La Roche-Morey

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La Roche-Morey
La Roche-Morey
Cour de l'ancien monastère de La Roche-Morey.
Blason de La Roche-Morey
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Haute-Saône
Arrondissement Vesoul
Intercommunalité Communauté de communes des Hauts du Val de Saône
Maire
Mandat
Thierry Tupinier
2020-2026
Code postal 70120
Code commune 70373
Démographie
Population
municipale
291 hab. (2021 en augmentation de 6,99 % par rapport à 2015)
Densité 9,9 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 42′ 36″ nord, 5° 44′ 31″ est
Altitude Min. 234 m
Max. 447 m
Superficie 29,39 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Vesoul
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Jussey
Législatives Première circonscription
Localisation
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La Roche-Morey
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La Roche-Morey
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La Roche-Morey

La Roche-Morey est une commune française située dans le département de la Haute-Saône, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Géographie[modifier | modifier le code]

La Roche-Morey est située au pied d'une colline calcaire de l'Alanéen et du Bajocien, à 400 m d'altitude. Cette colline, nommée « La Roche », constitue le point le plus élevé de l'ouest du département de la Haute-Saône. De son sommet à 448 mètres, la vue s'étend de Langres (Haute-Marne), à l'ouest aux Vosges, au Jura et aux Alpes par temps clair ce qui constitue un des panoramas les plus étendus de France pour une si petite hauteur. Il n'existe pas en effet d'autres obstacles naturels dans les environs.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 977 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 9,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Quarte », sur la commune de La Quarte à 8 km à vol d'oiseau[3], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 026,0 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39 °C, atteinte le ; la température minimale est de −18 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

La Roche-Morey est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vesoul, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 158 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (67,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (37,1 %), forêts (30,8 %), terres arables (30,6 %), zones urbanisées (1,4 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

1552: Morey-le-Vignoble[14], 1724: Morey-lez-Saint-Julien[15], 1785: Morey, 1972: La Roche-Morey

Histoire[modifier | modifier le code]

La Roche-Morey est un village de Haute-Saône où fut édifié le dernier monastère de l'ordre des Bénédictins de la région avant la Révolution. Par la suite, ce monastère fut racheté par des sœurs qui le transformèrent en pensionnat dit de « l'Immaculée Conception ». Ce dernier ferma ses portes en 1979 pour causes de sécurité mais les bâtiments sont toujours intacts et peuvent être visités.

Le , les communes de Morey, Betoncourt-les-Ménétriers, Saint-Julien et Suaucourt-et-Pisseloup (cette dernière créée en 1810 par fusion de Suaucourt et de Pisseloup) fusionnent sous le nom de La Roche-Morey.

Les temps anciens[modifier | modifier le code]

Selon la Société d'agriculture, lettres, sciences et arts de la Haute-Saône, la roche aurait abrité un camp préhistorique, la situation permettant de contrôler toute la plaine et les plateaux avoisinants. Par la suite les Romains construisirent une voie reliant Le Rhône au camp stratégique de Langres. Des pièces de monnaie romaine ont été retrouvées dans les champs par des agriculteurs. Ce sont vraisemblablement les Romains qui installèrent la vigne sur les coteaux exposés à l'est sur la même faille que celle de Bourgogne. Mais du fait de la situation plus au nord, le vin de la Roche était de moindre qualité que celui de Bourgogne. La commune devint possession des sires de Fouvent puis en 1215 passa sous le contrôle des comtes de Bar. Par la suite, la région fut l'objet de nombreuses invasions et passages, les Suédois notamment saccagèrent et pillèrent la région. Puis la terre passa sous la possession de l'abbaye de Cherlieu. L'ensemble de la région ne faisait pas partie de la France mais du Saint Empire romain Germanique. L'influence espagnole fut très forte sous le règne de Charles Quint.

le mécénat de Lullier[modifier | modifier le code]

Ce fut un mécène du nom de Claude François Lullier qui fut à l'origine de l'arrivée des moines. Il venait d'une famille qui avait précisément ses origines à Morey et qui avait été anoblie par Charles Quint.

Après son doctorat en droit, il fit profession d'avocat.

