Vendenesse-sur-Arroux

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Vendenesse-sur-Arroux
Vendenesse-sur-Arroux
l'Arroux, l'école et l'église de Vendenesse-sur-Arroux.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Saône-et-Loire
Arrondissement Charolles
Intercommunalité Communauté de communes Entre Arroux, Loire et Somme
Maire
Mandat
Christian Simonin
2020-2026
Code postal 71130
Code commune 71565
Démographie
Gentilé Vendenssois
Population
municipale
560 hab. (2021 en diminution de 2,44 % par rapport à 2015)
Densité 35 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 37′ 43″ nord, 4° 03′ 59″ est
Altitude Min. 243 m
Max. 352 m
Superficie 16,09 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Gueugnon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gueugnon
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Vendenesse-sur-Arroux
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Vendenesse-sur-Arroux
Liens
Site web vendenesse-sur-arroux.fr

Vendenesse-sur-Arroux est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire, en région Bourgogne-Franche-Comté. Vendenesse-sur-Arroux est un village fleuri deux fleurs.

Géographie[modifier | modifier le code]

Accès[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 891 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 7,5 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cressy », sur la commune de Cressy-sur-Somme à 17 km à vol d'oiseau[3], est de 12,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 915,9 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −22 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Vendenesse-sur-Arroux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Gueugnon, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (85,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (62,9 %), zones agricoles hétérogènes (23 %), forêts (11,7 %), zones urbanisées (2,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,2 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Vindonissia doit son nom, soit à la déesse gauloise Vindonissia ou tout simplement au fait que l'eau claire y coulait.

Vindo signifie blanc et issia est le superlatif de blanc.

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Certaines découvertes prouvent que la région et le territoire de la commune étaient habités aux temps préhistoriques et servaient de terrain de chasse, deux haches de pierre datant du néolithique ont été trouvées aux Chevannes[réf. nécessaire]

Vendenesse-sur-Arroux à l'époque de Courtépée[modifier | modifier le code]

Paroisse, vocable Saint-Marcel, archiprêtré de Luzy, à la collation de l'évêque d'Autun ; 200 communiants. Le clocher et partie de la paroisse sont une seigneurie à M. Duprat de Barbançon ; une autre partie dépend des justices de Beaudésir, château et fief à Pierre du Breuil de la Motte : la Tour du Bois à Paul Ducret, chevalier de Saint-Louis. Cheuraux (Chevriaux) et Chassigneux, le tout dans la bailliage de Montcenis. La partie qui est dans celui de Charolles dépend de la justice de Toulon. Hameaux : Atrecy, Montdemot, avec quelques vignes, Séfrain, Condemine... Plusieurs domaines. Vestiges du château de Rochefort ; Jean de Mazilles y résidait en 1500 ; fief dépendant d'Essanley. Port à Vendenesse pour le bois. A une lieue et demi de Toulon, trois de Digoin, six de Montcenis.

Du Moyen Âge à la Révolution[modifier | modifier le code]

À partir du XIIe siècle, l’Arroux sert de limite entre les provinces de Bourgogne et du Charolais. Vendenesse-sur-Arroux est donc coupée en deux. Un document de 1666 (enquête de Bouchu)[14] précise que la partie Bourgogne relève du bailliage de Montcenis et du grenier à sel de Bourbon-Lancy. Elle est composée des hameaux de Vendenesse (le bourg), Condemine, Beaudésir, Valette, Eschaseault (les Chazeaux), Montdemot et Rochefort. La partie charollaise est du bailliage de Charolles et du grenier à sel de Toulon-sur-Arroux. Ses hameaux sont Chassigneux, Magneault (Meigneau) et une partie d’Attréchy.

Au cours du siècle, plusieurs seigneurs se partagent la commune. Il existe, à cette époque, trois châteaux : Rochefort, Valette et Beaudésir. Il n’y a pas de pont et c’est un bateau entretenu par les villageois (pour 50 livres par an) qui permet d’aller et venir. Le seigneur le plus important est le baron d’Essanlé, Claude Saladin de Montmorillon, seigneur de Rochefort et de Valette, d’une partie du bourg, de Montdemot, Condemine, Attrécy et Chassigneux. Ses revenus sont estimés à 800 livres par an (et quelquefois 1 000 livres) et on précise qu’il est sans emploi ! Le seigneur Léonard de Vallerot est, à la même époque, seigneur de Beaudésir. Le territoire de la propriété sur Vendenesse et Gueugnon lui rapporte 900 livres par an. En 1666 (date d’une recherche des feux, ancêtre du recensement), on trouve également Hugue de Colonges, seigneur d’une partie de Montdemot et Attrécy (à cause de sa seigneurie de la tour du bois), le seigneur de Mazoncle, seigneur de Mayneault et d’une partie de Chassigneux, et damoiselle Jeanne Ducret qui est dame de quelques héritages. Le seigneur d’une autre partie d’Attrécy étant l’abbé de Cluny.

