Utilisateur:Iyy/Brouillon

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Guy Guérin du Masgenêt (1915-1998), auteur de Législation et jurisprudence nobiliaires (1959), dont la documentation a été une base utilisée par Alain Texier : Qu'est-ce que la noblesse ? Histoire et droit, Taillandier, 1988. Sa création fait suite au refus par l'Association de la noblesse française (ANF) d'accueillir des descendants de personnes dont la noblesse est considérée comme « inachevée » en 1790[1]. Les archives de l'association sont conservées par les Archives départementales de la Haute-Vienne[2],[3].

  • ADF, Bulletin n° 8 à 15, janvier 1981 - juillet 1983, Les juridictions et chancellerie anoblissantes à la fin de l'ancien régime : liste des officiers par juridictions
  • ADF, Bulletin n° 21, mars 1986, Essai de lexique raisonné de droit nobiliaire
  • ADF, Bulletin n° 23, janvier 1987, Les forces armées à la fin de l'ancien régime et la noblesse : essai

Référence[modifier | modifier le code]

  1. François de Coustin, Gens de noblesse aujourd'hui, Flammarion, 1989
  2. http://www.archives-hautevienne.com/guide_chercheur/serie_detail_popup.php4?idSerie=228 . Lien cassé (constaté le 25 janvier 2018).
  3. http://archives.haute-vienne.fr/a/863/association-pour-l-histoire-et-la-defense-des-dernieres-familles-anoblies-par-charge-5-j-/ . Consulté le 26 janvier 2018.

http://archives.haute-vienne.fr/a/863/association-pour-l-histoire-et-la-defense-des-dernieres-familles-anoblies-par-charge-5-j-/  : cet organisme officiel indique qu’il détient les « Dossiers d'admission des membres »

https://juricaf.org/arret/FRANCE-CONSEILDETAT-19981230-157692 : arrêt du 30 décembre 1998 du Conseil d’État dans lequel l’ADF est partie : l’ADF a été créée en 1977 et était active en 1998 encore. deuxième source pour même arrêt : https://www.legifrance.gouv.fr/affichJuriAdmin.do?idTexte=CETATEXT000008010751 .

« ouvrage de 601 pages » : l’ADF figure dans l’Index avec un renvoi aux pages 148 et 480.

Nouvelle étude sur les SDR (secrétaires du roi)[modifier | modifier le code]

  • Cette étude n'est ni datée ni signée par ses auteurs.
  • Je suis d'accord, comme je l'avais déjà dit, pour reconnaître que les SDR ont accédé à la noblesse dès l'entrée en fonction de leur charge. Toutefois la noblesse a été supprimée par la Révolution française en 1790, l'Empire ne l'a pas rétablie, la Charte de 1814 n'a stipulé que ceci : "L'ancienne noblesse reprend ses titres". Donc le SDR et ses enfants ont ainsi pu reprendre leur noblesse en 1814 mais pas la transmettre à leurs descendants car la Charte de 1814 n'a pas recréée les charges anoblissantes donc plus possible de terminer les 20 ans, nécessaires pour rendre la charge héréditaire, entamés avant 1790. L'Empire n'ayant pas recréée la noblesse, la Charte de 1814 n'ayant pas recréée les charges anoblissantes.
  • Quel texte écrit noir sur blanc que les SDR qui n'ont pu effectuer leur 20 ans antérieurement à l'abolition de la noblesse en 1790 ont pu tout de même transmettre une noblesse héréditaire à leurs descendants ?
  • Étude incomplète en l'absence d'une partie qui présente au minimum les principales données sociologiques de ces familles. Contrairement à l'article de Wikipédia cette étude n'aborde pas l'aspect sociologique de ce sujet or comment savoir si ces familles, malgré l'exercice de leur charge, étaient bel et bien intégrées au sein de la noblesse ? Pour qu'une famille soit intégrée au sein de la noblesse il fallait : des qualification nobles, pas d'activités dérogeantes, des fiefs nobles, payer l'impôt noble (au 18e siècle la capitation noble et le vingtième noble), servir le roi (de préférence dans l'armée) et bien entendu s'allier dans la noblesse. Quand je dis famille c'est toute la famille qu'il faut prendre en compte et non quelques personnes (le SDR alors en charge et ses enfants). Si on veut aller plus loin, s'il n'y en a vraiment que 15 cela peut se faire très rapidement, sur Wikipédia nous trouvons cela :
    • Famille Prudhomme de La Boussinière : 2 notaires au 18e, 1 "député" du Tiers en 1787, a priori pas d'alliances nobles, pas d'officiers militaires
    • Famille Paulze d'Ivoy de La Poype : fonctions subalternes/non anoblissantes/dérogeantes (avocat, procureur, capitaine-châtelain), une fonction financière (fermier général), 4 ou 5 alliances nobles donc 2 très récentes pour l'époque (enfants d'anoblis), 2 militaires (grades ?)
    • Famille de Monseignat : fonctions subalternes/non anoblissantes/dérogeantes (receveur des gabelles), convoqué aux assemblées de la noblesse du Rouergue en 1789 (pas une preuve de noblesse), 3 alliances supposées avant 1789 avec des familles à particules mais la noblesse de ces dernières reste à prouver, pas d'officiers militaires
    • Henry de Ségogne : vote noble en 1789 (pas une preuve de noblesse)
    • Famille Lefebvre de Laboulaye : fonctions subalternes/non anoblissantes/dérogeantes (marchand, avocat, notaire), 1 alliance avant 1789 avec une famille à particule mais la noblesse de cette dernière reste à prouver, pas d'officiers militaires
    • Famille de Rodat : fonctions subalternes/non anoblissantes/dérogeantes (présidial), un député du Tiers en 1789, officiers militaires, 2 alliances nobles mais pour les autres particules à confirmer

