Nantes Université

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Université de Nantes
Logo de l'université
Histoire
Fondation
[1]
Statut
Type
Forme juridique
Établissement public national à caractère scientifique culturel et professionnel (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Régime linguistique
Fondateur
Président
Membre de
Site web
Chiffres-clés
Étudiants
33 792 (2008-09)[4]
Enseignants
3 217 enseignants-chercheurs et enseignants (2008-09)[4]
Budget
267 millions d’euros (en 2009)[2],[N 1]
Localisation
Pays
Campus
Ville
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L’université de Nantes est une université française située à Nantes. Elle a été créée sous sa forme actuelle par un décret du 29 décembre 1961, mais trouve son origine dans l'Université de Bretagne fondée en 1461 par François II, duc de Bretagne et dissoute au moment de la Révolution française.

Elle possède plusieurs campus dans l'agglomération nantaise (Tertre, Lombarderie, centre-ville, Chantrerie), et compte aussi des antennes à Saint-Nazaire et à La Roche-sur-Yon.

Historique

L'université médiévale

Blason de l'université de Nantes (XVIIe-XVIIIe)

L’université de Bretagne est fondée par Bertrand Milon le 4 avril 1460, à l’initiative du duc François II de Bretagne, et ce par une bulle pontificale du pape Pie II, donnée à Sienne[5],[6]. Celle-ci incarne le vœu de François II d’affirmer son indépendance vis-à-vis du roi de France[7], alors qu’aux abords du duché à Angers en 1432, Poitiers en 1432 et Bordeaux en 1441 s’ouvrent des universités[8]. Créée sous la forme d'un studium generale, cette université peut enseigner toutes les disciplines traditionnelles : Arts, Théologie, Droit et Médecine. La population étudiante entre la fin du XVe siècle et durant les deux siècles suivants croit pour atteindre le millier voire 1500 étudiants[7], selon les estimations les plus hautes.

Une première tentative de déplacement de l’université de Nantes à Rennes a lieu à la fin du XVIe siècle. Le roi Henri IV de France cherche à punir Nantes, ville ligueuse, pour son soutien au duc de Mercœur. L’université reçoit par lettre patente du 8 août 1589 l’ordre de transfert à Rennes, ville restée fidèle à la monarchie. L’institution n’est cependant pas déplacée, faute de financement[9]. Une nouvelle lettre patente du 5 septembre 1591 réitère cet ordre de transfert, mais là encore sans application. Une dernière lettre patente d’avril 1598 fixe la situation en confirmant l’établissement à Nantes de l’université[10].

Au début du XVIIIe siècle, l’université rentre dans une phase de déclin[7]. Nantes est tout entière tournée vers le commerce et ses élites s’intéressent peu à cette institution. En 1728, le maire de la ville, Gérard Mellier, écrit que l’université bretonne serait mieux placée « à Rennes, pays de lettres, qu’à Nantes où l’on ne respire que le commerce »[7]. Par conséquent, la faculté de Droit est effectivement transférée à Rennes en 1735 où siège le Parlement de Bretagne. Les facultés de lettres, de théologie et de médecine sont conservées à Nantes, mais celle de médecine était déclinante, et celle de théologie minée par l’influence du jansénisme[7].

Il est par la suite plusieurs fois question de transférer le reste des facultés de Nantes à Rennes, notamment en 1778. Cependant, les trois facultés nantaises s’opposent avec vigueur à ce projet, en mettant en avant le mauvais traitement de la faculté de droit après son transfert dans l'actuelle capitale bretonne[11].

En 1793, la Convention nationale ordonne la suppression de toutes les universités et facultés. Lors de la création de l’université impériale par Napoléon en 1806, Nantes est oubliée. Certaines écoles la remplacent cependant et la médecine, notamment, continuera d’être enseignée à Nantes et plus tard le droit et les lettres[12].

L'université actuelle

Création

Le décret 61-1519 du 29 décembre 1961 ré-institue une université à Nantes[1], avec date d'effet au 1er janvier 1962. En mai 1961, Michel Debré, Premier ministre vient poser la première pierre de la Faculté des sciences en présence du maire de la ville Henry Orrion. En 1962, trois facultés nouvelles (sciences, lettres, droit) s’installent sur le campus des bords de l’Erdre sur les domaines du Tertre et de la Lombarderie récemment acquis par la ville de Nantes.

La Loi Faure qui fait suite aux événements de mai 1968 supprime les facultés et institue des « unités d’enseignement et de recherche » au sein des nouveaux établissements publics universitaires désormais autonomes. En 1970, les statuts de l’université de Nantes sont adoptés : ils font mention de six UER littéraires, cinq UER scientifiques, l’UER de droit, de sciences économiques, de gestion des entreprises, de médecine, de pharmacie et d’odontologie.

