Valprivas

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Valprivas
Valprivas
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Haute-Loire
Arrondissement Yssingeaux
Intercommunalité Communauté de communes Marches du Velay-Rochebaron
Maire
Mandat
Claudine Liothier
2020-2026
Code postal 43210
Code commune 43249
Démographie
Population
municipale
528 hab. (2021 en augmentation de 9,32 % par rapport à 2015)
Densité 22 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 18′ 43″ nord, 4° 02′ 41″ est
Altitude Min. 491 m
Max. 953 m
Superficie 23,66 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Étienne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bas-en-Basset
Législatives Première circonscription
Localisation
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Valprivas

Valprivas est une commune française de l'ancien pays du Velay, située dans le département de la Haute-Loire, à la frontière du département de la Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Valprivas est une commune de moyenne altitude, au bord du plateau de Chalencon, située au nord-est de la Haute-Loire, à la limite du département de la Loire.

Le village domine la vallée de l'Andrable.

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune de Valprivas se trouve dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].

Elle se situe à 58 km par la route[Note 1] du Puy-en-Velay[1], préfecture du département, à 33 km d'Yssingeaux[2], sous-préfecture, et à 10 km de Bas-en-Basset[3], bureau centralisateur du canton de Bas-en-Basset dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Tiranges (4,4 km), Boisset (5,0 km), Bas-en-Basset (5,1 km), Saint-Hilaire-Cusson-la-Valmitte (6,4 km), Saint-André-de-Chalencon (7,2 km), Beauzac (7,2 km), Merle-Leignec (7,3 km), Solignac-sous-Roche (7,6 km).

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 851 mm, avec 9,4 jours de précipitations en janvier et 7,3 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Tiranges », sur la commune de Tiranges à 4 km à vol d'oiseau[7], est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 758,9 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Valprivas est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[11],[I 2],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Étienne, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 105 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 3],[I 4].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (58,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (58,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (56,7 %), prairies (21,4 %), zones agricoles hétérogènes (19 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,5 %), zones urbanisées (1,4 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 373, alors qu'il était de 360 en 2013 et de 358 en 2008[I 5].

Parmi ces logements, 62,5 % étaient des résidences principales, 29,8 % des résidences secondaires et 7,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 94,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 4,8 % des appartements[I 6].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Valprivas en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (29,8 %) supérieure à celle du département (16,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 86,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (89 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 7].

Le logement à Valprivas en 2018.
Typologie Valprivas[I 5] Haute-Loire[I 8] France entière[I 9]
Résidences principales (en %) 62,5 71,5 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 29,8 16,1 9,7
Logements vacants (en %) 7,8 12,4 8,2

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Valprivas fut le fief d'Antoine Verd du Verdier, magistrat lyonnais ami des poètes de la Pléiade, qui fit aménager dans le style Renaissance le château familial[14].

La commune fut créée en 1850 par démembrement de la commune de Bas (aujourd'hui Bas-en-Basset).

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune de Valprivas est membre de la communauté de communes Marches du Velay-Rochebaron[I 10], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Monistrol-sur-Loire. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[15].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement d'Yssingeaux, au département de la Haute-Loire, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[I 10].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Bas-en-Basset pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 10], et de la première circonscription de la Haute-Loire pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[16].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 mars 2008 Guy Fonton    
mars 2008 2020 René Pascal[17]    
2020 En cours Claudine Liothier[18]    

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1851. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[20].

En 2021, la commune comptait 528 habitants[Note 5], en augmentation de 9,32 % par rapport à 2015 (Haute-Loire : +0,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
1 4331 4511 4751 3801 3071 3341 3501 3711 244
1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946
1 1861 2031 1001 1151 012929922901714
1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008
627560461405300356401472492
2013 2018 2021 - - - - - -
483522528------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 32,4 % la même année, alors qu'il est de 31,1 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 266 hommes pour 256 femmes, soit un taux de 50,96 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (49,13 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[I 11]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,4 
6,4 
75-89 ans
8,2 
25,6 
60-74 ans
24,2 
23,3 
45-59 ans
19,5 
15,8 
30-44 ans
16,8 
14,7 
15-29 ans
11,3 
14,3 
0-14 ans
19,5 
Pyramide des âges du département de la Haute-Loire en 2020 en pourcentage[I 12]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
2,4 
8,2 
75-89 ans
11,6 
20,2 
60-74 ans
20,2 
21,4 
45-59 ans
20,4 
16,9 
30-44 ans
16,3 
15,2 
15-29 ans
13,3 
17,2 
0-14 ans
15,9 

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018, la commune compte 216 ménages fiscaux[Note 6], regroupant 510 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 580 [I 13] (20 800  dans le département[I 14]).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
Division 2008 2013 2018
Commune[I 15] 3 % 5,1 % 6,4 %
Département[I 16] 6,3 % 7,7 % 7,7 %
France entière[I 17] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 312 personnes, parmi lesquelles on compte 77,6 % d'actifs (71,2 % ayant un emploi et 6,4 % de chômeurs) et 22,4 % d'inactifs[Note 7],[I 15]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Saint-Étienne, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 18]. Elle compte 48 emplois en 2018, contre 57 en 2013 et 50 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 227, soit un indicateur de concentration d'emploi de 21,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 56,9 %[I 19].

Sur ces 227 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 40 travaillent dans la commune, soit 18 % des habitants[I 20]. Pour se rendre au travail, 88,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,5 % les transports en commun, 3,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 21].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Antoine du Verdier (1544-1600), lieutenant général du royaume pour le Lyonnais, ami des poètes de la Pléiade et auteur de la première Bibliographie en langue françoise[24]. Propriétaire du château de Valprivas
  • Carl de Nys, religieux et musicologue français, mort le à Valprivas. Une place du village porte son nom.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Métadonnées de la commune de Valprivas » (consulté le ).
  2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  5. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Valprivas » (consulté le ).
  6. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Valprivas - Section LOG T2 » (consulté le ).
  7. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Valprivas - Section LOG T7 » (consulté le ).
  8. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
  9. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  10. a b et c « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Valprivas » (consulté le ).
  11. « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Valprivas (43249) », (consulté le ).
  12. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Haute-Loire (43) », (consulté le ).
  13. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Valprivas » (consulté le ).
  14. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
  15. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Valprivas » (consulté le ).
  16. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
  17. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  18. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  19. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Valprivas » (consulté le ).
  20. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  21. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Stephan Georg, « Distance entre Valprivas et Le Puy-en-Velay », sur fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Valprivas et Yssingeaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Valprivas et Bas-en-Basset », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches de Valprivas », sur villorama.com (consulté le ).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Valprivas et Tiranges », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Tiranges », sur la commune de Tiranges - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Tiranges », sur la commune de Tiranges - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. http://www.valprivas.com/chateau.htm
  15. « communauté de communes Marches du Velay-Rochebaron - fiche descriptive au  », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
  16. « Découpage électoral de la Haute-Loire (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  17. Liste des maires de la Haute-Loire sur le site de la préfecture (consulté le 26 août 2014).
  18. « Liste des maires »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF], Préfecture de la Haute-Loire, (consulté le ).
  19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  23. Notice no PA00092907, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  24. La Renaissance en Auvergne : architecture et décor, A. Regond, in Bulletin de l'Association d'étude sur l'humanisme, la réforme et la renaissance 1984, Vol. 19, p 16

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]