Lieux chéris[modifier | modifier le code]

Parce que mes fils me les ont fait découvrir, y habitant

Sienne, par conséquent la Toscane puis d'autres régions de l'Italie (du Nord pour l'instant, Piémont, Ligurie, Lombardie, Émilie-Romagne, Vénétie, Ombrie)
Montréal, par conséquent le Québec, donc le Canada et récemment l'Ontario en 2016 et le Nouveau-Brunswick en 2017.

Peinture[modifier | modifier le code]

Mon musée idéal

Rempli d'œuvres vues in situ (dont certaines reproduites dans mon atelier repérées )

Section Renaissance italienne[modifier | modifier le code]

L'Annonciation du Cestello car elle me permet de tourner le dos aux Japonais qui ne regardent que la Naissance de Vénus et Le Printemps dans la salle Botticelli aux Uffizi.
La Madonna del Parto de Piero della Francesca bien qu'elle soit derrière une vitre blindée à Monterchi (une tranche).
La Vierge à la ceinture en Assomption d'Andrea della Robbia à Santa Fiora car j'y ai passé plusieurs années deux semaines en été.
Le crucifix monumental de Cimabue d'Arezzo car j'en ai fait une beaucoup plus petite reproduction
Le personnage de Sant'Agostino et son ange de Simone Martini de son triptyque à la pinacothèque nationale de Sienne
Le Cortège des mages de Gentile da Fabriano aux Offices
Adam et Ève chassés du Paradis de Masaccio à la chapelle Brancacci de Santa Maria del Carmine, ma première fresque vue à Florence
La fresque illusionniste en grisaille de l'Allégorie de la Charité d'Andrea del Sarto au cloître du Scalzo, près de San Marco
Les tavolette di Biccherna n^o 88, n^o 46 et n^o 119 de Sano di Pietro car j'ai eu l'honneur de présenter ma version de la 46 aux archives nationales de Sienne
Le San Stephano de Giotto du musée Horne qui m'a inspiré un tableau de ma série Télescopages
Le crucifix chantourné (sagomato) de Lorenzo Monaco à la Galleria dell'Accademia
les fresques de Fra Angelico des cellules du couvent San Marco
La Madonna col bambino de Fra Filippo Lippi au palazzo Medici-Riccardi parce qu'elle comporte un dessin sur son envers
La Pala Nerli de Filippino Lippi à Santo Spirito, près d'une de mes résidences.
Les fresques de la chapelle San Brizio du Duomo d'Orvieto, par Luca Signorelli parce qu'elle me font mal au cou de les contempler.
Amour endormi du Caravage car il éteint toutes les œuvres autour de lui à la galerie Palatine du palais Pitti à Florence
Les Effets du bon et du mauvais gouvernement à la ville et à la campagne du Palazzo Pubblico de Sienne par Ambrogio Lorenzetti qui rappellent que le gouvernement d'une cité marche mieux avec une république éclairée.
Guidoriccio da Fogliano all'assedio di Montemassi seulement son portrait équestre commandé par mon épouse
Le Baptême du Christ du Pérugin du duomo de la Citta della Pieve même sans mettre de monnaie dans le tronc de l'allumage de l'éclairage (tronc qui ne marche pas)
La figure de l'Ange annonciateur de Sano di Pietro du musée du Petit Palais à Avignon
l'ensemble des Cenacoli de Florence, d'abord pour leurs ressemblances et ensuite leurs différences.
Le Studiolo de Frédéric III de Montefeltro à Urbino parce que j'aime le bois
La Flagellation du Christ de Piero della Francesca, à Urbino pour la complexité symbolique de son contenu et la rigueur simple de sa composition géométrique
Le Miracle de l'hostie profanée de Paolo Uccello, toujours à Urbino, parce que du format d'une planche de maçon et qu'elle fut prise pour telle.
quelque chose peint par Giovanni Bellini (vue à la pinacothèque de Brera en 2013)

À voir pour compléter ~~mes collections~~ la liste ci-dessus :

Le Saint Sébastien d'Antonello de Messine

Peinture hollandaise[modifier | modifier le code]

La Ruelle de Johannes Vermeer, Rijksmuseum Amsterdam (2015) : parce que je trouve ce tableau d'extérieur plus intéressant que toutes ses figures de métiers enfermées (et j'en ai fait une version montréalaise).

Peinture canadienne[modifier | modifier le code]

Toutes les œuvres de Tom Thomson, un style inspirant.

Peinture des grands espaces américains (USA)[modifier | modifier le code]

Anecdotes[modifier | modifier le code]

les mosaïques de Ravenne parce que petit (12 ans) je reproduisis en peinture la tête de Teodora en pensant que je ne la verrais jamais, persuadé qu'elle était à Istanbul mais perdue.

Les Panthéons des wikipédiens