Utilisateur:Pueblo89/Brouillon3

Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Potiers des ateliers de Lezoux[modifier | modifier le code]

Ateliers de poterie antique de Lezoux

Noms Période Estampilles Productions Exportations Divers Notes
Acurio[1] 100-150 (Lezoux 1) ACVRIO F[1] Coll. Carlier. Oswald 1931, p. 3[1]
Advocisius[1] 160-190 ADVOCISIO[1] Coll. Carlier. Oswald 1931, p. 5[1]
Albucius[1] 150-190 ALBVCIO[1] Coll. Carlier. Oswald 1931, p. 11[1]
Asiaticus[1] 140-190 ASIATICI[1] Coll. Carlier. Oswald 1931, p. 24[1]
Atilianus[1] 140-190 ATILIANIM[1]

ATILIANO[1]

Coll. Carlier. ATILIANO : Oswald 1931, p. 26[1]
Aucella[1] seconde moitié du IIe siècle[2] (150-180 ?)[3] AVCECIA (AUCELLA)[1] Son estampille est associée à des séries Drag. 18/31 et Drag. 31, Drag. 33 et coupelle Walt. 80[3]. Coll. Carlier. Oswald 1931, p. 31 : lecture AVCELLI M[1].
Aucella est un des potiers du groupe Saint-Taurin[2].
Aventinus[1] AVENTINI.M[1] Oswald 1931, p. 31[1]
Banuus BANVIM, BANOS[4] Il est en relation avec Cracina[5], qui reste cependant probablement un potier indépendant[6].
Le potier Rottalus a travaillé dans l'officine de Banuus[6].
Belsa Arvernius[1] BELSA ARV(vernius)[1] Coll. Carlier. Oswald 1931, p. 41[1]
Borio[1] BORIOMA[1] Coll. Carlier. Oswald 1931, p. 47[1]
BVRDOV 140-190 BVRDOF Coll. Carlier. Oswald 1931, p. 49[7]
Calava IIe siècle CALAVAF Coll. Carlier. Oswald 1931, p. 53[7]
Caratus IIe siècle CARATIM Coll. Carlier. Oswald 1931, p. 61[7]
Cerialis 150-190 CERIALI.M Coll. Carlier. Répertorié par Oswald sous la forme CERIALI MA[7]
Cinnamus 140-190 CINNAMVS Coll. Carlier. Non répertorié par Oswald[7]
Cocurus IIe siècle COCVRO.F Coll. Carlier. Non répertorié par Oswald[8]
Cracina[9] CRACINAEM[10] 1 mortier Drag. 45[11],
1 coupe Drag. 37 (Saint-Sauveur-lès-Bray)[12].
Une sigillée signée de son nom découverte au Port aux Pierres à Saint-Sauveur-lès-Bray (Seine-et-Marne), est la première trace connue de l'activité de décorateur de ce potier, jusque là connu comme potier tourneur de Lezoux. Il est en relation avec l'atelier de BANVVS I.CRACINA[9]. Hartley & Dickinson (2008) ne répertorient que 3 estampilles[11].
Criciro CRICIROFE Coll. Carlier. Répertorié par Oswald 1931, p. 97 sous la forme CRICVRO[8]
Divicatus 140-190 DIVICATVS Deux exemplaires identiques Coll. Carlier. Oswald 1931, p. 106[8]
