Université Paris-Sud

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Université Paris-Sud
Logo de l'Université Paris-Sud.
Histoire
Fondation
Dissolution
 : Université Paris-Saclay
Statut
Type
Forme juridique
Établissement public national à caractère scientifique culturel et professionnel (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Nom officiel
Université Paris-XI
Président
Devise
« Comprendre le monde, construire l'avenir »
Membre de
Site web
Chiffres-clés
Étudiants
31 400 ()Voir et modifier les données sur Wikidata
Enseignants
2 000
Chercheurs
1 000
Budget
275 millions d'euros (2016)[1]
Localisation
Pays
Campus
Localisation
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L'université Paris-Sud ou Paris-XI[Note 1] était une université française créée le . Elle a disparu le au profit de l'université Paris-Saclay à la suite de la publication au Journal officiel du décret de création de la nouvelle université le [2].

Elle était située sur les départements de l'Essonne, des Hauts-de-Seine et du Val-de-Marne. Elle comportait 78 laboratoires de recherche, cinq unités de formation et de recherche, trois instituts universitaires de technologie, et une école d'ingénieurs (membre du réseau Polytech).

L'université était située sur les communes suivantes : Antony, Bures-sur-Yvette, Cachan, Châtenay-Malabry, Fontenay-aux-Roses, Gif-sur-Yvette, Le Kremlin-Bicêtre, Orsay, Le Plessis-Robinson, Sceaux. Elle faisait partie du regroupement d'établissements d'enseignement supérieur Paris-Saclay, qui a disparu le au profit de l'université Paris-Saclay.

Cinq lauréats de la médaille Fields ont fréquenté l'établissement (Laurent Lafforgue, Jean-Christophe Yoccoz, Wendelin Werner et Ngô Bảo Châu, Hugo Duminil-Copin) ainsi que les prix Nobel de physique Pierre-Gilles de Gennes et Albert Fert.

Historique[modifier | modifier le code]

Siège de l'Université Paris-Sud 11, la ville d'Orsay s'est développée grâce aux physiciens Frédéric et Irène Joliot-Curie.

Dès les années 1940, les deux chercheurs avaient déjà envisagé une décentralisation de l'université de Paris vers la banlieue sud. En 1942, Irène Joliot-Curie avait même signalé au recteur de l'Université l'existence d'un site potentiel sur le plateau de Saclay.

L'événement décisif survint quelques années plus tard (en 1954), quand la France décida d'assortir sa participation au CERN d'un développement de sa propre recherche en physique nucléaire. Irène Joliot-Curie proposa la création de l'Institut de physique nucléaire d'Orsay et les travaux commencèrent dès 1955.

Une des entrées du campus d'Orsay (Paris-Saclay).

Elle mourut en 1956, et c'est Frédéric qui fut le premier directeur de l'Institut. Dans le même temps, se construisit le Laboratoire de l'accélérateur linéaire (LAL).

Parallèlement la situation des enseignements à la Sorbonne devenait de plus en plus critique et l'extension vers la Halle aux vins tardait à se faire. C'est ainsi qu'en 1958 fut décidé le transfert à Orsay d'une partie des enseignements de la faculté des sciences de Paris.

En 1965 fut reconnue l'indépendance du centre d'Orsay de la faculté des sciences de Paris et en 1970, l'application de la loi d'orientation de l'enseignement supérieur fit du centre d'Orsay l'une des composantes de l'Université Paris-Sud, enrichie par ailleurs des facultés de médecine (UFR du Kremlin-Bicêtre), de pharmacie (UFR de Châtenay-Malabry), de droit et d'économie (UFR de Sceaux) et des IUT de Génie électrique et mécanique (IUT de Cachan), IUT de Chimie, Informatique, Mesures physiques (IUT d'Orsay) et IUT de Gestion et commerce (IUT de Sceaux).

