Université de technologie de Compiègne

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Université de technologie de Compiègne
Logo de l'UTC
Histoire
Fondation
Statut
Type
Forme juridique
Établissement public national à caractère scientifique culturel et professionnel (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Fondateur
Président
Directeur
Claire Rossi (2022)[1]
Devise
Donnons un sens à l'innovation
Membre de
Site web
Chiffres-clés
Étudiants
4 400 élèves ingénieurs (en 2022)
Effectif
850Voir et modifier les données sur Wikidata
Enseignants
390 enseignants dont 92,47% enseignants-chercheurs (en 2022)
Localisation
Pays
Ville
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
(Voir situation sur carte : Hauts-de-France)

L’université de technologie de Compiègne (UTC) est un établissement public d’enseignement supérieur et de recherche, situé à Compiègne dans la région Hauts-de-France en France, c’est l'une des 204 écoles d'ingénieurs françaises accréditées au à délivrer un diplôme d'ingénieur[4].

Elle est également habilitée par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche pour ses formations licence professionnelle, master et doctorat.

C’est une des trois universités de technologie françaises. Elle est membre de la communauté d'universités et établissements Sorbonne Universités et de la Conférence des grandes écoles.

Histoire[modifier | modifier le code]

L'UTC vue de l'extérieur (centre Benjamin-Franklin).

L'UTC a été fondée à l'initiative de Guy Deniélou, officier de marine et ingénieur chercheur au Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA). Il quitte son poste de chef du département des réacteurs à neutrons du CEA pour fonder l'UTC en 1972 et en devient président de 1974 à 1987[5]. La définition par Guy Deniélou de la technologie est « le nom pris par la science quand elle a pour objet les produits et les procédés de l’industrie humaine".

En 1981, l'établissement acquiert son statut de grande école.

Une antenne de l'UTC est ouverte à Sévenans en 1985 sous le nom d'UTCS (université de technologie de Compiègne à Sévenans) puis devient l'IPSé (Institut polytechnique de Sevenans) en 1991[6]. L'Institut de génie technologique de Troyes, autre antenne de l'UTC ouvre ses portes en 1993, celle-ci deviendra l'UTT (université de Technologie de Troyes) l'année suivante[7]. Une troisième université de technologie voit le jour en 1999 : l'IPSé et l'École nationale d'ingénieurs de Belfort (ENIBe) fusionnent sous le nom d'UTBM (université de technologie de Belfort-Montbéliard)[6]. En 2002, le réseau des universités de technologie est créé[réf. souhaitée]. L'université de technologie sino-européenne de l'université de Shanghai est créée en 2005[8].

En 2006, l'UTC se voit attribuer le label Carnot pour ses activités de recherche partenariale (et création de l'Institut Carnot UT regroupant les laboratoires de l'UTC et de l'UTT). Le premier collegium français est créé en 2009 et fédère l'ensemble des laboratoires de l'UTC. En 2012, l'UTC rejoint le pôle de recherche et d'enseignement supérieur Sorbonne Universités[9], en qualité de membre fondateur non initial. La même année, l'UTC ouvre le cursus « Humanités & technologie » de trois ans permettant aux bacheliers des sections S, ES et L spé maths d'intégrer un cycle ingénieur au niveau BAC+3 (ou de continuer vers un master soit à l'UTC, soit parmi les partenaires de l'UTC au sein du PRES Sorbonne Universités). En 2013, le Groupe UT est créé. En 2014, un nouveau bâtiment pour recherche et l'innovation technologique des transports est inauguré à l'UTC.

Enseignement[modifier | modifier le code]

Formation d'ingénieurs[modifier | modifier le code]

L'UTC propose un certain nombre de formations d’ingénieurs habilitées par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche après l’avis de la commission des titres d'ingénieur. D'une durée de cinq années, elles sont accessibles directement après le baccalauréat. L'admission se fait sur titre, dossier scolaire et entretien de motivation et est commune aux trois universités de technologie (UTBM, UTC et UTT). Le cursus comprend un tronc commun de deux années, puis un cycle d’ingénieur sur trois ans.

De plus, chaque branche possède plusieurs filières différentes. Ainsi, le cycle ingénieur de 3 ans comporte 2 semestres pendant lesquels les étudiants obtiennent des connaissances communes à leur branche, un premier stage de 6 mois, 2 semestres pendant lesquels les étudiants se spécialisent dans le cadre d'une filière, et enfin un dernier stage de 6 mois.

