Université Savoie-Mont-Blanc

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Université Savoie-Mont-Blanc
Logo de l'université
Histoire
Fondation
Statut
Type
Forme juridique
Établissement public national à caractère scientifique culturel et professionnel (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Nom officiel
Université de Chambéry
Président
Philippe Galez (d)
Membre de
Site web
Chiffres-clés
Étudiants
14 735 ()Voir et modifier les données sur Wikidata
Effectif
1 321Voir et modifier les données sur Wikidata
Enseignants
719
Enseignants-chercheurs
538
Budget
112 805 192  (2018)
Localisation
Pays
Campus
Localisation
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L’université Savoie-Mont-Blanc (USMB), anciennement dénommée université de Savoie et officiellement intitulée université de Chambéry[1], est une université française publique située dans les départements de Savoie et Haute-Savoie, plus précisément sur les communes de Chambéry, Le Bourget-du-Lac et Jacob-Bellecombette en Savoie et Annecy en Haute-Savoie.

Pluridisciplinaire, elle forme plus de 15 000 étudiants dans les domaines des sciences et technologies, art, lettres et langues, droit, économie, gestion et sciences humaines et sociales, et la recherche s'effectue au sein de 19 laboratoires de recherche.

Elle se classe, au niveau national, à la 12e place des meilleures universités et à la première place pour son nombre d'étudiants qui participent au programme européen Erasmus[2]. Par ailleurs, l'université est mentionnée six fois dans le classement thématique mondial de Shanghai où elle apparaît entre la 800e et la 900e place du classement des établissements[2].

Elle est créée en 1979 à partir de collèges universitaires créés dès 1960 et devient membre fondateur du PRES Université de Grenoble depuis . Elle a opté en 2014 pour le statut d'associé de la ComUE Université Grenoble-Alpes.

Le , le conseil d'administration de l'établissement s'est prononcé pour une évolution du nom d'usage de l'établissement. En 2015, l'université de Savoie change d'identité et devient l'« Université Savoie Mont Blanc »[3].

Le président est Philippe Galez (d), élu en décembre 2020.

Histoire[modifier | modifier le code]

Premières délocalisations universitaires[modifier | modifier le code]

Capitale du comté puis du duché de Savoie, de 1295 à 1563, à l'apogée des États de Savoie, Chambéry n'accueille aucun établissement universitaire, contrairement à la nouvelle capitale Turin qui obtient une université dès 1405, et n'obtient que la création d'« écoles préparatoires » préparant les étudiants masculins savoyards avant le départ pour Turin.

La Savoie est annexée à la France en 1860, et plusieurs administrations y sont créées. Un rectorat, commun aux deux départements de Savoie et de Haute-Savoie nouvellement créés, est ainsi institué pour gérer l'enseignement. Cependant, contrairement aux autres rectorats français, celui-ci ne dispose pas d'université, et les étudiants de l'académie sont orientés vers les universités de Grenoble et de Lyon pour poursuivre leurs études. Une école préparatoire à l'enseignement supérieur des sciences et des lettres, ainsi qu'une école pratique des sciences sont instituées à Chambéry par un décret du pour ce public. Ces écoles se voient dotées de bâtiments dédiés, construits de 1890 à 1892 dans l'actuelle rue Marcoz[4]. Le rectorat de Chambéry est supprimé en 1920, mais l'école préparatoire est conservée tout en se spécialisant dans la préparation à l'entrée dans l'institut polytechnique de Grenoble[5].

En 1948 sont instaurés en France des cours de propédeutique, ce qui permet d'aligner les enseignements des anciennes écoles préparatoires sur les enseignements universitaires[5]. En 1966, les enseignements de propédeutiques sont réformés avec l'introduction du DEUG, ce qui pousse la durée des formations dispensées à Chambéry de un à deux ans[6].