En , l’université Paris-Sud décide de participer à un Pôle de recherche et d'enseignement supérieur (PRES), de nature académique, créé dans le sud de l’Île-de-France : UniverSud Paris, avec pour objectif à long terme la construction d’une grande université à visibilité internationale renforcée. Ce PRES réunit d’ores et déjà environ 50 000 étudiants, 155 laboratoires de recherche dont 130 associés à des organismes de recherche, notamment les CNRS et INSERM. Les membres fondateurs de UniverSud Paris sont les universités d'Évry-Val d'Essonne, Paris-Sud, Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ), l'École Centrale, Supélec et l’ENS de Cachan. Parmi les grandes écoles du territoire sud francilien associées à UniverSud Paris, on peut citer HEC Paris, l'École polytechnique, AgroParisTech, l'ENSTA ParisTech et SupOptique.

En est inauguré le PROTO204, une halle située sur le campus d'Orsay destinée à accueillir des conférences, des expositions et des séances de coworking[3]. Cette structure de type tiers-lieu, soutenue par l'université et l'établissement public Paris-Saclay, vise à favoriser l'entrepreneuriat étudiant et l'émergence de projets collaboratifs[4].

Le , l'Université Paris-Sud disparaît au profit de l'université Paris-Saclay à la suite de la publication au Journal officiel du décret de création de la nouvelle université le [2].

Historique des présidents[modifier | modifier le code]

Liste des présidents
Nom Mandat
Bernard Picinbono 1970-1975
Jean-Pierre Kahane[5] 1975-1978
Roland Omnès[6] 1978-1983
Hubert Coudane[7] 1983-1988
Jack Robert[8] 1989-1994
Alain Gaudemer 1994-1999
Xavier Chapuisat 1999-2004
Anita Bersellini 2004-2009
Guy Couarraze 2009-2012
Jacques Bittoun 2012-2016
Sylvie Retailleau[9] 2016-2019
Alain Sarfati[10] 2019-2020

Composantes[modifier | modifier le code]

Unités de formation et de recherche[modifier | modifier le code]

Le château de Launay, siège de la présidence de l'université Paris-Sud.

UFR de sciences[modifier | modifier le code]

L'UFR de sciences est située intégralement sur le campus d'Orsay sur le plateau de Saclay dans l'Essonne.

Serres du Campus Orsay-Bures.

Elle accueille près de 10 000 étudiants. La formation et la recherche couvrent les champs de la biologie, la chimie, l'informatique, les mathématiques, la physique, les sciences de la Terre et de l'Univers, ainsi que l'histoire des sciences. Créée sur proposition de Frédéric Joliot en mars 1955, comme extension de la faculté des sciences de Paris, la faculté des sciences d'Orsay a été reconnue officiellement en 1965, avant de participer à la création de l'Université Paris Sud en 1971. Denis Merlet en est le doyen[11] depuis juin 2021. Le domaine de Launay qui constitue le campus d'Orsay avait été saisi par l'État sur un propriétaire impliqué dans la collaboration pendant la deuxième guerre mondiale. Le cinquantenaire du campus scientifique a été célébré en 2005.

UFR Jean-Monnet droit-économie-gestion[modifier | modifier le code]

L'UFR droit-économie-gestion a été créée en 1968, et fait partie de l'université Paris XI depuis sa création en 1971. Forte de 6 000 étudiants répartis sur deux sites, ceux de Sceaux dans les Hauts-de-Seine et d'Orsay dans l'Essonne.

Depuis le , le professeur Boris Bernabé en est le doyen[12]. La faculté propose plusieurs masters et 39 spécialités en droit, en économie et en gestion. Elle regroupe sept centres de recherche [5] sur le site de Sceaux. L'IEJ (institut d'études judiciaires) prépare à l'examen d'accès à la Haute École des avocats conseils (HEDAC) ainsi qu'au concours d'entrée à l'École nationale de la magistrature (ENM).

UFR de pharmacie[modifier | modifier le code]

L'UFR de pharmacie a été créée en 1972 au sein de l'Université Paris Sud. Elle accueille environ 3 500 étudiants sur le campus de Châtenay-Malabry dans les Hauts-de-Seine, dont près de 1 000 en première année.

