Villeneuve-la-Rivière

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Villeneuve-la-Rivière
Villeneuve-la-Rivière
Mairie de Villeneuve-la-Rivière.
Blason de Villeneuve-la-Rivière
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Pyrénées-Orientales
Arrondissement Perpignan
Intercommunalité Perpignan Méditerranée Métropole
Maire
Mandat
Patrick Pascal
2020-2026
Code postal 66610
Code commune 66228
Démographie
Gentilé Villeneuvois, Villeneuvoises
Population
municipale
1 366 hab. (2021 en augmentation de 6,3 % par rapport à 2015)
Densité 312 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 41′ 40″ nord, 2° 48′ 15″ est
Altitude Min. 48 m
Max. 115 m
Superficie 4,38 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Perpignan
(banlieue)
Aire d'attraction Perpignan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Ribéral
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Villeneuve-la-Rivière
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Villeneuve-la-Rivière

Villeneuve-la-Rivière Écouter est une commune française située dans le nord-est du département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Roussillon, une ancienne province du royaume de France, qui a existé de 1659 jusqu'en 1790 et qui recouvrait les trois vigueries du Roussillon, du Conflent et de Cerdagne.

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par la Têt. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Villeneuve-la-Rivière est une commune urbaine qui compte 1 366 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle est dans l'agglomération de Perpignan et fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan. Ses habitants sont appelés les Villeneuvois ou Villeneuvoises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune de Villeneuve-la-Rivière se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 7 km à vol d'oiseau de Perpignan[1], préfecture du département, et à 4 km de Saint-Estève[2], bureau centralisateur du canton du Ribéral dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Perpignan[I 1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Le Soler (1,5 km), Baho (1,7 km), Pézilla-la-Rivière (2,7 km), Toulouges (3,5 km), Saint-Estève (3,8 km), Canohès (5,3 km), Saint-Féliu-d'Avall (5,5 km), Corneilla-la-Rivière (6,0 km).

Sur le plan historique et culturel, Villeneuve-la-Rivière fait partie de l'ancienne province du royaume de France, le Roussillon, qui a existé de 1659 jusqu'à la création du département des Pyrénées-Orientales en 1790[4] et qui recouvrait les trois vigueries du Roussillon, du Conflent et de Cerdagne[5].

Communes limitrophes de Villeneuve-la-Rivière[6]
Calce Baixas
Pézilla-la-Rivière Villeneuve-la-Rivière[6] Baho
Le Soler
Carte de la commune.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[7].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 647 mm, avec 5,6 jours de précipitations en janvier et 3,1 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Perpignan à 8 km à vol d'oiseau[10], est de 16,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 578,3 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 2] est recensée sur la commune[14] : la « plaine viticole de Baixas » (1 939 ha), couvrant 5 communes du département[15].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Villeneuve-la-Rivière est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[16],[I 2],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Perpignan, une agglomération intra-départementale regroupant 15 communes[I 3] et 201 061 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[I 4],[I 5].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 6],[I 7].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (91,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (47,4 %), cultures permanentes (42,8 %), zones urbanisées (9,1 %), terres arables (0,7 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Villeneuve-la-Rivière est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier, le risque radon[19],[20].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par crue torrentielle de cours d'eau du bassin de la Têt. La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Perpignan-Saint-Cyprien, regroupant 43 communes du bassin de vie de l'agglomération perpignanaise, un des 31 TRI qui ont été arrêtés le sur le bassin Rhône-Méditerranée. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[21],[22].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont liés au retrait-gonflement des argiles[23]. Une cartographie nationale de l'aléa retrait-gonflement des argiles permet de connaître les sols argileux ou marneux susceptibles vis-à-vis de ce phénomène[24].

Ces risques naturels sont pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais d'un plan de surfaces submersibles valant plan de prévention des risques[25].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Dans le département des Pyrénées-Orientales, on dénombre sept grands barrages susceptibles d’occasionner des dégâts en cas de rupture. La commune fait partie des 66 communes susceptibles d’être touchées par l’onde de submersion consécutive à la rupture d’un de ces barrages, les barrages de Vinça ou des Bouillouses sur la Têt[26].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Villeneuve-la-Rivière est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[27].

Toponymie[modifier | modifier le code]

En catalan, le nom de la commune est Vilanova de la Ribera[28].

Histoire[modifier | modifier le code]

En février et , la Retirada provoque un afflux de réfugiés dans la région. Outre les centaines de milliers de personnes civiles, femmes et enfants, c’est une partie de l’armée populaire de la République espagnole qui arrive avec armes et bagages. Un camp de regroupement et de reconditionnement du matériel est créé, avec cinq cents mécaniciens espagnols qui travaillent à le remettre en état. Ces véhicules servent ensuite au transport des réfugiés espagnols[29],[30].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
         
mars 2001, réélu en 2008[30] 2014 Jacques Marrasse    
avril 2014[31] En cours Patrick Pascal    

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie ancienne[modifier | modifier le code]

La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).

Évolution de la population
1358 1365 1378 1424 1515 1553 1643 1709 1720
15 f19 f10 f8 f9 f2 f17 f33 f50 f
1730 1755 1767 1774 1789 1790 - - -
40 f40 f204 H40 f50 f228 H---
(Sources : Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9))

Démographie contemporaine[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[33].

