Université Lumière-Lyon-II

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
(Redirigé depuis Université Lumière Lyon-II)
Université Lumière-Lyon-II
Histoire
Fondation
1838 : faculté des lettres
1875 : faculté de droit
1896 : université de Lyon
1973 : université Lumière-Lyon-II
Statut
Type
Forme juridique
Établissement public national à caractère scientifique culturel et professionnel (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Régime linguistique
français
Président
Nathalie Dompnier (d) (depuis )Voir et modifier les données sur Wikidata
Devise

Inter Folia Fulget[1]
« Elle jaillit d'entre les pages »

Scientia et Labore
« Par la connaissance et le travail »
Membre de
Site web
Chiffres-clés
Étudiants
27 712 ()Voir et modifier les données sur Wikidata
Enseignants
909
dont 666 titulaires
Budget
140,3 M€ (en 2015)
Localisation
Pays
Campus
Berges du Rhône
Porte des Alpes
Localisation
Localisation sur la carte de Lyon
voir sur la carte de Lyon
Localisation sur la carte de la métropole de Lyon
voir sur la carte de la métropole de Lyon
Localisation sur la carte de France
voir sur la carte de France

L'université Lumière-Lyon-II est une université publique française située à Lyon. Elle est une des trois universités issues de la scission de l'université de Lyon à la suite de la loi Edgar-Faure de 1968.

Elle forme quelque 28 209 étudiants dans le domaine des humanités, des sciences humaines et sociales, du droit et de l'économie-gestion. Sa devise en latin, inscrite dans la cour de la bibliothèque sur le campus des quais est Inter folia fulget et signifie : « Elle jaillit d'entre les pages ». Néanmoins, la devise première, inscrite en lettres dorées à l'ombre de la statue de Claude Bernard dans la cour d'entrée de l'université, est Scientia et Labore, qui signifie « Par la connaissance et le travail ».

Historique[modifier | modifier le code]

Scission de l'université Lyon-II[modifier | modifier le code]

Entrée principale du campus de la Porte des Alpes, à Bron, dans l'est lyonnais.

Jusqu'en , l'université Lyon-II regroupait l'ensemble des disciplines des sciences humaines, sociales, juridiques et économiques. À cette date, une scission intervient, qui est directement la conséquence des événements de mai 1968, violents à Lyon (au cours de ceux-ci, un commissaire de police meurt, écrasé par un camion[2]). L'université Lyon 3 est alors créée. Aujourd'hui encore les deux universités gardent les spécificités des raisons de leur scission.

Celle-ci s'effectue dans le cadre plus général de création d'universités distinctes, s'effectuant souvent selon des axes politiques. Lorsque celles-ci résultent dans des situations véritablement conflictuelles, le ministre de l'Éducation nationale Joseph Fontanet tranche de manière autoritaire, ainsi à Lyon ou à Aix-Marseille. Selon le rapport Rousso (2004) : « Il prend ainsi une décision d’ordre public qui cherche à affirmer la primauté de l’État sur le principe de l’autonomie universitaire lorsque les universitaires s’avèrent incapables de régler seuls une crise majeure »[3].

Le ministre de l'Éducation nationale Olivier Guichard annonce ainsi en 1969 la création de Lyon-I, qui regroupe les anciennes facultés de sciences et de médecine, et de Lyon 2, qui regroupe l’ancienne Faculté des lettres et de sciences humaines, et celle de droit, ainsi que celle de futures universités. Deux ans plus tard, une scission s'opère à Lyon 2, aboutissant à la création de Lyon-III (décret ministériel du ).

Si des raisons institutionnelles expliquent aussi celle-ci, les causes politiques sont décisives : la création de Lyon 3 « a été rendue possible par une alliance entre des catholiques modérés [notamment Maurice-René Simonnet, proche du ministre Joseph Fontanet et des éléments de la droite radicale, sur fond de rivalités disciplinaires – le refus des juristes de travailler avec des littéraires. »[4]. Lyon 2 voit en effet une minorité de la droite universitaire radicale s'opposer au Conseil universitaire, un projet immobilier de résidence universitaire étant l'occasion de controverses, tandis que l'élection du juriste Jean-Pierre Lassale à la présidence de Lyon-II nécessite treize tours de scrutin[3] André Decocq, assesseur du doyen de la faculté de Droit et Jacques Goudet, tous deux membres du Service d'action civique (SAC) et de l'UNI, jouent un rôle important dans la scission[3].