Marc Pallardy en est doyen depuis 2015 (réélu en 2020)[13]. On forme dans cette UFR des pharmaciens des filières officine, industrie et internat.

Les bâtiments du campus de Châtenay-Malabry ont assez mal vieilli et font l'objet de rénovations, dans l'attente d'une re-localisation en 2022, liée à l'opération campus, au sein du futur Pôle Biologie – Pharmacie – Chimie de l'Université Paris-Saclay[14].

UFR de médecine[modifier | modifier le code]

L'UFR de médecine est située au Kremlin-Bicêtre dans le Val-de-Marne, mais la première année sélective se déroule sur le campus d'Orsay.

Elle compte 3 400 étudiants dont environ 900 étudiants en première année et 500 étudiants par année de la deuxième à la sixième année ; les autres étudiants inscrits étant pour l'essentiel des internes en troisième cycle. Elle est liée à l'hôpital Bicêtre.

UFR STAPS[modifier | modifier le code]

L'UFR STAPS est située essentiellement sur le campus d'Orsay dans l'Essonne.

Une division STAPS a été créée en 1985 et rattachée à l’UFR de sciences, puis transformée en UFR STAPS dès 2003. Forte de 1 500 étudiants, cette UFR mène des recherches notamment sur la motricité humaine. Christine Le Scanff en est la directrice[15].

Instituts de formation en soins infirmiers rattachés à l'UFR de médecine[modifier | modifier le code]

École polytechnique universitaire[modifier | modifier le code]

Polytech Paris-Sud, ou anciennement l'Institut de formation d'ingénieurs de Paris-sud (IFIPS), regroupe l'ensemble des formations d'ingénieurs de l'Université Paris Sud, et accueille plus de 800 étudiants essentiellement dans les domaines de l'informatique, de l'optronique, des matériaux et de robotique, principalement sur le site du plateau de Saclay dans l'Essonne. Le l'IFIPS est devenu membre du réseau Polytech et a pris le nom de Polytech Paris-Sud[16].

Instituts universitaires de technologie[modifier | modifier le code]

  • L'Institut universitaire de technologie d'Orsay regroupe trois départements : département de chimie, Département d'informatique (département double, accueillant en première année 240 étudiants), et Département de mesures physiques (département double, accueillant en première année 200 étudiants). Le département Informatique de l'IUT d'Orsay prépare outre des DUT classiques en deux ans après le baccalauréat (possibilité d'effectuer la 2e année par apprentissage), à des DUT en 1 an (Année Spéciale) ainsi qu'à deux licences professionnelles en apprentissage : la licence PER (Programmation en environnement réparti) et la licence SRSI (Sécurité des réseaux et systèmes informatiques). Enfin, il est possible d'y préparer un diplôme d'université dans le cadre de la formation continue : Programmation, Bases de Données et Réseaux. Près de 200 enseignants au total travaillent dans cet IUT.
  • L'Institut universitaire de technologie de Sceaux accueille 1 500 étudiants, formés à la gestion des entreprises, l'ingénierie du commerce et de vente, et au management. Il est le seul à proposer une orientation marketing ou commerce international à ses étudiants de techniques de commercialisation. Lionel Jospin y a été professeur de 1970 à 1981[17], du temps du deuxième directeur, monsieur Darricau. Après la retraite de celui-ci, ce fut Alexandre Ramalho qui devint directeur général assisté dans son travail par Romain Lanfranchi (chef de conférence à l'école HEC Paris, ayant obtenu un doctorat en culture corse).
  • L'Institut universitaire de technologie de Cachan accueille 1 000 étudiants dans les domaines de l'électronique, de l'électrotechnique, de l'automatique, de l'informatique industrielle, de la mécanique, de la robotique et de la productique.

