Vascœuil

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Vascœuil
Vascœuil
Le château et son colombier.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Les Andelys
Intercommunalité Communauté de communes Lyons Andelle
Maire
Mandat
Jean-Luc Moëns
2020-2026
Code postal 27910
Code commune 27672
Démographie
Gentilé Vascœuillais
Population
municipale
339 hab. (2021 en diminution de 3,69 % par rapport à 2015)
Densité 46 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 26′ 44″ nord, 1° 22′ 41″ est
Altitude Min. 52 m
Max. 171 m
Superficie 7,39 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Romilly-sur-Andelle
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Vascœuil
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Vascœuil
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Vascœuil

Vascœuil (prononcer [vakœj][1]) est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.

Ses habitants sont les Vascœuillais.

Géographie[modifier | modifier le code]

Cartographies de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
1 : carte OpenStreetMap ; 2 : carte topographique ; 3 : avec les communes environnantes

Localisation[modifier | modifier le code]

Vascœuil se trouve dans l'Eure, à la limite de la Seine-Maritime, à 10 km de Lyons-la-Forêt, et à 25 km de Rouen. D'une superficie de moins de 8 km2, ce petit village typique abrite le château de Vascœuil et l'église Saint-Martial.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par l'Andelle[3] et le Crevon[4].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[6]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Pays de Caux, frais, humide et pluvieux, légèrement plus frais que dans le Cotentin[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 771 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Boos à 14 km à vol d'oiseau[8], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 847,5 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Vascœuil est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[12],[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (50,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (50,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,6 %), prairies (25,4 %), terres arables (20,6 %), zones urbanisées (3,4 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Wascoilus en 876 (Tessier, Actes de Charles le Chauve) ; Wascolium vers 1050 (Fauroux 121) ; Guascolium au début du XIIe siècle (Ordéric Vital)[18] ; Walcoil en 1147 (charte de Geoffroy, comte d’Anjou) ; Vasqueil en 1193 (charte citée par Charpillon) ; Wascolium, Wascholium en 1203 (cartulaire de Préaux) ; Vaacueil en 1220 (archives nationales) ; Guascueil (sans date, cartulaire normand)[19].

Le [s] de Vasc- n'est plus articulé depuis le Moyen Âge comme l'indiquent les formes anciennes, cependant la graphie as est étymologique et archaïque pour â (cf. les noms communs paste > pâte; mast > mât; bastir > bâtir; etc.). Ainsi doit-on dire « Vakoeil » [vakœj].

La forme actuelle Vascœuil est de type normand, avec passage régulier du W- à V- à partir du XIIe siècle ([w] > [v]) sur le plan oral et un peu plus tardivement dans les textes. En revanche, le traitement de W- > G(u)- est purement graphique et résulte de la francisation de la consonne initiale W- employée par un auteur écrivant en français central et en normand méridional (au sud de l'isoglosse [v] / [g] parallèle à la ligne Joret qui passe juste au-dessus des Andelys)[18],[20].

Albert Dauzat et Charles Rostaing y ont vu un composé *Wasgo-ialon, formé du nom de personne germanique Wasgo, suivi du mot gaulois ialon (ou gallo-roman IALU) signifiant « essart, clairière »[21], voire « village » et qui explique généralement les terminaison -ueil, -euil, -œuil dans le nord et au centre de la France (cf. Verneuil, Longueil, etc.)[22]. Ils prennent donc en compte le fait que les plus anciennes attestations sont en W-, cependant, il semble que Wasgo convienne moins bien que Wasco qu'ils croient reconnaître en revanche dans Wacquemoulin (Oise, Gastemolendinum vers 1167 (lire [k] au lieu de [t]), villa Wasquemolins en 1190[23], Wascomolendini en 1196[24] et situé à environ 100 km), auquel on peut ajouter Wasconis curva (Nord, Marchiennes)[25] et peut-être Wasquehal (Nord)[26].

François de Beaurepaire ne reprend pas cette interprétation[18], sans doute à cause du caractère insolite de ce composé, c'est-à-dire : nom de personne germanique + ialon. En outre, il souligne le fait que la présence d'un W- initial reflète peut-être une simple influence du germanique sur l'initiale, W- s'étant parfois substitué à V-, comme dans le nom commun vespa > wespa > guêpe (ancien normand wespe, puisvêpe en normand septentrional)[18]. En effet, l'influence germanique initiale sur un [v], de caractère général en gallo-roman, qui a pu passer à [w] comme on le note par exemple dans Wiry-au-Mont (Somme) qui remonte au type toponymique fréquent Viriacum (> Viry, Viré)[27], avec conservation de la graphie picarde W-. En fin de compte, il considère l'étymologie de Vascœuil comme indéterminée[18].