Dès 1969-1970, un conflit émerge au sein de Lyon-II, autour des questions immobilières. Un premier projet prévoit la création de résidences universitaires dans deux zones, l'une à Lacroix-Laval, près d'une zone résidentielle de la commune de Charbonnières, à l'ouest de Lyon, qui inclurait les biologistes et étudiants en pharmacie, tandis que l'autre serait à Bron-Parilly, dans la banlieue est industrielle, qui inclurait les lettres et sciences humaines[2]. Ce projet est abandonné en , en raison du projet d'aménagement urbain de la Communauté urbaine de Lyon[2]. À l’été 1972, le conseil de l’université de Lyon 2 se prononce donc en faveur d’un projet pédagogique du nouvel ensemble de Bron-Parilly. Selon le rapport Rousso (2004), celui-ci « suscite de très vives réticences, notamment de la part des juristes, qui ne veulent pas rejoindre ce nouveau pôle, installé près de la ZAC de Vénissieux »[2]. Louis Pradel, le maire de Lyon, est aussi opposé au projet, parlant de « grave erreur », ajoutant que « c’est aussi idiot que d’avoir mis celle de Nanterre dans les bidonvilles. »[2] La mairie craint notamment une concurrence du campus de Grenoble[2].

Selon le rapport Rousso (2004) : « la droite universitaire la plus radicale (...) cherche après 1968 [,] à contrôler quelques lieux où le rapport de forces pencherait en sa faveur. Cette politique a porté ses fruits à Paris IV [la Sorbonne], où a été créé l’UNI, ou à Aix-Marseille III, une université à dominante juridique, fondée presque au même moment et dans des circonstances bien plus conflictuelles que celles de Lyon III, à cause notamment de la personnalité controversée du juriste Charles Debbasch. Cette stratégie a d’ailleurs été enclenchée dans l’entourage de Georges Pompidou, inquiet de l’influence réelle ou supposée des groupes d’extrême gauche[5] »

Toutefois, d'autres causes jouent ; les philosophes de Lyon 2 (dont François Dagognet et Bernard Bourgeois) décident ainsi de rejoindre Lyon 3, par crainte de voir l'UER de philosophie disparaître[3].

À la suite de la création de Lyon-III, les universitaires décident de leur appartenance : 334 enseignants restent à Lyon-II, et 174 vont à Lyon-III[3]. Les choix sont majoritairement politiques: « l’architecture de Lyon 3 reflète les alliances politiques (l’italien de Jacques Goudet, le sanskrit de Jean Haudry), et l’agrégat d’ensembles sans autre cohérence disciplinaire, du moins au début, que la capacité des juristes à convaincre des entités de plus petite taille de venir les rejoindre. La séparation a un caractère parfois étonnant : les latinistes se sont séparés des hellénistes, les historiens ont été déchirés, y compris lorsqu’ils travaillaient sur le même domaine comme l’histoire du christianisme. » (Rapport Rousso, 2004, p. 31)

Militantisme, importance des études post-coloniales et des études de genre[modifier | modifier le code]

Dans les années 2000 et 2010, plusieurs manifestations et occupations de l'université occasionnent d'« importantes dégradations »[6]. En 2010, Valérie Pécresse, alors ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche sous le quinquennat de Nicolas Sarkozy, condamne les actes de dégradation commis au sein de l'université[7].

En 2013, après que de violents incidents (perturbation du Congrès exceptionnel par une centaine d’étudiants, dégradation du matériel, intervention des forces de l'ordre, violences et arrestations de 6 personnes) se sont déroulés au sein de l'université, un enseignant-chercheur de Lyon 2 rappelle le poids de l’extrême gauche au sein de cette institution. Selon lui, « une telle présence de l’extrême gauche qui a su s’adapter et se renouveler ces dernières années, sous des formes syndicales (FSE) ou politiques (Parti de Gauche et Union des étudiants communistes), paraît tout à fait spécifique dans le paysage universitaire français. ». Néanmoins, il invite à ne pas surévaluer au regard des 28 000 étudiants de Lyon 2, l'importance « d’une centaine d’étudiants politisés »[8]. Six étudiants seront poursuivis pour violences et dégradations[9].