Le centre universitaire de Savoie[modifier | modifier le code]

Le centre universitaire de Savoie est instauré à partir des deux collèges universitaires de lettres et de science en 1970[6]. Les réformes universitaires qui font suite à mai 68 obligent les universités à se structurer sous la forme d'unités d'enseignement et de recherche, et les collèges universitaires présents à Chambéry en profitent en adoptant cette forme pour se réunir en centre universitaire[7] en même temps que d'autres centres du même type se constituent à Angers, Perpignan, Valenciennes, ou Le Mans, et au moment où, à Grenoble, l'ancienne université de tutelle doit faire face à sa partition en trois nouvelles universités[6].

Cette autonomisation s'accompagne du développement de bâtiments nouveaux, et dès 1969 le campus de la colline Jacob-Bellecombette commence à prendre le relais des bâtiments de la rue Marcoz. L'établissement élargit aussi ses formations, avec le développement de formations de deuxième cycle, ou liées à des problématiques locales, et dès 1973-1975 certains de ces enseignements se développent jusqu'au niveau du troisième cycle[6]. Enfin, des formations s'ouvrent pour la première fois à Annecy en 1973 avec la création de deux départements d'IUT, l'un de mécanique, et l'autre de technique de commercialisation[8].

L'université de Savoie[modifier | modifier le code]

Siège de l'université à Chambéry.

L'université de Savoie est créée par un décret du , à effet du [9]. Elle connaît dès le début des problèmes liés à une croissance rapide du nombre de ses étudiants et doit trouver des solutions pour s'agrandir. Le centre-ville de Chambéry est alors en partie délaissé pour un terrain à 10 km de la ville lorsque la base aérienne du Bourget-du-Lac ferme en 1983. La faculté des sciences y déménage dès 1986, en laissant ses anciens locaux aux facultés de droit, de lettres et d'économie, et y dispose dès 1992 d'un complexe de bâtiments neufs. L'université ouvre par ailleurs une école supérieure d'ingénieurs du génie de l'environnement et de la construction sur ce campus en 1989[8].

Le , l'université de Savoie devient membre fondateur du PRES Université de Grenoble[10].

En 2015, l'université change de nom d'usage et de logo pour devenir l'université Savoie-Mont-Blanc[11].

Elle se présente depuis comme une université de recherche et de professionnalisation de rang européen. À ce titre elle a participé aux principaux appels à projet de ces dernières années et obtenus plusieurs succès significatifs : Disrupt'campus (Piton, 2017), NCU (@spire, 2019), EUR (Solar academy, 2019), campus connecté (Faverges-Seythenex, 2020) et université européenne (Unita, 2020).

Présidents de l'université[modifier | modifier le code]

Depuis la création du centre universitaire de Savoie, neuf présidents se sont succédé[12] :

PrésidentsVoir et modifier les données sur Wikidata
IdentitéPériodeDurée
DébutFin
Roger Decottignies[13]
( - )
4 ans
Jacques Rebecq (d)[14]
( - )
5 ans
Dominique Paccard (d)[15]9 ans
Jean Burgos (d)[16]
(né en )
5 ans
Pierre Baras (d)[17]
( - )
5 ans
Jean-Pierre Perrot (d)[18]5 ans
Claude Jameux (d)[19]4 ans
Gilbert Angénieux (d)[20]4 ans
Denis Varaschin[20]
(né en )
9 ans
Philippe Galez (d)[21]
(né en )
En cours3 ans

Composantes[modifier | modifier le code]

Unités de formation et de recherche[modifier | modifier le code]

  • UFR lettres, langues & sciences humaines (LLSH) ;
  • UFR faculté de droit (FD) ;
  • UFR Sciences et montagne (SceM), issue du regroupement des UFR : Centre interdisciplinaire scientifique de la montagne (CISM) et sciences fondamentales et appliquées (SFA) depuis le ).