L'UTC propose cinq spécialisations :

  • Génie biologique (par la formation initiale ou continue), avec les filières "Biomécanique et Biomatériaux", "Biomédicale", "Conception et innovation de bioproduits" et "Innovation aliments et agro-ressources" ;
  • Génie des procédés (par la formation initiale ou continue), avec les filières "Agro-industries", "Modélisation, conception, optimisation des procédés", "Qualité, sécurité, environnement" et "Thermique énergétique".
  • Génie informatique (par la formation initiale, continue ou par la voie de l'apprentissage depuis ), avec les filières "Intelligence artificielle et science des données", "Informatique embarquée et systèmes autonomes" et "Ingénierie des systèmes informatiques" ;
  • Ingénierie mécanique (par la formation initiale, continue ou par la voie de l'apprentissage), avec les filières "Acoustique et vibration pour l'ingénieur", "Conception mécanique intégrée", "Ingénierie du design industriel", "Mécatronique, actionneurs, robotisation et systèmes", "Matériaux et innovations technologiques", "Données et fiabilité pour l'industrie", "Production intégrée et logistique" et "Simulation pour l'ingénierie mécanique", ou avec les parcours par apprentissage "Conception" et "Industrialisation" ;
  • Génie urbain (par la formation initiale ou continue), avec les filières "Bâtiment" et "Aménagement, mobilité, transport".

Humanités et technologie[modifier | modifier le code]

Alternative au tronc commun (deux premières années du cursus ingénieur classique), l'UTC ouvre la section Humanités et technologie en 2012[10]. C'est une formation d'ingénieur qui permet d'intégrer des lycéens issus des filières à la fois scientifiques mais aussi littéraires (option mathématiques) et économiques. À ce titre, cette licence envisage les sciences humaines comme partie prenante de la formation d'ingénieur.

Ce cursus donne accès à tous les cycles d'ingénierie de l'UTC : le génie informatique, le génie biologique, le génie des systèmes urbains, l'ingénierie mécanique et le génie des procédés. Les étudiants peuvent aussi poursuivre en Master, puisque ce cursus prépare à aborder des thématiques proposées dans des Masters à l'UTC ou hors UTC (notamment parmi les partenaires de l'UTC au sein du PRES Sorbonne Universités), telles que « Stratégie pour l'innovation en situation complexe », le « Design centré utilisateur » ou la gestion des connaissances (« Knowledge management »).

Dans le contenu, le cursus se veut pionnier dans le fait de penser rigoureusement la société industrielle, et les conséquences des inventions et innovations de technologies entreprises dans les projets d'ingénierie. Il reprend notamment l'héritage que Bernard Stiegler, le philosophe des techniques, a laissé lors de son passage à l'UTC, pour aborder de manière transversale la technologie par le prisme de l'histoire des techniques, l'épistémologie, des sciences cognitives, ou encore du design[11]. À terme, l'étudiant deviendra donc un ingénieur « technologue ».

Masters sciences et technologies[modifier | modifier le code]

L'UTC délivre quatre mentions de master « sciences et technologies »[12] dans neuf spécialités différentes. Ces programmes sont ouverts aussi bien aux élèves de l’UTC en dernière année qu'à des étudiants extérieurs à l'université. Ces derniers peuvent intégrer le master en première (M1) ou deuxième année (M2). Par ailleurs, un certain nombre de conventions signées avec d'autres écoles (UTBM, UTC, UTT, ESCOM, ESIEE Amiens, ESAD Amiens…) permettent à des élèves-ingénieurs en dernière année dans l'une d'entre elles, d'entrer directement en deuxième année et d'effectuer ainsi un double-diplôme. Les masters proposés:

Mastères spécialisés[modifier | modifier le code]

L'UTC propose également trois mastères spécialisés accrédités par la Conférence des grandes écoles :

  • Équipements biomédicaux ;
  • Ingénierie et management des technologies de santé ;
  • Systèmes de transports ferroviaires et urbains (en partenariat avec l'École des Ponts ParisTech et l'ENSIAME) ;
  • Normalisation, Qualité, Certification et Essais (formation organisée à distance).

Licences professionnelles[modifier | modifier le code]

L'UTC propose une licence professionnelle « Maintenance des systèmes pluritechniques » cette dernière est accessible à partir d'une bac+2. On peut réaliser cette licence en formation continue et en formation alternance avec un cycle de 2 semaines en entreprise et 2 semaines à l'école.