En 2017, en raison d'une polémique grandissant sur internet, l’université Lyon 2 doit annuler un colloque sur l’islamophobie. La Licra et le Comité Laïcité République (CLR) avaient dénoncé dans un communiqué commun « un colloque laïcophobe », le cofondateur du Printemps républicain, le politologue Laurent Bouvet, parlant dans un tweet de « colloque plein d'intervenants islamistes sous couvert académique »[10].

À partir de 2018[11] et, à nouveau, en 2019, alors qu'un étudiant dénonce « une obsession pour les questions de genre et de race », plusieurs titres de presse mettent en avant la place prise au sein de cette université par les études post-coloniales ou les études de genre[12],[13]. Paul Sugy dans le Figaro dénonce l’idéologie « omniprésente », le directeur de l’UFR d’Anthropologie, Sociologie et Science politique n'hésitant « à prendre publiquement position, encourageant ainsi ses étudiants à aller manifester devant la préfecture pour réclamer «l’accompagnement des migrant.es» [sic] »[14],[15]. L'Obs s'interroge sur l'intitulé d'un devoir portant le titre « Le féminisme islamique » sur lequel doivent travailler les étudiants en sociologie et science politique dans le cadre d'un cours consacré aux « mouvements sociaux dans les États postcoloniaux » et sur le fait de mettre en avant le livre de Zahra Ali Féminismes islamiques, chercheuse à l'EHESS et à l'Institut français du Proche-Orient qui « milite en faveur du port du foulard »[11]. Dans un article intitulé « l'université kidnappée (avec son consentement) par les indigénistes », Yves Mamou soutient que « pas un trimestre non plus ne passe sans qu’un pompeux colloque d’études décoloniales soit organisé à l’université Lyon-II »[16].

Selon Rue89Lyon, l'université Lyon 2 serait « réputée pour son ancrage à gauche et sa tradition militante. » En septembre 2019, le quotidien local Le Progrès consacrait ainsi sa Une à de potentielles « dérives sectaires » à l’université, et en particulier dans celle de Lyon 2. Cette accusation d'« islamo-gauchisme » est jugée « ridicule » par Françoise Lantheaume, spécialiste de la transmission de la mémoire coloniale, professeure en Sciences de l’éducation à Lyon 2[17].

Grand amphithéâtre de l'Université Lyon-II.

Lyon-II aujourd'hui[modifier | modifier le code]

L’établissement adopte en 1987 la désignation d’« université Lumière-Lyon-II » en l'honneur des frères Lumière.

Actuellement, Lyon 2 comporte deux campus :

  • le campus des Berges du Rhône, sur les quais du Rhône ;
  • le campus de la Porte des Alpes, à Bron et Saint-Priest.

L'université Lumière-Lyon-II est membre fondatrice de l'université de Lyon, pôle de recherche et d'enseignement supérieur (Pres) de Lyon ayant statut d'établissement public de coopération scientifique (EPCS), qui a été fondé par le décret no 2007-386 du , publié au Journal officiel du .

En 2015, le PRES Université de Lyon a été remplacé par la communauté d'université et d'établissement Université de Lyon[18] en application de la loi du 22 juillet 2013 relative à l'enseignement supérieur.

Historique des présidents[modifier | modifier le code]

Bâtiment Clio de l'université Lumière-Lyon-II - campus Berges du Rhône, situé quai Claude-Bernard.

Douze présidents se sont succédé à la tête de l'université depuis sa création. La présidente actuelle est Nathalie Dompnier, élue en 2016.

