Vebret

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Vebret
Vebret
La mairie de Vebret.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Cantal
Arrondissement Mauriac
Intercommunalité Communauté de communes Sumène Artense
Maire
Mandat
Fabrice Meunier
2020-2026
Code postal 15240
Code commune 15250
Démographie
Population
municipale
513 hab. (2021 en augmentation de 1,18 % par rapport à 2015)
Densité 21 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 20′ 25″ nord, 2° 31′ 14″ est
Altitude Min. 425 m
Max. 727 m
Superficie 24,43 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Bort-les-Orgues
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Ydes
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Vebret
Liens
Site web vebret.fr

Vebret est une commune française située dans le département du Cantal, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Le bourg de Vebret est situé dans le Cantal, au pied du plateau basaltique de Chastel-Marlhac, à 480 mètres d'altitude. Ce plateau pittoresque est très caractéristique de la région des volcans d'Auvergne.

Vebret est limitrophe de huit communes dont une du département de la Corrèze :

Vebret est composée de quarante hameaux disséminés : Bruyères de Rouchou, Champagnadoux, Champassis, Cheyssac, Costes de la Font, Couchal, Courtilles, Couzan, la Barrerie, la Besseyre, la Champ, la Gare, la Grosse Peyre, la Monselie, la Salvinie, Lavergne, la Vergne Petite, le Béal, le Bouchet, les Champs grands, les Clos, les Essards, les Lampradets, les Mouleyres, les Prades, les Vergnes Pionèdres, Maison Neuve, Montpigot, Montplaisir, Pourcheret, Prunet Bas, Prunet Haut, Pyrouse, Repastil, Rochemont, Roume, Serres, Suménat, Verchalles Soubro, Verchalles Soutro.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Le plateau de Chastel-Marlac domine le bourg de Vebret. Il surplombe directement les hameaux de Serres et de la Salvinie. On peut y accéder par une ancienne voie romaine. Parvenu au sommet, le voyageur peut voir à ses pieds la vallée de la Sumène et la suite des maisons du bourg de Vebret, prolongée par les hameaux de Couchal, des Lempadrets et de Montpigot. Sur la droite, on peut admirer les gorges du Violon et la Monselie.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune de Vebret est traversée par quatre cours d'eau : la Rhue, la Sumène, et leurs affluents respectifs, le Soulou et le Violon.

Le Soulou est célèbre pour sa production de truites et d'écrevisses. Il prend sa source près de la roche de Grely à l'orée de la forêt domaniale d'Algère. Il passe au sud de Saint-Étienne-de-Chomeil et faisait tourner autrefois les meules du moulin de Compié. Il traverse la commune d'Antignac et actionnait, autrefois, les moulins de Sauronnet et celui de la Ganette, situé en aval du hameau de Drulh, en face du château de Couzan. Jusqu'au milieu du XXe siècle, Jean Jovion y a exercé ses talents de meunier et traitait le sarrasin, blé noir apporté par ses voisins, battu au fléau et à l'origine d'un délicieux pain bis et de « pompes », sortes de galettes de sarrasin dont nos contemporains ont perdu le goût. Le moulin de la Ganette laisse le souvenir d'un lieu ludique où l'on dansait la bourrée au son de la vielle, accompagnant les chants de patois occitan. Le Soulou traverse ensuite la commune de Vebret pour aboutir à Cheyssac. Là encore le moulin a cessé toute activité. Le Soulou se jette dans la rivière de la Rhue près du « pont tremblant » après avoir irrigué tout le « pays de la Daille ». Au XIXe siècle, l'exploitation minière de la région a amené l'installation de « moulins à scie ». Il en existait un à Saint-Thomas auquel fut greffé dans les années 1838-39, un haut-fourneau. Le Soulou a servi à alimenter en eau le canal destiné à desservir ces industries. La prise d'eau était au nord de Cheyssac, peu avant la séparation des lignes de chemin de fer Bort-Aurillac et Bort-Neussargues. De ce long canal, il reste encore des parties visibles[Note 1].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 983 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Saignes à 3 km à vol d'oiseau[3], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 987,0 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Vebret est une commune rurale[Note 2],[7]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bort-les-Orgues, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 1],[I 2].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (56,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (40,5 %), prairies (38,1 %), zones agricoles hétérogènes (16,7 %), zones urbanisées (2,1 %), mines, décharges et chantiers (1,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,2 %)[10]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 365, alors qu'il était de 367 en 2013 et de 344 en 2008[I 3].

Parmi ces logements, 63,9 % étaient des résidences principales, 33,6 % des résidences secondaires et 2,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 95,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 3,3 % des appartements[I 4].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Vebret en 2018 en comparaison avec celle du Cantal et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (33,6 %) supérieure à celle du département (20,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 80,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (79,1 % en 2013), contre 70,4 % pour le Cantal et 57,5 pour la France entière[I 5].

Le logement à Vebret en 2018.
Typologie Vebret[I 3] Cantal[I 6] France entière[I 7]
Résidences principales (en %) 63,9 67,7 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 33,6 20,4 9,7
Logements vacants (en %) 2,4 11,9 8,2

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Lors de l'incorporation des communes au département du Cantal, en février 1790, Vebret est oubliée. Elle le rejoint finalement en septembre 1790.[réf. souhaitée]

Liste des curés ayant desservi la paroisse de Vebret depuis la Révolution[modifier | modifier le code]