École doctorale[modifier | modifier le code]

L'UTC est habilitée à délivrer le doctorat. Elle possède une école doctorale propre intitulée « Sciences pour l'ingénieur ». Près de 300 étudiants sont inscrits en doctorat à l'UTC, et étudient l’un de ses six champs disciplinaires dédiés aux sciences technologiques et aux sciences humaines. L'université dispose de neuf laboratoires de recherche et confère environ 50 doctorats par an dans les champs disciplinaires suivants :

  • Bio-ingénierie, biomécanique, biomatériaux ;
  • Biotechnologie ;
  • Génie des procédés industriels et développement durable ;
  • Mécanique Avancée ;
  • Technologies cognitives, management de l'innovation et systèmes complexes ;
  • Technologies de l'information et de systèmes.

Pour postuler aux études doctorales de l'UTC, il est nécessaire d'être titulaire d’un master ou d’un diplôme français ou étranger de niveau équivalent.

Programmes internationaux[modifier | modifier le code]

L'UTC participe à des programmes d'échanges internationaux comme Erasmus ou BRAFITEC, et a signé des accords de coopération bilatérale avec des universités, dans les principales régions du globe. Les destinations proposées aux UTCéens incluent les pays européens (Croatie, Lituanie, Espagne, Italie, Allemagne, Portugal, …) , le Canada et les États-Unis. Néanmoins d'autres pays, comme le Brésil, le Mexique, ou Singapour, sont également de plus en plus plébiscités.

Double diplôme[modifier | modifier le code]

L'UTC propose 22 doubles diplômes avec des universités étrangères. Ces accords ne sont pas uniquement européens et permettent aux étudiants concernés d'obtenir à la fois un diplôme d'ingénieur de l'UTC et un Master of Sciences de l'université dans laquelle est effectué le séjour.

Recherche et Innovation[modifier | modifier le code]

Axes de recherche[modifier | modifier le code]

La recherche à l'UTC s'articule autour de quatre axes d'innovation :

  • technologies bio-inspirées et développement durable ;
  • transport intelligent propre et sûr ;
  • écoconception : matériaux, énergie, équipements et habitat ;
  • interaction homme-systèmes technologiques et sociaux.

Ces derniers sont divisés en neuf thèmes de recherche répartis dans neuf laboratoires au total. Parmi les neuf unités de recherche, quatre sont des UMR[13].

Les activités de recherche de l'université de technologie de Compiègne se sont vu attribuer le label Carnot depuis 2006[14].

Unités de recherche[modifier | modifier le code]

L'UTC est composée de neuf unités de recherche

  • Biomécanique et Bioingénierie (BMBI)
  • Génie Enzymatique et cellulaire (GEC)
  • Laboratoire d'heuristique et de diagnostic des systèmes complexes (Heudiasyc), UMR 7253
  • Laboratoire Roberval (Mécanique, Acoustique et Matériaux), UMR 7337
  • Modélisation Multi-échelle et Multi-physique des espaces Bâtis (Avenues GSU)
  • Connaissance, Organisation et Systèmes Techniques (Costech)
  • Laboratoire d’électromécanique de Compiègne (LEC)
  • Laboratoire de mathématiques appliquées de Compiègne (LMAC)
  • Transformations intégrées de la matière Renouvelable (TIMR)

Fondation UTC pour l’innovation[modifier | modifier le code]

L’objectif de la Fondation UTC pour l’innovation est de renforcer les liens déjà largement entretenus entre l’enseignement supérieur, la recherche et le tissu socio-économique. Parmi les premiers donateurs qui font partie du cercle des membres fondateurs, citons :


Classements[modifier | modifier le code]

Classements nationaux (classée en tant qu'UTC au titre de ses diplômes d'ingénieur)

Le Figaro
L'Usine Nouvelle
Nom Année Rang
L’Usine Nouvelle[15] 2021 26-27
L’Usine Nouvelle[16] 2022 35
L’Usine Nouvelle[17] 2023 42
L'Etudiant
Nom Année Rang
L’Étudiant[18] 2021 16-18
L’Étudiant[19] 2022 14-16
Le Figaro
Nom Année Rang
Le Figaro[20] 2022 21-22
DAUR Rankings
Nom Année Rang
DAUR Rankings[21] 2020 25
DAUR Rankings[22] 2021 50
DAUR Rankings[23] 2022 50


Classements internationaux (classée en tant qu'UTC)