Écoles doctorales[modifier | modifier le code]

L'université compte vingt écoles doctorales :

  • Agriculture, alimentation, biologie, environnement, santé (ABIES)
  • Astronomie et astrophysique d'Île-de-France
  • Cancérologie, biologie, médecine, santé
  • École Doctorale de Mathématiques Hadamard (EDMH)
  • Electrical, Optical, Bio - physics and Engineering (EOBE)
  • Innovation thérapeutique, du fondamental à l'appliqué
  • Interfaces
  • Ondes et Matière
  • Physique en Île-de-France
  • Particules, Hadrons, Énergie, Noyau, Instrumentation, Imagerie, Cosmos et Simulation (PHENIICS)
  • Santé publique
  • Sciences chimiques : molécules, matériaux, instrumentation et biosystèmes (2MIB)
  • Sciences de l'environnement d'Île-de-France
  • Sciences de l'Homme et de la Société (SHS)
  • Sciences du sport, de la motricité et du mouvement humain (SSMMH)
  • Sciences du végétal : du gène à l'écosystème
  • Sciences et technologies de l'information et de la communication (STIC)
  • Sciences mécaniques et énergétiques, matériaux et géosciences (SMEMaG)
  • Signalisations et réseaux intégratifs en biologie (BioSigne)
  • Structure et dynamique des systèmes vivants (SDSV)

2 700 étudiants étaient inscrits en thèse pour l'année 2016-2017.

L'université en chiffres[modifier | modifier le code]

Personnel d'encadrement[modifier | modifier le code]

  • 4300 enseignants, enseignants-chercheurs et chercheurs
  • 3 200 personnels ingénieurs, techniques et administratifs
  • 80 personnels de Bibliothèque Universitaire

Étudiants[modifier | modifier le code]

Un bâtiment administratif de l'Université Paris-Sud, dans le campus d'Orsay à Paris-Saclay.

Au [18] :

  • 31 400 étudiants sont inscrits à l'université, dont :
    • plus de 5 000 étudiants de nationalité étrangère sont inscrits à l'Université Paris-Sud.

Formation continue[modifier | modifier le code]

  • une offre de 300 diplômes de tous niveaux ;
  • plus de 2800 diplômés par an.

Ressources budgétaires[modifier | modifier le code]

  • 400 M€ de budget annuel consolidé
  • 292 M€ de subventions de l’État
  • 20 M€ de contrats de recherche
  • 3 M€ de taxe d’apprentissage
  • 4,5 M€ de chiffre d’affaires en formation continue[19]

Enseignement et recherche[modifier | modifier le code]

Formation[modifier | modifier le code]

International[modifier | modifier le code]

  • 5 000 étudiants de nationalité étrangère, en provenance de 144 pays
  • 315 échanges ERASMUS
  • 150 doctorants en cotutelles actuellement accueillis dans nos laboratoires

Activités de recherche[modifier | modifier le code]

  • 47 % des 567 331 m2 de surfaces bâties (SHON) de l'université sont consacrées à la recherche.
  • Verger conservatoire René-Nozeran. Ici, des rangées de pommiers greffés
    2 419 enseignants-chercheurs et chercheurs exercent dans les 78 laboratoires de recherche de l'université Paris-Sud 11.

Les laboratoires[20][modifier | modifier le code]

Accélérateur linéaire à Orsay.
L'accélérateur linéaire et tandem Alto à Orsay.
Institut d'astrophysique spatiale à Orsay.
Le Centre de protonthérapie d'Orsay.
  • Sciences de la société

Scientométrie[modifier | modifier le code]

En 2015, l'université Paris-Sud est placée au 41e rang mondial du classement de Shanghai ; elle occupe le deuxième rang français et le neuvième rang européen[21].

Dans le domaine général sciences et mathématiques, Paris-Sud est en deuxième place des universités françaises, au 23e rang mondial. Dans le secteur médecine-pharmacie, Paris-Sud rentre dans le top 100, où se trouvent seulement deux autres universités françaises : Paris-Descartes (Paris 5) et l'UPMC (Paris 6). Dans les classements disciplinaires, Paris-Sud est en 23e position mondiale en physique, et deuxième française[22]. En mathématiques, Paris-Sud est stable à la 10e position mondiale[23].