Ernest Nègre, s'inspirant des travaux des précédents, propose d'identifier dans le premier élément Wasc-, le bas latin vascus « qui est de travers, oblique » suivi de la double terminaison -ó-ialo, avec -ialo même élément que -ialon « clairière » d'où le sens de « clairière de travers, oblique »[28]. Les principales objections à cette hypothèse sont qu'aucune forme ancienne primitive n'est en Vasc-. Qu'ensuite vascus n'a pas de descendant en ancien français. Qu'enfin sur le plan sémantique, cette proposition est plutôt problématique : que signifie exactement « clairière de travers, oblique » ?

Remarque : l'hypothèse initiale de Dauzat et Rostaing est plus simple, mais avec le nom de personne Wasko, Wasco, plutôt que Wasgo, d'où *Wascoialo- (non attestée) > Wascoilu(s), forme primitive attestée dès 876. Un nom de personne germanique peut très bien avoir été combiné avec -ialo qui a également valeur de suffixe. On peut comparer avec les noms en -sart (élément issu du mot essart) précédé généralement d'un nom de personne germanique et commun dans cette partie de la France.

Histoire[modifier | modifier le code]

Dans une charte du cartulaire de l'abbaye Saint-Pierre de Préaux (abbaye aux Hommes des Préaux) qui date de 1050 environ et qui concerne la terre de Vascœuil, il existe une liste de six coutumes ducales, dont deux portent un nom d'origine scandinave : l’ullac (de útlagr « [être] banni » cf. anglais outlaw) qui désigne la mise hors-la-loi et l’ha(i)mfare / hanfare (de heimför, génitif heimfarar qui désigne l'action de rentrer à la maison cf. islandais heimför) qui réprime l'attaque des maisons avec effraction. La phrase est écrite en latin médiéval « Willelmus..dedit Sancto Petro Pratelli consuetudines quas habebat in quandam terra que Wascolium vulgo vocatur, scilicet hainfaram, ullac, rat, incendium, bernagium, bellum. »[29]. Le bernage (latin médiéval bernagium) est un dérivé de bran, bren « céréale », il désigne le prélèvement sur les céréales pour payer l'entretien des chiens de chasse du duc[30].

Le fort de Vascœuil fait partie au XIIe siècle de la ligne de fortification de la vallée de l'Andelle, dépendant du château de Lyons. La seigneurie est conservée par une famille portant le nom du village. Le château avec les « manoirs et jardins situés paroisse de Vascœuil » font l'objet d'un échange en 1312 entre l'abbaye Saint-Léger de Préaux (abbaye aux Dames des Préaux) et le roi de France Louis X le Hutin, puis est donné à Enguerrand de Marigny.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1893 1894 Alfred Dumesnil    
Les données manquantes sont à compléter.
1953 1983 Jacques Delaporte    
mars 2008 En cours Jean-Luc Mœns DVD Agriculteur

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[32]. En 2021, la commune comptait 339 habitants[Note 3], en diminution de 3,69 % par rapport à 2015 (Eure : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
360272303260307287362413463
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
504427413376414401406413392
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
384376388375345375346348339
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
257278271317344339339339345
2017 2021 - - - - - - -
355339-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Saint-Martial avec son enclos.
  • Le château de Vascœuil[35], inscrit à l'inventaire supplémentaire des Monuments historiques[36]}, est aussi un centre d'expositions d'art, avec un musée consacré à l'historien Jules Michelet, son parc et son jardin à la française avec plus de 50 sculptures originales (bronzes, marbres, mosaïques, céramiques) dont Georges Braque, Jean Cocteau, Jean-Michel Folon, Fernand Léger, Victor Vasarely.
  • L'église Saint-Martial datant du XIe au XVIIe siècle. De la construction du XIe siècle ne subsiste que le chevet, remanié ultérieurement. L'église paroissiale aurait été donnée en 1066 et 1087 par Gilbert de Vascœuil à l'abbé de Préaux. Au XIVe siècle, la chapelle sud est construite, et sur le même axe transversal, au nord, le clocher épaulé de contreforts. En 1775, le clocher au-dessus de la chapelle nord est réparé pour être supprimé en 1875, lors de la construction du clocher-porche. Le porche hors-d'œuvre alors en place contre le portail occidental se trouve supprimé. Les projets de construction d'une sacristie dressés au XVIIIe siècle n'ont pas abouti. La nef est remaniée au XVIIe siècle, et les baies sont refaites au milieu du XIXe siècle. Elle abrite la tombe de Hugues de Saint-Jovinien, mort au XIIe siècle.
  • La salle Jacques Delaporte, dans l'ancienne gare marchandise.