Nom Année Rang (monde) Rang (France)
CWUR[24] 2021-2022 1755 74
QS Top Universities[25] 2022 N.C. N.C.
Shanghai Ranking[26] 2021 N.C. N.C.
Times Higher Education[27] 2022 1001-1200 33-35
Times Higher Education[28] 2023 1201-1500

Vie étudiante[modifier | modifier le code]

Plus de 100 associations culturelles et sportives sont proposées aux étudiants. Celles-ci sont gérées par le Bureau Des Étudiants (BDE) qui propose aux étudiants de nombreux services et activités et qui permet à l'UTC de s'étendre dans toute la ville en créant des évènements citoyens comme «Tous Unis pour la Cité», l'«Imaginarium Festival» (jusqu’en 2023), le festival «Festupic» (jusqu’en 2022), le «Spectacle Son et Lumière» et encore d'autres[9].

Étudiants et professeurs connus[modifier | modifier le code]

Présidents et directeurs de l'UTC[modifier | modifier le code]

Présidents du conseil de l'université et du conseil d'administration[modifier | modifier le code]

Directeurs généraux de l'UTC
Nom Début Fin Formation Faits notables Références
1 Guy Deniélou Sciences Po Fondateur de l'École, et concepteur du réacteur à neutron rapide Phénix au CEA.
2 Michel Lavalou ESPCI ParisTech (1954) Chimiste qui a fait sa carrière au sein du département R&D de Rhône Poulenc. [32]
3 François Peccoud École polytechnique (1963) Un pionnier de l'informatique à l'IMAG de Grenoble [33]
4 Ronan Stephan École nationale supérieure d'ingénieurs de Caen (1989) Directeur [34]
5 Pierre Charreyron Ecole centrale Paris Directeur [35]
6 Alain Storck École nationale supérieure des industries chimiques (1972) Chimiste et ancien directeur de l'ENSIC puis de l'INSA Lyon. [36]
7 Philippe Courtier octobre 2020[37] École polytechnique (1978), École nationale de la météorologie (1984) Directeur de Météo-France et ancien directeur de l'École nationale des ponts et chaussées (2004-2012) puis de l'EM Lyon (2012-2013). [38]
8 Christophe Guy février 2021 août 2022[39] Institut national supérieur de chimie industrielle de Rouen (1981) Directeur général de l'École polytechnique de Montréal (2007-2017) [40]
9 Claire Rossi décembre 2022 École nationale supérieure de chimie de Toulouse - université de technologie de Compiègne Professeure des Universités. Première directrice de l'UTC depuis 50 ans. [41]

Bâtiments[modifier | modifier le code]

L'UTC n'a pas de campus unique et centralisé. Les bâtiments sont volontairement répartis sur plusieurs sites dans Compiègne afin de favoriser l'intégration des futurs ingénieurs dans la « vie de la cité »[42].

En centre-ville :

Dans le quartier de Royalieu :

  • centre de recherche (laboratoires, cours masters, école doctorale) ;
  • centre Pierre-Guillaumat (laboratoires, services administratifs, cours ingénieurs, alternance et apprentissage) ;
  • centre de transfert (services administratifs, cours, séminaires) ;
  • centre d'innovation Daniel-Thomas (pôle projets) ;
  • centre Blaise-Pascal (génie informatique)[43].

Bibliothèques universitaires[modifier | modifier le code]

Bibliothèque universitaire du centre de recherche.