Page 19 : pas une preuve de noblesse, une reconnaissance locale et symbolique pour la charge de SDR oui, noblesse personnelle oui

Page 28 : définition sociologique presque parfaite. J'avais déjà remarqué ceci SDR puis après maintenue (ex. famille de Rességuier) alors qu'il fallait en théorie prouver 100 ans ...

Page 54 : 1870 faux et absence d'un texte noir sur blanc qui écrit "SDR nobles et héréditaires"

Pages 64 et 65 : TI familial, interprétations, déductions, généralisations. La jurisprudence de la Restauration n'est pas la même que celle de l'AR, PPC lui-même le dit.

Page 66 : Flatterie des auteurs de l'étude sur la famille de Verdelhan, ce n'est pas un anoblissement mais la reconnaissance d'une ancienne noblesse. En effet des personnes ou des familles cherchaient à consolider leur noblesse par l'exercice d'une charge de SDR par exemple.

Ok avec la Charte de 1814 mais comme elle n'a pas rétablie la charge de SDR impossible de terminer les 20 ans et donc de transmettre la noblesse comme je l'ai déjà dit. Donc René (et ses 2 fils ? Les fils n'étaient nobles que tant que le père était en fonction, donc comme plus en fonction depuis 1790 ses 2 fils sont depuis cette date retombés dans le Tiers) a été noble jusqu'à sa mort et en l'absence d'un rétablissement de la charge de SDR pour terminer les 20 ans ses descendants redeviennent non nobles.

Auteurs de l'étude sur la défensive voire agressifs (nous attendons vos sources pour nous contredire), rappels parfois insistants donc inutiles, exemples des familles Prudhomme et Paulze inopportuns qui donnent une impression de règlements de compte par rapport à Wikipédia évidemment ...

Si une décision de justice prouvait que les petits-fils d'un SDR n'ayant pas fait les 20 ans pour cause de Révolution française sont nobles du fait de la charge de leur grand-père, là la noblesse héréditaire serait prouvée, or ce n'est pas le cas.

Étude fouillée, étayée et précise mais qui ne démontre pas que les SDR n'ayant pas fait les 20 ans pour cause de Révolution française aient pu légalement et juridiquement transmettre à leurs descendants une noblesse héréditaire.

