Utilisateur:Remietcolette

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Rembrandt (1606–1669), Philosophe à l'escalier (Philosophe en méditation, 1632), huile sur panneau de chêne 28x34 cm, musée du Louvre.
Quand un Gascon se crashe, il se crashe avec panache.
Georges Pelletier-Doisy, du Barrail.
Remietcolette, utilisateur de Wikipédia, [ex ?] participant bene volens à sa construction depuis le 25 août 2017.
Centres d'intérêt : Auch, la Gascogne, Saint-Clar, la Lomagne, Wikipédia, sa faune, sa flore, les escaliers...
Quelques articles complétés ou initiés : Prosper-Olivier Lissagaray, Jardin Ortholan, Jean-Géraud d'Astros, Saint-Clar, Auch, le Talouch (qui ne prend pas sa source à Duran Émoticône), Antonin Carlès, Liste de commandeurs des Palmes académiques , Escalier monumental d'Auch (initié), Escalier monumental (initié), Université Bordeaux-Montaigne, Leboulin, Famille du Cos de La Hitte (initié), Lahitte, Église Saint-André de Lahitte, Lahitte, Hitte (homonymie) (inité), Cos, Ducos, Château d'Esclignac, Palais archiépiscopal de Toulouse, Catégorie:Famille du Cos de la Hitte (initiée), Gascogne (homonymie) (initié), Vasconie (homonymie) (initié), Gascon (homonymie) (refonte), Gascogne, Salle gasconne (reprise depuis Salle (château) (appelage de chat un chat et un château gascon château gascon), Catégorie:Architecture gasconne (initiée), Jeanne d'Arc, Armagnac (refonte), Corrensaguet (initié), Archidiaconé, Catégorie:Corrensaguet (initiée), Catégorie:Commune du Corrensaguet (initiée), Georges Pelletier-Doisy, Emban(initié)
Un article initié le 29 août 2017 :

Maurice Bordes (1915-2003), historien, professeur d'histoire moderne et directeur du département d'histoire de l'université de Nice, président pendant 50 ans de la Société archéologique du Gers, élu à l'unanimité en 1954, membre du comité de rédaction des Annales du Midi, dans le bulletin desquelles il publie de nombreux articles, auteur d'ouvrages de référence sur les institutions de l'Ancien Régime, co-auteur ou directeur de publications consacrées à l'histoire de Nice et du Pays niçois, d'Auch et du Pays d'Auch, de Lectoure et de la Gascogne, commandeur des Palmes académiques, chevalier de l'ordre national du mérite[1].

  1. Michel Derlange, « Maurice Bordes (1915-2003) » (Nécrologie), Annales du Midi : revue archéologique, historique et philologique de la France méridionale, t. 116, no 246,‎ , p. 263 (lire en ligne)
Sa bibliographie référence plus de 80 articles de Wikipédia.
Premiers contacts avec la surface rugueuse de la planète Wikipédia (plutôt son arrière-boutique) : le choc est rude.