En 2021, la commune comptait 1 366 habitants[Note 5], en augmentation de 6,3 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Orientales : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
213212244293338343351391404
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
389411418444470508558568573
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
590554549542521528520498565
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
6096325699109011 0521 2921 2981 282
2021 - - - - - - - -
1 366--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[36] 1975[36] 1982[36] 1990[36] 1999[36] 2006[37] 2009[38] 2013[39]
Rang de la commune dans le département 82 83 66 73 73 69 69 70
Nombre de communes du département 232 217 220 225 226 226 226 226

Enseignement[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Fête patronale : [40] ;
  • Fête communale : [40].

Santé[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018, la commune compte 562 ménages fiscaux[Note 6], regroupant 1 368 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 260 [I 8] (19 350  dans le département[I 9]).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 10] 8,1 % 10,6 % 13,2 %
Département[I 11] 10,3 % 12,9 % 13,3 %
France entière[I 12] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 833 personnes, parmi lesquelles on compte 73,1 % d'actifs (59,9 % ayant un emploi et 13,2 % de chômeurs) et 26,9 % d'inactifs[Note 7],[I 10]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était inférieur à celui de la France.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Perpignan, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 13]. Elle compte 158 emplois en 2018, contre 132 en 2013 et 146 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 506, soit un indicateur de concentration d'emploi de 31,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 55,6 %[I 14].

Sur ces 506 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 104 travaillent dans la commune, soit 21 % des habitants[I 15]. Pour se rendre au travail, 86,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,3 % les transports en commun, 6,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 16].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

Secteurs d'activités[modifier | modifier le code]

93 établissements[Note 8] sont implantés à Villeneuve-la-Rivière au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 9],[I 17].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 93 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
36 38,7 % (8,7 %)
Construction 16 17,2 % (14,3 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
12 12,9 % (30,5 %)
Information et communication 1 1,1 % (1,9 %)
Activités financières et d'assurance 1 1,1 % (3 %)
Activités immobilières 3 3,2 % (6,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
9 9,7 % (13 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
10 10,8 % (13,9 %)
Autres activités de services 5 5,4 % (8,5 %)

Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 38,7 % du nombre total d'établissements de la commune (36 sur les 93 entreprises implantées à Villeneuve-la-Rivière), contre 8,7 % au niveau départemental[I 18].

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Les deux entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[41] :

  • La Mie Martine, cuisson de produits de boulangerie (90 k€)
  • Bimer France, commerce de gros (commerce interentreprises) de matériel agricole (3 k€)

Agriculture[modifier | modifier le code]

La commune est dans la « plaine du Roussillon », une petite région agricole occupant la bande côtière et une grande partie centrale du département des Pyrénées-Orientales[42]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 3].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 66 30 12 14
SAU[Note 11] (ha) 375 239 133 137

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 66 lors du recensement agricole de 1988[Note 12] à 30 en 2000 puis à 12 en 2010[44] et enfin à 14 en 2020[Carte 4], soit une baisse de 79 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 73 % de ses exploitations[45],[Carte 5]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 375 ha en 1988 à 137 ha en 2020[Carte 6]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 6 à 10 ha[44].

La commune était jadis connue pour ses élevages de vers à soie. Louis Pasteur vint notamment à Villeneuve-la-Rivière pour visiter les installations d'un éleveur nommé Billes[46].

Église Saint-Jean-l'Évangéliste

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Monuments et lieux touristiques[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Pierre Garcia-Fons (1928-2016), peintre vivant à Villeneuve-de-la-Rivière
  • Frédéric Menguy (1927-2007), artiste peintre ayant vécu à Villeneuve-la-Rivière
  • Raymond Matabosch (1947-), sismo-volcanologue, poète, écrivain, historien et traducteur français, né à Villeneuve-la-Rivière[47]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Villeneuve-la-Rivière Blason
D'argent au château de sable, sans tours aux flancs et donjonné d'une tour couverte le tout pommeté du même[48].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  8. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  9. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  10. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  11. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  12. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[43].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Métadonnées de la commune de Villeneuve-la-Rivière » (consulté le ).
  2. « Commune urbaine - définition » (consulté le ).
  3. « Unité urbaine 2020 de Perpignan » (consulté le ).
  4. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
  5. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
  6. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Perpignan » (consulté le ).
  7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  8. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Villeneuve-la-Rivière » (consulté le ).
  9. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).
  10. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Villeneuve-la-Rivière » (consulté le ).
  11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).
  12. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  14. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Villeneuve-la-Rivière » (consulté le ).
  15. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  16. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  17. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Villeneuve-la-Rivière » (consulté le ).
  18. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Stephan Georg, « Distance entre Villeneuve-la-Rivière et Perpignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Villeneuve-la-Rivière et Saint-Estève », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. « Communes les plus proches de Villeneuve-la-Rivière », sur villorama.com (consulté le ).
  4. Carrere, J.B., Description de la Province de Roussillon, Paris, chez Lamy, , 438 p. (lire en ligne).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 222-225.
  6. Carte IGN sous Géoportail
  7. « Plan séisme » (consulté le ).
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