Famille de la Roque-Bouillac[modifier | modifier le code]

de La Roque-Bouillac
Image illustrative de l’article Iyy/Brouillon
Armes

Blasonnement D'argent, au chef d'azur chargé de trois rocs d'or.
Période XIe siècle – XIXe siècle
Pays ou province d’origine Drapeau du Rouergue Rouergue
(Drapeau de la Guyenne Province de Guyenne)
Allégeance Drapeau du Royaume de France Royaume de France
Demeures Château de La Roque Bouillac
Fonctions militaires Commandant pour le roi en Guyenne
Récompenses militaires Ordre de Saint-Michel
Preuves de noblesse
Admis aux honneurs de la Cour 1787

La famille de La Roque-Bouillac est une famille éteinte de la noblesse française.

Parmi ses membres, elle compta principalement des hommes de guerre.

Origines[modifier | modifier le code]

La famille de La Roque-Bouillac est originaire de Bouillac dans le Rouergue où elle est citée dès le XIe siècle[1].

Histoire[modifier | modifier le code]

Cette famille porte le nom du château de La Roque, situé dans la paroisse de Bouillac, sur les bords du Lot[1].

Jean de La Roque est cité en 1014[1]. Hugues de La Roque en 1230. Guibert, Bernard et Bertrand de La Roque en 1283[1].

La filiation débute avec Géraud de La Roque qui vivait en 1304[1].

Branches

  • la branche aînée s'éteint en 1737
  • la branche cadette dite de La Guimerie s'éteint en 1754 (descendance famille de Solages en 1737 puis famille de Barrau en 1759 dont descendance actuellement)
  • la dernière branche s'éteint entre la fin du XVIIIe siècle et le début du XIXe siècle (descendance famille de Toulouse-Lautrec en 1808)

Gilles, baron de La Roque-Bouillac, ruiné, vendit en 1719 le château et la terre de La Roque-Bouillac à un certain M. Dunal, de la ville de Montauban, qui vers 1725 revendit l'ensemble à François Delfau, seigneur de Roquefort, coseigneur de la baronnie de Camboulit, receveur des tailles à Figeac[2].

La dernière fille de la famille de La Roque-Bouillac est morte en 1879.

Personnalités[modifier | modifier le code]

Les principaux membres de la famille de La Roque-Bouillac sont[1] :

  • Jean Ier de La Roque, seigneur de La Roque à Bouillac et de Ferrières, écuyer du roi Charles VI
  • Jean II de La Roque, seigneur de La Roque, fils de Jean Ier de La Roque et d'Isabeau d'Arman. Marié le avec Jeanne de La Roque de Salles, fille de Gérard de La Roque et d'Anne de Béranger. En l'année 1424 il fut l'un des trois français qui furent choisis par le roi pour combattre à la tête des deux armées qui étaient campées à Saint-Ouen, près Saint-Denis, où les français remportèrent l'avantage.
  • Jean de La Roque, seigneur de Bouillac, de Viviers, de Fernoël, fils de Nicolas et de Jeanne Ricard de Genouillac. Il fut lieutenant de la compagnie de gendarmes de son oncle Galiot de Genouillac (1465-1546), grand écuyer et grand-maître de l'artillerie. Il est fait chevalier de l'ordre de Saint-Michel l'année où il épouse la Catherine de Morlhon-Veuzac, fille de Jean et de Catherine de Cazillac. Il meurt en 1607 en laissant une fille et un fils Nicolas dont descend :
  • Flotard de La Roque, seigneur de Bouillac, fils de Nicolas et de Jeanne de Clugny. Chevalier de l'ordre de Saint-Michel, commandant en Guyenne pour le roi en l'absence de M. le maréchal de Montluc. Il se marie trois fois et meurt en 1607.
  • Jean-Charles Flotard de La Roque-Bouillac (né en 1742 à Montcabrier (Lot)), dernier du nom, colonel de cavalerie, chevalier de Saint-Louis, admis aux honneurs de la Cour en 1787[3]. De son mariage le à Chapelle Saint-André des Arques avec Marie du Bosc (1763), fille de François-Augustin et de Jeanne de Chaperon, il a une fille :
  • Adèle de La Roque-Bouillac (Cahors 1789 - Gaillac 1879), mariée le à Bordeaux avec Jean-Joseph de Toulouse-Lautrec (Rabastens, 1783 – Montauban, 1826), vicomte de Monfa, dont descendance actuellement.