L'université Paris-Sud est classée 8e dans le top 100 des meilleures universités au monde ayant moins de 50 ans[24].

Vie étudiante[modifier | modifier le code]

Le Proto204, un tiers-lieu destiné à l'entrepreneuriat étudiant sur le campus d'Orsay de l'université Paris-Sud (Paris-Saclay).

La vie des campus a deux aspects : la culture associative et la qualité de la représentation par les élus étudiants.

Associations étudiantes[modifier | modifier le code]

Les associations étudiantes sont de plusieurs types :

  • disciplinaires, avec des associations de tutorat en PACES, corporations en médecine et pharmacie, et les associations de filières des différents Master ou école d'ingénieurs Polytech Paris-Sud ;
  • culturelles comme des associations d'éloquence, de secourisme, jeux de rôle et imaginaire, musique, jeux vidéo, etc. ;
  • représentatives comme l'UNEF ;
Maison des associations Paris-Sudiennes (MaPS).

Certaines composantes comme les UFR de pharmacie et de sciences ont une vie étudiante facilitée du fait des locaux laissés à leur disposition : couloir des associations à Châtenay-Malabry pour l'UFR de pharmacie ou à Sceaux pour l'UFR de droit-économie-gestion, locaux dans différents bâtiments d'enseignement et la MAPS destiné en partie aux étudiants et personnels de l'université. Certaines de ces associations se sont regroupées au sein d'une fédération des associations, la FAPS (Fédérations des associations étudiantes de Paris-Sud), issue de la FASECO (Fédération des associations étudiantes du campus d'Orsay), qui a organisé des événements comme le Téléthon ou le Gala de l'université (accueil de 1 200 personnes).

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

Évolution démographique de la population universitaire

2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007
26 488[25]25 992[26]26 369[27]26 413[28]26 247[29]26 348[30]26 188[31]26 876[32]
2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015
27 017[33]27 470[34]27 307[35]27 289[36]27 603[37]28 552[37]28 242[37]28 632[37]
2016 2017 2018 - - - - -
21 944[37]21 964[37]23 270[37]-----

Personnalités liées à l'université[modifier | modifier le code]

Enseignants et chercheurs[modifier | modifier le code]

Étudiants[modifier | modifier le code]

Identité visuelle[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Université Paris-Sud est le nom d’usage dont s'est doté l'établissement par délibération de son conseil d’administration. Cependant, on trouve également le nom Université Paris 11 et Université Paris XI selon le décret du 17 décembre 1970 portant érection d'universités et instituts nationaux polytechniques en établissements publics à caractère scientifique et culturel, puis le décret no 2000-250 du 15 mars 2000 portant classification d'établissements publics à caractère scientifique, culturel et professionnel et la circulaire no 2006-202 du 8-12-2006.

Références[modifier | modifier le code]