Tout cela est plutôt déconcertant et pas très motivant. Je ne sais pas si je poursuivrai cette expérience. Il y a tout de même des aspects cocasses dans le fonctionnement de Wikipédia. Par exemple la notification de ce message automatique « Vous venez de faire votre centième modification, merci beaucoup ! » immédiatement suivi par celui-ci « Révocation des modifications de Remietcolette (retour à la dernière version de Morburre) » et par la cinquantaine qui a suivi Émoticône sourire.
Difficile de s'y remettre (de s'en remettre) : d'un côté tristesse face à tant de pages en souffrance ; de l'autre hantise de voir des heures de travail réduites à néant. -- Remietcolette (discuter) 3 septembre 2017 à 06:04 (CEST)
En attendant voici quelques publications de Maurice Bordes que je n'avais pas eu le temps de placer dans l'article
Ouvrages
Auteur
  • Maurice Bordes, D'Étigny et l'administration de l'intendance d'Auch, 1751-1767 : Thèse pour le doctorat ès lettres présentée à la Faculté des lettres de l'Université de Paris, Auch, F. Cocharaux, , 1034 p. (BNF 36275625)[1]
  1. « [...] la belle thèse de Maurice Bordes [...] cet illustre historien de l'agronomie française » : Emmanuel Le Roy Ladurie, préface à l'ouvrage d'Anne Zink, Pays ou circonscriptions : Les collectivités territoriales de la France du Sud-Ouest sous l'Ancien Régime, Paris, Publications de la Sorbonne, 374 p. (ISBN 2-85944-389-4, BNF 37186352)
  • Maurice Bordes, La réforme municipale du contrôleur général Laverdy et son application (1764-1771), Toulouse, Association des publications de la Faculté des lettres et sciences humaines de Toulouse, coll. « Publications de la Faculté des lettres et sciences humaines de Toulouse. Série A ; 5 », , 351 p. (BNF 37504985)
  • Maurice Bordes, L'Administration provinciale et municipale en France au XVIIIe siècle, Paris, Société d'édition d'enseignement supérieur, coll. « Regards sur l'histoire », , 378 p. (BNF 35167530)
Co-auteur ou directeur de publication
Articles
  • La Société archéologique du Gers donne la liste des cent-quinze articles de Maurice Bordes publiés dans le bulletin de la Société (lire en ligne sur Gallica) entre 1944 et 1999 (table 2, p. 196-198), la liste des comptes-rendus bibliographiques de ses ouvrages et la table alphabétique des auteurs dont il a analysé les ouvrages dans ce même bulletin (table 4)[1].
  • Idem concernant ses articles et comptes-rendus bibliographiques publiés par les Annales du Midi et consultables sur Persée[2].
Bibliographie
  • Ralph Schor, « Maurice Bordes (1915-2003) », Historiens et géographes, Paris, no 386,‎ , p. 15 (lire en ligne)
  • Hommage à Maurice Bordes, président de l'Association culturelle du Gers : Travaux d'histoire, Paris, Les Belles Lettres, , 238 p. (ISBN 2251621458, BNF 34762624)
    Numéro spécial des Annales de la Faculté des lettres et sciences humaines de Nice. 45. 1983
Liens externes
Accessoirement, voir à titre de comparaison l'article consacré à son collègue Jean Gautier-Dalché (BNF 12305846) (co-auteur de l'Histoire de Nice et du pays niçois, Catégorie:Enseignant à l'université de Nice) et son admission unanime.
Ici, on raye d'un trait de plume, sans tambour ni trompette, à peine un peu plus de 24 heures après sa mise en ligne, l'article consacré à Maurice Bordes et on refuse, mordicus, sous des prétextes divers et variés, de consulter la communauté qui risquerait de se prononcer pour son rétablissement : bizarre, bizarre...
Avis que je ne peux donner ici Wikipédia:Administrateur/Lomita (confirmation) faute d'ancienneté :
Les personnes qui, comme moi, se sont pris une gifle et se sont vus invités à discuter ensuite ne s'exprimeront pas dans cette consultation parce qu'ils n'ont pas l'ancienneté requise, ainsi personne ne connaîtra le sentiment de cette partie de la communauté. Cette consultation est en outre ridicule, tout le monde sait bien que les techniciens de surface sont utiles pour nettoyer l'encyclopédie des vandalismes. Personne n'est certes à l'abri d'une erreur, pour autant, savoir les reconnaître est une qualité. Cette consultation n'est certainement pas la bonne formule pour conduire à une telle prise de conscience et confortera au contraire cette personne comme celle qui envoie les gens prendre l'air dans le sentiment que ce type de comportement, parfaitement inadmissible dans la vie courante, le serait ici. Combien de forces vives ainsi perdues pour Wikipédia ? Il paraît que cela n'est pas important. Dommage. -- Remietcolette (discuter) 16 septembre 2017 à 12:07 (CEST)
Lectures recommandées aux collégiens aux nouveaux participants : Utilisateur:Letartean/ÀRome
Troisième mésaventure
Scission de l'article généraliste en vue de la recréation de l'article spécifique
Annulation de la scission
Demande de justification de l'admissibilité au motif d'un doublon... créé par l'annulation de la scission
Réponse apportée
Wikipédia:Le Bistro/9 octobre 2017#Demande d'avis
Salle (château)
Discussion utilisateur:Elnon#Salle gasconne
Discussion utilisateur:ALDO CP#Salle gasconne
Discussion:Salle (château)
Wikipédia:Demande de suppression immédiate#Salle gasconne (d · h · j · ↵) : Épilogue gascon
Salle (château)
Voilà qui donne espoir de voir cet article complété un jour (... ce n'était qu'une illusion), qui ne l'a pas été en huit ans.
Autres discussions plus ou moins intéressantes
D'autres qui ne le sont manifestement pas
Ce sont des demandes d'illustration ou des questions techniques en attente de réponses qui ne viennent pas : faut-il relancer ? Je doute que ça puisse avoir quelque effet (Smiley: triste) mais ne désespérons pas : Wikipédia est un projet collaboratif n'est-ce pas Émoticône sourire ? -- Remietcolette (discuter) 1 décembre 2017 à 20:12 (CET)
Jeanne et les gascons
ou
Flambée à l'Armagnac

« Quarante-deux de nos compatriotes prirent part à cette brillante chevauchée de Bourges à Reims ; tous capitaines de compagnies, dont l'effectif variait entre cent et deux cents hommes d'armes ou cent lances. On peut affirmer, sans crainte de céder à cette vanité gasconne que les méchants disent propre à notre race, que la majeure partie des troupes de la Pucelle se composait de Gascons[1]. »

Et Jules de louer le nom des « Xaintrailles, La Hire, Thibaut d'Armagnac, Regnault de Termes, Géraud de La Palhère, Barbazan, Luppé, Lescout, Verduzan, Corneillan, Bernède ». Le compte n'y est pas : il en manque tout de même une trentaine. Paul Laplagne Barris (1826-1888, conseiller à la cour d'appel de Paris[2]), Francis Castex (1911-2010, historien, inspecteur d'académie honoraire) et d'autres membres de la Société archéologique du Gers (fondée par Jules) vont apporter quelques-unes des précisions qui nous manquent et compléter la liste. Poursuivons...
Dans l'énumération qui précède qui suit [qui va suivre], tous ne sont pas des compagnons de Jeanne, dans cette courte période que couvre son épopée. Tous ou peu s'en faut sont par contre des cadets, des puînés de familles nobles de Gascogne qui, n'héritant pas des terres dévolues à leurs aînés, n'ont d'autre alternative, si ce n'est l'abbaye ou le monastère, que de chercher fortune en s'illustrant sur les champs de bataille, avant Jeanne, avec Jeanne, après Jeanne, capitaines ou écuyers dans la lutte contre (parfois pour) les Anglais pendant les guerres de Gascogne, derrière les Armagnacs de Bernard VII, derrière le dauphin puis le roi Charles VII, dans la guerre civile entre Armagnacs et Bourguignons, lors de l'un ou de plusieurs des nombreux sièges et batailles de la guerre de Cent Ans, ou dans les rangs des Écorcheurs et autres routiers, se livrant au pillage, servant leurs intérêts ou les intérêts des princes, avant d'être enrôlés dans les compagnies d'ordonnance.
Ils ne forment pas en soi une compagnie et sont en réalité répartis dans les différents régiments. Nous les retrouvons, aux XVIe et XVIIe siècles, dans celui des Gardes françaises ou dans la compagnie des Mousquetaires du Roi. Les Gascons y sont cependant tellement nombreux qu'ils sont inévitablement remarqués et leur verve et leur courage magnifiés. Au siècle du romantisme les « Cadets de Gascogne » sont immortalisés par le Cyrano d'Edmond Rostand, le D'Artagnan d'Alexandre Dumas ou le Sigognac de Théophile Gautier qui, parti du « château de la misère », devient capitaine sur les planches.
« Cadet » a pour origine le gascon capdèth qui signifie capitaine. Les Gascons ont donné un nombre considérable de ces capdèth du fait du morcellement si ce n'est de l'émiettement infini des comtés, vicomtés, seigneuries et autres fiefs du territoire de la Gascogne en cette fin du Moyen Âge. Le terme a fini par désigner plus généralement, outre les classes militaires ou les équipes sportives de jeunes, les puînés dans les familles de toutes les régions géographiques et de toutes les classes sociales, ce qui n'en fait pas pour autant des capitaines : « cadet » a perdu son sens premier.
Capitaines gascons du Moyen Âge
La Hire et Xaintrailles, miniature tirée du manuscrit de Martial d'Auvergne, Les Vigiles de Charles VII (vers 1484), Bibliothèque nationale de France.
Après avoir délivré Orléans avec la Pucelle, Xaintrailles et La Hire, gentilshommes gascons du parti des Armagnacs, dévastent la Lorraine avec les Écorcheurs.
  • Pierre de Luppé dit Pierron (quittance en 1415 ; un des meilleurs capitaines armagnacs du dauphin Charles VII ; maître de plusieurs forteresses aux environs de Paris, gênant les approvisionnements de la ville ; il est assiégé par les Anglais dans la ville de Meaux et doit capituler en 1421) et ses frères (servent en même temps que Pierre dans le parti Armagnac) Bernardon de Luppé (quittance en 1415) et Carbonnieu de Luppé (sert le dauphin en Languedoc et en Guyenne avec quatorze écuyers ; quittance en 1420)[13], Luppé-Violles (Gers)