Alliances[modifier | modifier le code]

La famille de La Roque-Bouillac a contracté des alliances avec les familles[1] : de Ferrières, d'Arman, 1431 de Murat de Loupiac, 1474 de Ricard-Genouillac, de Morlhon, 1531 de Clugny, de Cardaillac, 1531 de Lentillac, de Secondat de Roquefort, 1578 d'Arjac, de La Valette, 1620 de Alaire, 1695 Delpech de Cagnac, de Beaufort, 1576 de Baulac, 1586 d'Hébrail, 1612 et 1663 de Nupces, 1620 de Buado de Frontenac, 1724 de Ciron, 1737 de Solages, 1808 de Toulouse-Lautrec.

Armes, blasons, devises[modifier | modifier le code]

  • de La Roque-Bouillac : D'argent, au chef d'azur chargé de trois rocs d'or[4],[5]
  • Armes citées à la fin du XIXe siècle par d'Aubais : Au 1er d'azur, au château sommé de trois tourions d'argent, maçonné de sable, soutenu de deux lions d'or armés et lampassés de gueules et accompagnés de trois rocs d'or posés 2 et 1 ; au 2 contre écartelé, au 1 et 4 d'azur, à deux chefs d'or ; au 2 et 3 de gueules à 3 fleurs de lis d'or et de gueules ; au 4 d'argent au lion de sable ; sur le tout d'argent au chef d'azur, chargé de trois rocs d'or, qui est de La Roque-Bouillac. (D'Aubais, pièces fugitives)[1]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e f g et h H. de Barrau, Documents historiques et généalogiques sur les familles du Rouergue, ..., tome 2, article de La Roque-Bouillac, pages 219 à 228.
  2. Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome 13, pages 243 à 246 Delfau de Pontalba.
  3. H. de Barrau mentionne également la date de 1784, tome 1, page 85, dans son ouvrage Documents historiques sur le Rouergue ....
  4. Maisons historiques de Gascogne, Guienne, Beárn, Languedoc et Peŕigord par J. Noulens page 334 [1].
  5. Rietstap [2].

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Familles de Meaux[modifier | modifier le code]

Il a existé plusieurs familles de Meaux. De nos jours on recense deux familles différentes de ce nom, l'une est une famille d'ancienne bourgeoisie originaire de Picardie (Vervins), l'autre est originaire du Beaujolais et appartient aux familles subsistantes de la noblesse française[1].

Une autre famille, connue comme la maison de Meaux, tirait son origine des anciens comtes ou gouverneurs de Meaux en Brie et s'éteignit au XVIIIe siècle[2].

Famille de Meaux (Brie)[modifier | modifier le code]

La maison de Meaux tirait son origine des anciens comtes ou gouverneurs de Meaux en Brie et s'éteignit au XVIIIe siècle[2].

Selon la légende, elle compte à son berceau un grand nombre de saints et de personnages recommandables par leur piété, tels que Saint-Walbert, Saint Cognoald, Saint-Faron, Saint-Authaire, Saint-Ouen, Sainte-Fare, Acto, trésorier des finances sous Dagobert et fondateur du monastère de Jouarre, Anscheric, évêque de Paris et chancelier de France sous Charles-le-Chauve, et Gauthier, vicomte de Meaux, dit Giffart, compagnon de Saint-Louis à la croisade de 1248[3]. C'est ce dernier qui rapporta en France la couronne d'épines du Christ ; pour perpétuer ce souvenir, il abandonna les armoiries de sa famille : de sable, à une jumelle d'argent, et avec l'agrément du roi il leur substitua celles-ci : d'argent, à cinq couronnes d'épines de sable[2],[3].

Elle donna un premier président au Parlement de Toulouse, au XVe siècle, neuf chevaliers de Malte, dont deux commandeurs, et un grand prieur de France[2].