Gippus GIP(… Coll. Carlier. Non répertorié par Oswald[8]
Illixo 140-190 ILLIXO Coll. Carlier. Oswald 1931, p. 144[8]
Iullinus IVLLIM Coll. Carlier. Oswald 1931, p. 152[8]
Lollus 100-150 LOLLI.M Coll. Carlier. Oswald 1931, p. 167[8]
Luppa 100-150 LVPPA Coll. Carlier. Oswald 1931, p. 171[13]
Macio MACIONI Coll. Carlier. Oswald 1931, p. 171[13]
Macrinus 140-190 MACRINVS Coll. Carlier. Oswald 1931, p. 177[13]
Malledo 140-190 MAIEEDV (mauvaise lecture, Hofmann) Coll. Carlier. Oswald 1931, p. 180[13]
Malliacus 140-190 MALLIA(…) Coll. Carlier. Non répertorié par Oswald[13]
Marinus MARIIVSM Coll. Carlier. Oswald 1931, p. 187[13]
Mascellio MASCIILLIO Coll. Carlier. Non répertorié par Oswald[13]
Maternus 140-180 OFMATER Coll. Carlier. Non répertorié par Oswald[13]
Maturus 140-190 MATVRIM Coll. Carlier. Oswald 1931, p. 197 : il répertorie aussi un MATVRIN (à Douai), sur 2 seulement exemplaires d'un potier appelé MATVRINUS ; il s'agit probablement de la même estampille[13]
Mercator 140-190 MERCA(… Coll. Carlier. Oswald 1931, p. 203[13]
Mettius METTI.M Lezoux ? Coll. Carlier. Oswald 1931, p. 204 sous la forme MITTI.M[13]
Nicephor 100-150 NICEPHOR Les Martres-de-Veyre. Lezoux incertain Coll. Carlier. Non répertorié par Oswald[13]
Paulinus PAULINVS (rétrograde) Coll. Carlier. Non répertorié par Oswald[14]
Paullus 140-190 PAULIM Coll. Carlier. Oswald 1931, p. 236[14]
Paternus PATERNI Coll. Carlier. Oswald 1931, p. 231 sous la forme PATERNVS[14]
Patna PATNAFE Lezoux ? Les Martres-de-Veyre Coll. Carlier. Oswald 1931, p. 232? deux exemplaires diférents : PATNA.E et PATNA.F[14]
Patricius 100-150 PATRICISF Ne pas confondre avec Patricivs (OFPATRIC) de la Graufesenque (années 55-95) Coll. Carlier. Oswald 1931, p. 233[14]
Rottalus Il a travaillé dans l'officine de Banuus[6].
Noms Groupe d'ateliers Période Formes d'estampilles Trouvées sur Trouvées à Notes Photo/dessin
Aucella I Groupe Saint-Taurin seconde moitié du IIe siècle[2] (150-180 ?)[3] « AVCEL.LA.F » (15 ex. sur Drag. 33)[3] Lez. 54/55[3]. Séries Drag. 18/31 et Drag. 31, Drag. 33 et coupelle Walt. 80[3]. Une coupelle Drag. 33 sur le site de l'atelier de poterie des Queyriaux, Cournon-d'Auvergne (Puy-de-Dôme)[2].
Catussa I[15] 125 à 140/150 selon Stanfield & Simpson (1991) et Rogers (1999)[16],[n 1].