  1. [1]
  2. a et b L'Usine Nouvelle, « "L’Université Paris-Saclay devrait être la première d’Europe", les ambitions de Sylvie Retailleau - L'Usine Campus », usinenouvelle.com,‎ (lire en ligne, consulté le )
  3. Patrick Désavie, « PROTO204, incarnation de Paris-Saclay », sur L'Usine nouvelle, (consulté le )
  4. Frédéric Dessort, « PROTO204, accélérateur d’innovation technologique sur le plateau de Saclay », sur educpros.fr, (consulté le )
  5. Université Paris-Sud, « Décès de Jean-Pierre Kahanne, ancien président de l'Université Paris-Sud », sur Actualités à Paris-Sud (consulté le )
  6. « Plein Sud » 1978-83 : Des instruments juridiques pour conduire une politique d’établissement » (consulté le )
  7. Université Paris-Sud, « Décès de Hubert Coudanne, ancien président de l'Université Paris-Sud », sur Actualités à Paris-Sud (consulté le )
  8. « M. Jack Robert a Paris-Sud-XI », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  9. Université Paris-Sud, « Sylvie Retailleau élue Présidente de l'Université Paris-Sud », sur Actualités à Paris-Sud (consulté le )
  10. Université Paris-Sud, « Alain Sarfati, élu Président de l'Université Paris-Sud », sur Actualités à Paris-Sud (consulté le )
  11. « Organisation de la Faculté des Sciences d'Orsay » (consulté le )
  12. « Interview de M. le doyen Boris Bernabé », (consulté le )
  13. « Le Pr Marc Pallardy, réélu Doyen de la Faculté de Pharmacie de l’Université Paris-Saclay », sur Université Paris-Saclay, (consulté le )
  14. [PDF][2] communiqué de presse sur le site de l'établissement public Paris-Saclay, 4 février 2019.
  15. Le Point magazine, « En Staps, des étudiants soulagés d'avoir franchi l'écueil du tirage au sort », sur Le Point, (consulté le )
  16. http://www.polytech.u-psud.fr/fr/polytech_paris_sud/histoire.html L'histoire de Polytech Paris-Sud
  17. « L'IUT de Sceaux en quelques mots », sur IUT de Sceaux, (consulté le )
  18. L'université Paris Sud en Chiffres [3], consulté le 7 janvier 2016
  19. « Université Paris 11 - Adresse Paris Sud - Santé, Recherche scientifique, Laboratoire », sur La Chancellerie des Universités de Paris (consulté le )
  20. [4]
  21. (en) « Academic Ranking of World Universities 2015 »
  22. (en) « Academic Ranking of World Universities in Physics - 2015 »
  23. (en) « Academic Ranking of World Universities in Mathematics - 2015 »
  24. « Ces jeunes universités françaises qui rivalisent avec les meilleures au monde », sur Capital,
  25. Jean-Richard Cytermann, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2001, Imprimerie nationale, p. 161 (ISBN 2-1109-2136-6), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010 [PDF]
  26. Jean-Richard Cytermann, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2002, Imprimerie nationale, p. 159 (ISBN 2-1109-2152-8), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010 [PDF]
  27. Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2003, Imprimerie nationale, p. 155 (ISBN 2-1109-3455-7), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010 [PDF]
  28. Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2004, Imprimerie nationale, p. 159 (ISBN 2-1109-4345-9), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010 [PDF]
  29. Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2005, Imprimerie nationale, p. 175 (ISBN 2-1109-5390 X), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010 [PDF]
  30. Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2006, Imprimerie nationale, p. 179, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010 [PDF]
  31. Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2007, Imprimerie nationale, p. 181, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010 [PDF]
  32. Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2008, Imprimerie nationale, p. 173, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010 [PDF]
  33. Daniel Vitry, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2009, Imprimerie moderne de l’Est, p. 175 (ISBN 978-2-1109-7805-9), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010 [PDF]
  34. Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2010, Imprimerie moderne de l’Est, p. 173 (ISBN 978-2-1109-7819-6), consulté sur www.education.gouv.fr le 17 septembre 2010 [PDF]
  35. Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2011, Imprimerie moderne de l’Est, p. 175, (ISBN 978-2-11-097810-3), consulté sur www.education.gouv.fr le 2 septembre 2011
  36. Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2012, Imprimerie moderne de l’Est, p. 177, (ISBN 978-2-11-099368-7), consulté sur www.education.gouv.fr le 30 août 2012
  37. a b c d e f et g « Statistiques sur les effectifs d'étudiants inscrits par établissement public sous tutelle du ministère en charge de l'Enseignement supérieur (hors doubles inscriptions université-CPGE) - data.gouv.fr », sur www.data.gouv.fr (consulté le )
  38. « Wendelin Werner, lauréat de la médaille Fields 2006 », Communiqué de presse du CNRS, Paris, 23 août 2006, consulté sur www2.cnrs.fr
  39. « MATHÉMATIQUES - Deux Français parmi les lauréats de la médaille Fields », Le Point, 19 août 2010, consulté sur www.lepoint.fr le 19 août 2010
  40. Nouvelle identité visuelle pour Paris-Sud, université de Paris-Sud, consulté sur www.u-psud.fr le 13 novembre 2011.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]