Instituts et écoles[modifier | modifier le code]

Implantations[modifier | modifier le code]

L'université Savoie-Mont-Blanc est implantée sur trois domaines universitaires sur les deux départements de la Savoie et de la Haute-Savoie.

  • Le campus d'Annecy accueille près de 4 500 étudiants au sein de l'IUT d'Annecy, de l'IAE Savoie Mont-Blanc et de l'école d'ingénieurs Polytech Annecy-Chambéry.
  • Le campus de Jacob-Bellecombette (1,5 km au sud de Chambéry) accueille plus de 4 800 étudiants au sein de l'UFR de lettres, langues et sciences humaines, de la Faculté de droit et de l'IAE Savoie Mont-Blanc.
  • Le campus du Bourget-du-Lac / Savoie Technolac (12 km au nord de Chambéry) accueille plus de 3 800 étudiants au sein de l'IUT de Chambéry, de l'UFR Sciences et montagne - SceM et de l'école d'ingénieurs Polytech Annecy-Chambéry.

Des formations sont également dispensées en collaboration avec des partenaires sur tout le territoire et au-delà des frontières, à Annecy, Annemasse, Thonon-les-Bains, Genève, Turin, Vercelli etc.

Dans le centre de Chambéry sont situés la présidence de l'établissement ainsi que le Centre national de formation pour les enseignants auprès des déficients sensoriels (CNFEDS).

Annecy[modifier | modifier le code]

Campus d'Annecy.

Le campus d'Annecy est composé de plusieurs instituts et écoles : l'IUT d'Annecy, l'IAE Savoie Mont-Blanc et Polytech Annecy-Chambéry.

Plusieurs points de restauration gérés par le CROUS sont disponibles sur place : le restaurant universitaire (RU), la cafétéria de Polytech, la cafétéria de l'IUT et le restaurant universitaire Tom Morel.

De nombreuses résidences universitaires se trouvent également sur le campus.

Le Bourget-du-Lac[modifier | modifier le code]

Le Bourget-du-Lac est une commune connue depuis le Moyen-Âge pour l'édification du Château du Bourget. Le campus universitaire du Bourget-du-Lac est construit dans le technopole de Savoie Technolac, sur l'ancienne base aérienne 725 Chambéry-Le Bourget-du-Lac (fermée en 1983)[22].

Jacob-Bellecombette[modifier | modifier le code]

Le campus de Jacob-Bellecombette est situé sur une commune voisine de Chambéry. Il fût construit sur des champs à partir de 1979.

Enseignement et recherche[modifier | modifier le code]

Formation[modifier | modifier le code]

L'université de Savoie propose à la rentrée 2010 un total de 20 mentions de licence[23], 20 mentions de licences professionnelles[24], et 22 mentions de master[25]. Des diplômes de DUT et d'ingénieur sont aussi proposés par l'université[26].

La licence générale est délivrée dans plusieurs domaines qui se déclinent ensuite en mentions puis en spécialités. Il est proposé dans l'université une licence arts-lettres-langues qui compte 3 mentions, une licence droit-économie-gestion avec 6 mentions, une licence sciences humaines et sociales, avec 4 mentions, et une licence sciences, technologie, santé, avec 7 mentions. Lors de leurs évaluations par l'AERES, 13 de ces mentions ont obtenu la notation A ou A+, et sept la notation B[23],[n 1].

De la même façon, le master est délivré dans plusieurs domaines qui se déclinent ensuite en mentions puis en spécialités et éventuellement en parcours. Il est proposé dans cette université un master « sciences et technologies » avec 5 mentions[27], une mention de master de « sciences de la vie, de la santé et de l'écologie »[28], un master « sciences humaines et sociales » avec 13 mentions et 33 spécialités[29], et un master « arts, lettres et langues » avec 3 mentions[25].

L'université de Savoie accueille également depuis 1985 des étudiants sportifs de haut niveau dont elle aménage le suivi des études, et compte à ce titre plus de 200 médaillés olympiques et mondiaux parmi ses anciens étudiants[30].