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Site classé[modifier | modifier le code]

  • Le domaine de la Forestière comprenant les immeubles nus et bâtis et la pièce d'eau, Logo des sites naturels français Site classé (1944)[37].

Site inscrit[modifier | modifier le code]

Dans la littérature[modifier | modifier le code]

Jules Michelet écrit à propos de la commune en 1882[39]:

« Le paysage qui m'entoure dans ce cercle de collines, de forêts, cette vasque qui réunit les eaux pour les renvoyer par de longs détours à la Haute-Seine, semble à cent lieues de l'océan. Et pourtant on est averti de sa proximité par les flots rapides des grands nuages qui rapidement affluent de l'ouest et du midi. Leur armée tumultueuse qui nous passe sur la tête sans même avoir le temps de saluer la vallée paisible, parle assez du puissant et redoutable voisin. Elle laisse tomber en passant l'abondante distillation des eaux supérieures qui sont nos sources, nos petites rivières. Rapidement du pôle austral nous vient la rosée de la vie, son char sa féérie, sa substance. »

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Ancienne gare de Vascœuil.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • François Papillard, Mille ans d'histoire à Vascœuil : de Guillaume le Conquérant à Michelet. Centre international culturel du château de Vascœuil, Paris, 1971.
  • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, L'Eure, les 675 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 296 p. (OCLC 52820568)
  • Commission régionale de Haute-Normandie. Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France. Eure, canton: Lyons-la-Forêt, Imprimerie Nationale, Paris, 1976. 372 p.
  • Dans le roman de Gaston Leroux , " le cœur cambriolé " , une partie de l'intrigue se déroule à Vascœuil . https://beq.ebooksgratuits.com/auteurs/Leroux/Leroux-coeur-xpdf.pdf

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. [1]
  2. « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - L'Andelle (H32-0400) ».
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Le Crevon (H3249000) ».
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  8. « Orthodromie entre Vascœuil et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Rouen-Boos » (commune de Boos) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Rouen-Boos » (commune de Boos) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a b c d et e François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , 221 p. (ISBN 2-7084-0067-3, OCLC 9675154), p. 204.
  19. Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, 1877. in Dictionnaire topographique de la France Comprenant LES NOMS DE LIEUX ANCIENS ET MODERNES [2]
  20. René Lepelley, Guillaume le Duc, Guillaume le Roi : Extraits du Roman de Rou de Wace, Centre de Publications de l'Université de Caen, 1987, p. 15.
  21. Ibid., p. 701a.
  22. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise, Éditions Errance, (2003), 2e édition revue et augmentée, p. 185.
  23. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France (lire en ligne)
  24. Ibid., p. 731a
  25. Maurits Gysseling, Toponymisch woordenboek van Belgie, Nederland, Luxenburg, Noord Frankrijk en West Duitsland (voor 1226), 2 vol., Tongres, 1960 (lire en ligne sur wulfila)
  26. Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit., p. 731a.
  27. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 726ab.
  28. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume 1 : formations préceltiques, celtiques, romanes, Librairie droz, Genève 1990, p. 183, no 2861 [3]
  29. [4]
  30. [5].
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. Site officiel du château
  36. Notice no PA00099595, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. « Le domaine de la Forestière à Vascœuil », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).
  38. « Le domaine de la Forestière », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).
  39. Gilles Henry, Promenades littéraires en Normandie, Condé-sur-Noireau, C. Corlet, , 140 p., 27 cm (ISBN 2-85480-516-X et 978-2-85480-516-1, OCLC 36104323, BNF 35804179, lire en ligne), « Nous sommes encore à l'Eure... », p. 155.
  40. Ernest-Joseph Tardif, Coutumiers de Normandie : textes critiques. Tome 1. Rouen: A. Lestringant, 1881-1903. [6]