Vézières

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Vézières
Vézières
L'église.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Châtellerault
Intercommunalité Communauté de communes du Pays loudunais
Maire
Mandat
Jacky Durand
2020-2026
Code postal 86120
Code commune 86287
Démographie
Population
municipale
351 hab. (2021 en diminution de 4,1 % par rapport à 2015)
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 05′ 16″ nord, 0° 06′ 02″ est
Altitude Min. 39 m
Max. 107 m
Superficie 26,31 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Loudun
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Vézières
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Vézières
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Vézières

Vézières est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne (région Nouvelle-Aquitaine).

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Vézières fait partie du Loudunais.

Le village est situé à 2 km à l'est de Bournand et à 10 km au nord de Loudun, la ville la plus proche.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La région de Vézières présente un paysage de plaines vallonnées plus ou moins boisées. Le terroir se compose de champagnes(ce sont des sols gris clair, argilo-limoneux, sur craie et donc calcaires) pour 5 % sur les collines, de sables verts pour 38 % et d'argilo pour 10 % sur les collines et les dépressions sableuses des bordures du Bassin parisien et enfin de nouveau d'argilo pour 56 % sur les terres de Doucins (c’est une terre argilo-limoneuse propre à la région) et les landes de la bordure aquitaine[1].

La lande est, ici, de type atlantique: elle est souvent dominée par la Bruyère arborescente et l’Ajonc d’Europe qui constituent un couvert difficilement pénétrable pouvant atteindre 3 m de hauteur. Dans ce cas, la lande prend le nom régional de « brandes ». C’est un espace issu de la dégradation et de l’exploitation intensive de la forêt originelle. La lande couvrait jusqu’à la fin du XIXe siècle plusieurs dizaines de milliers d’hectares (90 000 hectares pour le département de la Vienne vers 1877). Cette terre a été largement mise en culture à la suite de défrichements ou boisée avec du pin maritime. Il s’agit maintenant d’espaces marginaux et menacés car considérés comme « improductifs ». Pourtant, la lande joue un rôle majeur pour une biodiversité qui s’est adaptée et a survécu en leur sein et il s’agit également d’un espace refuge pour de nombreuses espèces de mammifères.

En 2006, 73 % de la superficie de la commune était occupée par l'agriculture, 26 % par des forêts et des milieux semi-naturels et 1 % par des zones construites et aménagées par l'homme (voirie)[2]. La présence de milieux naturels et semi-naturels riches et diversifiés sur le territoire communal permet d’offrir des conditions favorables à l’accueil de nombreuses espèces pour l'accomplissement de leur cycle vital (reproduction, alimentation, déplacement, refuge). Forêts, landes, prairies et pelouses, cours d’eau et zones humides … constituent ainsi des cœurs de biodiversité et/ou de véritables corridors biologiques.

La forêt privée représente, en 2007, 731 hectares soit 28 % du territoire communal[3]. Les espaces boisés (la moyenne sur la région Poitou-Charentes est de 15 %, et 29,2 % pour la France) sur le territoire communal contribuent à assurer des fonctions de production (bois d’œuvre mais aussi bois énergie), de protection (espèces, qualité des eaux) et sociales (accueil du public). Les forêts les plus anciennes ou implantées dans des conditions écologiques particulières (pentes, bords de cours d'eau, etc.) abritent en général la biodiversité la plus forte. Mais, au cours de l’histoire, pour répondre aux besoins d'une population rurale importante, la forêt poitevine a été intensément défrichée et surexploitée jusqu’à la révolution industrielle. Environ la moitié des forêts actuelles du Poitou n'existait pas il y a 200 ans[4].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique du nord-ouest[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 647 mm, avec 10,8 jours de précipitations en janvier et 6,3 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Loudun à 8,67 km à vol d'oiseau[8], est de 0,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 0,0 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Vézières est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[12],[13],[14]. La commune est en outre hors attraction des villes[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (72,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47,9 %), forêts (26,3 %), prairies (14 %), zones agricoles hétérogènes (10,7 %), zones urbanisées (1 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Vézières est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Vézières.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[20]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[21]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[22]. 61,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 2],[23].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2010, 2012 et 2013 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[18].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom du village était au XIVe siècle Verreria puis au XVe siècle Verezia et Vézières depuis 1649[24].