Relations internationales[modifier | modifier le code]

L'université est partie prenante dans des programmes d'échanges généraux tels qu'Erasmus ou CREPUQ, et dispose aussi de conventions bilatérales[31]. En 2009, les échanges Erasmus représentent un flux de 842 étudiants entrants[32], ce qui représente sur la période 2003-2008 entre 1,79 et 2,64 % des étudiants de l'université, et qui place l'établissement entre la 1re et la 5e place des universités française pour ce type d'accord[33]. La population sortante représente elle pour ce type d'accord 742 étudiants en 2009[32].

Par ailleurs, l'université a développé dix doubles diplômes avec des partenaires internationaux, dont six avec des établissements italiens[32].

Recherche[modifier | modifier le code]

Laboratoires de l'université Savoie-Mont-Blanc
  • Centre alpin de recherche sur les réseaux trophiques des écosystèmes limniques (CARRTEL) ;
  • Centre de recherche en droit Antoine-Favre (anciennement CDPPOC Centre de droit privé et public des obligations et de la consommation) ;
  • Laboratoire Environnements, dynamiques et territoires de la montagne (EDYTEM) ;
  • Laboratoire d'hyperfréquences et de caractérisation (IMEP-LAHC) ;
  • Institut de recherche en gestion et économie (IREGE) ;
  • Institut des sciences de la Terre (ISTerre) ;
  • Laboratoire de mathématiques (LAMA) ;
  • Laboratoire d'Annecy de physique des particules (LAPP) ;
  • Laboratoire d'Annecy de physique théorique (LAPTH) ;
  • Laboratoire chimie moléculaire et environnement (LCME) ;
  • Laboratoire d'écologie alpine (LECA) ;
  • Laboratoire d'électrochimie et de physicochimie des matériaux et des interfaces (LEPMI) ;
  • Laboratoire interuniversitaire de psychologie (LIP/PC2S)[34] ;
  • Laboratoire d'informatique, systèmes, traitement de l'information et de la connaissance (LISTIC) ;
  • Langages, littératures, sociétés (LLS) ;
  • Laboratoire d'optimisation de la conception et ingénierie de l'environnement (LOCIE) ;
  • Laboratoire de physiologie de l'exercice (LPE) ;
  • Laboratoire de psychologie et neurocognition (LPNC) ;
  • Systèmes et matériaux pour la mécatronique (SYMME).

Vie étudiante[modifier | modifier le code]

Depuis 1992, l'université de Savoie mène à travers Campus en musique un partenariat avec la Caisse des dépôts et consignations et l'Orchestre des Pays de Savoie. Campus en musique permet un accès privilégié des étudiants à la musique classique grâce à la venue sur les différents campus de l'université des musiciens lors de concerts d'orchestre ou de musique de chambre.

Représentation et associations étudiantes[modifier | modifier le code]

L'université revendique une quarantaine d'associations labellisées, sur les trois campus et dans de multiples disciplines[35]. Une journée des associations étudiantes est organisée chaque année pour les découvrir[36].

Au niveau de la représentation étudiante, sont représentés au conseil d'administration, la FAGE, l'Union Étudiante, le Poing Levé, la Cocarde étudiante, ainsi que Solidaires Étudiant-e-s et l'UNEF par le passé[37].

