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Joseph Doutre.

Biographie[modifier | modifier le code]

Famille et éducation[modifier | modifier le code]

Chronologie[modifier | modifier le code]

  • 1825 - Le 11 mars, naissance de Joseph Doutre à Beauharnois.
  • 1836 - En septembre, il entre au petit séminaire de Montréal.
  • 1843 - Il débute l'étude du droit, d'abord sous la direction de Norbert Dumas, puis d'Augustin-Norbert Morin et finalement de Lewis Thomas Drummond.
  • 1844 - Il fait paraître le conte Faut-il le dire ! ... dans Le Ménestrel de Québec et le roman Les Fiancés de 1812 [...].
  • 1846 - Il fait paraître Le Frère et la Sœur.
  • 1847 - le 30 avril, il est admit au barreau du Bas-Canada.
  • 1847 - En juillet, il commence sa collaboration au journal L'Avenir.
  • 1851 - Il remporte un prix décerné par l'Institut canadien de Montréal pour son essai Du meilleur emploi qu’un citoyen peut faire de son existence tant pour la société que pour sa famille.
  • 1852 - Il publie Les Sauvages du Canada en 1852 [...] texte basé sur une causerie qu'il prononce devant l'institut sur les Iroquois de Caughnawaga.
  • 1852 - En novembre, il est élu Président de l'Institut canadien de Montréal.
  • 1856 - En septembre, il présente sa candidature dans Salaberry pour un poste au Conseil législatif, mais c'est le candidat ministériel Louis Renaud qui gagne.
  • 1863 - Il présente sa candidature aux élections législatives dans le comté de Laprairie, mais c'est le candidat conservateur, Alfred Pinsonnault qui l'emporte.
  • 1863 - le 15 août, il est fait conseiller de la reine, sous le bref gouvernement de George Brown et d'Antoine-Aimé Dorion.
  • 1867 - Il est fait bâtonnier du barreau du Bas-Canada.
  • 1872 - Il est membre correspondant de la Société de législation comparée de Paris.
  • 1880 - Il publie Constitution of Canada : the British North America Act, 1867 [...]
  • 1886 - Le 3 février, il décéde à Montréal.

Oeuvre[modifier | modifier le code]

  • Les fiancés de 1812 : essai de littérature canadienne, 1844 (en ligne)
  • « Du meilleur emploi qu’un citoyen peut faire de son existence tant pour la société que pour sa famille » dans Institut-Canadien en 1852, 1852 (en ligne)
  • « Les Sauvages du Canada en 1852; Caughnawaga; les Iroquois; leur constitution politique et sociale; leur langue; usages, coutumes, superstitions », dans Institut canadien en 1855, 1855
  • « Notice biographique sur le feu Édouard R. Fabre, Esr. [...] », dans Institut canadien en 1855, 1855
  • « Plaidoiries des avocats in re Henriette Brown vs. la fabrique de Montréal ; refus de sépulture », dans Cour supérieure, 1870
  • Constitution of Canada the British North America Act, 1867 [...], 1880
  • Ruines cléricales, 1893 (en ligne)
  • « Le Frère et la Sœur » et « Faut-il le dire ! ... » dans John Hare. Contes et nouvelles du Canada français, 1778–1859, Ottawa: Éditions de l'Université d'Ottawa, 1971
  • Plaidoyer pour Guibord, 2008 (présenté par Robert Hébert)

Notes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Philippe Sylvain. « Doutre, Joseph », dans Dictionnaire biographique du Canada en ligne, Université Laval et University of Toronto, 2000
  • Inconnu. « Doutre, Joseph », dans Les Patriotes de 1837@1838, 20 mai 2000
  • Robert Hébert. Le procès Guibord ou L'interprétation des restes, Montréal : Triptyque, 193 p. (ISBN 2890311538)
  • Philippe Sylvain, « Un adversaire irréductible du clergé canadien-français du dix-neuvième siècle : Joseph Doutre », dans Cahiers des Dix, 41 (1976) : 109–125.
  • Marguerite Maillet. « Joseph Doutre et l’éducation », dans Co-incidences (Ottawa), 4 (1974), no 2 : 5–16.
  • Séraphin Marion. Nos trois premiers romans canadiens-français, Québec : Éditions du Cap Diamant, 1943, 46 p.
  • Catalogue de la bibliothèque de feu Joseph Doutre, C.R. : vendue par encan chez T.J. Potter, 195, rue St. Jacques, samedi le 6 mars 1886, à 2 p.m. précises, 1886