155-190 selon Hartley & Dickinson (2008-2011) (qui font de Catussa I et Catussa II la même personne[16],[n 2]).

Drag. 37[15] Saint-Georges-de-Reneins/Ludna (Rhône), fosse 657[15]
Cinnamus[17] [CINN]AMI (estampille intradécorative rétrograde)[15] Drag. 37[15] Saint-Georges-de-Reneins/Ludna (Rhône), fosse 657[15]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Liste d'ouvrages sur la sigillée de Gaule centrale, classés par «  Typologies de référence », « Catalogues des estampilles », « Catalogues des poinçons » et « Etudes stylistiques des sigillées moulée », sur galliabelgica.free.fr

  • [Batigne-Vallet & Delage 2016] Cécile Batigne Vallet et Richard Delage, « Un stock de céramiques du troisième quart du IIe s. à Saint-Georges-de-Reneins/Ludna (Rhône) : étude de la fosse 657 », Revue archéologique de l’Est, t. 65, no 188,‎ , p. 349-369 (lire en ligne [sur journals.openedition.org], consulté le Date invalide (/12/2019)). Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • [Bémont et al. 1986] C. Bémont et A. Bourgeois, « Les noms de potiers des ateliers situés en France », dans C. Bémont & J.-P. Jacob, La terre sigillée gallo-romaine. Lieux de production du Haut-Empire : implantations, produits, relations, Paris, .
  • [Déchelette 1904] Joseph Déchelette, Les Vases céramiques ornés de la Gaule romaine (Narbonnaise, Aquitaine et Lyonnaise), t. 1, Paris, éd. Alphonse Picard et fils, , 308 + XV, sur archive.org (lire en ligne). Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • [Hartley & Dickinson 2008-2011] (en) B. R. Hartley (dir.), Brenda M. Dickinson (en) (dir.), Geoffrey B. Dannell et al. (ill. Katharine F. Hartley, Malcolm Stroud & Brian V. Williams), Names on Terra Sigillata : an index of Makers’ stamps & signatures on gallo-roman Terra Sigillata (Samian Ware) [« Les noms sur sigillée : un index des timbres et signatures de fabricants sur la sigillée gallo-romaine (samienne) »] (9 vol. : vol. 1 (2008) : A à Axo ; vol. 2 : B à Cerotcus ; vol. 3 : Certianus à Exsobano ; vol. 4 (2009) : F à Klumi ; vol. 5 (2009) : L à Masclus I ; vol. 6 (2010) : Masclus I-Balbus à Oxittus ; vol. 7 : P à Rxead ; vol. 8 (2011) : S à Symphorus ; vol. 9 (2012) : T à Ximus), Londres, Institute of Classical Studies, University of London, coll. « Bulletin of the Institute of Classical Studies » (no 102 (Supplement)), 2008-2011 (présentation en ligne).
  • [Loridant & Debs 1991] Frédéric Loridant et Ludovic Debs, « Inventaire des collections archéologiques originaires de Bavay », Revue du Nord, no 292 « Archéologie »,‎ , p. 135-152 (lire en ligne [sur persee]).
  • [Oswald 1931] Felix Oswald, Index of Potter’s Stamps on Terra sigillata « Samian Ware », with a supplement of stamps obtained or recorded during the period of printing the index, East Bridgford (Nottinghamshire, Gregg Press, (réimpr. 1964), XXIII + 428 (présentation en ligne).
  • [Rogers 1999] G. Rogers, « Poteries sigillées de la Gaule Centrale. II : Maringues » (2 vol.), Revue archéologique Sites, nos 1-2 « hors-série 40 »,‎ , et Cahiers du Centre archéologique de Lezoux, no 1.
  • [Stanfield & Simpson 1991] Joseph Aloysius Stanfield et Grace Simpson, Les potiers de la Gaule Centrale, hors-série 37 (Recherches sur les ateliers de potiers de la Gaule Centrale, t. 5), Gonfaron, Revue archéologique Sites, , sur xxx.
  • [Tilhard 2001] Jean-Louis Tilhard, Les céramiques sigillées du Haut-Empire à Poitiers daprès les estampilles et les décors moules (thèse de doctorat en Histoire de l'art, dir. Jean Hiernard), Poitiers, Université de Poitiers, UFR de Sciences humaines et Arts (présentation en ligne). Publié en 2004 par la S.F.E.C.A.G., Marseille, Suppl. 2, 654 p. dont 300 pl. (estampilles et décors).
  • [Vauthey & Vauthey 1981] Max Vauthey et Paul Vauthey, « La notion de « service » dans la sigillée du monde romain. Le service de Lvcivs de Terre-Franche », dans Collectif, Colloques de Balbigny, Roanne et Saint-Étienne : Archéologie générale 1977-1978, Saint-Étienne, Centre d'études foréziennes, , 255 p., sur books.google.fr (lire en ligne), p. 233-244. Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • [Vialatte 1968] Anne-Marie Vialatte (A.-M. Romeuf-Vialatte), Cinnamus, potier de Lezoux, 2 vol. (thèse de doctorat en Histoire), Clermont-Ferrand, université Clermont-Ferrand 2, , IX-154, 74 (présentation en ligne). Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • H. B. Walters, History of ancient pottery, Greek, Etruscan and Roman, 2 vol.
    • [Walters 1905 (1)] (en) Henry Beauchamp Walters, History of ancient pottery, Greek, Etruscan and Roman, based on the work of Samuel Birch, vol. 1, New York, Charles Scribners's Sons, , 504 p., sur archive.org (lire en ligne).
    • [Walters 1905 (2)] (en) Henry Beauchamp Walters, History of ancient pottery, Greek, Etruscan and Roman, based on the work of Samuel Birch, vol. 2, New York, Charles Scribners's Sons, , 588 p., sur archive.org (lire en ligne).