L'UTC possède deux bibliothèques universitaires. L'une d'elles se trouve au sein du bâtiment Benjamin Franklin et l'autre se trouve au sein du centre de recherche.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « BO de l'enseignement supérieur, de la recherche et de l'innovation du 18 novembre 2022 », sur www.enseignementsup-recherche.gouv.fr
  2. L'Usine Nouvelle, « UTC : présentation et chiffres », L'Usine nouvelle,‎ (lire en ligne)
  3. « UTC - Compiègne : Palmarès des écoles d'ingénieurs 2019 - L'Etudiant », sur www.letudiant.fr
  4. Arrêté du 25 février 2021 fixant la liste des écoles accréditées à délivrer un titre d'ingénieur diplômé.
  5. Bruno Jacomy, « Pierre Lamard, Yves-Claude Lequin, La technologie entre à l’université : Compiègne, Sevenans, Belfort-Montbéliard…, Belfort. UTBM, coll. Récits, 2006, 392 pages », Documents pour l’histoire des techniques. Nouvelle série, no 16,‎ , p. 217–221 (lire en ligne)
  6. a et b Pierre BALME, « Évaluation de l’université de technologie de Belfort – Montbéliard : Rapport à monsieur le ministre de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche » Accès libre [PDF], sur Ministère de l'Éducation Nationale, (consulté le )
  7. Marie-France Moraux, « Évaluation de l’université de technologie de Troyes : Rapport à monsieur le ministre de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche » Accès libre [PDF], sur Ministère de l'Éducation Nationale, (consulté le )
  8. « Introduction-上海大学中欧工程技术学院 », sur 法文版-上海大学中欧工程技术学院 (consulté le )
  9. a et b Marie-Annick Gallana, « Rapport d'évaluation de l’université de technologie de Compiègne (UTC) » Accès libre [PDF], sur Haut Conseil de l'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur, (consulté le )
  10. Humanités et Technologie.
  11. [1] Entrez à l’UTC par la voie "Humanités et technologies"
  12. « Master sciences et technologies », sur www.utc.fr.
  13. « Unités de recherche », sur www.utc.fr.
  14. « Universités de technologie et innovation pour l'entreprise », sur instituts-carnot.eu.
  15. « Le classement 2020 des écoles d'ingénieurs », sur Usine Nouvelle
  16. « Comparatif des écoles d'ingénieurs 2022 - Usine Nouvelle », sur www.usinenouvelle.com (consulté le )
  17. « Comparatif des écoles d'ingénieurs 2023 - Usine Nouvelle », sur www.usinenouvelle.com (consulté le )
  18. « Classement général des écoles d'ingénieurs », sur L’Étudiant
  19. « Classement 2022 des écoles d'ingénieurs - L'Etudiant », sur www.letudiant.fr (consulté le )
  20. « Le classement 2022 des écoles d'ingénieurs », sur Le Figaro étudiant
  21. « Le classement 2020 des écoles d'ingénieurs », sur daur-rankings.com
  22. « Le classement 2021 des écoles d'ingénieurs », sur daur-rankings.com
  23. « Le classement 2021 des écoles d'ingénieurs », sur daur-rankings.com
  24. « GLOBAL 2000 LIST BY THE CENTER FOR WORLD UNIVERSITY RANKINGS », sur CWUR
  25. « QS World University Rankings 2022 », sur QS Top Universities
  26. « 2021 Academic Ranking of World Universities », sur Shanghai Ranking
  27. « World University Rankings 2022 », sur Times Higher Education
  28. « World University Rankings 2023 », sur Times Higher Education
  29. Interview : « Marie Gayot, étudiante à l’UTC et athlète olympique »
  30. (en) « Gérard Béranger et Claire Etienne », sur curien-uneviepourlascience.cnes.fr (consulté le )
  31. « Jean-Louis Chaussade, Directeur Général de SUEZ, nommé Président du Conseil d’Administration de l’Université de Technologie de Compiègne (communiqué de presse) », sur utc.fr, (consulté le )
  32. « Biographie Michel Lavalou Ingénieur. », sur www.whoswho.fr
  33. « Président Peccoud », sur Histoires d'Universités
  34. https://www.lesechos.fr/26/03/2012/LesEchos/21152-041-ECH_ronan-stephan-du-ministere-de-la-recherche-a-alstom.htm
  35. Le 9 mars 2010 à 07h00, « Le nouveau président veut faire rayonner l'UTC à l'étranger », sur leparisien.fr,
  36. « Alain STORCK: biographie et actualités sur EducPros », sur www.letudiant.fr
  37. « Arrêté du 10 septembre 2020 portant admission à la retraite (ingénieurs des ponts, des eaux et des forêts) », sur www.legifrance.gouv.fr, (consulté le )
  38. « Philippe COURTIER: biographie et actualités sur EducPros », sur www.letudiant.fr
  39. « UTC : départ du directeur, Christophe Guy, pour "raisons personnelles",... », sur www.aefinfo.fr (consulté le )
  40. https://www.utc.fr/wp-content/uploads/sites/28/2021/02/arrete-nom-dir-utc-c-guy-signe.pdf
  41. https://www.enseignementsup-recherche.gouv.fr/fr/bo/22/Hebdo46/ESRS2233072A.htm
  42. a et b « UTC, bâtiment Benjamin Franklin - COMPIEGNE », sur Observatoire CAUE de l'architecture, de l'urbanisme et du paysage (consulté le )
  43. « Inauguration du bâtiment de Génie Informatique à l’UTC », sur Région Hauts-de-France, (consulté le )

Articles connexes[modifier | modifier le code]