Développements

Une filière d'AES ouvre en 1993 sur le site de Saint-Nazaire, mais est fermée à la rentrée 2010[13]. Polytech'Nantes ouvre en 2000[14]. Les travaux pour de nouveaux locaux pour la faculté de médecine commencent en 2000 quai de Tourville et sont initialement prévus pour s'achever pour 2005 avant d'être repoussés à 2011[15].

En 2009, l’université est membre fondateur du PRES Université Nantes Angers Le Mans[16]. Elle accède aux « compétences élargies » au [17].

Présidences

Le château du Tertre, sur le campus du même nom, accueille des cours et des colloques. Il fut construit de 1858 à 1889 par Gabriel Lauriol, armateur et négociant, qui fut Conseiller général, Vice-président, puis Président de la Chambre de Commerce de Nantes. Ce dernier, en qualité d'adjoint au Maire de Nantes chargé des travaux publics, fut aussi chargé d'aménager l'hippodrome du Petit Port et le secteur environnant[18].

L’université de Nantes est présidée par Olivier Laboux depuis mars 2012[3],[N 2].

Depuis la création de l'université, ses présidents sont[19] :

Président période UFR
Jean-Pierre Kerneïs 1971 - 1975 médecine
Loïc Sparfel 1975 - 1979 pharmacie
Jacques Vilaines 1979 - 1984 sciences
Paul Malvy
(administrateur provisoire)
1985 - 1988 médecine
Serge Renaudin 1988 - 1993 sciences
Jacques-Henri Jayez 1993 - 1997 technologie
Yann Tanguy 1997 - 2002 droit
François Resche 2002 - 2007 médecine
Yves Lecointe 2007 - 2012 sciences
Olivier Laboux depuis 2012 odontologie

Composantes

Conformément au code de l'éducation qui fixe l’organisation légale des universités publiques en France, l’université de Nantes se compose de plusieurs composantes. On trouve d’une part les unités de formation et de recherche (UFR) et d’autre part les « instituts et écoles ». L’université se compose donc de[20] :

Unités de formation et de recherche

  • UFR de droit et de sciences politiques,
  • UFR lettres et langages,
  • UFR d’histoire, histoire de l’art et archéologie,
  • UFR de psychologie,
  • UFR de sociologie,
  • UFR de langues et cultures étrangères,
  • UFR de sciences et techniques,
  • UFR des sciences et techniques des activités physiques et sportives (STAPS),
  • UFR de médecine et techniques médicales,
  • UFR des sciences pharmaceutiques et biologiques,
  • UFR d'odontologie,

Instituts et écoles

Écoles doctorales

L'université compte 8 écoles doctorales réunies dans 3 pôles de spécialités. elles ont la charge des étudiants de 3e cycle[21].

  • Le pôle « biologie, recherche médicale et applications », avec les écoles doctorales "biologie-santé" (BS) et "végétal, environnement, nutrition, agroalimentaire, mer" (VENAM)
  • Le pôle « sciences et technologies », avec les écoles doctorales "sciences et technologies de l'information, mathématiques" (STIM), "sciences pour l'ingénieur, géosciences, architecture" (SPIGA), et "matière, molécules matériaux en Pays de la Loire" (3MPL)
  • Le pôle « lettres, langues, sciences de l'homme et de la société », avec les écoles doctorales "droit, économie-gestion, sociétés, territoires" (DEGEST), "cognition, éducation, interactions" (CEI), et "sociétés, cultures, échanges" (SCE)

Campus

Entrée Michelet - faculté des sciences
Campus lettres Nantes

L'université de Nantes est constituée de plusieurs campus répartit sur l'agglomération nantaise :

  • L'Hôtel-Dieu, dans le centre ville, regroupent les facultés de médecine, pharmacie et chirurgie dentaire. La présidence de l'université se trouve à proximité, quai de Tourville ;
  • La Lombarderie au nord de Nantes, sur le boulevard Michelet qui se compose de l'UFR des sciences et techniques ;
  • Le Tertre, à côté du campus de la Lombarderie, sur le boulevard Michelet, qui regroupe les bâtiments de droit, lettres, langues, sciences humaines et de l'IEMN-IAE, mais aussi le théâtre universitaire et les bâtiments administratifs du CROUS ;
  • La Chantrerie, au nord de Nantes, sur les bords de l'Erdre, qui comprend notamment l'École polytechnique de l'université de Nantes ;
  • Le site de Joffre, dans la rue Maréchal-Joffre en centre-ville, où se situe le reste de l'IUT de Nantes ;
  • La Fleuriaye, sur la commune de Carquefou, où se situe une partie de l'IUT de Nantes.

