aux Morges.
  • Milieu XVIIIe siècle : acquise par les Plantin, derniers seigneurs.

Avant 1790, Villeperdrix était une communauté de l'élection de Montélimar, de la subdélégation de Crest et du bailliage de Die.
Elle formait une paroisse du diocèse de Die, dont l'église dédiée à saint Pierre, était celle d'un prieuré de l'ordre de Saint-Benoit (filiation de Cluny et dépendance du prieuré de Saint-Amand de Montségur). Les dîmes appartenaient au prieur du lieu et la cure était de la collation de l'évêque diocésain[15].

L'Abbaye[modifier | modifier le code]

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[18] :

  • XIVe siècle : mention du prieuré : prioratus de Ville Perdicis (pouillé de Die).
  • 1576 : mention du prieuré : prioratus Villae Perdicis et Guimianae (rôle de décimes).
  • 1610 : Saint-Pierre de Villeperdrix (archives de la Drôme, E 2357).
  • 1626 : mention du prieuré : prioratus de Villaperdis (pouillé gén.).
  • 1891 : L'Abbaye, ruines sur la commune de Villeperdrix.

Ancienne abbaye de l'ordre de Saint-Benoît, convertie dès le XIVe siècle en un prieuré de la dépendance de Cluny, dont le titulaire était décimateur dans les paroisses de Gumiane, de Léoux et de Villeperdrix[18].

De la Révolution à nos jours[modifier | modifier le code]

En 1790, la commune est comprise dans le canton de la Motte-Chalancon[15].

Avant 2015, elle est passée dans le canton de Rémuzat.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendance politique et résultats[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1792 1809 Alexandre François Fabre    
1809 1817 Antoine Rasclard    
1817 1822 Louis Terrot    
1822 1848 Honoré Antoine Barnoin    
1848 1855 Antoine Honoré Barnoin    
1855 1860 Antoine François Barnoin    
1860 1870 Antoine Honoré Barnoin    
1870 1871 Ferdinand Honoré Antonin Barnoin    
Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
1871 1874 Ferdinand Honoré Antonin Barnoin   maire sortant
1874 1878 Ferdinand Honoré Antonin Barnoin   maire sortant
1878 1881 Pascal Gourru    
1881
(statut ?)
1884 Honoré Ferdinand Barnoin    
1884 1888 Honoré Ferdinand Barnoin   maire sortant
1888 1892 Honoré Ferdinand Barnoin   maire sortant
1892 1896 Jacques Cheyron    
1896 1900 Jacques Cheyron   maire sortant
1900 1904 Jacques Cheyron   maire sortant
1904 1908 Jacques Cheyron   maire sortant
1908 1912 Jean Pierre Donzet    
1912 1913 Jean Pierre Donzet   maire sortant
1913
(statut ?)
1919 Adrien Poncon    
1919 1922 Maurice Barnoin    
1922
(statut ?)
1945 Elie Roullet    
1925 1929 Elie Roullet   maire sortant
1929 1935 Elie Roullet   maire sortant
1935 1945 Elie Roullet   maire sortant
1945 1947 Felix Laget    
1947 1951 Felix Laget   maire sortant
1951
(statut ?)
1953 Gabriel Favier    
1953 1959 Gabriel Favier   maire sortant
1959 1965 Gabriel Favier   maire sortant
1965 1971 Gabriel Favier   maire sortant
1971 1977 Georges Brun Centre  
1977 1983 Georges Brun   maire sortant
1983 1989 Georges Brun   maire sortant
1989 1995 Georges Brun   maire sortant
1995 2001 Gérard Plantevin DVG  
2001 2008 Gérard Plantevin   maire sortant
2008 2014 Gérard Plantevin   maire sortant
2014 2020 Jacques Nivon DVG cadre
2020 En cours
(au 3 janvier 2021)
Jacques Nivon[19][source insuffisante]   maire sortant

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections législatives, avant mars 2015, la commune faisait partie du Canton de Rémuzat. Elle appartient désormais à la Troisième circonscription de la Drôme.

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Finances locales[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[21].

En 2021, la commune comptait 101 habitants[Note 3], en diminution de 12,93 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
495506527552594580540542538
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
489501516504507485420386365
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
372345316243218208189143125
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
10693838193110107106105
2015 2020 2021 - - - - - -
116101101------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Services et équipements[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Fête : le deuxième dimanche de septembre[1].

Loisirs[modifier | modifier le code]

  • Randonnées[1].

Sports[modifier | modifier le code]

Médias[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

En 1992 : oliviers, pâturages (ovins, caprins)[1].

Tourisme[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église de Villeperdrix.
  • Vestige du pont romain (culée)[1] de Villeperdrix (voir plus haut : paragraphe Histoire).
  • Restes des anciens remparts avec maison intégrées[1].
  • Ruines du prieuré[1].
  • Église Saint-Pierre de Villeperdrix.
  • Église Notre-Dame-des-Champs de Léoux.

Au lieu-dit Léoux : emplacement de l'ancien castrum médiéval[réf. nécessaire].

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique, logotype et devise[modifier | modifier le code]

Villeperdrix possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Annexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine, afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e f g h et i Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Villeperdrix.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Villeperdrix et Rémuzat », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Remuzat », sur la commune de Rémuzat - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Remuzat », sur la commune de Rémuzat - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  14. « Géoportail », sur geoportail.gouv.fr.
  15. a b c et d J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 417.
  16. André Blanc, Ponts gallo-romains et très anciens de l'Ardèche et de la Drôme, p. 77-99, Gallia, 1966, no 24-1 (lire en ligne)
  17. Guy Barruol, Ponts romains en Gaule romaine, Montpellier, revue archéologique de Narbonnaise, .
  18. a et b J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 1 (L'Abbaye).
  19. Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.