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. La datation 125 à 140/150 par Stanfield & Simpson (1991) et Rogers (1999) s'appuie sur des considérations stylistiques[16].
  2. Période 155-190 pour Catussa I ou/et II : c'est la période attribuée par les auteurs précédant Hartley et Dickinson (1008-2011), qui la reprennent. Hartley et Dickinson postulent que Catussa I et Catussa II sont une seule personne, ce qu'ils justifient par ce que des formes Walt. 79/80 (Lez. 31/32), qui ne sont pas attestées avant le milieu du IIe siècle, sont signées de ce nom[16].

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z aa et ab Loridant & Debs 1991, p. 145 (non numéroté ; 1re page de l'inventaire, section 2 : « estampilles sur sigillée ».
  2. a b c et d [Bet et al. 1998] Philippe Bet, Gilbert Boudriot, Christophe Chappet et Pierre Vallat, « Un nouveau centre de production de céramique sigillée en Gaule : Le site des Queyriaux à Cournon d'Auvergne (Puy-de-Dôme) » (Actes du Congrès d'Istres), SFECAG,‎ (lire en ligne [sur sfecag.free.fr]), p. 268.
  3. a b c d e et f Batigne-Vallet & Delage 2016, paragr. 35.
  4. [Delage & Séguier 2009] Richard Delage et Jean-Marc Séguier, « CRACINA, potier et décorateur lézovien méconnu », Revue archéologique du Centre de la France, t. 48,‎ (lire en ligne [sur journals.openedition.org]), paragr. 19.
  5. Delage & Séguier 2009, paragr. 19-24.
  6. a b et c Delage & Séguier 2009, paragr. 24.
  7. a b c d et e Loridant & Debs 1991, p. 146 (non numéroté ; 2e page de l'inventaire, section 2 : « estampilles sur sigillée ».
  8. a b c d e f et g Loridant & Debs 1991, p. 147 (non numéroté ; 3e page de l'inventaire, section 2 : « estampilles sur sigillée ».
  9. a et b Delage & Séguier 2009, Résumé.
  10. Delage & Séguier 2009, paragr. 12.
  11. a et b Delage & Séguier 2009, paragr. 1.
  12. Delage & Séguier 2009, paragr. 9-13.
  13. a b c d e f g h i j k et l Loridant & Debs 1991, p. 148 (non numéroté ; 4e page de l'inventaire, section 2 : « estampilles sur sigillée ».
  14. a b c d et e Loridant & Debs 1991, p. 149 (non numéroté ; 5e page de l'inventaire, section 2 : « estampilles sur sigillée ».
  15. a b c d e et f Batigne-Vallet & Delage 2016, paragr. 27.
  16. a b c et d Batigne-Vallet & Delage 2016, paragr. 29.
  17. Vialatte 1968.

Sans localisation[modifier | modifier le code]

Noms Période Estampilles Productions Exportations
Aco ACOMN Coll. Carlier : Bavay. Oswald 1931, p. 3[1]
Namani Coll. Carlier. Oswald 1931, p. 215[1]

Potiers de la Graufesenque[modifier | modifier le code]

MERCI DE NE RIEN AJOUTER QUI NE SOIT STRICTEMENT RÉFÉRENCÉ.

colonnes "atelier principal" et "ateliers secondaires" ou "ateliers ayant utilisé ses moules" ??

La Graufesenque

Noms Période Estampilles Productions Lieux de découverte
Albinus III Premières années du règne de Néron, antérieur à 61 apr. J.-C. Selon M. Polak ce timbre aurait été utilisé au cours des années 50-75 ; B. R. Hartley & B. M. Dickinson la situent entre 45 et 65 et font cesser l'activité de ce potier en 65[2]. OFALBIN, avec ligature « AL » Timbre attesté sur une douzaine d'exemplaires, dont 10 sur Drag. 27g, dans un dépotoir du port la Nautique de Narbonne daté des premières années du règne de Néron, antérieur à 61 apr. J.-C.[2].
Ardacus[1] ARDACI[1]