Voilà pour les noms cités par Jules. Avant de poursuivre avec les sceaux gascons de Paul Laplagne Barris, voici la trouvaille de Francis Castex, fruit d'une longue recherche sur son village natal :

Parmi la foultitude de capitaines gascons du Moyen Âge dont Paul Laplagne Barris présente les sceaux attestant leur participation à des faits de guerres, quelques-uns encore, qui ne sont pas cités par Jules, ont pu côtoyer Jeanne d'Arc en 1429 :

  • Arnaud Guillem II de Bergognan et Poton de Bergognan (capitaines à la suite du connétable d'Armagnac ; ils sont ensuite employés par le roi dans l'armée envoyée sous Jeanne d'Arc au secours d'Orléans ; ils sont désignes pour accompagner Charles VII à Reims ; envoyés plus tard en Champagne et en Bourgogne pour guerroyer ; Arnaud-Guillem est retenu au service avec ses routiers et placé en garnison à Chartres en 1440 ; en 1444 il rend le château de Dax aux Anglais après trois jours de siège ; en 1446, il est bailli de Montargis)[30], Vergoignan (Gers)
  • Jean de Lesgo (écuyer, sur les comptes de l'armée réunie à Bourges par le dauphin Charles VII ; il suit le connétable d'Armagnac à Paris ; le 28 juin 1418, il scelle la quittance suivante : « Sachent tous que je Jehan de Lesgo, escuyer et chef de chambre de onze escuyers, confesse avoir receu de maistre Renier de Boulonguy, tresorier des guerres, pour les gages de moi et de mes compagnons, du 25 juin present mois, au service du Dauphin, neuf vint livres tournois. » ; il échappe aux massacres de Paris, ne cesse de suivre le parti du dauphin Charles VII et lui reste fidèle jusqu'à la fin ; en 1428, il est gouverneur de Sully ; il est tué au combat de Rouvray-Saint-Denis (journée des Harengs) le 12 février 1429)[31], Lesgor (Landes)

Suivent quelques capitaines engagés dans les guerres de Gascogne et dont le fief se trouve dans ce qui est aujourd'hui le département du Gers :

Voyons auparavant qui était ce Jacques Lempereur dont le nom revient dans nombre de notices : il était l'un des trésoriers des guerres dont la fonction s'était multipliée avec la Guerre de Cent Ans. Le plus connu d'entre-eux est Barthélemy du Drach[32]. Jacques Lempereur fut ensuite nommé successivement maître enquêteur des eaux et forêts puis maitre des eaux et forêts de Champagne et de Brie en 1376 et enfin maître enquêteur des forêts et garennes du roi dans tout le royaume de 1381 à 1387[33]. Son fils, également prénommé Jacques ou Jacquet, prit sa succession et fut échanson, conseiller du roi et garde des joyaux de la couronne. Ayant pris le parti des Armagnacs il fut révoqué et remplacé par un Bourguignon, Jehan de Puligny, dit Chapelain. « Jaques Lempereur a tenu le parti du comte d'Armagnac et de ses aliez adherens et complices, seditieux et perturbateurs de paix en les aidant, favorisant, conseillant et confortant de tout son povoir à l'encontre de nous et de nostre très cher et très amé cousin le duc de Bourgogne. Et par ce ait commis le crime de leze majesté et forfait et confisqué tous ses biens quelconques tant meubles comme immeubles envers nous. Donation de tous lesdits biens à Jehan de Puligny, dit Chapelain, escuyer, nostre premier valet de chambre. 6 août 1418. »[32]

« d'argent au lion de gueules », Fezensac, Armagnac.
Parlo Mountaout,
Arrespoun Mountesquiou,
Escouto Pardailhan,
Que dises-tu La Hillo !

