Souilly

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Souilly
Souilly
La mairie-musée de Souilly.
Blason de Souilly
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meuse
Arrondissement Verdun
Intercommunalité Communauté de communes Val de Meuse - Voie Sacrée
Maire
Mandat
Armel Lantreibecq
2020-2026
Code postal 55220
Code commune 55498
Démographie
Gentilé Soliaciens, Soliaciennes [1]
Population
municipale
439 hab. (2021 en augmentation de 5,78 % par rapport à 2015)
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 01′ 43″ nord, 5° 17′ 14″ est
Altitude Min. 242 m
Max. 344 m
Superficie 26,59 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Verdun
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Dieue-sur-Meuse
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Souilly
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Souilly
Liens
Site web www.souilly.fr

Souilly est une commune française située dans le département de la Meuse, en région Grand Est.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

La commune se situe sur la ligne de partage des eaux des bassins de la Meuse (se jetant dans la Mer du Nord) et de la Seine (se jetant dans la Manche).

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Occupant un substrat calcaire typique de l'Est du Bassin Parisien, la commune compte d'importantes forêts, le reste du territoire étant représenté par un paysage de champs ouverts depuis les grands défrichements médiévaux. Ces derniers espaces sont cultivés par d'importantes exploitations agricoles pratiquant accessoirement l'élevage bovin.

Hydrographie et les eaux souterraines[modifier | modifier le code]

Hydrogéologie et climatologie : Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie, par le BRGM :

Territoire communal : Occupation du sol (Corinne Land Cover); Cours d'eau (BD Carthage),
Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques,
Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD Lisa; Cartes piézométriques.

Cours d'eau traversant la commune :

  • La rivière la Cousances,
  • les ruisseaux de Ravigny, de la Vignee, des Pres et de Flabussieux.

Sismicité[modifier | modifier le code]

Commune située dans une zone 1 de sismicité très faible[2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 029 mm, avec 14,1 jours de précipitations en janvier et 9,8 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chaumont_sapc », sur la commune de Chaumont-sur-Aire à 11 km à vol d'oiseau[5], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 850,0 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −15,5 °C, atteinte le [Note 1],[6],[7].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

  • Autoroute A4, aussi appelée autoroute de l’Est : Échangeurs Voie Sacrée, Verdun,Clermont en Argonne.

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Lignes SNCF[modifier | modifier le code]

Gare de Meuse TGV.


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Souilly est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Verdun, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 103 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (55,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (51,7 %), forêts (43,4 %), prairies (3 %), zones urbanisées (1,9 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

On relève la désignation Sauliaco à l'époque mérovingienne, Solidiacum en 962, Soli en 1019 ; l'étymologie probable est le nom d'homme gaulois Sollius ou latin Solius, avec le suffixe –acum[16]. Voir aussi Claye-Souilly, Seuilly et Souillac.

Histoire[modifier | modifier le code]

Prisonniers de guerre allemands en corvée dans une carrière de Souilly en 1916. Photographie par Raoul Berthelé, Archives municipales de Toulouse.

Ancienne prévôté du Barrois Mouvant, Souilly comptait un important château féodal souvent remanié jusqu'au XVIIe siècle.

Abandonné à la fin du XVIIe siècle, ses pierres servirent à la construction de certaines maisons du centre du village actuel. Il n'en reste qu'une motte féodale au lieu-dit le Château, classée monument historique.

Le , le général Philippe Pétain installe son quartier général dans la mairie, en vue de la bataille de Verdun, ce jour-là, il retrouve le général Édouard de Castelnau.

Le , le général Joseph Joffre rencontre le général Philippe Pétain dans la mairie, en vue de l'organisation de la défense de Verdun[17],[18].

En 1918, la mairie fut le quartier-général des Américains lors de l'offensive Meuse-Argonne, durant la Première Guerre mondiale. Une plaque de bronze commémore cet événement.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
2001 2008 Hubert Vernier    
2008 2020 Christine Habart    
mars 2020 En cours Armel Lantreibecq SE  

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[20].