  • 1971-1973 : Jean-Pierre Lasalle
  • 1973-1974 : René Girard[19]
  • 1974-1979 : Maurice Bernadet
  • 1979-1986 : Philippe Lucas
  • 1986-1991 : Michel Cusin
  • 1991-1996 : Éric Froment
  • 1996-2001 : Bruno Gelas
  • 2001-2006 : Gilbert Puech
  • 2006-2008 : Claude Journès
  • 2008-2009 : Olivier Christin[20]
  • 2009-2012 : André Tiran[21]
  • 2012-2016 : Jean-Luc Mayaud
  • Depuis 2016 : Nathalie Dompnier[22]
L'amphithéâtre Laprade du campus des Berges du Rhône.

Composantes[modifier | modifier le code]

Unités de formation et de recherche[modifier | modifier le code]

L'université compte 6 UFR :

  • UFR Anthropologie, Sociologie et Sciences politiques - ASSP (nouveau rattachement depuis )
  • UFR de Sciences économiques et de Gestion - SEG
  • Faculté de Droit Julie-Victoire-Daubié
  • UFR Temps & Territoires - TT
  • UFR des Langues
  • UFR Lettres, Sciences du langage et Arts - LESLA

Instituts[modifier | modifier le code]

L'université compte 6 instituts :

  • Institut de la Communication - ICOM
  • Institut d'Études et du Travail de Lyon - IETL
  • Institut de Formation syndicale - IFS
  • Institut de Psychologie
  • Institut des Sciences et des Pratiques d'éducation et de formation - ISPEF
  • Institut universitaire de technologie Lumière

Centre international[modifier | modifier le code]

L'université compte un centre international d'études françaises (CIEF), spécialisé dans la formation linguistique et culturelle d’un public non francophone poursuivant ou non des études supérieures.

Écoles doctorales[modifier | modifier le code]

3 ED pour lesquelles l'Université Lumière-Lyon-II est établissement de tutelle :

  • ED 483 ScSo : Sciences sociales
  • ED 484 3LA : Lettres, langues, linguistique, arts
  • ED 485 EPIC : Sciences de l’éducation, information et communication, psychologie

4 ED pour lesquelles l'Université Lumière-Lyon-II est partenaire :

  • ED 512 INFOMATHS : Informatique et mathématiques de Lyon (Lyon-I, École Centrale Lyon, INSA)
  • ED 476 NsCo : Neurosciences et cognition (Lyon 1)
  • ED 486 SEG : Sciences économiques et de gestion (Lyon-I, Lyon-III, UJM Saint-Étienne, ENS LSH)
  • ED 492 Droit : (Lyon-III, UJM Saint-Étienne)

1 240 doctorants inscrits chaque année, 115 doctorats délivrés par an, 10 habilitations à diriger des recherches

Formation et recherche[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

377 formations diplômantes sont proposées.

4 grands domaines d'enseignement[modifier | modifier le code]

  • Arts, Lettres, Langues
  • Droit, Économie, Gestion
  • Sciences humaines et sociales
  • Sciences, Technologies, Santé

35 parcours de licence / 166 parcours de masters[modifier | modifier le code]

  • Arts, lettres, langues :
    • 15 parcours de licence, 14 masters recherche, 11 masters professionnels, 6 masters à la fois professionnels et recherche
  • Droit, économie, gestion :
    • 8 parcours de licence, 7 masters recherche, 28 masters professionnels, 13 masters à la fois professionnels et recherche
  • Sciences humaines et sociales :
    • 13 parcours de licence, 20 masters recherche, 22 masters professionnels, 21 masters à la fois professionnels et recherche
  • 22 licences professionnelles (LP)
  • 19 licences bidisciplinaires
  • 1 option français langue étrangère
  • 5 diplômes universitaires de technologie (DUT) : HSE, QLIO, STID, GLT et GEA
  • 50 diplômes universitaires (DU)
  • 9 préparations à l'agrégation

Relations internationales[modifier | modifier le code]

Grand amphithéâtre de l'université Lumière-Lyon-II.

L'université Lyon 2 compte actuellement 501 accords d'échange avec 318 établissements partenaires dans 62 pays.

L'université est aussi partenaire du laboratoire international associé SALADYN créé en 2013[23].