Cette famille donna onze branches qui possédèrent de nombreuse seigneuries : Douy, La Ramée, Ussy-sur-Marne, Corbains, Royses, Coulommiers en Brie, Charny, Quincy, La Brosse, Beauvines,, Maupertuis, Boisboudran, Neufvie, Grateloup, Chéry, Berthenay, Marly-La-Ville, Rocourt, Vallières, Forfery, Boyer, Forges, Violaine, Rudefontaine, l’Isle-en-Saintonge, Fouilloux, Chassagne, d’Anville, Courtry, Pin, La Marche La Vernade, Château-Lambert etc.[5].

Famille de Meaux (Mâcon, Forez)[modifier | modifier le code]

Cette famille de Meaux, originaire de la ville de Mâcon où elle a donné plusieurs magistrats, avant de faire souche à Montbrison par le mariage en 1724 à Montbrison d'Étienne Demeaux (Mâcon 1698 - 1746 Montbrison), fils de Charles Demeaux et de Henriette Paisseau, avec Jeanne-Marie-Louise Du Puy du Perrier, fille de Pierre du Puy du Perrier, avocat aux conseils du roi, et de Marie-Antoinette de Punctis[6]. Elle fut anoblie par charge de secrétaire du roi de 1704 à 1709 et porte pour armes d'azur au chevron d'or accompagné en chef de deux étoiles et en pointe d'un trèfle du même.[1],[7].

Elle remonte sa filiation à Guillaume de Meaux, avocat et bourgeois de Villefranche[8],[7].

Elle s'est illustrée avec plusieurs personnalités:

Famille de Meaux (Picardie)[modifier | modifier le code]

Cette famille Demeaux puis de Meaux est une famille d'ancienne bourgeoisie française originaire de Vervins en Picardie. Le 31 mai 1878 Henri Demeaux inspecteur des lignes télégraphiques, chevalier de la Légion d'honneur agissant en son nom et en celui de ses enfants mineurs issus de son mariage avec Madame Pauline Henriette Esther Saingery son épouse et Paul Frédéric Demeaux agissant en son nom et en celui René Louis Raoul Demeaux son fils mineur issu de son mariage avec Madame Louis Hélène Duguet son épouse, obtinrent par jugement du tribunal de Rocroi la rectification de leur nom Demeaux en de Meaux[11].

Cette famille donna :

  • Honneste homme Jehan Demeaux, marchand, demeurant en la ville de Vervins, qui achète le château du Chaudron à Origny qu’il revend peu après[12].
  • Jean Demeaux, un des échevins de Vervins en 1620[13].
  • Abraham Demeaux, conseiller du roi et assesseur en la mairie de Vervins en 1697, est imposé à la taille pour 150 livres[14]. Il a eu un petit-fils Nicolas-Antoine de Meaux (1708 Signy-le-Petit - 1779 Vitry-le-François) qui achète un office de receveur des tailles, octrois en l'élection de Vitry-le-François le 6 juillet 1749, devient subdélégué de l'intendant à Vitry, puis conseiller secrétaire du roi en la grande chancellerie, Maison et couronne de France près le parlement de Grenoble.
  • Abraham Demeaux a eu un frère, Raoul Demeaux (1634-1725) qui était marchand, habitant à Lalobbe près de Signy-l'Abbaye en 1678 lors de son mariage à Signy-l'Abbaye avec Elisabeth Bevière, puis conseiller du roi, est la souche de la famille subsistante.
  • Louis-Antoine-Raoul de Meaux, écuyer, seigneur d'Armonville, ancien capitaine d'infanterie, chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis[15], marié en 1720 à Marie-Anne Galopin[16].

Armes et devise[modifier | modifier le code]

  • Armes : D'argent à cinq couronnes d'épines de sable 2 et 1 (empruntées à la maison de Meaux ci-dessus)[réf. nécessaire]

