Trémaouézan

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Trémaouézan
Trémaouézan
L'église Notre-Dame.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Finistère
Arrondissement Brest
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Landerneau-Daoulas
Maire
Mandat
Hervé Liegeois
2020-2026
Code postal 29800
Code commune 29295
Démographie
Gentilé Tréviens
Population
municipale
502 hab. (2021 en diminution de 9,71 % par rapport à 2015)
Densité 60 hab./km2
Population
agglomération
44 395 hab.
Géographie
Coordonnées 48° 30′ 15″ nord, 4° 15′ 14″ ouest
Altitude Min. 77 m
Max. 102 m
Superficie 8,30 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Brest
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Landerneau
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Trémaouézan
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Trémaouézan
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Trémaouézan

Trémaouézan [tʁemawezɑ̃] est une commune du département du Finistère, dans la région Bretagne, en France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Représentations cartographiques de la commune
Carte
Mairie
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

La tourbière de Lann Gazel (marais de Langazel)[modifier | modifier le code]

La tourbière de Lann Gazel (marais de Langazel)[1], d'une superficie d'environ 500 ha, est située à cheval sur les communes de Ploudaniel, Trémaouézan et Plouédern ; elle est drainée par des ruisseaux tributaires de l'Aber-Wrac'h s'écoulant vers le nord-ouest en deux branches principales entre lesquelles se situe le bourg de Ploudaniel[2]. D'anciennes tourbières, datant d'environ 12 000 ans, y ont été exploitées.

Ce joyau biologique a bien failli disparaître en raison du projet d'y construire en 1979 une usine de traitement des déchets. Son salut provient de la mobilisation d'une association locale, "Association Langazel", créée à cet effet ; elle est désormais le gestionnaire de cet milieu naturel[3].

C'est désormais un espace naturel protégé, faisant partie des sites Natura 2000[4], dont la gestion naturaliste a commencé en 1992[5].

« La tourbière de Langazel abrite des espèces et des habitats ou milieux naturels d’intérêt européen en proportion importante. Ces habitats et ces espèces sont répertoriés dans deux directives européennes pour la conservation des milieux naturels ainsi que de la faune et de la flore sauvages : la directive "Oiseaux" de 1979 et la directive "Habitats-faune-flore" de 1992[1]. »

Pendant la Seconde Guerre mondiale, la société Worms exploita la tourbière de Langazel[6].

Un circuit de randonnée d'une longueur de 8 km et un sentier d'interprétation d'une durée de 30 minutes ont été aménagés pour en permettre la visite.

Communes limitrophes de Trémaouézan
Ploudaniel Plounéventer
Trémaouézan
Plouédern

La "Zone humide de Langazel", qui est la plus ancienne tourbière de Bretagne, âgée de 12 000 ans, va devenir en 2024 une nouvelle Réserve naturelle régionale, à la suite d'un vote du Conseil régional de Bretagne en date du [7].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Finistère nord, caractérisée par une pluviométrie élevée, des températures douces en hiver (°C), fraîches en été et des vents forts[9]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Monts d'Arrée », avec des hivers froids, peu de chaleurs et de fortes pluies[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 10,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 135 mm, avec 17,1 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Ploudaniel à 5 km à vol d'oiseau[11], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 146,8 mm[12],[13]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Trémaouézan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[15],[16],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Brest, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 68 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[18],[19].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (78,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (41 %), zones agricoles hétérogènes (33,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (17,4 %), forêts (5,4 %), prairies (3,2 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attesté sous la forme Tremagouezou en 1363.

Tremaouezan, en breton, sans accent.

Ce toponyme est formé sur Trev, une Trève et l'anthroponyme Maouezan ; sans doute le nom du chef de clan ayant colonisé ce territoire lors de l'arrivée des bretons insulaires.

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Trémaouézan était une trève de Ploudaniel, faisant partie de l'archidiaconé de Kemenet-Ily relevant de l'évêché de Léon.

Des rochers portant, selon la légende, l'empreinte du bâton de saint Hervé et celle de la patte de son loup se trouvent dans la tourbière de Langazel.

Du XVIe siècle au XVIIIe siècle[modifier | modifier le code]

Pendant les Guerres de la Ligue, le , Yves du Liscouët, après avoir pris et pillé le manoir de Mézarnou, s'empara « des croix, calices et patènes d'or massif, enrichis de pierreries, des églises de Plounéventer, Lanneuffret, Plouédern et Trémaouézan » qui avaient été confiés à la garde du sieur de Mézarnou, le seigneur de Parcevaux[21].

La trève de Trémaouézan pratiquait l'activité toilière liée au lin et au chanvre : 64,7 % des inventaires après décès qui ont été conservés pour cette trève à l'époque signalent la présence de métiers à tisser ; même le curé, Pierre Thépaut, faisait travailler plusieurs de ses paroissiens. Six kanndi ont été recensés à Trémaouézan[22].

Révolution française[modifier | modifier le code]

Entre 1794 et 1801, Guillaume Huguen, prêtre réfractaire de Trémaouézan[23] assura clandestinement 520 mariages et 1 164 baptêmes, dont seuls respectivement 40 et 254 concernaient des fidèles de sa paroisse[24].