En 2021, la commune comptait 439 habitants[Note 4], en augmentation de 5,78 % par rapport à 2015 (Meuse : −4,57 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
756757836815930960956914956
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
849904917888824781708676630
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
603611561553442427407390384
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
397352322297316275324368439
2021 - - - - - - - -
439--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Établissements d'enseignements[23] :

  • Écoles maternelle et primairie à Souilly.
  • Collèges à Ancemont, Verdun.
  • Lycées à Verdun.

Santé[modifier | modifier le code]

Professionnels et établissements de snté[24] :

  • Médecins à Souilly, Dieue-sur-Meuse, Dugny-sur-Meuse, Pierrefitte-sur-Aire.
  • Pharmacies à Souilly, Dieue-sur-Meuse, Dugny-sur-Meuse, Pierrefitte-sur-Aire.
  • Hôpitaux à Saint-Mihiel, Bar-le-Duc, Commercy.

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

  • Culture de céréales, de légumineuses et de graines oléagineuses[26].
  • Culture et élevage associés.
  • Élevage de chevaux et d'autres équidés.
  • Élevage de vaches laitières.

Tourisme[modifier | modifier le code]

  • Hébergements et resturation à Issoncourt, Courouvre, Thillombois, Chaumont-sur-Aire, Rarécourt, Parois[27].

Commerces[modifier | modifier le code]

  • Commerces et services de proximité à Souilly, Ancemont, Haudainville, Verdun[28].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Martin et le cimetière.
Orgue construit par la manufacture Jaquot-Jeanpierre en 1887[32], à deux claviers et pédalier en tirasse, avec la composition suivante[33] : Grand Orgue: Bourdon 16, Montre 8, Bourdon 8, Salicional 8, Prestant 4, Doublette 2, Trompette 8 ; Récit expressif : Flûte harmonique 8, Gambe 8, Voix céleste 8, Flûte octaviante 4, Basson-Hautbois 8.
Manoir du XVIIe et du XVIIIe. La partie du XVIIe aurait été construite par un fils illégitime de Louis XIV, un certain Hardy Tillon (derrière le cimetière) et, sur la Voie Sacrée, l'ancienne Prévôté (XVIe et XVIIIe) ainsi que l'ancienne grange aux dîmes (XVIIe) qui est la maison natale de François-Louis de Morlan, Il est inhumé dans l'église Saint-Martin à Souilly.
Musée de la voie sacrée (actuellement fermé).
Éolienne Bollée.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Jehan Cloüet de Souilly d'Autrécourt (1471-1532), natif d'Autrécourt, clerc juré de la Prévoté de Souilly, servit dans les guerres d'Italie, comme capitaine du régiment de Georges de Rohan, cousin du duc de Lorraine, Antoine, surnommé le Bon. En Italie vers 1507, avec beaucoup de noblesse lorraine, il combattit, durant la quatrième guerre d'Italie, à Agnadel, entre Milan et Bergame, (le ) à côté de Louis XII, qui après la bataille fit chevaliers les seigneurs et gentilshommes lorrains de sa suite. Retiré ensuite à Souilly, il fut anobli par le duc Antoine le 28 février 1511 pour les services qu'il avait rendus pendant les guerres d'Italie[37]. Jehan Cloüet avait pour cousins Jehan dit Jehannet et François le fils de ce dernier, tous deux peintres à la cour du roi François Ier.
  • Nicolas François Harmand d'Abancourt, homme politique né le à Souilly (Meuse) et décédé le à Senlis (Oise), député du tiers état aux États généraux de 1789, préfet, baron de l'Empire.
  • François Louis de Morlan (1771-1805), né à Souilly, blessé à Austerlitz et décédé à Brno. Colonel aux chasseurs à cheval de la garde Impériale, connu sous le nom de colonel Morland. Une avenue de Paris porte son nom et il partage avec Sully celui d'une station de métro. Son nom est gravé sous l'arc de triomphe de l'Étoile : 18e colonne. François de Morlan était le fils du fermier des dîmes de l'évêché de Verdun à Souilly qui avait épousé une descendante d'une branche colatérale de la famille de Croÿ dont elle portait le nom. Sa tante, Charlotte de Crouÿ, possédait l'ancienne prévôté où elle vivait avant que ce bâtiment ne soit réquisitionné pour devenir la mairie de Souilly en 1790, fonction qu'elle conserva jusqu'à la construction de l'actuelle mairie sous la Restauration pendant le règne de Charles X.
  • Pierre-François Gossin (1754 à Souilly (prévôté du Barrois, aujourd'hui. département de la Meuse) - 1794 à Paris) était un juriste (avocat au Parlement de Nancy), parlementaire (député aux Etats-Généraux de 1789), membre de la commission qui créa les départements français. Premier procureur-syndic (fonction-ancêtre des préfets) de la Meuse. Accusé de collusion avec les Austro-Prussiens lors de la prise de Verdun qui précède Valmy alors qu'il n'a jamais été en rapport avec eux, il est guillotiné à Paris pendant la Terreur. Pierre-François Gossin était le fils d'un contrôleur des monnaies des Trois Evêchés à Metz qui avait épousé Marie Bohin issue d'une ancienne puissante lignée locale et dont la tombe est indiquée au cimetière de Souilly par une plaque toujours visible sur le caveau de la famille Jolly.
  • Pierre Jolly, officier, maire de Souilly pendant la Seconde Guerre mondiale, co-organisateur, puis membre de la direction, avec Charles Duquesnoy, Marcel Petit et Catherine Varlin des maquis Francs-tireurs et partisans (F.T.P. meusiens), puis responsable départemental des Forces françaises de l'intérieur (F.F.I.).

