Tréon

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Tréon
Tréon
Église Saint-Blaise
Logo monument historique Inscrit MH (2013)[1].
Blason de Tréon
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Dreux
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays de Dreux
Maire
Mandat
Christian Berthelier
2020-2026
Code postal 28500
Code commune 28394
Démographie
Gentilé Tréonnais
Population
municipale
1 430 hab. (2021 en augmentation de 3,32 % par rapport à 2015)
Densité 131 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 40′ 36″ nord, 1° 19′ 32″ est
Altitude Min. 102 m
Max. 172 m
Superficie 10,93 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Dreux-1
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Tréon
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Tréon
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Tréon
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Tréon

Tréon est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Ce village, qui s'étend de part et d'autre de la Blaise, se situe à la limite de la région parisienne (à 15 km de Dreux), de la Beauce, de la région naturelle du Thymerais (5 km) et de la Normandie (15 km).

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par la rivière la Blaise, affluent en rive gauche de l'Eure, sous-affluent du fleuve la Seine. En amont de la Blaise, se trouve Aunay-sous-Crécy, en aval Garnay.

En 2015, le syndicat intercommunal de la vallée de la Blaise (SIVB) a entrepris plusieurs actions pour améliorer la continuité écologique de la rivière, notamment au moulin de Fortisle[2],[3].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 607 mm, avec 10,3 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Marville_sapc », sur la commune de Marville-Moutiers-Brûlé à 5 km à vol d'oiseau[6], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 571,8 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Tréon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (86,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (76,7 %), prairies (7,2 %), forêts (7,2 %), zones urbanisées (5,8 %), zones agricoles hétérogènes (3 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Tréon est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondationset séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par ruissellement et coulée de boue, notamment la Blaise. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999 et 2018[18],[16].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Tréon.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 79,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 567 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 501 sont en aléa moyen ou fort, soit 88 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[16].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[20].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Tréon, qui était une ancienne seigneurie, portait avant 1080 le nom de bourg Treionis vicus. Cette commune fut en effet un village gallo-romain d'importance, situé entre la rivière la Blaise et la route reliant Paris au Mans.

Sur les cartulaires au cours des siècles, on trouve Tréon désigné sous les noms de Trehio, Traho, Treionium, Trium, Trahon, Trolon. Tous ces noms pourraient avoir une même origine, trahum, qui désignerait le tribut, l'impôt, que les Romains levaient sur les provinces conquises. Au Moyen Âge, Tréon et trahum signifiaient encore impôt et toutes redevances dues au seigneur.

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Vint s'établir à Tréon un prieuré conventuel qui fit la prospérité du village. Mais en 1077, un incendie ravagea le monastère[réf. nécessaire]. En 1134, l'église, construite en bois, est brûlée de nouveau : on ne la rebâtit pas, soit par manque d'argent, soit au contraire pour la reconstruire plus tard, en pierre et de plus grande dimension.

Tréon fait alors partie de la seigneurie du vidame de Chartres. Le diocèse de Chartres, le plus étendu du royaume, comprenait : Beauce, Dunois, Vendômois, Drouais, jusqu'à Mantes, le Perche et le Thymerais. Jusqu'au XVIIIe siècle, les seigneurs de Tréon prêtèrent foi, hommage, aveu et dénombrement à l'évêque de Chartres.

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

XIXe siècle[modifier | modifier le code]