Ce[34] qui n'est Émoticône sourirepas tout-à-fait la même choseÉmoticône sourire que[35] :

Parlo Mountaout,
Arrespoun Mountesquiou,
Escouto Pardailhan,
Que dises-tu La Ylla !
  • Raymond-Bernard d'Aulin (chevalier, paraît avoir porté les armes toute sa vie ; « Saichent tout que nous Raymond-Bernart d'Aulin, chevalier, avons eu et receu de Jehan Lemire, tresorier des guerres messire le Roy, et François de l'Ospital, clerc des arbalestriers dudit seigneur, sur le service que nous et les gens de nostre compaignie avons fait audit seigneur ès frontieres de Gascoigne en l'an CCCXXVII et CCCXXVIII, sous le gouvernement de noble homme Jehan seigneur de Blanville, cinc cens et trois livres quinze soulz tournois. Donné à la Reole, souz nostre scel, le xxe jour de juin, l'an mil trois cens vint et neuf. » ; On le retrouve aux guerres de Gascogne, de 1338 à 1341, sur les comptes de Barthélemy du Drach, trésorier des guerres ; on y voit également Othon d'Aulin et Mancip d'Aulin en 1376)[38], Traversères
  • Amanieu de Barbotan (« Saichent tuit que je Amaniun de Barbotein, pour moy, cinq hommes d'armes et six sergens en la establie de Sors, ay eu et receu de Jehan Mousquere, clerc du Roy, lieutenant du tresorier des guerres et du clerc des arbalestriers du Roy nostre dit seigneur, en prest sur les gaiges de moi et des dites gens desservis et à desservir en ladite guerre de Gascoigne, vingt sept francs. Donné à Agen, sous le sel de maistre Vinsent de Ligua, le 12 decembre 1340 » ; deux autres quittances suivent, délivrées par le même à Agen, en 1341), Cazaubon
  • Bernard du Bédat (connétable d'arbalétriers ; en 1421 il sert sous le comte d'Armagnac ; « Sachent tous que je Bernard deu Bedat, connestable d'arbalestriers, confesse avoir eu et receu de Franc. de Nerly, receveur général de toutes les finances et tresorier des guerres ès pays de Languedoc et de Guyenne, par la main de Me Estienne de Bonney, son lieutenant, la somme de 142 liv. 10 sols tourn., en prest et payement des gaiges de moy connestable d'arbalestriers et de 31 autres arbalestriers de ma chambre, desservis et à desservir au service du Roy nostre sire et de M° le Regent du royaulme, daulphin de Viennois, à l'encontre des Anglois, en la compaignie et sous le gouvernement de M° le comte d'Armignac, et ce pour trois mois entiers commençant le dernier jour de juin dernier passé. De laquelle somme je me tiens pour content, 10 septembre 1421. ») et Gaillard du Bedat (employé aux guerres de Gascogne du XIVe siècle et porté aux comptes des trésoriers des guerres)[39], Loubédat
  • Guillaume-Jean des Francs (au service du roi de France pour la guerre de Gascogne en 1338 et 1340) et Aissieu de Francs (chevalier, sire de Castelnau, capitaine de Fleurance, donne ainsi quittance en 1355 : « Saichent tuit que nous Aissieu de Franx, chevalier, capitaine de Flourence, avons eu et receu de Jaques Lempereur, tresorier des guerres du Roy nostre seigneur, par la main de Guillaume Larcher, son lieutenant, en prest sur les gaiges de nous et IX escuyers et XX sergens à pied de notre compaignie, desservis en la garde du lieu de Flourence, sous le gouvernement de M° le comte d'Armagnac, 60 livres tournois. 15 mars 1355. » ; d'autres quittances suivent, de différentes sommes, à la date des 21 juin, 4 août et 29 septembre 1356)[41], Castelnau-d'Arbieu
  • Jean de La Plaigne (« Saichent tuit que je Jehan de La Plaigne, escuyer, ay eu et receu de J. Lempereur, tresorier des guerres. etc., sur les gages de moi et deux sergens à pied de ma compagnie à desservir en ces presentes guerres de Gascogne sous le gouvernement de Mons. le comte d'Armagnac en la garde de Vic-Fezensac, etc. 15 avril 1355 et 17 mai 1356. » ; il est en 1369 de la garnison de Poudenas, sous les ordres de Pierre de Pommiers)[43], Lupiac
  • Galin de Léaumont (quittance reconnaissant avoir reçu de Evain Dol la somme de 33 livres 15 sols sur les gages des gens d'armes de sa compagnie, sous le gouvernement du comte d'Armagnac, aux guerres de Gascogne à Tonneins en 1353)[44], Laymont
  • Guichart de Lorras (écuyer, châtelain et capitaine de Gimont, servait avec deux écuyers et dix sergents à pied aux guerres de Gascogne pour la garde et défense de Gimont sous le gouvernement du comte d'Armagnac ; donne quittance scellée pour ses gages en 1356)[45], Gimont
  • Raymont de Magnoac (écuyer, sert aux guerres de Gascogne sous le comte d'Armagnac ; il donne quittance scellée pour lui et les gens de sa compagnie en 1350 et 1356)[46], Meilhan.
  • Manaud de Massencome (« Sachent tuit que je Menaut de Massencome ay eu et receu de Jean Chauvel, tresorier des guerres du Roy notre sire, par la main de Raoul Lille, son lieutenant, en prest sur les gaiges de moi et de quatre autres escuyers de ma compagnie et dix sergens es presentes guerres de Gascogne sous le conte d'Armignac, lieutenant du duc de Normandie et de Guyenne, 25 livres. Agen, sous mon scel, 12 septembre 1346. »)[47], Mansencôme