Histoire[modifier | modifier le code]

Comme le reste de la France, Vézières accueille favorablement les avancées de la Révolution française. Elle plante ainsi son arbre de la liberté, symbole de la Révolution[25].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1988 ? Jean-Marie Gourault    
mars 1989 mars 2008 Claudia Talbot Les Verts  
mars 2008 Mai 2014 Jean-François Dole[26] Ensemble redressons
la France
 
Mai 2014 En cours Jacky Durand    

Instances judiciaires et administratives[modifier | modifier le code]

La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[28].

En 2021, la commune comptait 351 habitants[Note 3], en diminution de 4,1 % par rapport à 2015 (Vienne : +1,03 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
510464399447560566594622628
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
669666662620610624609624686
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
671643670587613639594538568
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
568535453390370358351350360
2017 2021 - - - - - - -
357351-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2008, selon l’INSEE, la densité de population de la commune était de 13 hab./km2, 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

Économie[modifier | modifier le code]

Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[31], il n'y a plus que seize exploitations agricoles en 2010 contre 29 en 2000.

Les surfaces agricoles utilisées ont diminué et sont passées de 1 617 hectares en 2000 à 1 518 hectares en 2010 dont 328 sont irrigables.

65 % des surfaces agricoles sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi orges et maïs), 22 % pour les oléagineux (colza et tournesol), 3 % pour le fourrage et 1 % reste en herbe. En 2000, 3 hectares (1 en 2010) étaient consacrés à la vigne[31].

Trois exploitations en 2010 (contre sept en 2000) abritent un petit élevage de bovins (77 têtes en 2010 contre 237 têtes). L'élevage de volailles a connu une baisse : 492 têtes en 2000 répartis sur quatorze fermes contre 255 têtes en 2010 répartis sur six fermes[31].

Les élevages de caprins ont disparu au cours de cette décennie[31]. Cette disparition est révélatrice de l’évolution qu’a connu, en région Poitou-Charentes, cet élevage au cours des deux dernières décennies: division par trois du nombre d’exploitations, augmentation des effectifs moyens par élevage (38 chèvres en 1988, 115 en 2000), division par dix des chèvreries de 10 à 50 chèvres qui représentaient 50 % des troupeaux en 1988, et multiplication par six des élevages de plus de 200 chèvres qui regroupent, en 2000, 45 % du cheptel. Cette évolution a principalement pour origine la crise de surproduction laitière de 1990-1991 qui, en parallèle des mesures incitatives, a favorisé des départs d’éleveurs en préretraite[32].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Sources[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

Références[modifier | modifier le code]

  1. Chambre Régionale d'agriculture de Poitou-Charente - 2007
  2. Observatoire Régional de l'Environnement de Poitou-Charente
  3. Centre Régional de la Propriété Forestière de Poitou-Charente - 2007
  4. IFEN-BD CORINE Land Cover® 2006, toutes couches « Forêt », hors espace vert artificialisé non agricole
  5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  7. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Orthodromie entre Vézières et Deauville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Deauville » (commune de Loudun) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Station Météo-France « Deauville » (commune de Loudun) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  18. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Vézières », sur Géorisques (consulté le )
  19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  21. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Vézières », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  23. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
  24. Le Patrimoine des communes de la Vienne en 2 tomes – Edition FLOHIC – 2002 – (ISBN 2-84234-128-7).
  25. Robert Petit, Les Arbres de la liberté à Poitiers et dans la Vienne, Poitiers : Éditions CLEF 89/Fédération des œuvres laïques, 1989, p. 151-152
  26. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. a b c et d Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
  32. Agreste – Bulletin n°11 de Décembre 2005
  33. « Notice du Château de Montpensier », notice no PA00105769, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture (consultée le 9 mai 2016).
  34. « Eglise », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
  35. Poitou-Charentes Nature, 2000