Recherche[modifier | modifier le code]

Spécialisée dans les domaines des arts, lettres, langues ; sciences humaines et sociales (SHS), et droit, économie, gestion ; L'université développe une politique de recherche guidée par trois priorités :

  • l’innovation par les interfaces entre champs disciplinaires ;
  • la visibilité internationale de la production scientifique ;
  • la promotion d’une science citoyenne via des partenariats avec le monde économique et culturel, les collectivités, les associations, les institutions publiques, les médias.

Quatre axes fédérateurs[modifier | modifier le code]

En interface avec les sciences expérimentales, de la nature et de la santé, l'université travaille sa politique de recherche pour le contrat quinquennal 2015–2020 autour de quatre axes fédérateurs situés au cœur des enjeux scientifiques et sociétaux du XXIe siècle :

  • Santé et société : approche interdisciplinaire de la santé et des sciences sociales ;
  • Développement, environnement et durabilité ;
  • Numérisation, simulation et modélisation de la complexité
  • Images, textes, discours, création, diffusion multimédia.

34 laboratoires de recherche reconnus dont 20 UMR (associés au CNRS)
3 regroupements fédératifs

  • Maison de l'Orient et de la Méditerranée - Jean-Pouilloux (MOM) qui regroupe des unités de recherche qui se consacrent aux civilisations de la Méditerranée, du Proche et du Moyen-Orient leurs aspects passés et présents.
  • Institut des Sciences de l'homme (ISH) qui rassemble 14 équipes associées au CNRS et 6 équipes universitaires.
  • Institut supérieur d’études des religions et de la laïcité (ISERL) qui mène dans une perspective interdisciplinaire et comparatiste l’analyse des phénomènes religieux et de la laïcité.

Scientométrie[modifier | modifier le code]

L'université occupe en juillet 2023 la 1 649e place du classement Webometrics Ranking of World Universities (en)[24] qui classe plus de 30 000 écoles ou universités en fonction du volume et de la visibilité de leurs publications électroniques.

Vie étudiante[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

Évolution démographique de la population universitaire

2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007
25 188[25]25 503[26]26 437[27]27 201[28]28 124[29]28 176[30]27 806[31]27 182[32]
2008 2009 2010 2011 2016 - - -
26 681[33]27 405[34]28 309[35]27 863[36]28 704[37]---

Vie associative[modifier | modifier le code]

La vie du campus est rythmée grâce à la présence d'associations. Des projets voient le jour chaque année grâce à l'engagement d'étudiants (pièces de théâtre, expositions, etc.). La diversité des centres d'intérêt entend ainsi favoriser l'épanouissement des étudiants du campus.

Personnalités liées à l'université[modifier | modifier le code]

Enseignants[modifier | modifier le code]

Étudiants[modifier | modifier le code]

Docteurs honoris causa[modifier | modifier le code]