Héraldique, logotype et devise[modifier | modifier le code]

Blason de Souilly Blason
D'azur au château couvert d'argent, terrassé de sinople*, surmonté d'une couronne fermée d'or, côtoyé de deux bars adossés de même.
* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (Sinople sur azur).
Détails
Blason historique présenté par Dom Calmet et utilisé par la commune.
Alias
Blason à dessiner
Blason à dessiner
D’azur au château fortifié de trois tours d'argent, maçonné de sable, terrassé de sinople*, couronné d’une couronne fermée d’or et côtoyé de deux barbeaux adossés de même[38].
* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (
Sinople sur azur).

La maison de Souilly portait : d'azur à la croix d’argent au franc quartier losangé d’argent et d’or[38].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes[modifier | modifier le code]

Le patrimoine de la commune sur www.pop.culture.gouv.fr/

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Gentilé : Meusiens, Meusiennes
  2. Informations sur les risques naturels et technologiques
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Souilly et Chaumont-sur-Aire », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Chaumont_sapc », sur la commune de Chaumont-sur-Aire - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Chaumont_sapc », sur la commune de Chaumont-sur-Aire - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Verdun », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  16. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Éditions Larousse, , 738 p. (OCLC 899063235), p. 656.
  17. « Trophées de guerre devant la mairie. Prêtre posant devant des canons et obusiers allemands », notice no AP77K000175, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  18. « Camp de prisonniers allemands », notice no AP77K000045, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  23. Établissements d'enseignements
  24. Professionnels et établissements de snté
  25. aroisse de Val de Marie
  26. Annuaire Agriculture, sylviculture et pêche
  27. Hébergements et resturation
  28. Le cadre de vie des Territoires
  29. Notice no PA00106636, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. Notice no PA00106695, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. Église Saint-Martin, sur l'Observatoire du patrimoine religieux
  32. Grandes orgues
  33. « Les orgues de France », sur orgue.free.fr (consulté le ).
  34. Monument aux morts
  35. Monument aux morts
  36. Le Monument aux morts de la Première Guerre mondiale
  37. Nobilaire de Lorraine de Dom Pelletier 1768
  38. a et b Félix Liénard, Dictionnaire topographique du département de la Meuse, 1872