  • Odin de Montaut (sire et capitaine de Mérens, donne reçu à J. Lempereur, par les mains de Guillem Larcher, pour lui et les gens d'armes et de pied de sa compagnie, employés aux guerres de Gascogne sous le comte d'Armagnac, d'une somme de 20 livres en 1355 et 1356), Odon de Montaut (ou Oth, Othon ou Odon VII, seigneur de Montaut ; attaché aux quittances qui suivent : « Sachent tous que nous Oth sire de Montant, chevalier, chastellain de Penne, avons eu et receu de Jean Chauvel, tresorier des guerres du Roi nostre sire, par les mains de Raoul de Lille, clerc, son lieutenant, en prest sur les gaiges des gens d'armes et de pié de notre compagnie, sous le gouvernement du comte d'Armagnac, etc. 250 1. A Agen, sous notre scel, 20 décembre 1346 » ; « Not, seigneur de Montant en Corrensaguet, chevalier, chastelain de Penne en Agenois, a reçu de Jean Chauvel pour lui, 34 autres ecuyers, 92 sergens de pié, en l'establie dudit lieu ès guerres de Gascogne, sous le gouvernement de M. le duc de Normandie, 937 l. 16 s. 6 d. tourn. A Paris, 1346. »[48], Montaut-les-Créneaux
  • Bernard de Monlezun (chevalier, capitaine de Fleurance, coseigneur de Montestruc, scelle deux quittances de ses gages militaires en 1353 et 1354 ; sert sous le comte d'Armagnac) et Arnaud-Guillaume de Monlezun (chevalier, capitaine de Fleurance en même temps que le précédent, coseigneur de Montestruc, seigneur de Baratnau ; scelle des quittances militaires en 1353 et 1354)[49], Montestruc
  • Oth de Pardaillan (ou Odon IV, seigneur et capitaine de Gondrin, sert aux guerres de Gascogne en 1349, avec cinq écuyers et douze sergents à pied ; il donne quittances scellées en 1349 et en 1356)[52], Gondrin
  • Fortaner de Preignan (sert aux guerres de Gascogne, sous le gouvernement du comte d'Armagnac ; il scelle deux quittances de ses gages et des sergents à pied de sa compagnie employés à la garde de Vic-Fezensac en 1356)[53], Preignan
  • Gaillard de Salles (ou Géraud de Salles, chevalier, fidèle serviteur du comte d'Armagnac, témoin dans nombre d'actes des années 1316 à 1319 ; donne quittance de onze livres de ses gages à Jean Lemaire, lieutenant du trésorier des guerres, comme étant, lui et sa compagnie, employés aux guerres de Gascogne en 1342 devant Vyanne occupée par les Anglais et assiégée par les Français)[55], Salles-d'Armagnac
  • Canhart de Saubolée (sert aux guerres de Gascogne en 1339 avec dix écuyers et vingt-deux sergents de sa compagnie ; Il sert encore en 1341 avec Géraud des Tours ; ils donnent quittance commune de leurs gages, scellée de leurs deux sceaux : « Saichent tous que nous Girart de Tours, chevalier, et Canhart de Saubolea reconoyssons avoir eu de mestre Jehan de Condée, lieutenant du tresorier des guerres, en prest sur les gaiges de moy et de mes gens d'armes, de cheval et de pié, desservis en ceste guerre de Gascoigne, 118 liv. tourn. Donné à Vilenove d'Agenois, 22 janvier, l'an de grace 1341. »)[56], Cologne
  • Géraud des Tours (capitaine de gens d'armes, sert aux guerres de Gascogne en compagnie de Canhart de Saubolée, son voisin ; il scelle en 1341 une quittance collective pour ses gages et ceux de son compagnon ; il est retenu en 1342 au service du roi et pour la défense du royaume avec dix hommes d'armes et vingt-sept sergents à pied par Agout des Baux, sénéchal de Toulouse ; le lieu de Tours (de Turribus) a pris la forme gasconne Tous ou Thous)[57], Thoux
  • D'autres capitaines gascons du Moyen Âge chez Laplagne Barris[58]
Références
  1. a et b Jules de Carsalade du Pont, « Gesta Johannæ per Vascones », Bulletin de la Société archéologique de Tarn-et-Garonne, Montauban, Société archéologique et historique de Tarn-et-Garonne,‎ , p. 127-133 (BNF 34430001, lire en ligne) lire en ligne sur Gallica
  2. Notice de Paul Laplagne Barris sur le site de la Bibliothèque nationale de France (BNF 14537158)
  3. Laplagne Barris 1888-1892 p. 491-492 (lire en ligne)
  4. Entre parenthèses à la suite du nom, les dates de participation aux faits de guerre attestées par les précisions apportées par les auteurs cités en références : quittances scellées de gages pour les hommes, d'allocations pour les frais déboursés, de restor pour les chevaux perdus, etc. En fin de notice, commune et département actuels du fief.
  5. Laplagne Barris 1888-1892 p. 526-531 (lire en ligne)
  6. Laplagne Barris 1888-1892 p. 127 (lire en ligne)
  7. Un Regnault de Termes, cité dans Le Mystère du siège d'Orléans dont l'auteur est inconnu et l'original conservé au Vatican, est présenté par les éditeurs de la publication de 1862 comme étant probablement le même personnage que Thibault d'Armagnac, seigneur de Termes, bailli de Chartres (BNF 37566154) (lire en ligne) lire en ligne sur Gallica
  8. Laplagne Barris 1888-1892 p. 327-329 (lire en ligne)
  9. a et b Paul Laplagne Barris, « Géraud de la Pallière », Revue de Gascogne : bulletin mensuel du Comité d'histoire et d'archéologie de la province ecclésiastique d'Auch, Auch, Société historique de Gascogne,‎ (BNF 32857084, lire en ligne) lire en ligne sur Gallica
  10. Article à revoir : Jean Cambon, Arnaud Guilhem : un héros oublié, seigneur de Barbazan : 1360-1431, Tarbes, Société académique des Hautes-Pyrénées, , 152 p. (BNF 34668368) ; Gabriel Laplagne Barris, « Jean Cambon, Un héros oublié Arnaud Guilhem seigneur de Barbazan (1360-1431), Société Académique des Hautes-Pyrénées, 1981 », Bulletin de la Société archéologique, historique littéraire et scientifique du Gers, Auch, Société archéologique du Gers,‎ (BNF 34426497, lire en ligne) lire en ligne sur Gallica
  11. Laplagne Barris 1888-1892 p. 206-211 (lire en ligne)
  12. Laplagne Barris donne Barbazan-Debat mais le site de cette commune n'évoque pas le chevalier. Voir aussi
  13. Laplagne Barris 1888-1892 p. 363-364 (lire en ligne)
  14. a et b Laplagne Barris 1888-1892 p. 516-521 (lire en ligne)