O.ARDAC[1]

no répertorié par Oswald[1]
Atticus[1] OFATTICI[1] Non répertorié par Oswald[1].
Avitus[1] AVITI.MA[1] Non répertorié par Oswald[1].
Bassinus[1] OFBASSIN (Bémont 1986[1]) Oswald 1931, p. 39[1]
Bassus[1] OFBASSI[1] Oswald 1931, p. 39[1]
Castus I 40-70 apr. J.-C. (Néron et Claude)[2] CASTIOF sur assiette Drag. 18 : estampille rétrograde, avec un point dans le A[2]. Ce potier de l'époque de Néron et Claude a utilisé de multiples variations de son estampille[2].
FASTVS 15-30/40 apr. J.-C.[3] élément indéterminé trouvé à Cassinomagus[3]
Licinus[2] LICINVSF (sans point avant le F)[2]

LICINVS sur assiette Drag. 15/17[2]

Ce timbre peu documenté est connu : • en un exemplaire à la Graufesenque dans la fosse de Gallicanus ; • sur le fond d'un Drag. 29 de Narbonne ; • sur une assiette Drag. 18 à Boulogne-sur-Mer[2].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • [Bémont et al. 1986] C. Bémont et A. Bourgeois, « Les noms de potiers des ateliers situés en France », dans C. Bémont & J.-P. Jacob, La terre sigillée gallo-romaine. Lieux de production du Haut-Empire : implantations, produits, relations, Paris, .
  • [Déchelette 1904] Joseph Déchelette, Les Vases céramiques ornés de la Gaule romaine (Narbonnaise, Aquitaine et Lyonnaise), t. 1, Paris, éd. Alphonse Picard et fils, , 308 + XV, sur archive.org (lire en ligne). Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • [Guitton et al. 2012] David Guitton, Sylvie Soulas, Gabriel Rocque, Cyril Driard, Anne Jégouzo, Christelle Belingard, Stéphanie Sève et Laure Laüt, « Structures artisanales et domestiques de l’époque romaine précoce », Aquitania, no 28 « Cassinomagus, l'agglomération et ses thermes. Résultats des recherches récentes (2003-2010) à Chassenon (Charente) »,‎ , p. 209-224 (lire en ligne [PDF] sur aquitania.u-bordeaux-montaigne.fr). Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • [Loridant & Debs 1991] Frédéric Loridant et Ludovic Debs, « Inventaire des collections archéologiques originaires de Bavay », Revue du Nord, no 292 « Archéologie »,‎ , p. 135-152 (lire en ligne [sur persee]).
  • [Oswald 1931] Felix Oswald, Index of Potter’s Stamps on Terra sigillata « Samian Ware », with a supplement of stamps obtained or recorded during the period of printing the index, East Bridgford (Nottinghamshire, Gregg Press, (réimpr. 1964), XXIII + 428 (présentation en ligne).
  • [Vauthey & Vauthey 1981] Max Vauthey et Paul Vauthey, « La notion de « service » dans la sigillée du monde romain. Le service de Lvcivs de Terre-Franche », dans Collectif, Colloques de Balbigny, Roanne et Saint-Étienne : Archéologie générale 1977-1978, Saint-Étienne, Centre d'études foréziennes, , 255 p., sur books.google.fr (lire en ligne), p. 233-244. Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • H. B. Walters, History of ancient pottery, Greek, Etruscan and Roman, 2 vol.
    • [Walters 1905 (1)] (en) Henry Beauchamp Walters, History of ancient pottery, Greek, Etruscan and Roman, based on the work of Samuel Birch, vol. 1, New York, Charles Scribners's Sons, , 504 p., sur archive.org (lire en ligne).
    • [Walters 1905 (2)] (en) Henry Beauchamp Walters, History of ancient pottery, Greek, Etruscan and Roman, based on the work of Samuel Birch, vol. 2, New York, Charles Scribners's Sons, , 588 p., sur archive.org (lire en ligne).