En 1665, en ``Bourgogne’’, on compte 35 "habitants’’ (familles) avec un propriétaire douze métayers, un meunier et dix-huit ``tant journaliers que pauvre veuves et mendiants’’. L’imposition est de 414 livres soit 12 livres par famille en moyenne (ce qui est une imposition normal). Le ``Charolais’’ compte "sept habitants’’ dont quatre métayers, deux « pauvres propriétaire » et un manœuvre. L’imposition, qui n’est pas la même qu’en Bourgogne, est de 100 livres par an. À cela s’ajoute la dime qui est partagée entre le curé d’Uxeau et le seigneur de Chassy. Elle s’élève à 270 livres pour toute la paroisse. Car, si Vendenesse est administrativement partagée, la paroisse est homogène et dépend de l’évêché d’Autun. Par contre, ce sont les paroissiens de Bourgogne qui doivent s’occuper de l’église. Le revenu de la cure est, en moyenne, de 260 livres par an sans la dime, ce qui est peu pour l’époque.

La production agricole est surtout constituée de seigle et de froment. Le peu de prés qui existe est de « mauvaise qualité » et les bois sont « sans grande valeur. » Il y a trois moulins, celui de Moigneau, celui des Mouches (utilisant l’eau d’un ruisseau) et celui de Valette.

Le bac de passage de Vendenesse-sur-Arroux[modifier | modifier le code]

Afin que la commune coupée en deux par l’Arroux, occasionnant de véritable problème, les habitants se réunissent et font une proposition pour l’achat d’un bac en 1854. Celui-ci est acheté qu’en 1856 pour 120 francs (108,50 euros) et un droit de passage est établi. Ce grand bac de 11 mètres de long sur 4.50 mètres de large garni de son chevalet et de sa traille par un batelet garni de sa chaine et par le nombre de mariniers nécessaires au service permet de desservir le passage. Le dernier bac est consenti pour 9 années, du 1er janvier 1874 au 31 décembre 1883. Le pont est construit en 1884.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1805 1818 Dumaine    
1819 1831 Theureaud    
1832 1833 Lheury    
1834 1852 Jean-Marie Dumontet    
1852 1854 Louis-Michel Theureaud    
mars 1855 mars 1860 Alexis Ducroux    
mars 1860 mars 1896 Alfred de Valence    
mars 1896 mars 1906 Guy de Valence (révoquer par décret)    
mars 1906 mars 1908 Lucien Gravier    
mars 1908 mars 1910 Guy de Valence (démission)    
mars 1910 mars 1921 Charles Hugon (révoqué)    
mars 1921 mars 1926 Guy de Valence (démission)    
mars 1926 mars 1936 Louis Perrin    
mars 1936 mars 1971 Jean-Marie Fèvre    
mars 1971 mars 1978 Claude Sauvaget    
mars 1978 mars 1989 Lucien Dauvergne    
mars 1989 mars 2008 Jean-Claude Augard   Agent de maitrise
mars 2008 mai 2020 Gilles Nivot    
mai 2020 en cour Christian Simonin    
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[16].

En 2021, la commune comptait 560 habitants[Note 4], en diminution de 2,44 % par rapport à 2015 (Saône-et-Loire : −1,1 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
478408499563567535482519466
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
457492486570582607621570565
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
582559527483467439435439415
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
477487478562594590613614590
2015 2020 2021 - - - - - -
574563560------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[18].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Châteaux[modifier | modifier le code]