Le tramway T2 dessert le campus universitaire de Bron.
Le tramway T2 dessert le campus universitaire de Bron.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Cette devise a été créée par Alain Bony (†2006), professeur de littérature britannique du XVIIIe siècle et vice-président de l'Université.
  2. a b c d e et f Rapport Rousso (2004), p.23-24 (En ligne)
  3. a b c d et e Rapport Rousso (2004), Chapitre I.
  4. Rapport Rousso (2004), Chapitre I, p.27
  5. Rapport Rousso (2001), Chapitre I, p.25, cite notamment un entretien avec Jean-Claude Casanova, directeur de la revue Commentaire, à l’époque conseiller technique au cabinet de Joseph Fontanet, ministre de l’Éducation nationale.
  6. L'université Lyon-II touchée par d'"importantes dégradations", lemonde.fr, 3 novembre 2010
  7. Valérie Pécresse condamne les actes de dégradation commis à l'université de Lyon II, enseignementsup-recherche.gouv.fr, 3 novembre 2010
  8. Quelle place de l’extrême gauche au sein de l’université Lyon 2 ?, rue89lyon.fr, 26 novembre 2013
  9. six étudiants poursuivis pour violences et dégradations, leprogres.fr, 23 novembre 2013
  10. Face à la polémique, l’université Lyon 2 annule un colloque sur l’islamophobie, 20minutes.fr, 4 octobre 2017
  11. a et b Matthieu Aron, Les "décoloniaux" à l'assaut des universités, nouvelobs.com, 30 novembre 2018
  12. Benoît Rayski, Voici comment Lyon II est devenu le laboratoire de la haine décoloniale, atlantico.fr, 23 septembre 2019
  13. Marie-Amélie Lombard-Latune, Décolonialisme: à l’université, la résistance s’organise, lopinion.fr, 6 octobre 2020
  14. Paul Sugy, À Lyon 2, un étudiant dénonce une obsession pour les questions de genre et de race
  15. Guilhem Carayon, Les thèses «décolonialistes» infiltrent les universités françaises, causeur.fr, 24 septembre 2019
  16. Yves Mamou, L'université kidnappée (avec son consentement) par les indigénistes, revuedesdeuxmondes.fr, mai 2019
  17. Lyon 2 est-elle une université « ravagée par l’islamo-gauchisme » ?, rue89lyon.fr, 29 novembre 2020
  18. Décret n° 2015-127 du 5 février 2015 portant approbation des statuts de la communauté d'universités et établissements « Université de Lyon », (lire en ligne)
  19. René Girard (1924-2003), homonyme du philosophe, professeur en littérature allemande [1]
  20. Muriel Florin, « Université Lyon 2 : les candidats se déclarent aujourd'hui », Le Progrès, 24 novembre 2009, consulté sur www.leprogres.fr le 16 octobre 2010
  21. M.F., « André Tiran est élu à la présidence de l'université Lyon 2 », Le Progrès 18 décembre 2009, consulté sur www.leprogres.fr le 16 octobre 2010
  22. « Nathalie Dompnier : biographie et actualités sur EducPros », sur letudiant.fr (consulté le ).
  23. [PDF]« Le Laboratoire International Associé du CNRS « SALADYN » », sur ambafrance-cn.org (consulté le ).
  24. (en) « Université de Lyon II | Ranking Web of Universities: Webometrics ranks 30000 institutions », sur webometrics.info (consulté le ).
  25. Jean-Richard Cytemann, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2001, Imprimerie nationale, p. 161, (ISBN 2-11-092136-6), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  26. Jean-Richard Cytemann, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2002, Imprimerie nationale, p. 159, (ISBN 2-11-092152-8), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  27. Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2003, Imprimerie nationale, p. 155, (ISBN 2-11-093455-7), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  28. Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2004, Imprimerie nationale, p. 159, (ISBN 2-11-094345-9), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  29. Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2005, Imprimerie nationale, p. 175, (ISBN 2-11-095390 X), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  30. Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2006, Imprimerie nationale, p. 179, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  31. Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2007, Imprimerie nationale, p. 181, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  32. Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2008, Imprimerie nationale, p. 173, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  33. Daniel Vitry, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2009, Imprimerie moderne de l’Est, p. 175, (ISBN 978-2-11-097805-9), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  34. Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2010, Imprimerie moderne de l’Est, p. 173, (ISBN 978-2-11-097819-6), consulté sur www.education.gouv.fr le 17 septembre 2010
  35. Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2011, Imprimerie moderne de l’Est, p. 175, (ISBN 978-2-11-097810-3), consulté sur www.education.gouv.fr le 2 septembre 2011
  36. Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2012, Imprimerie moderne de l’Est, p. 177, (ISBN 978-2-11-099368-7), consulté sur www.education.gouv.fr le 30 août 2012
  37. https://www.univ-lyon2.fr/medias/fichier/sise2017-effectifs-15-janvier-vf-2017-04-14_1492523109823-pdf?INLINE=FALSE
  38. Martine François, Amélie Le Pendeven, Blandine Husser, « BELOT Émile Joseph », sur cths.fr, (consulté le ).

Annexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Françoise Bayard et B. Comte, L'Université Lyon 2, 1973-2004, Presses universitaires Lyon, Lyon, 2004
  • Agence d'Évaluation de la Recherche et de l'Enseignement Supérieur (AERES), AERES-S1-Université Lyon2, rapport d'évaluation, , 40 p.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]