  • 1826 : le , une crue d'eau considérable est causée par des orages multiples. Toute la vallée de la Blaise est inondée ;
  • 1832 : une épidémie de choléra sévit à Tréon et entraîne une douzaine de décès ;
  • 1856 : découverte d'un trésor au pied d'un chêne, dans un bois de Tréon (des pièces d'or et d'argent à l'effigie de François II, Charles IV, Henri III, Henri IV furent trouvées, il est possible que ce soit le reste d'un butin de guerre, enfoui au moment de la bataille de Dreux) ;
  • 1857 : à cette époque, il existe une tuilerie qui fabrique annuellement 500 000 briques, tuiles et pavés pour le département ;
  • 1866 : lors de fouilles effectuées par la commune au lieu-dit la Croix du Friche, afin de mettre de niveau la route et le sol du carrefour, on découvrit plusieurs tombes ;
  • 1870 : le 17 novembre 1870 lors de la guerre franco-allemande de 1870, la région, qui n'avait pas vu de bataille depuis les guerres de religion, se trouve à nouveau ravagée. Après la défaite de la France, 3 000 Prussiens passent à Tréon et des cuirassiers de Magdebourg perquisitionnent dans chaque maison ;
  • 1874 : le percepteur de Tréon est arrêté avec son fils pour faux en écriture publique. Ils avaient contrefait la signature de gens de Tréon et Aunay qui ne savaient pas signer. Le , des loups se montrent au village ; le jour de Noël, l'un d'eux est venu rôder sous les fenêtres de l'école, un autre est allé dans la cour du garde-champêtre à Aunay, pour manger un jeune chien ;
  • 1875 : le , c'est la mobilisation des chevaux. L'été a été sec et coupé de gros orages ;
  • 1876 : grande manœuvre au mois d'août. Tréon loge un régiment, 14 000 hommes défilent dans les rues du village ;
  • 1879 : fin novembre, il y a déjà 30 centimètres de neige à Tréon. Il fait −18 °C en décembre pendant une semaine. Beaucoup sont victimes de ce froid rigoureux. Un tragique incendie se déclare à la ferme Barbot, toutes les maisons à toit de chaumes sont menacées ;
  • 1881 : inondation due à la Blaise, les digues, moins bien entretenues, laissaient passer l'eau ;
  • 1900 : le a lieu la bénédiction du nouveau cimetière ;
  • 1905 : Tréon compte désormais 492 habitants (au XIIIe siècle il y a 140 paroissiens. En 1816, il y a 159 habitants, et 617 en 1864).

XXe siècle[modifier | modifier le code]

  • En 1939, le maire lance un appel pour que chaque famille de Tréon aide les réfugiés :
« Certaines communes du département ont fait l'effort d'héberger plus de 2.000 réfugiés espagnols. La commune de Tréon ne peut pas et ne doit pas rester indifférente à ce devoir d'humanité. Chaque habitant, chaque famille, ayant souffert de la guerre, se fera un devoir d'apporter à ces malheureuses et innocentes victimes une aide, si modeste soit-elle. Les dons en nature surtout ou en argent, seront reçus à la mairie qui les fera parvenir aussitôt. D'avance merci ! Le maire, Gautier »[21].
  • En , des Allemands traversant le village se sont réfugiés dans les bois pendant une brève apparition de chasseurs alliés, abandonnant plusieurs voitures chargées. Le soir, ils viennent chez le maire, demandant impérativement chevaux et conducteurs. Ils sont nerveux, ils ont leurs armes à la main, prêts à tirer. Ils menacent même de faire sauter le village, l'atmosphère est lourde de menaces, toutes les portes sont closes. Lucien Pollet comprenant la danger, malgré sa qualité de maire, accepte d'être conducteur et sacrifie ses chevaux. Son exemple est suivi par quelques cultivateurs, le convoi se forme. Tréon est sauvé[22].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

La mairie
La mairie
Liste des maires à partir de 1945
Période Identité Étiquette Qualité
1945 1951 Lucien Pollet    
1951 1971 Pierre Drouet    
1971 1977 Paul Mariage    
1977 1983 Pierre Drouet DVG  
1983 1983 Georges Simon    
1983 1984 Bernard Claude   Retraité
1984 En cours Christian Berthelier[23],[24]   Ancien artisan, commerçant ou chef d'entreprise

Jumelages[modifier | modifier le code]

Carte
Jumelages et partenariats de Tréon.Voir et modifier les données sur Wikidata
Jumelages et partenariats de Tréon.Voir et modifier les données sur Wikidata
VillePaysPériode
Bad Liebenstein (d)Allemagnedepuis

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[26].