Mais pourquoi l'ordre des Bénédictins plutôt qu'un autre ? Cela tient au fait que Lullier épousa Claude Françoise de Santans qui avait des liens très forts avec les communautés de Bénédictins déjà installées dans la région. De surcroît, les Bénédictins étaient en concurrence avec les Jésuites. Or Claude François Lullier avait postulé une charge officielle au Parlement local et fut freiné par les Jésuites qui soutenaient Antoine Brun, l'un des leurs. Ce dernier obtint finalement la charge et Lullier trouva vraisemblablement dans son projet de Monastère à Morey, un moyen de contrebalancer le pouvoir des Jésuites. (La consultation des archives de la Haute-Saône témoigne de la concurrence qui s'exerçait entre les différents ordres.)

C'est précisément le , à Dole que Lullier décida d'implanter le Monastère Bénédictin, le Collège Saint Jérôme de Dole étant tenu par les bénédictins et dont le Supérieur, Dom Gérard Girardot était lui-même originaire de Morey.

La règle de Saint Vanne[modifier | modifier le code]

La particularité des bénédictins qui agissaient en Lorraine et en Franche Comté était de respecter la Règle de Saint Benoît à l'exception de la fidélité au lieu c’est-à-dire au monastère. Cette variante de l'ordre s'appelait règle de Saint Vanne et c'est pour cette raison que les religieux y obéissant s'appelaient les vannistes. Il en résultait une grande mobilité des moines, à l'inverse des autres bénédictins plutôt sédentaires.

L'Immaculée Conception Notre Dame[modifier | modifier le code]

C'est en son honneur que le Monastère devait être construit mais pour des raisons non connues sinon l'interprétation extensive des dernières lignes de son testament, celui-ci fut érigé également sous le nom de saint Servule.

Les préliminaires juridiques[modifier | modifier le code]

Lullier était juriste et s'entoura de précautions afin qu'aucune partie ne vint contester l'établissement du Monastère. Entre-temps, il était devenu Président du Parlement local et sa fortune personnelle n'ayant pas d'héritiers directs bénéficia à l'établissement de l'édifice.

Les étapes des actes juridiques s'échelonnèrent ainsi :

  •  : obtention de la signature de Dom Henry Mennesson, secrétaire du chapitre de la Congrégation Saint Vanne ;
  •  : autorisation de la Cour du Parlement de Dole ;
  •  : les administrateurs de l'Archevêché donnent leur consentement « pour l'établissement d'un couvent de pères Bénédictins au lieu de Morey.. ».
  • Différents accords des propriétaires terriens ont été également signés.
  • Une lettre de Dom Arsène Alvisenet, procureur général de l'Ordre de saint Benoît parachève la liste des autorisations.

L'installation des Moines[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de l'arrondissement de Vesoul du département de la Haute-Saône, en région Bourgogne-Franche-Comté. Pour l'élection des députés, elle dépend de la première circonscription de la Haute-Saône.

La Roche-Morey faisait partie depuis 1801 du canton de Vitrey-sur-Mance. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais rattachée au canton de Jussey[16].

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune était membre fondateur de la petite communauté de communes des belles fontaines, intercommunalité créée en 1997 et qui regroupait environ 2 000 habitants en 2009.

L'article 35 de la loi no 2010-1563 du [17] « de réforme des collectivités territoriales » prévoyait d'achever et de rationaliser le dispositif intercommunal en France, et notamment d'intégrer la quasi-totalité des communes françaises dans des EPCI à fiscalité propre, dont la population soit normalement supérieure à 5 000 habitants.