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Régis Valet& géte, Catalogue de la noblesse française, p. 137
  2. a b c et d Revue nobiliaire héraldique et biographique, publ. par m. Bonneserre de St-Denis, vol. 1 (lire en ligne), p. 64-65
  3. a et b Charles Gavard, Galeries Historiques du Palais de Versailles, tome VI, vol. 1 (lire en ligne), p. 471
  4. a b et c H. de Clairval, "Maison de Dreux", Héraldique & généalogie, ISSN= ? date=? n°183, pages 127-130.
  5. Léon de Beaumont, Origine, services et alliances de la maison de Bremond d'Ars, 1861, pages 174-175.
  6. Raoul Chassain de La Plasse, Marie-Camille-Alfred vicomte de Meaux, membre de l'Assemblée nationale de 1871 (lire en ligne), p. 6
  7. a et b Henri Jougla de Morenas, Grand Armorial de France, t. 5 (lire en ligne), p. 31
  8. Bulletin de la Société héraldique et généalogique de France, vol. 6 (lire en ligne), p. 361
  9. a et b « Iyy/Brouillon », dans Adolphe Robert et Gaston Cougny, Dictionnaire des parlementaires français, Edgar Bourloton, 1889-1891 [détail de l’édition] volume=? page= ?
  10. Raoul Chassain de La Plasse, Marie-Camille-Alfred vicomte de Meaux, membre de l'Assemblée nationale de 1871 (lire en ligne), p. 2-3
  11. Registre des naissances de Nogent-sur-Marne - Jugement du tribunal de Rocroi rectifiant le nom Demeaux en de Meaux - 31 mai 1878.
  12. Édouard Michaux, Histoire d'Origny-en-Thiérache et de ses environs, J. Lecerf, 1894, page 226.
  13. E. Mennesson, Histoire de Vervins depuis l'invasion de la Gaule par les Romains jusqu'en 1789, 1896, page 234.
  14. Histoire de Nicole de Vervins d'après les historiens contemporains et témoins oculaires, ou, Le triomphe du Saint Sacrement sur le démon à Laon en 1566, Plon, 1863, page 471.
  15. Inventaire sommaire des Archives départementales des Ardennes antérieures à 1790, lithographie de F. Devin & A. Anciaux, 1890, page 287.
  16. Revue historique ardennaise - Volumes 33 à 35, 1998, Page 127.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Régis Valette, Catalogue de la noblesse française, Éditions Robert Laffont,
  • Léon de Beaumont, Origine, services et alliances de la maison de Bremond d'Ars, (lire en ligne) (maison de Meaux)
  • Revue nobiliaire héraldique et biographique, publ. par m. Bonneserre de St-Denis, vol. 1, (lire en ligne) (maison de Meaux)
  • Charles Gavard, Galeries Historiques du Palais de Versailles, t. VI : Armoiries de la Salle des Croisades, vol. 1, Paris, (lire en ligne)
  • Raoul Chassain de La Plasse, Marie-Camille-Alfred vicomte de Meaux, membre de l'Assemblée nationale de 1871, E. Brassart, (lire en ligne)
  • Bulletin de la Société héraldique et généalogique de France, vol. 6, (lire en ligne)

Discussions[modifier | modifier le code]

Famille Demeaux puis "de Meaux" d'ancienne bourgeoisie originaire de Picardie autorisée a modifier son nom en 1878[modifier | modifier le code]

Cette famille Demeaux puis de Meaux est une famille d'ancienne bourgeoisie française. Le 31 mai 1878 Henri Demaux inspecteur des lignes télégraphiques, chevalier de la Légion d'honneur agissant en son nom et en celui de ses enfants mineurs issus de son mariage avec Madame Pauline Henriette Esther Saingery son épouse et Paul Frédéric Demeaux agissant en son nom et en celui René Louis Raoul Demeaux son fils mineur issu de son mariage avec Madame Louis Hélène Duguet son épouse, obtinrent par jugement du tribunal de Rocroi la rectification de leur nom Demeaux en de Meaux voir : Registre des naissances de Nogent-sur-Marne - Jugement du tribunal de Rocroi rectifiant le nom Demeaux en de Meaux - 31 mai 1878..

Cette famille donna :

Un contributeur lui a attribué à tort des seigneuries possédées en réalité par les différentes branches de la maison de Meaux éteinte et totalement différente de cette famille bourgeoise. Voir pour le seigneuries de la maison de Meaux : Léon de Beaumont, Origine, services et alliances de la maison de Bremond d'Ars, 1861, pages 174-175.. --HDlen (discuter) 26 avril 2022 à 19:44 (CEST)

Notes et références[modifier | modifier le code]