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e f g h i j k l m n o p q et r Loridant & Debs 1991, p. 145 (non numéroté ; 1re page de l'inventaire, section 2 : « estampilles sur sigillée ».
  2. a b c d e f g h et i [Djaoui 2014] David Djaoui et Thierry Martin, « L’étude du mobilier céramique : la vaisselle », Archaeonautica, no 19 « Arles-Rhône 3. Un chaland gallo-romain du Ier siècle après Jésus-Christ »,‎ , p. 233-240 (lire en ligne [sur persee]), p. 234.
  3. a et b Guitton et al. 2012, p. 215

Potiers des ateliers d'Argonne[modifier | modifier le code]

Ateliers céramiques gallo-romains d'Argonne

Noms Période Estampilles Productions Exportations
Nom Période Estampilles Productions Exportations
Aenisatus[1] ANISATVSF[1]
Nom Période Estampilles Productions Exportations

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • [Bémont et al. 1986] C. Bémont et A. Bourgeois, « Les noms de potiers des ateliers situés en France », dans C. Bémont & J.-P. Jacob, La terre sigillée gallo-romaine. Lieux de production du Haut-Empire : implantations, produits, relations, Paris, .
  • [Déchelette 1904] Joseph Déchelette, Les Vases céramiques ornés de la Gaule romaine (Narbonnaise, Aquitaine et Lyonnaise), t. 1, Paris, éd. Alphonse Picard et fils, , 308 + XV, sur archive.org (lire en ligne). Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • [Loridant & Debs 1991] Frédéric Loridant et Ludovic Debs, « Inventaire des collections archéologiques originaires de Bavay », Revue du Nord, no 292 « Archéologie »,‎ , p. 135-152 (lire en ligne [sur persee]).
  • [Oswald 1931] Felix Oswald, Index of Potter’s Stamps on Terra sigillata « Samian Ware », with a supplement of stamps obtained or recorded during the period of printing the index, East Bridgford (Nottinghamshire, Gregg Press, (réimpr. 1964), XXIII + 428 (présentation en ligne).
  • [Vauthey & Vauthey 1981] Max Vauthey et Paul Vauthey, « La notion de « service » dans la sigillée du monde romain. Le service de Lvcivs de Terre-Franche », dans Collectif, Colloques de Balbigny, Roanne et Saint-Étienne : Archéologie générale 1977-1978, Saint-Étienne, Centre d'études foréziennes, , 255 p., sur books.google.fr (lire en ligne), p. 233-244. Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • H. B. Walters, History of ancient pottery, Greek, Etruscan and Roman, 2 vol.
    • [Walters 1905 (1)] (en) Henry Beauchamp Walters, History of ancient pottery, Greek, Etruscan and Roman, based on the work of Samuel Birch, vol. 1, New York, Charles Scribners's Sons, , 504 p., sur archive.org (lire en ligne).
    • [Walters 1905 (2)] (en) Henry Beauchamp Walters, History of ancient pottery, Greek, Etruscan and Roman, based on the work of Samuel Birch, vol. 2, New York, Charles Scribners's Sons, , 588 p., sur archive.org (lire en ligne).

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Loridant & Debs 1991, p. 145 (non numéroté ; 1re page de l'inventaire, section 2 : « estampilles sur sigillée ».

Potiers italiens[modifier | modifier le code]

Noms Période Estampilles Productions Exportations
Nom Période Estampilles Productions Exportations
ATEIUS[1] CN ATEIVS[1]
Nom Période Estampilles Productions Exportations


Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • [Guitton et al. 2012] David Guitton, Sylvie Soulas, Gabriel Rocque, Cyril Driard, Anne Jégouzo, Christelle Belingard, Stéphanie Sève et Laure Laüt, « Structures artisanales et domestiques de l’époque romaine précoce », Aquitania, no 28 « Cassinomagus, l'agglomération et ses thermes. Résultats des recherches récentes (2003-2010) à Chassenon (Charente) »,‎ , p. 209-224 (lire en ligne [PDF] sur aquitania.u-bordeaux-montaigne.fr). Document utilisé pour la rédaction de l’article

Ateliers arétins de poterie antique[modifier | modifier le code]

La sigillée arétine[modifier | modifier le code]