  • Château de Beaudésir : Au XIIIe siècle, Beaudésir était un fief très étendu et très puissant. Vers 1450, le domaine appartient à Guillaume de Fraigne. En 1474, le fief de Beaudésir est tenu par Jehan des Haultes, à la suite de son mariage avec Gilberte de Fraigne, fille de Guillaume. Jehan des Haultes tenta, en 1471, d'enlever la place de Bourbon-Lancy pour le roi. En 1666, il appartient à Léonor de Vallerot, écuyer, prieur et commanditaire de l'abbaye de Sail-sous-Couzan-en-Forez. À sa mort, c'est sa fille, Françoise de Vallerot, future épouse d'Antoine de Chargères, comte du Breuil, qui en hérite.
    La première partie du château date du XIIe siècle et comprenait, notamment, une cave voûtée qui existe toujours. Une deuxième partie a été construite au XVIIe siècle. En 1700, le château se compose de deux chambres basses, deux chambres hautes, un grenier, une cuisine, deux écuries et une grange. La cour est entourée d'unmur avec deux tours dont l'une est une chapelle dédiée à sainte Reine et où un ancêtre de la famille Gilbert y aurait été tué en 1789. Derrière le pavillon, se trouve le jardin, un verger et un petit étang avec une cinquantaine de carpes. Les maisons du domaine sont dans la cour et sont occupées par le métayer.
    Beaudésir est, à cette époque, une petite seigneurie qui rapporte entre 900 et 1 000 livres par an.
    Le château aurait été confisqué comme bien national à la Révolution puis racheté par M. Theureaud alors régisseur et ancêtre de la famille Gilbert (ou donné par le seigneur en échange des bons soins pendant son absence). À la fin du XIXe siècle, M. Hugon, grand-père de M. Gilbert, a trouvé le blason du marquis de la Tour Maubourg en construisant la dernière partie du château.
  • Château de Rochefort : Le château de Rochefort a été bâti sur les fondations d'une ancienne tour de guet romaine. Au Moyen Âge, le château était une puissante forteresse ancrée dans le roc. Les caves et les prisons étaient taillées dans la roche. Le château comprenait également un corps de logis avec deux tours rondes. La seigneurie de Rochefort a toujours fait partie de la grande seigneurie de Luzy. En 1406, le domaine appartient à Gérard de Rochefort et en 1500 à Jean de Mazilles, seigneur de Luzy. En 1603, la moitié du domaine est cédée à Charles de Champignolles, seigneur d'Essenley. À partir de 1641, le sort de Rochefort et en est lié à celui de la baronnie d'Essenley, mais plus aucun seigneur n'y réside et n'y résidera. Le domaine comprend alors une métairie, deux étangs dont l'un est converti en pré aujourd'hui, une vigne dans laquelle se trouve la fontaine Saint-Jean et de bois : bois du Chastenier (du Châtaignier), bois Moutru, bois de la Garenne, de Rochefort, etc. Le seigneur de Rochefort est propriétaire du port de Vendenesse et a le droit de pêcher avec "tous engins". Personne ne peut obtenir un bateau pour passer les voyageurs sans licence et consentement du dit seigneur. Il possède également un moulin appelé moulin Maladrout. Il reçoit aussi les rentes des propriétaires de Montdemot, de Vendenesse et du moulin des Mouches sur le ruisseau de Rochefort. À cette époque, la puissance du seigneur est incontestées. Tous les dimanches, le seigneur de Rochefort descendait la rivière pour venir à la messe. On raconte qu'un jour qu'il était en retard et voyant que la messe avait commencé sans lui, de colère il tua le curé ! Depuis le XVIIe siècle, le tout est en ruine et seule subsiste une vieille tour. Vers 1900, la tour est achetée et restaurée par Pierre Campionnet alors conseiller municipal de Vendenesse. Elle est aujourd'hui délabrée.
  • Le château du parc : Un premier château était construit en bordure de la rivière. À la fin du XIXe siècle, un château fut reconstruit au milieu du parc par la famille de Valence. Une deuxième tour fut rajoutée un peu plus tard. Vendu en 1954 à la commune de Gueugnon pour en faire un hospice, le château servit quelque temps de logement de fonction, avant d'être démoli en 1976.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Les Lieux-dits[modifier | modifier le code]

A

  • Attrecy

B

  • Beaumont
  • Beauvois

C

  • Cefrin

D

  • Daniel Dauvergne (Allée)

L

  • L'Oseraie
  • L'Ouche de Bey
  • La Combatte
  • La Condemine
  • La Cote des Fourriers
  • La Garenne
  • La Jeunesse
  • La Malvelle
  • Le Bitoux
  • Le Bourg
  • Le Chassigneux
  • Le Haut des Brosses
  • Le Mauvais Pas
  • Le Rompe
  • Les Boudards
  • Les Chevannes
  • Les Contettes
  • Les Douillets
  • Les Preles
  • Les Roches Maladroit
  • Les Solins

M

  • Meygniaud
  • Montdemot

P

  • Pièce de la Not

R

  • Rochefort

T

  • Terre des Viguerons

V

  • Valette (Moulin de)

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Vendenesse-sur-Arroux et Cressy-sur-Somme », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Cressy », sur la commune de Cressy-sur-Somme - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Cressy », sur la commune de Cressy-sur-Somme - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Gueugnon », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  14. « Enquêtes de l'intendant Bouchu en 1666-1669 », sur brionnais.fr (consulté le )
  15. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  16. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.