En 2021, la commune comptait 1 430 habitants[Note 2], en augmentation de 3,32 % par rapport à 2015 (Eure-et-Loir : −0,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
437496559555551642627647650
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
600550576541581514512497498
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
492500483473495467438470522
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
5715516318981 1791 2551 2781 2841 357
2014 2019 2021 - - - - - -
1 3661 4221 430------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Traversée de la ville par la D 928.

Beaucoup d'animations ont lieu dans le village, organisées par les associations locales : « Grande foire à tout », en mai, organisée par les sapeurs-pompiers, fête du 14-Juillet organisée par la mairie, concours de boules, loto, belote, etc.

Économie[modifier | modifier le code]

Thunder du Blin, né en 1985 à Tréon et mort en mars 2018, est un étalon de race Connemara, premier poney performer né et élevé en France, selon le magazine L'Éperon ; il a donné une nombreuse progéniture et fut vendu aux Haras nationaux en 1996 pour la somme de 200 000 francs.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Saint-Blaise[modifier | modifier le code]

Église Saint-Blaise, XIIe siècle, XVIe et XIXe siècles, Logo monument historique Inscrit MH (2013)[1].

L'église présente des statues et vitraux du XVIe siècle, ainsi qu'une cloche datée de 1677[29]. Cinq verrières sont classées monuments historiques en tant qu'objet : elles figurent notamment Dieu le Père, des saints évêques, le Martyre de sainte Marguerite, des anges et la Vierge à l'Enfant (baies 5, 7, 8, 10, 18)[30].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes de la commune se blasonnent ainsi : d’or à l’écusson de gueules à la couronne de marquis du champ, accompagné de huit merlettes de sable ordonnées en orle.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Église Saint-Blaise », notice no PA28000038, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  2. Pierre Fetter et Anthony Vierron, « La continuité écologique pour les milieux aquatiques d'Eure-et-Loir pose question », sur lechorepublicain.fr, .
  3. Marion Bérard, « La rivière La Blaise a retrouvé son débit naturel en Eure-et-Loir - Tréon », sur lechorepublicain.fr, .
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Tréon et Marville-Moutiers-Brûlé », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Marville_sapc », sur la commune de Marville-Moutiers-Brûlé - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Marville_sapc », sur la commune de Marville-Moutiers-Brûlé - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Tréon », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  21. Journal L'Action républicaine du 22 février 1939.
  22. Faits relatés par Monsieur Drouet, maire de Tréon, lors des obsèques de Lucien Pollet (1889-1951), ancien maire de Tréon, et publiés dans le journal L'Action républicaine du 28 novembre 1951.
  23. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  24. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. « Cloche de clocher », notice no PM28000598, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  30. « 5 verrières figurées : Dieu le Père, saints évêques, Martyre de sainte Marguerite, anges, Vierge à l'Enfant (baies 5, 7, 8, 10, 18) », notice no PM28000595, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  31. Magazine Pour vous, 10 octobre 1935, p.10, interview de Jean Gabin : « Il y a quelques années, j'avais acheté une petite ferme. c'était ma maison de campagne à moi, mon "château en Touraine". Dès que j'avais quelques semaines de liberté, vite je filais à Tréon près de Dreux, où j'étais chez moi. Entre deux parties de chasse avec mon vieux copain Gabrio, je parcourais mes beaux champs fertiles, je tâtais les progrès de ma moisson, j'admirais mon verger en fleurs et mon potager prometteur, tandis qu'au loin, le train qui passait dans un trait de fumée me traçait la limite de mon terroir et me rappelait un vieux rêve de mon enfance. Je n'ai pas pu mener longtemps cette vie heureuse. On ne peut pas s'occuper de ses récoltes et de ses cochons et du cinéma. Force m'a été de me défaire de la ferme. ».
  32. Karmine Corp, « Cabochard - Le Portrait », Timer 0:31 Accès libre [vidéo], (consulté le ).