  15. Laplagne Barris 1888-1892 p. 259 (lire en ligne)
  16. a et b E, Manaud et Jean de Bernède-Corneillan : J.-F. Bourdeau, Manuel de géographie historique, ancienne Gascogne et Béarn : Recueil de notices statistiques, descriptives, historiques, biographiques, etc., sur les villes et les communes des départements du Gers, des Landes, des Hautes et des Basses-Pyrénées, Paris, Vve J. Renouard, (BNF 30144250, lire en ligne) lire en ligne sur Gallica
  17. « Un peu d'histoire », sur le site de la commune de Bernède
  18. Francis Castex, « Mathieu de Podenas-Marambat avec Jeanne d'Arc au siège d'Orléans (1428-29) », bulletin de la Société archéologique, historique littéraire et scientifique du Gers, Auch, Société archéologique, historique, littéraire et scientifique du Gers,‎ (BNF 34426497, lire en ligne) lire en ligne sur Gallica
  19. Francis Castex, « Hommages de vassaux dans la baronnie de Marambat aux XVe et XVe siècle », bulletin de la Société archéologique, historique littéraire et scientifique du Gers, Auch, Société archéologique, historique, littéraire et scientifique du Gers,‎ (BNF 34426497, lire en ligne) lire en ligne sur Gallica
  20. Francis Castex, « La motte féodale et les premiers seigneurs de Marambat », bulletin de la Société archéologique, historique littéraire et scientifique du Gers, Auch, Société archéologique, historique, littéraire et scientifique du Gers,‎ (BNF 34426497, lire en ligne) lire en ligne sur Gallica
  21. Francis Castex, « Le castelanu de Marambat à la fin du XIIIe siècle », bulletin de la Société archéologique, historique littéraire et scientifique du Gers, Auch, Société archéologique, historique, littéraire et scientifique du Gers,‎ (BNF 34426497, lire en ligne) lire en ligne sur Gallica
  22. Francis Castex, « Marambat à la fin du Moyen Âge », bulletin de la Société archéologique, historique littéraire et scientifique du Gers, Auch, Société archéologique, historique, littéraire et scientifique du Gers,‎ (BNF 34426497, lire en ligne) lire en ligne sur Gallica
  23. Francis Castex, « Marambat à la fin du Moyen Âge (2) », bulletin de la Société archéologique, historique littéraire et scientifique du Gers, Auch, Société archéologique, historique, littéraire et scientifique du Gers,‎ (BNF 34426497, lire en ligne) lire en ligne sur Gallica
  24. Francis Castex, « Carnet météorologique d'un agriculteur pour l'année 1868 », bulletin de la Société archéologique, historique littéraire et scientifique du Gers, Auch, Société archéologique, historique, littéraire et scientifique du Gers,‎ (BNF 34426497, lire en ligne) lire en ligne sur Gallica
  25. Francis Castex, « 1477-1559 du moyen âge aux temps modernes dans la baronnie et communauté de Marambat », bulletin de la Société archéologique, historique littéraire et scientifique du Gers, Auch, Société archéologique, historique, littéraire et scientifique du Gers,‎ (BNF 34426497, lire en ligne) lire en ligne sur Gallica
  26. Laplagne Barris 1888-1892 p. 478-484 (lire en ligne)
  27. Laplagne Barris 1888-1892 p. 513-514 (lire en ligne)
  28. Laplagne Barris 1888-1892 p. 432 (lire en ligne)
  29. Laplagne Barris 1888-1892 p. 433-435 (lire en ligne)
  30. Laplagne Barris 1888-1892 p. 226-227 (lire en ligne)
  31. Laplagne Barris 1888-1892 p. 358 (lire en ligne)
  32. a et b Laplagne Barris 1888-1892 p. 352-357 (lire en ligne)
  33. M.-Louis Polain, « Les éditions du Grand Coutumier de France », Revue des livres anciens : documents d'histoire littéraire, de bibliographie et de bibliophilie, Paris, Fontemoing et Cie,‎ , p. 413 note 2 (BNF 32858610, lire en ligne)
  34. a et b G. Clément-Simon, « Les Coutumes de Montaut », sur École nationale des chartes,
  35. M. E. Castagnon, « Reconnaissance féodale et serment de fidélité passé entre Roger et Bernard de Noé, et les habitants de l'Isle-de-Noé (1564) », Bulletin de la Société archéologique du Gers, Société archéologique du Gers,‎ (BNF 34451430, lire en ligne)
  36. Laplagne Barris 1888-1892 p. 436 (lire en ligne)
  37. Laplagne Barris 1888-1892 p. 197 (lire en ligne)
  38. Laplagne Barris 1888-1892 p. 202 (lire en ligne)
  39. Laplagne Barris 1888-1892 p. 218 (lire en ligne)
  40. Laplagne Barris 1888-1892 p. 260 (lire en ligne)
  41. Laplagne Barris 1888-1892 p. 289-290 (lire en ligne)
  42. Laplagne Barris 1888-1892 p. 313 (lire en ligne)
  43. Laplagne Barris 1888-1892 p. 329 (lire en ligne)
  44. Laplagne Barris 1888-1892 p. 352 (lire en ligne)
  45. Laplagne Barris 1888-1892 p. 360 (lire en ligne)
  46. Laplagne Barris 1888-1892 p. 368 (lire en ligne)
  47. Laplagne Barris 1888-1892 p. 379 (lire en ligne)
  48. Laplagne Barris 1888-1892 p. 403-404 (lire en ligne)
  49. Laplagne Barris 1888-1892 p. 394 (lire en ligne)
  50. Laplagne Barris 1888-1892 p. 416 (lire en ligne)
  51. Laplagne Barris 1888-1892 p. 437-438 (lire en ligne)
  52. Laplagne Barris 1888-1892 p. 440 (lire en ligne)
  53. Laplagne Barris 1888-1892 p. 455 (lire en ligne)
  54. Laplagne Barris 1888-1892 p. 416 (lire en ligne)
  55. Laplagne Barris 1888-1892 p. 494-495 (lire en ligne)
  56. Laplagne Barris 1888-1892 p. 497-498 (lire en ligne)
  57. Laplagne Barris 1888-1892 p. 514 (lire en ligne)
  58. Laplagne Barris 1888-1892 p. 1-646 (lire en ligne)
Bibliographie
Voir aussi
Monument Commune Adresse Coordonnées Notice Protection Date Illustration
Grange cistercienne de La Grange Juilles 43° 35′ 39″ nord, 0° 49′ 19″ est « PA32000035 » Inscription 2015