Enseignement et recherche

Formation

L'Université de Nantes est une université pluridisciplinaire. Son offre de formation couvre tous les domaines de la connaissance : Lettres, langues, arts, sciences humaines et sociales, sciences et techniques, technologie, santé, économie et gestion, droit, droit public et administration publique locale. Elle propose des parcours d'études courts (Bac+2) ou longs (Bac+5 ; Bac+8).

Relations internationales

En 2008-2009, avec 1,59 % de ses étudiants inscrits issus d'un échange Erasmus, l'université figure à la 10e des université française pour cette population[22]

Recherche

Les unités de recherches de l'établissement sont regroupées dans 8 pôles[23]:

  • Domaine scientifique 1 : biologie, recherche médicale et applications
    • PT-1 biologie, biotechnologies, santé
    • PT-2 écosystèmes, substances valorisables
  • Domaine scientifique 2 : sciences et technologies
    • PT-3 matière, molécules, matériaux
    • PT-4 STIC, mathématiques
    • PT-5 ingénierie - sciences pour l'ingénieur
    • PT-6 planètes, terre, environnement
  • Domaine scientifique 3 : lettres, langues, sciences humaines et sociales
    • PT-7 normes, économie-management, sociétés
    • PT-8 lettres et sciences humaines

En 2011, 74 % des laboratoires de l'Université de Nantes, tout domaine confondu (Sciences humaines et sociales, Sciences de la vie - santé, Sciences et techniques), ont été classés A ou A+ par l'Agence d'Évaluation de la Recherche et de l'Enseignement supérieur (AERES).

Les chiffres clés :

  • 63 laboratoires et structures de recherche accrédités
  • 1200 chercheurs dont 1000 Enseignants-chercheurs
  • 1299 doctorants

Vie étudiante

Évolution démographique

Évolution démographique de la population universitaire

1972 1975 1978 1981 1984 1987 1990 1993 1995
13 910[24]17 502[24]16 171[24]17 008[24]19 077[24]19 921[24]25 627[24]32 631[24]34 193[25]
1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004
34 773[24],[25]33 925[25]32 984[25]33 062[24],[25]32 819[25],[26]31 836[25],[27]31 695[28]32 033[29]31 698[30]
2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 - -
32 583[31]32 012[32]30 978[33]33 666[34]34 092[35]33 182[36]33 017[37]--

Associations étudiantes

L'université compte de nombreuses associations dont les champs d'activité couvrent un large spectre[38].

Sport

Le Service universitaire des activités physiques et sportives (S.U.A.P.S.) accueille les étudiants et les personnels dans ses nombreuses activités physiques et sportives.

S.U.A.P.S

On peut pratiquer des sports nautiques, de combats, de balles et de raquettes, des sports collectifs, des danses,..., pour un total de 48 activités.

Théâtre

Au Théâtre universitaire (T.U.), les spectacles sont à petit prix. Les étudiants y dispose d'un bar pour se désaltérer, suffisamment de tables pour grignoter, et un espace détente pour se prélasser.

Théâtre universitaire

Personnalités liées à l'université

Enseignants

Anciens étudiants

Docteur honoris causa

L'université dans les œuvres de fiction

Un roman historique de l'auteur rennais Evelyne Brisou-Pellen, Le Fantôme de Maître Guillemin, se déroule dans l'université de Nantes en 1481.

Sources

Notes

  1. Données prévisionnelles, ce chiffre inclut des moyens qui ne sont pas gérés par l’université comme les salaires ou la contributions des organismes de recherche
  2. La loi LRU a obligé les universités à désigner un président sans attendre la fin du mandat du président alors en poste.