  • 1803 : Louis Fayet
  • 1818 : Pierre Salvy
  • 1822 : Joseph Larroze
  • 1823 : Jacques Griffol
  • 1824 : Jean-Baptiste Mauret
  • 1844 : Jacques Faucher
  • 1853 : Pierre Galvaing
  • 1861 : Jean-Baptiste Jérémie
  • 1866 : Antoine Blanc
  • 1867 : Luis Bouchy
  • 1885 : Antoine Laurichesse
  • 1896 : Henri Pommier
  • 1901 : Louis Salvy
  • 1913 : Géraud Sanson
  • 1936 : Pierre Roche
  • 1950 : abbé Chapelle
  • 1960 : abbé Duflot
  • 1992 : abbé Maury
  • 1999 : abbé Jacques Mieczylawmadjan

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1840 1848 Charles de Fontanges    
1848 1851 Marie Guillaume Laurent    
1852 1854 Charles de Fontanges    
1854 1854 Léon Barrier    
1854 1896 Pierre Jean Baptiste Barrier    
1896 1908 Roger de Vaublanc   Chatelain de Couzan
1908 1919 Léon Delmas    
1919 1934 Léger Breton    
1934 1970 Marcellin Verdier    
1970 mars 1977 Louis Boutarel    
mars 1977 mars 1989 René Gervais    
mars 1989 1998 Marc Pottier   Exploitant agricole
1998 mars 2008 Jean Couderc   Contremaître EDF retraité
mars 2008 mars 2014 Chantal Bernard    
mars 2014 En cours Fabrice Meunier[11] DVG Fonctionnaire

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[12]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[13].

En 2021, la commune comptait 513 habitants[Note 4], en augmentation de 1,18 % par rapport à 2015 (Cantal : −1,36 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1691 2331 3671 4391 4401 4301 4131 6141 475
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 4001 2031 2221 1521 1701 2291 1141 1051 125
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0251 0701 028829800750683627627
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
630578524559533503472470489
2015 2020 2021 - - - - - -
507511513------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee à partir de 2006[15].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église de Vebret[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Maurice-et-Saint-Louis est considérée comme un des trésors du patrimoine roman cantalien. Elle est citée dans une charte de Clovis retranscrite au XIIe siècle. L'édifice commencé au XIIe siècle fut souvent remanié, notamment au XVe siècle par l'adjonction de deux chapelles latérales. Celle de droite est réservée aux châtelains de Couzan : les armoiries des familles de Fontanges et de Vaublanc ornent le vitrail. La façade ouest est en pierres de taille de tuf volcanique. Des restaurations commencées en 1997 ont permis de mettre au jour un décor peint, dont les plus anciens éléments datent de l'époque romane[16].

Deux éléments caractéristiques sont à relever[17] :

  • le clocher à peigne en forme de pyramide tronquée, percé de trois ouïes abritant les cloches ;
  • le Christ monumental, de la fin du XIIe ou du début du XIIIe siècle ; la statue de deux mètres de hauteur sur deux mètres d'envergure, du type « Christ triomphant », est d'une rigidité imposante. La statue, en bois polychrome, est placée en évidence dans la nef centrale. Elle a fait l'objet d'une exposition très remarquée à Paris en 1992.

L'église et le Christ polychrome sont classés monuments historiques, respectivement en 1930 et 1957.

Château de Couzan[modifier | modifier le code]

On accède à Couzan en passant par une enclave du village d'Antignac et en traversant le hameau de Druhl. Une longue voie en descente permet d'accéder à une vallée verdoyante bordée par les gorges du Soulou. Les prairies sont peuplées de vaches de Salers à la robe aux reflets pourpres. Au loin, le château de Couzan, campé sur son rocher, domine la plaine. Dans le haut Moyen Âge, le premier fort avait pour mission de défendre l'ancienne voie romaine qui longe le Soulou jusqu'aux environs de Bort-les-Orgues. On peut encore y admirer un ancien relais de poste à la Ganette.

Le château comporte un donjon datant de la fin du Moyen Âge, édifié par Antoine de Curières. Le corps de logis a été entièrement remanié dans le style néo-gothique au XIXe siècle par son descendant, le baron Roger de Vaublanc, ancien zouave pontifical, qui a notamment aménagé, à l'intérieur de l'édifice, une chapelle située au premier étage, dont les boiseries à « plis de serviette » sont calquées sur celles du château de Josselin, en Morbihan. Ce rapprochement entre l'Auvergne et la Bretagne fut directement inspiré par la belle-mère du baron, Marie-Thérèse du Fresne de Kerlan,baronne de Fontanges de Couzan, qui était originaire de la seigneurie de Kerlan en Plesidy (Côtes-d'Armor).

La façade du château est ornée des armes des familles de Fontanges, du Fresne de Kerlan et de Vaublanc. Couzan est connu comme fief d'une baronnie historique. En 1202, Magdeleine de Couzan a fondé une chapellenie à Bort.

Le château a été inscrit à l'inventaire supplémentaire des Monuments Historiques en 1994. Il ne se visite pas[18].

Croix de granit[modifier | modifier le code]

Située à l'entrée du hameau de Couzan, elle est contemporaine de la construction du donjon de Couzan au XVe siècle.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Article connexe[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Prendre le chemin qui longe la voie et conduit au Saut de la Saule ; on peut voir sur la gauche une partie de ce canal.
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  2. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  3. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Vebret » (consulté le ).
  4. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Vebret - Section LOG T2 » (consulté le ).
  5. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Vebret - Section LOG T7 » (consulté le ).
  6. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans le Cantal » (consulté le ).
  7. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Vebret et Saignes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Saignes », sur la commune de Saignes - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Saignes », sur la commune de Saignes - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  11. Liste des maires du Cantal, Association des maires du Cantal et des présidents d'intercommunalité, consultée le 6 mars 2017.
  12. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  13. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  14. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  15. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  16. Monuments en chantiers-Auvergne, DRAC Auvergne, Impr. de Bussac, 1997.
  17. « L'église de Vebret », sur Auvergne romane.
  18. Voir sur Youtube : "Château de Couzan . VEBRET (Cantal)"