Dans ce cadre, le schéma départemental de coopération intercommunale a prévu la fusion cette intercommunalité avec d'autres, et l'intégration à la nouvelle structure de communes restées jusqu'alors isolées[18]. Cette fusion, effective le , a permis la création de la communauté de communes des Hauts du val de Saône, dont la commune est désormais membre.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[19]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1801 1805 Jean Pierre Poulleau    
1805 1812 Michel Lièvre   Marchand
1812 1816 Pierre Francois de Villers-Vaudey   Colonel de cavalerie
1816 1830 Claude Francois Quévy   Médecin
1830 1834 Gabriel Coupot    
1835 1846 Jean Baptiste Grossetete   Proprietaire
1846 1850 Pierre Alexis de Villers-Vaudey   Proprietaire
1850 1852 Sigismond Thiaut   Huissier
1852 1857 Claude Perrignon   Propriétaire
1857 1863 Pierre Alexis de Villers-Vaudey   Propriétaire
1863 1865 Anatole Hory    
1865 1868 Eugène Hory   Proprietaire
1868 1871 Denis-Nicolas Clerc   Tonnelier
1871 1877 Anatole Hory    
1877 1882 Georges-Valbert Weck   Négociant
1882 1887 Jean-Claude-Hippolyte Senot   Notaire
1887 1892 Joseph-Alexandre Pernel    
1892 191? Hippolyte Bidaut   Viticulteur
1961 ? 2001 François Olivier   Vétérinaire
mars 2001[20] avril 2014 Marcel Schummer   Président du syndicat scolaire de La Roche Morey (2001 → 2014)
avril 2014[21] juin 2014[22] Didier Bazeaud   Agent de maîtrise Banque de France
Maire délégué de Betoncourt-les-Ménétriers (? → 2014)
Vice-président de la CC Hauts du Val de Saône (2013 → 2014)
Décédé en fonction
septembre 2014[23] En cours
(au 19/7/2016)
Thierry Tupinier   Surveillant pénitentiaire

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[25].

En 2021, la commune comptait 291 habitants[Note 4], en augmentation de 6,99 % par rapport à 2015 (Haute-Saône : −1,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
700700767803787757751757771
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
711731730749743708685592543
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
50550447444998351418370281
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
272258383315297330296294267
2015 2020 2021 - - - - - -
272287291------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de La Roche-Morey Blason
Écartelé : au 1er mi-parti de gueules à trois quintefeuilles d’or, et de gueules à cinq burelles d’or, au croissant d’azur brochant sur les deux premières ; au 2d d’or à l’aigle de sable accostée en pointe de deux roses de gueules, au 3e d’or à un cep de vigne de sable, fruité de deux grappes de gueules sur un mont à trois coupeaux mouvant de la pointe et s'abaissant vers senestre, aussi de sable, au 4e parti d'un mi-parti de gueules à cinq burelles d’or, au croissant d’azur brochant sur les deux premières, et d'un mi-parti de gueules à trois quintefeuilles d’or.
Ornements extérieurs
Deux palmes de sinople liées sous la pointe de l'écu.
Couronne murale de quatre tours en timbre.
Devise
Unis par la roche
Détails
Armoiries composées par M. Nicolas VERNOT en , adoptées par la municipalité le .
Celle-ci, cependant, emploie par souci de simplification un écu composé du seul 1er quartier dans ses publications.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre La Roche-Morey et La Quarte », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « La Quarte », sur la commune de La Quarte - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « La Quarte », sur la commune de La Quarte - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Vesoul », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Gilbert Cousin de Nozeroy Gilbert Cousin, La Franche-Comté au milieu du XVIe siècle: ou, Description de la Haute..., L. Declume, (lire en ligne).
  15. Archives départementales de la Haute-Saône, Inventaire-sommaire des archives départementales antérieures à 1790 : Haute-Saône, (lire en ligne).
  16. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  17. Loi no 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales sur Légifrance.
  18. « Arrêté préfectoral du 23 décembre 2011, portant définition du schéma départemental de coopération intercommunale du département de la Haute-Saône » [PDF], Préfecture de la Haute-Saône (consulté le ), p. 5.
  19. « Les maires de Roche-Morey (La) », sur francegenweb.org (consulté le ).
  20. « Marcel Schummer, candidat à sa propre succession », L'Est républicain, édition de Haute-Saône,‎ (lire en ligne) « Maire et président du syndicat scolaire de La Roche Morey depuis 2001, Marcel Schummer brigue un nouveau mandat ».
  21. « Didier Bazeaud élu maire », L'Est républicain, édition Haute-Saône,‎ (lire en ligne).
  22. « Émouvant hommage au maire », L'Est républicain,‎ (lire en ligne).
  23. « Thierry Tupinier est maire », L'Est républicain,‎ (lire en ligne).
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.