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Église Saint-André de Lahitte Lahitte 43° 39′ 36″ nord, 0° 40′ 47″ est « PA00094820 » Inscription 1947
Église Saint-André de Lahitte
Église de Paillan Lussan 43° 37′ 04″ nord, 0° 46′ 00″ est « PA00094849 » Inscription 1979

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Pigeonnier de Paillan Lussan 43° 37′ 17″ nord, 0° 45′ 53″ est « PA00094850 » Inscription 1973

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Château de Latour Miramont-Latour 43° 47′ 06″ nord, 0° 40′ 46″ est « PA00094863 » Inscription
Classement
1979
1979
Château de Latour
Église Saint-Michel de Montaut-les-Créneaux Montaut-les-Créneaux 43° 41′ 39″ nord, 0° 39′ 31″ est « PA00094960 » Classement 1995
Église Saint-Michel de Montaut-les-Créneaux
Porte de Montaut-les-Créneaux Montaut-les-Créneaux 43° 41′ 39″ nord, 0° 39′ 26″ est « PA00094872 » Inscription 1947

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Église de Puycasquier Puycasquier 43° 44′ 46″ nord, 0° 44′ 52″ est « PA00094896 » Inscription 1977
Église de Puycasquier
Halle de Puycasquier Puycasquier 43° 44′ 47″ nord, 0° 44′ 51″ est « PA00094897 » Inscription 1973
Halle de Puycasquier
Mentionnée par l'abbé Dubord mais en Astarac
Monument Commune Adresse Coordonnées Notice Protection Date Illustration
Église de Mazères-Campeils Lartigue 43° 33′ 05″ nord, 0° 42′ 27″ est « PA00094832 » Inscription 1979

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Pigeonnier de Mazères Lartigue 43° 33′ 04″ nord, 0° 42′ 24″ est « PA00094833 » Inscription 1973

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1 Canton de Fleurance-Lomagne
.
1 Communauté de communes de la Lomagne gersoise.
2 Canton de la Gascogne-Auscitaine
.
2 Communauté de communes Bastides de Lomagne.
3 Communauté de communes Cœur de Gascogne.
3 Canton d'Auch-2
.
4 Canton de Gimone-Arrats
.
3 Le Grand Auch Agglomération (fusion).
5 Canton d'Astarac-Gimone
.
5 Communauté de communes des Coteaux Arrats Gimone.




Commune Canton EPCI
Ansan 3 Auch-2 5 Coteaux Arrats Gimone
Aubiet 3 Auch-2 5 Coteaux Arrats Gimone
Augnax 2 Gascogne-Auscitaine 3 Grand Auch Cœur de Gascogne
Bédéchan 5 Astarac-Gimone 5 Coteaux Arrats Gimone
Blanquefort 3 Auch-2 5 Coteaux Arrats Gimone
Crastes 2 Gascogne-Auscitaine 3 Grand Auch Cœur de Gascogne
Gavarret 1 Fleurance-Lomagne 1 Lomagne gersoise
Juilles 3 Auch-2 5 Coteaux Arrats Gimone
Lahitte 3 Auch-2 3 Grand Auch Cœur de Gascogne
Lalanne 1 Fleurance-Lomagne 1 Lomagne gersoise
Leboulin 3 Auch-2 3 Grand Auch Cœur de Gascogne
L'Isle-Arné 3 Auch-2 5 Coteaux Arrats Gimone
Lussan 3 Auch-2 5 Coteaux Arrats Gimone
Marsan 3 Auch-2 5 Coteaux Arrats Gimone
Miramont-Latour 1 Fleurance-Lomagne 1 Lomagne gersoise
Mirepoix 2 Gascogne-Auscitaine 3 Grand Auch Cœur de Gascogne
Montaut-les-Créneaux 2 Gascogne-Auscitaine 3 Grand Auch Cœur de Gascogne
Montégut 3 Auch-2 3 Grand Auch Cœur de Gascogne
Nougaroulet 3 Auch-2 3 Grand Auch Cœur de Gascogne
Preignan 2 Gascogne-Auscitaine 3 Grand Auch Cœur de Gascogne
Puycasquier 2 Gascogne-Auscitaine 3 Grand Auch Cœur de Gascogne
Saint-Antonin 4 Gimone-Arrats 2 Bastides de Lomagne
Saint-Caprais 3 Auch-2 5 Coteaux Arrats Gimone
Saint-Sauvy 4 Gimone-Arrats 5 Coteaux Arrats Gimone
Sainte-Christie 2 Gascogne-Auscitaine 3 Grand Auch Cœur de Gascogne
Sainte-Marie 4 Gimone-Arrats 5 Coteaux Arrats Gimone
Tourrenquets 2 Gascogne-Auscitaine 3 Grand Auch Cœur de Gascogne
Monument Commune Adresse Coordonnées Notice Protection Date Illustration
Église Saint-Jacques de Fromentas Aignan Fromentas 43° 40′ 19″ nord, 0° 06′ 20″ est « PA00094697 » Classement 1979
Église Saint-Jacques de Fromentas
Maison de la Treille Auch 25 rue Marceau 43° 39′ 01″ nord, 0° 35′ 21″ est « PA00094717 » Inscription 1975

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Église de Ramensan Biran Ramensan 43° 42′ 48″ nord, 0° 23′ 15″ est « PA00094745 » Inscription 1978

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Église de Baccarisse Gazax-et-Baccarisse 43° 35′ 55″ nord, 0° 12′ 27″ est « PA00125588 » Inscription 1993

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Église de Rouillac Gimbrède 44° 01′ 15″ nord, 0° 42′ 30″ est « PA00094957 » Inscription 1990

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Église Saint-Aubin de Le Houga Le Houga 43° 46′ 18″ nord, 0° 11′ 53″ ouest « PA00094808 » Inscription 1983