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

Évolution démographique de la population universitaire
1960 1973 1974 1975 1976 1977 1978 1979
3001 684[38]1 816[38]2 119[38]2 203[39]2 347[38]2 479[39]2 532[38]
1980 1981 1982 1983 1984 1986 1994 2000
2 512[39]2 520[38]2 921[39]3 250[38]3 336[38]4 139[39]10 40012 101[40]
2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008
11 788[41]12 087[42]12 314[43]12 080[44]11 836[45]11 493[46]11 016[47]10 983[48]
2009 2010 2011 2012 2013 2016 2018 2021
11 289[49]11 650[50]11 890[51]12 478[52]13 04514 10714 83115 376

Personnalités liées[modifier | modifier le code]

Enseignants[modifier | modifier le code]

Étudiants[modifier | modifier le code]

Images de l'université[modifier | modifier le code]

Identité visuelle[modifier | modifier le code]

Filmographie[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Note[modifier | modifier le code]

  1. L'AERES évalue les diplômes en quatre catégories, A+, A, B, et C.

Références[modifier | modifier le code]

  1. Article D711-1 du Code de l'éducation, Section 1, Version en vigueur au 25 mars 2014.
  2. a et b Hervé Gaymard (dir.), « Dossier - L'université Savoie-Mont-Blanc », Savoie Mag, no 39,‎ , p. 12-17.
  3. « L'université de Savoie deviendra Université Savoie Mont Blanc en 2015 » Accès payant, sur Le Dauphiné libéré, (consulté le ).
  4. Préau 1995, p. 77.
  5. a et b Préau 1995, p. 78.
  6. a b c et d Préau 1995, p. 79.
  7. Préau 1995, p. 83.
  8. a et b Préau 1995, p. 81.
  9. « Fac-similé JO du 06/07/1979, page 01634 » publié sur le site legifrance.gouv.fr.
  10. L'Université de Savoie devient membre fondateur du PRES Université de Grenoble, Université de Grenoble, 16 juillet 2010, consulté sur grenoble-univ.fr le 4 mars 2011.
  11. https://www.univ-smb.fr/actualite/une-nouvelle-identite-pour-luniversite-savoie-mont-blanc/ « Copie archivée » (version du sur Internet Archive)
  12. Les présidents de l'université de Savoie, sur le site de l'université de Savoie - univ-savoie.fr, en août 2014.
  13. « https://www.lemonde.fr/archives/article/1971/01/25/m-roger-decottignies-president-du-centre-universitaire-de-savoie_2459710_1819218.html »
  14. « https://www.lemonde.fr/archives/article/1975/06/13/deux-nouveaux-presidents-d-universite_2578523_1819218.html »
  15. « https://www.lemonde.fr/archives/article/1980/07/03/m-dominique-paccard-president-de-l-universite-de-savoie_2793878_1819218.html »
  16. « https://www.lemonde.fr/archives/article/1989/03/12/education-m-jean-burgos-est-elu-president-de-l-universite-de-savoie_4106006_1819218.html »
  17. « https://www.lemonde.fr/archives/article/1994/03/31/education-campus-reperes-presidents_3823527_1819218.html »
  18. « https://www.lemonde.fr/archives/article/1999/04/16/jean-pierre-perrot-professeur-de-lettres-a-succede-le-27-mars-a-pierre-barras-a-la-presidence-de-l-universite-de-savoie_3561949_1819218.html »
  19. « https://www.aefinfo.fr/depeche/419918-claude-jameux-elu-president-de-luniversite-de-savoie »
  20. a et b « https://www.capcampus.com/nomination-618/denis-varaschin-nouveau-president-de-l-universite-de-savoie-a20632.htm »
  21. « https://www.la-vie-nouvelle.fr/dernieres-nouvelles/philippe-galez-devient-president-de-luniversite-savoie-mont-blanc/ »
  22. Johannès Pallière, Le lac du Bourget : Lac majeur de France, La Fontaine de Siloé, , 463 p. (ISBN 978-2-84206-234-7, lire en ligne), p. 365-366.
  23. a et b Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur janvier 2011, p. 32
  24. Licence Professionnelle, université de Savoie, consulté sur odf.univ-savoie.fr le 25 avril 2011.
  25. a et b Master, université de Savoie, consulté sur odf.univ-savoie.fr le 25 avril 2011.
  26. Formations initiales, université de Savoie, consulté sur univ-savoie.fr le 25 avril 2011.
  27. Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur janvier 2011, p. 33
  28. Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur janvier 2011, p. 39
  29. Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur janvier 2011, p. 42
  30. « Jeux olympiques : 30 étudiants et diplômés de l'Université de Savoie participent aux Jeux à Sotchi », sur Le Dauphiné libéré, (consulté le ).