Le XIXe siècle[modifier | modifier le code]

Un triste fait divers[modifier | modifier le code]

Un autre fait divers illustre bien la misère qui sévissait alors : le , poussé par la misère, un homme de 34 ans demeurant à Trémaouézan, François Paul, avec sa femme et ses trois petits enfants, prirent le train à Brest jusqu'à la gare du Rody, puis dans la crique de Fonteunaon en Guipavas (section de Kerhuon), s'avancèrent dans la mer afin de se noyer, ce qui survint. Seul l'homme au dernier moment n'eut pas le courage de mourir et ramena les cadavres des siens sur la plage. L'homme fut arrêté[25] et condamné aux travaux forcés à perpétuité le par la Cour d’assises du Finistère[26]. On ne sait pas où et jusqu'à quand il a purgé sa peine[27].

L'épidémie de choléra de janvier 1886[modifier | modifier le code]

Clocher, calvaire et porche de l'église Notre-Dame-de-Trémaouézan vers 1930 (carte postale d'Émile Hamonic).

Henri Monod, dans Le choléra : histoire d'une épidémie, Finistère 1885-1886[28] écrit que l'épidémie de choléra frappe le bourg et le hameau de Kersalamon, n'atteignant toutefois que trois personnes et ne provoquant qu'un seul décès, celui d'une enfant de 5 ans le . Cette épidémie provoqua un rapport de l'agent voyer cantonal qui fournit d'intéressantes précisons sur les conditions sanitaires de l'époque :

« La commune de Trémaouézan se trouve située sur un plateau dont le sous-sol se compose, en majeure partie, de granite et de sable. La couche de terre recouvrant ce sol granitique est assez uniforme et présente peu d'épaisseur (0,60 m à 1 m en moyenne). (...) Cette commune ne comporte aucune agglomération de vingt feux. le bourg lui-même n'en contient actuellement que dix-huit. La nature de l'eau est en général excellente au goût, très limpide et abondante ; elle provient, en grande partie, des sources jaillissant en dehors des agglomérations. Les puits sont généralement établis à proximité des habitations et sont tous en contre-bas de celles-ci. Malgré ces conditions, les eaux sont rarement souillées à cause sans doute de la nature du sol éminemment favorable à la clarification de celles pouvant y pénétrer par infiltration. (...) L'eau n'a jamais manqué dans la commune. »

Le même agent voyer communal poursuit ainsi son rapport :

« Les vidanges des maisons, en y comprenant les matières fécales, se font ordinairement sur les tas de fumier, et ces derniers sont transportés deux fois l'an en moyenne dans les champs pour y être employés comme engrais. Avant leur emploi, elles ne peuvent contaminer les eaux, étant absorbées par les fumiers mis en tas, le plus loin possible des puits et des sources. Le lavage du linge se fait avec le savon ordinaire dans des lavoirs établis en contre-bas des sources ; les eaux ayant servi à ce lavage s'écoulent par des rigoles ou des saignées et sont employées à l'arrosage des prairies. Le nettoyage de la place du bourg et des chemins y aboutissant se fait par le cantonnier du service vicinal. il n'y a pas de maison comprenant de cour où les résidus de la vie soient accumulés. En résumé, le bourg de Trémaouézan, ainsi que les petits villages dépendant de cette commune, se trouvent dans une situation relativement bonne du point de vue de l'hygiène, si on la compare aux autres localités. (...). »

L'agent voyer communal avait une vision quelque peu idyllique de la situation sanitaire de Trémaouézan à l'époque. Henri Monod fait d'ailleurs remarquer qu'entre 1882 et 1885, Trémaouézan connaît un excédent des décès par rapport aux naissances.

En 1889 le bourg de Trémaouézan n'avait que 70 habitants agglomérés pour une population communale totale de 512 habitants[29].

La voie ferrée desservant Trémaouézan[modifier | modifier le code]

Le tracé de la voie ferrée allant de Landerneau à Brignogan via Trémaouézan.

Une loi du déclare d'utilité publique la construction d'un réseau de chemin de fer d'intérêt local, à voie d'un mètre de largeur et comprenant entre autres lignes celle allant de Landerneau à Lesneven et à Plounéour-Trez par ou près Plouédern, Trémaouézan, Ploudaniel, Lesneven, Plouider et Goulven[30]. Des stations pour les voyageurs sont prévues à Landerneau, Trémaouézan, Ploudaniel, Lesneven, Plouider, Goulven et Plounéour-Trez et des simples haltes à Plouédern et Le Folgoët[31]. Cette voie ferrée des Chemins de fer départementaux du Finistère est mise en service en 1894 jusqu'à Plounéour-Trez et prolongée en 1901 jusqu'à Brignogan ; elle a été fermée en 1946.