Depuis le début du XIXe siècle la céramique arétine est un nom couramment employé pour désigner la céramique sigillée, cette poterie qui a fait le tour du monde romain et dont on peut dire que c'est le premier type de poterie standardisé. Elle est produite à partir de la fin du Ier siècle principalement à Arezzo mais aussi sur d'autres sites, dont Pise et Puteoli. La fabrication est ensuite exportée en Gaule : ateliers de Lyon, de la Graufesenque qui est vers la moitié du Ier siècle le plus grand site de poterie du monde romain, dans la vallée de l'Allier où Lezoux prend cette première place pendant environ un siècle malgré la concurrence sur le tard des ateliers d'Argonne (un autre gros centre de production de poterie), les ateliers de l'Est, ceux du sud-ouest de la Gaule, et bien d'autres.

Le terme « poterie arétine » a été usé et abusé, désignant pendant longtemps toute pièce sigillée, alors que de nombreux autres ateliers en ont produit. Ce trait est relevé dès avant la 2e guerre mondiale mais l'habitude est tenace ; ce n’est que récemment, depuis environ 20 ans, qu'il est presque systématiquement remplacé par l’expression « poterie de type arétin ».

Les ateliers arétins n'étaient pas des fournisseurs globaux : leurs marchés sont avant tout l’Espagne au milieu de la période augustéenne (tournant du Ier siècle[n 1]) ; au nord des Alpes pendant la fin de la période augustéenne (avant 14 apr. J.-C.) et au début de la période tibérienne (de 14 à environ 20 apr. J.-C.[n 2]), et l'est de la Méditerranée pour le reste du Ier siècle [2]

Influence, imitations[modifier | modifier le code]

Les ateliers de Lyon

Tous les ateliers connus qui ont imité la sigillée arétine ont d'abord imité la campanienne ou se trouvent dans une région qui en produit : Bram, Loyasse, la Graufesenque, Lezoux. À la Graufesenque, campanienne et sigillée coexistent pour un temps[3].

Déclin[modifier | modifier le code]

Les raisons les plus couramment citées sont une baisse de la qualité des productions, la montée des ateliers gaulois concurrents


Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Le règne d'Auguste dure de 27 av. J.-C. à 14 apr. J.-C. ; l'augustéen moyen est donc à peu près le tournant du Ier siècle.
  2. Tibère règne de 14 à 37 apr. J.-C..

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Guitton et al. 2012, p. 215
  2. [Warner Slane 1993] Kathleen Warner Slane, « A new typology for Italian sigillata - E. Ettlinger, B. Hedinger, B. Hoffmann, P. M. Kenrick, G. Pucci, K. Roth-Rubi, G. Schneider, S. von Schnurbein, C. M. Wells and S. Zabehlicky-Scheffenegger, Conspectus Formarum Terrae Sigillatae Italico Modo Confectae (Materialien zur Römisch-Germanischen Keramik, Heft 10, Habelt, Bonn 1990) », Journal of Roman Archaeology, vol. 6,‎ , p. 411-414 (lire en ligne [sur cambridge.org]), p. 411.
  3. Lasfargues et al. 1973, p. 336.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • [Lasfargues et al. 1973] J. Lasfargues, P. Diaconu, M. Vauthey et P. Vauthey, « Congrès et manifestations » (colloque de Lyon-Vienne du 24 au 26 mars 1972), Revue archéologique du Centre de la France, vol. 12, nos 3-4,‎ , p. 335-342 (lire en ligne [sur persee]).
  • [Mayet 1980] Françoise Mayet, « Les céramiques à parois fines: état de la question », Collection de l'Institut des Sciences et Techniques de l'Antiquité, no 242 « Céramiques hellénistiques et romaines. Tome 1 »,‎ , p. 201-230 (lire en ligne [sur persee]).
  • [Vertet et al. 1972] Hugues Vertet, André Lasfargues et Jacques Lasfargues, « Remarques sur les filiales des ateliers de la vallée du Po à Lyon et dans la vallée de l'Allier », Actes du « Convegno Internazionale sui problemi della ceramica romana di Ravenna, della valle Padana e dell'alto Adriatico » (Ravenne, 10-12 mai 1969), Bologne,‎ (lire en ligne [sur lezoux.com]).