Théodore Vienne

Théodore Vienne en 1913

Biographie
Naissance	28 juillet 1864 Roubaix
Décès	1^er mars 1921 (à 56 ans) 15e arrondissement de Paris
Sépulture	Cimetière du Père-Lachaise
Nationalité	française
Activités	Homme d'affaires, mécène, journaliste, officiel du sport

Autres informations
Sports	Sport cycliste, billard français, boxe

Théodore Vienne, né à Roubaix le 29 juillet 1864 et mort à Paris le 1^er mars 1921, est un industriel du textile français, mécène et organisateur sportif pour le cyclisme et la boxe, journaliste sportif.

Repères biographiques[modifier | modifier le code]

Cofondateur du vélodrome de Roubaix en 1895 avec M. Perez (le conseil d'administration comprend également le journaliste Paul Rousseau), il met sur pied plusieurs courses cyclistes ainsi que des combats d'animaux. Il contribue également, avec Victor Breyer et Paul Rousseau notamment, à la création de la course cycliste Paris-Roubaix en 1896.

Directeur puis propriétaire de la grande roue de Paris, il fonde en 1907, avec Robert Coquelle et Victor Breyer, le Wonderland français. Il organise les premiers matchs de boxe anglaise en France. Il est le président de la commission des organisateurs de matchs de la Fédération française de boxe en 1912^[1].

Vienne est également journaliste. Il est notamment rédacteur puis directeur de la revue L'Education Physique à partir de 1905.

Mort dans le 15^e arrondissement de Paris le 1^er mars 1921 (à 56 ans), il est inhumé au cimetière du Père-Lachaise à Paris^[2].

Notes et références[modifier | modifier le code]

↑ « Le Rappel » du 15 novembre 1912 sur Gallica
↑ Henri Desgrange, « Théo Vienne est mort : Celui qui fonda le Wonderland Français s'est éteint l’avant-dernière nuit, après une longue maladie », L'Auto, n^o 7383,‎ 3 mars 1921, p. 1 (lire en ligne ).

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Sylvain Ville, Le théâtre de la boxe. Histoire sociale de la boxe anglaise professionnelle à Paris (et à Londres) (1880-1930), thèse de doctorat, Université Paris-Nanterre, 2016.

Liens externes[modifier | modifier le code]

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[1] « Le Rappel » du 15 novembre 1912 sur Gallica

[2] Henri Desgrange, « Théo Vienne est mort : Celui qui fonda le Wonderland Français s'est éteint l’avant-dernière nuit, après une longue maladie », L'Auto, n^o 7383,‎ 3 mars 1921, p. 1 (lire en ligne ).

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