  31. Programmes d'échanges, université de Savoie, consulté sur univ-savoie.fr le 25 avril 2011.
  32. a b et c Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur décembre 2010, p. 23
  33. [PDF] Programme Erasmus, Classement français des universités françaises les plus performantes par année académiques, agence Europe-Education-Formation France, juillet 2010, p. 1, consulté sur europe-education-formation.fr le 25 avril 2011.
  34. LIP/PC2S.
  35. « Vie associative de l'Université Savoie Mont Blanc », sur h.univ-smb.fr (consulté le ).
  36. « Les associations étudiantes de l'Université Savoie Mont Blanc (USMB) se dévoilent », sur univ-smb.fr (consulté le ).
  37. « Université de Savoie | Élections étudiantes », sur elections-etu.fr (consulté le ).
  38. a b c d e f g et h Dominique Paccard, « Réalités des pays de Savoie », dans L'Université de Savoie, Association pour le développement de l'Université de Savoie, p. 224.
  39. a b c d et e Comité national d'évaluation 1988, p. 11
  40. Jean-Richard Cytemann, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2001, Imprimerie nationale, p. 161, (ISBN 2-11-092136-6), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  41. Jean-Richard Cytemann, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2002, Imprimerie nationale, p. 159, (ISBN 2-11-092152-8), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  42. Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2003, Imprimerie nationale, p. 155, (ISBN 2-11-093455-7), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  43. Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2004, Imprimerie nationale, p. 159, (ISBN 2-11-094345-9), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  44. Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2005, Imprimerie nationale, p. 175, (ISBN 2-11-095390 X), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  45. Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2006, Imprimerie nationale, p. 179, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  46. Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2007, Imprimerie nationale, p. 181, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  47. Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2008, Imprimerie nationale, p. 173, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  48. Daniel Vitry, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2009, Imprimerie moderne de l’Est, p. 175, (ISBN 978-2-11-097805-9), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  49. Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2010, Imprimerie moderne de l’Est, p. 173, (ISBN 978-2-11-097819-6), consulté sur www.education.gouv.fr le 17 septembre 2010
  50. Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2011, Imprimerie moderne de l’Est, p. 175, (ISBN 978-2-11-097810-3), consulté sur www.education.gouv.fr le 2 septembre 2011
  51. Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2012, Imprimerie moderne de l’Est, p. 177, (ISBN 978-2-11-099368-7), consulté sur www.education.gouv.fr le 30 août 2012
  52. Catherine Moisan, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2013, Impr. Ovation, p. 179, (ISBN 978-2-11-099382-3), consulté sur www.education.gouv.fr le 05 novembre 2013
  53. Cyril Lefevre, « Portrait : Yann Barthès, l'agitateur du Grand Journal », sur toutelatélé.com, (consulté le ).
  54. a et b Le sprinter Christophe Lemaitre est entré à l'Université de Savoie, sur univ-savoie.fr (consulté le ).
  55. « Université Savoie Mont Blanc : Palmarès des sportifs de haut niveau », sur univ-smb.fr (consulté le ).
  56. Benoît Lagneux, « JO-2018 / bosses : train en avance, précocité, Pyrénéenne d'Annecy, ce qu'il faut savoir sur Perrine Laffont », sur Le Dauphiné, (consulté le ).
  57. Frédéric Thiers, « Cinéma : Le tournage de La montagne aux mille regards a commencé. Un long-métrage aux couleurs de Maurienne » Accès limité, sur Le Dauphiné libéré, (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

Liens externes[modifier | modifier le code]

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