Charles Le Goffic décrit ainsi le paysage vu du train entre Trémaouézan et Ploudaniel en 1905 :

« De grandes friches rases, des tourbières et des landes, que ferme, à l'horizon, la lisière vaporeuse d'un chêne centenaire, [nous] séparaient du reste du monde. Entre Trémaouézan et Ploudaniel, le train file droit au milieu d'un paysage d'une mélancolie oppressante, plat et nu jusqu'aux confins du cercle visuel, sans une maison, sans un arbre, hanté par les échassiers et les corbeaux. On se croirait dans le Born. Mais brusquement, au détour de la voie, un clocher s'élance à l'horizon, un de ces clochers à jour (...) qui semble un défi aux lois de la pesanteur et de l'équilibre[32]. »

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Maires
Période Identité Étiquette Qualité
1808 1830 Jacques PERS    
1831 1845 Candide JEZEQUEL    
1847 1848 François TANGUY    
1850 1857 Yves MASSON    
1858 1892 Nicolas FREMONT    
Mai 1892 Nov 1892 Germain MASSON    
1892 1912 Timothée LEOST    
Mai 1912 Nov 1912 Guillaume JESTIN    
1912 1919 Yves LE GUEN    
1919 1921 Joseph MOYSAN    
1921 1929 Louis THOMAS    
1929 1936 Jean-Marie PRIGENT    
1936 1983 Louis LAOT   Agriculteur
1983 1989 Jean-Pierre GOURMELON    
1989 2001 Alain MEUDEC    
2001 28 mai 2020 Jean-René LE GUEN DVG Retraité
28 mai 2020 En cours Hervé LIEGEOIS[33]   Retraité de la Marine nationale
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
510412423468464501514506512
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
489501552483519523512485514
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
473545522528504511468466426
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
323283265345370431418410516
2015 2020 2021 - - - - - -
556511502------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Monuments[modifier | modifier le code]

Événements[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b http://www.pays-landerneau-daoulas.fr/upload/ZONE%20HUMIDE%20DE%20LANGAZEL.pdf
  2. Paul Joanne, Dictionnaire géographique et administratif de la France et de ses colonies, vol. 4 L-M, 1890-1905 (lire en ligne).
  3. Yann Février, « Trémaouézan : les Landes de Langazel », Journal Le Télégramme,‎ .
  4. Museum national d'Histoire naturelle, « FR5300067 - Tourbière de Lann Gazel », sur mnhn.fr (consulté le ).
  5. « La zone humide de Langazel », sur asso.fr (consulté le ).
  6. Anna Quéré, « Tourbières. Une brève aventure industrielle. », sur letelegramme.fr, (consulté le ).
  7. Mathilde Régis, « En Bretagne, bientôt quatre nouvelles réserves naturelles », Journal Le Télégramme,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  8. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  9. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  10. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le ).
  11. « Orthodromie entre Trémaouézan et Ploudaniel », sur fr.distance.to (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « Ploudaniel-Inra » (commune de Ploudaniel) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Ploudaniel-Inra » (commune de Ploudaniel) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  15. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  17. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. J. Baudry, La Fontenelle le ligueur et le brigandage en Basse-Bretagne pendant la Ligue : 1574-1602, Nantes, L. Durance, (lire en ligne), pages 82-83.
  22. Andrée Le Gall-Sanquer, Jean-Luc Richard, Marie-Louise Richard, "L'or bleu (An aour glaz) : le lin au pays de Landerneau-Daoulas", Association Dourdon, Cloître Imprimeurs, 2005, [ (ISBN 2-9505493-1-4)]
  23. « Trémaouézan durant la Révolution (Bretagne) », sur infobretagne.com (consulté le ).
  24. a et b Jean Rohou, Catholiques et Bretons toujours ? : Essai sur l'histoire du christianisme en Bretagne, Brest 2012, Dialogues, 534 p. (ISBN 978-2-918135-37-1).
  25. Journal des débats politiques et littéraires n° du 11 octobre 1885, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k463349s/f3.zoom.r=Guipavas.langFR
  26. Journal Le Petit Parisien no 3370 du 19 janvier 1886, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4734644/f3.image.r=Guipavas.langFR
  27. Lénaïg Gravis, "Les grandes affaires criminelles du Finistère", De Borée éditions, 2008 [ (ISBN 978-2-84494-808-3)]
  28. Henri Monod, Le choléra : histoire d'une épidémie, Finistère 1885-1886, (lire en ligne).
  29. « Les chemins de fer d'intérêt local dans le Finistère », La Dépêche de Brest et de l'Ouest,‎ , page 2 (lire en ligne, consulté le ).
  30. Bulletin des lois de la République française, 1891, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2147845/f253.image.r=Ploudaniel.langFR
  31. Bulletin des lois de la République française, 1891, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2147845/f261.image.r=Ploudaniel.langFR
  32. Charles Le Goffic, La Bretagne (compte-rendu du livre de Gustave Geffroy), Revue universelle, 1905, n° 125, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5758826j/f54.image.r=Ploudaniel.langFR
  33. « Trémaouézan. Hervé Liegeois élu pour un premier mandat », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Compte-rendu de cet ouvrage dans le "Bulletin diocésain d'histoire et d'archéologie", 1924, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5729760q/f403.image.r=Ploudaniel.langFR

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