Théophile Funck-Brentano

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Théophile Funck-Brentano
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 75 ans)
MontfermeilVoir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Théophile Jean-Baptiste FunckVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Activités
Fratrie
Conjoint
Sophie Brentano (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfants
Autres informations
Distinction
Prix Bordin ()Voir et modifier les données sur Wikidata

Théophile Funck-Brentano, né Théophile Funck le à Luxembourg et décédé le à Montfermeil, est un sociologue franco-luxembourgeois.

Biographie[modifier | modifier le code]

Jeunesse et études[modifier | modifier le code]

Il a épousé Sophie Brentano, nièce de la femme de lettres et nouvelliste romantique allemande Bettina von Arnim, née Brentano, elle-même sœur du poète romantique allemand Clemens Brentano.

Parcours professionnel[modifier | modifier le code]

Il quitta Luxembourg pour Paris en 1870, année où il est naturalisé français. Il est le fondateur du Collège libre des sciences sociales en 1895.

Il enseigne le droit international à l'École libre des sciences politiques, où il est recruté par Émile Boutmy[1].

Il est le père de Frantz Funck-Brentano et de Claudine Funck-Brentano.

Œuvres[modifier | modifier le code]

  • Les Sciences humaines, 1868.
  • La Pensée exacte en philosophie, 1869.
  • La Civilisation et ses lois, 1876.
  • Les sophistes allemands et les nihilistes russes, Plon, 1887.
  • L'homme et sa destinée, 1895.
- Prix Bordin de l’Académie française
  • La Politique, 1897.
  • Les Sophistes français, 1905.

Références[modifier | modifier le code]

  1. Marie Scot, Sciences Po, le roman vrai, Sciences Po, les presses, (ISBN 978-2-7246-3915-5)

Liens externes[modifier | modifier le code]