Sources

  1. a et b [PDF]« Décret n° 61-1519 du 29 décembre 1961 instituant l'Université de Nantes, Journal Officiel du 31-12-1961 p. 12503 », sur www.legifrance.gouv.fr
  2. (fr) « Moyens de l’université Nantes », sur www.enseignementsup-recherche.gouv.fr,
  3. a et b (fr) « Le Président de l'Université de Nantes », sur ww.univ-nantes.fr
  4. a b et c (fr) « Présentation », sur www.univ-nantes.fr
  5. « Une longue histoire : de 1461 à aujourd'hui », sur www.univ-rennes1.fr
  6. Gérard Emptoz 2002, p. 20
  7. a b c d et e « La Lente Mise en Place des Universités Bretonnes », sur www.espace-sciences.org
  8. Gérard Emptoz 2002, p. 25
  9. Gérard Emptoz 2002, p. 76
  10. Gérard Emptoz 2002, p. 90
  11. Gérard Emptoz 2002, p. 94
  12. « Nantes sans université : un puzzle d'initiatives (1789-1914) », sur www.univ-nantes.fr
  13. « La filière AES a perdu à Nantes 78 % de ses effectifs », Ouest-France, édition Nantes, jeudi 18 février 2010, consulté sur www.ouest-france.fr le 6 septembre 2010
  14. « Polytech Nantes fête ses dix ans », Ouest-France, édition Nantes, vendredi 4 juin 2010, consulté sur www.ouest-france.fr le 6 septembre 2010
  15. Pauline Laverton, « Une nouvelle faculté de médecine pour 2011 », Ouest-France, édition Nantes, mercredi 26 août 2009, consulté sur www.ouest-france.fr le 13 septembre 2010
  16. Décret n°2008-1561 du 31 décembre 2008 portant création de l’établissement public de coopération scientifique « Université Nantes Angers Le Mans »
  17. Yasmine Tigoé, « L'Université se construit un nouveau modèle », Ouest-France, édition Nantes, vendredi 15 janvier 2010, consulté sur www.ouest-france.fr le 6 septembre 2010
  18. Biographie de Gabriel Lauriol - Archives municipales de Nantes
  19. (fr) « Les présidents de l'Université de Nantes depuis 1969 », sur www.univ-nantes.fr
  20. (fr)[PDF]« Statuts de l’université de Nantes », sur www.univ-nantes.fr
  21. Formation doctorale, www.univ-nantes.fr, consulté le 16 mars 2010
  22. Programme Erasmus, Classement français des universités françaises les plus performantes par année académiques, agence Europe-Education-Formation France, juillet 2010, p. 1, consulté sur www.europe-education-formation.fr le 26 octobre 2010
  23. Pôles thématiques, www.univ-nantes.fr, consulté le 16 mars 2010
  24. a b c d e f g h i et j [PDF]« L'Ouest Atlantique: Bretagne et Pays de la Loire p. 31 », sur www.cne-evaluation.fr
  25. a b c d e f et g [PDF]« Évaluation de l'université de Nantes p. 16 », sur www.cne-evaluation.fr
  26. Jean-Richard Cytemann, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2001, Imprimerie nationale, p. 161, (ISBN 2-11-092136-6), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  27. Jean-Richard Cytemann, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2002, Imprimerie nationale, p. 159, (ISBN 2-11-092152-8), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  28. Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2003, Imprimerie nationale, p. 155, (ISBN 2-11-093455-7), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  29. Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2004, Imprimerie nationale, p. 159, (ISBN 2-11-094345-9), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  30. Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2005, Imprimerie nationale, p. 175, (ISBN 2-11-095390 X), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  31. Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2006, Imprimerie nationale, p. 179, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  32. Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2007, Imprimerie nationale, p. 181, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  33. Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2008, Imprimerie nationale, p. 173, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  34. Daniel Vitry, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2009, Imprimerie moderne de l’Est, p. 175, (ISBN 978-2-11-097805-9), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  35. Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2010, Imprimerie moderne de l’Est, p. 173, (ISBN 978-2-11-097819-6), consulté sur www.education.gouv.fr le 17 septembre 2010
  36. Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2011, Imprimerie moderne de l’Est, p. 175, (ISBN 978-2-11-097810-3), consulté sur www.education.gouv.fr le 2 septembre 2011
  37. Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2012, Imprimerie moderne de l’Est, p. 177, (ISBN 978-2-11-099368-7), consulté sur www.education.gouv.fr le 30 août 2012
  38. L'Annuaire des Associations,univ-nantes.fr, consulté le 22 juillet
  39. Stéphane Le Foll, Ministre de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt, Portail du gouvernement, consulté sur www.gouvernement.fr le 14 mars 2014

Bibliographie

  • Pocquet du Haut-Jusse, Histoire ancienne de notre université, Annales de Bretagne, 55, 1948, p. 156-182.
  • Frédérique Pitou, L'enseignement à Nantes au XVIIIe siècle, maîtrise d'Histoire, univ. Nantes, dir. Y. Durand, 1975.
  • Anne-Claire Dère, Gérard Emptoz, [quatre contributions] in Programme Villes et institutions scientifiques. Rapport final, Programme Interdisciplinaire de Recherche Sur les Villes (PIR-VILLES-CNRS), 1996, p. 47-57, 138-144, 172-178, 256-264
  • Jean-Luc Legrand, Histoire de l'enseignement supérieur à Nantes de 1920 à 1961, maîtrise Nantes, dir. M. Nouailhat, 1990, 230 p. + annexes.
  • Alain Le Bloas, L'université de Nantes et les événements de mai 1968, maîtrise Nantes, dir M. Nouailhat, 1987, 134 p. *Hubert de Yrigoyen, L'université de Nantes de 1969 à nos jours, maîtrise Nantes, dir. M. Nouailhat, 1998, 124 p.

Annexes

Liens externes

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