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Chapelle Saint-Michel de Tremblade Jegun 43° 45′ 32″ nord, 0° 26′ 20″ est « PA00094813 » Inscription 1979
Chapelle Saint-Michel de Tremblade
Église de Lagarde Lagarde 43° 57′ 51″ nord, 0° 33′ 18″ est « PA00094818 » Inscription 1983
Église de Lagarde
Église Saint-Martin d'Heux Larroque-sur-l'Osse 43° 59′ 27″ nord, 0° 17′ 25″ est « PA00094831 » Inscription 1977
Église Saint-Martin d'Heux
Église de Mazères-Campeils Lartigue 43° 33′ 05″ nord, 0° 42′ 27″ est « PA00094832 » Inscription 1979

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Église de Paillan Lussan 43° 37′ 04″ nord, 0° 46′ 00″ est « PA00094849 » Inscription 1979

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Halle de Puycasquier Puycasquier 43° 44′ 47″ nord, 0° 44′ 51″ est « PA00094897 » Inscription 1973
Halle de Puycasquier
Emban et Corrensaguet, deux nouveaux articles qui auront encore fait au moins un heureux, toujours le même, Utilisateur:F123 que je remercie encore pour ses remerciements. Et pour ses photos sans lesquelles ces pages perdraient une partie de leur intérêt. Merci également à tous les autres wikiphotographes. -- Remietcolette (discuter) 1 décembre 2017 à 19:48 (CET)
On essaie encore ? On essaie encore Émoticône sourire... -- Remietcolette (discuter) 30 septembre 2017 à 21:07 (CEST)
Mais on prend des précautions. -- Remietcolette (discuter) 3 octobre 2017 à 06:28 (CEST)
En attente de réponse
Projet:Blasons/Demande de blason#Famille du Cos de la Hitte
Catégorie:Famille du Cos de la Hitte


Excellente initiative de Keranplein que cette Catégorie:Famille noble du Midi Toulousain mais l'absence d'un Portail:Languedoc est très ennuyeuse. Elle conduit à rattacher cette catégorie au portail de Toulouse faute de mieux parce qu'on ne peut la rattacher au portail du Languedoc-Roussillon (insensé) ni au portail de l'Occitanie (trop vaste). De fait c'est un peu comme si l'on remplaçait le portail de la Gascogne par un Portail:Auch (ce qui ne serait pas pour me déplaire Émoticône). -- Remietcolette (discuter) 3 octobre 2017 à 06:28 (CEST)
Encore ? Quelle est donc cette coutume étrange et qui semble ici très prisée ? Ses adeptes ne réalisent-ils pas l'inquiétude provoquée par ce signal rouge vous sautant à la figure, dès la connexion, en vous avertissant que « votre modification a été annulée » comme un vulgaire vandalisme ? Serait-ce donc cela « faire à Rome comme les Romains » ? Il faut vraiment avoir la foi (et du temps à perdre) pour persister dans la tentative d'apporter bene volens sa modeste pierre à l'édifice commun. -- Remietcolette (discuter) 4 octobre 2017 à 00:27 (CEST)
De descendant de Maurice Bordes me voici maintenant promu membre de la famille Ducosdelahitte. Je m'en excuse auprès de ses membres subsistants et leur laisse le soin de placer les majuscules et les césures qu'ils souhaitent là où ils le souhaitent, en supposant qu'ils soient tous d'accord, et aux wikipédiens bienveillants celui d'améliorer un article que j'ai certes rédigé, avec certainement beaucoup de défauts, mais qui ne m'appartient pas. La lecture de cette discussion est au demeurant très intéressante. Je remercie Keranplein de m'avoir signalé son existence. Ma participation y étant considérée comme polémique a priori ce qui n'est pas très engageant, allons tout de même saluer cordialement ces wikipédiens. -- Remietcolette (discuter) 4 octobre 2017 à 00:27 (CEST)
La discussion s'est poursuivie, bienveillante, ici Discussion utilisateur:Remietcolette#Famille du Cos de La hitte et là Discussion:Famille du Cos de La Hitte. -- Remietcolette (discuter) 4 octobre 2017 à 23:45 (CEST)
Autre ennui minuscule : le renommage réalisé a fait perdre l'évaluation des consultations depuis la création de la page. Voyons s'il existe une solution technique autre que ce subterfuge pour y accéder ? -- Remietcolette (discuter) 6 octobre 2017 à 07:40 (CEST)
Nouvelle tentative mais petite précaution (chat échaudé...) -- Remietcolette (discuter) 18 septembre 2017 à 00:32 (CEST)
Jusque là tout va bien : je peux aérer ma page l'article n'a pas été effacé. Il a bénéficié de quelques lectures et a même fait un heureux qui m'en a remercié : F123 que je remercie à mon tour pour ces remerciements. -- Remietcolette (discuter) 19 septembre 2017 à 23:46 (CEST)
Image panoramique
Panorama de la basse-ville d'Auch depuis le haut de l'escalier monumental. La rangée d'arbres souligne le cours du Gers.
Plutôt depuis le milieu de l'escalier : selon si l'on monte ou si l'on descend,
selon si l'on considère la place Salinis ou l'esplanade baptisée[1] « terrasse Lartet » comme une première terrasse,
il s'agira de la deuxième ou de la troisième ou de la quatrième ou...[2],[3]
Voir le fichier
Monter-descendre-hisser-se hausser
ou
D'échiffre et des lettres
Dans la vie courante
Qu'avons-nous sur Wikipédia pour évoquer ce grand art ?
L'escalier de secours de la bibliothèque universitaire de Bordeaux-Montaigne entre le mur d'échiffre et le mur des lettres : lexique des escaliers, Wikipédia:Le saviez-vous ?/Anecdotes proposées#D'échiffre et des lettres.
Typologie
Terminologie
Escaliers célèbres
Que nous propose ce cher Prosper ?
Quelques livres
La concierge est dans l'escalier mais personne n'en parle
Escalier dans l'art et la culture
Dans les sciences et techniques
En linguistique
Au cinéma
En littérature
En musique
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