Solliès-Toucas

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Solliès-Toucas
Solliès-Toucas
Le square de l'église.
Blason de Solliès-Toucas
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Var
Arrondissement Toulon
Intercommunalité Communauté de communes de la Vallée du Gapeau
Maire
Mandat
Jérémie Fabre
2020-2026
Code postal 83210
Code commune 83131
Démographie
Gentilé Toucassin(e)s
Population
municipale
5 912 hab. (2021 en augmentation de 2,71 % par rapport à 2015)
Densité 196 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 12′ 23″ nord, 6° 01′ 33″ est
Altitude Min. 84 m
Max. 783 m
Superficie 30,09 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Toulon
(banlieue)
Aire d'attraction Toulon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Solliès-Pont
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Solliès-Toucas
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Solliès-Toucas
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Solliès-Toucas
Liens
Site web www.ville-solliestoucas.fr

Solliès-Toucas [sɔljɛs tukas] est une commune française située dans le département du Var, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Ses habitants s'appellent les Toucassins et les Toucassines.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Le bourg, typiquement provençal, est situé entre Solliès-Pont et Belgentier, à 18,2 km de Toulon[1] et 19,9 de Hyères.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La commune fait partiellement partie du nouveau parc naturel régional de la Sainte-Baume[2], créé par décret du [3].

Le val d'Issole, vallonné de collines boisées sur 4 Intercommunalités : Val d’Issole, Comté de Provence, Cœur du Var, Vallée du Gapeau, regroupant 27 communes dont Solliès-Toucas[4].

Botanique[modifier | modifier le code]

Sismicité[modifier | modifier le code]

Commune située dans une zone 2 de sismicité faible[5],[6].

Hydrographie et eaux souterraines[modifier | modifier le code]

Cours d'eau traversant la commune[7],[8] :

  • le Gapeau, fleuve côtier qui se jette dans la mer Méditerranée sur la commune de Hyères ;
  • les ruisseaux de Valcros, de Vigne Fer, des Roubins et de Rénégon ;
  • La source d'Octon, connue aujourd'hui sous le nom de Font du Thon[9].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 843 mm, avec 6,1 jours de précipitations en janvier et 1,5 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cuers », sur la commune de Cuers à 5 km à vol d'oiseau[12], est de 15,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 778,9 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,3 °C, atteinte le ; la température minimale est de −9,3 °C, atteinte le [Note 1],[13],[14].

Statistiques 1991-2020 et records CUERS (83) - alt : 72m, lat : 43°14'51"N, lon : 6°07'52"E
Records établis sur la période du 01-06-1998 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2 2,1 4,3 7,1 10,8 14,1 16,4 16,1 13,1 10,2 6,1 2,9 8,8
Température moyenne (°C) 7,9 8,3 10,9 13,8 17,7 21,7 24,4 24,2 20,4 16,5 11,7 8,6 15,5
Température maximale moyenne (°C) 13,7 14,5 17,5 20,5 24,5 29,3 32,4 32,3 27,6 22,8 17,4 14,3 22,2
Record de froid (°C)
date du record
−9,1
07.01.02
−9,3
11.02.12
−9,3
02.03.05
−4,4
08.04.21
1,3
07.05.19
5,5
04.06.06
7,9
17.07.00
7,2
23.08.07
3,1
21.09.17
−1,4
22.10.07
−8,8
23.11.1998
−9,1
20.12.01
−9,3
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
23,3
10.01.15
25,1
03.02.20
28,4
21.03.02
27,9
23.04.09
35,1
12.05.12
39
27.06.19
39,8
20.07.23
41,3
05.08.17
35,9
05.09.16
31,1
28.10.06
27,9
14.11.23
23,1
30.12.21
41,3
2017
Précipitations (mm) 73,4 54,8 57,4 57,1 56,7 33,5 15,6 19,3 76,6 105,5 141,4 87,6 778,9
Source : « Fiche 83049005 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
13,7
2
73,4
 
 
 
14,5
2,1
54,8
 
 
 
17,5
4,3
57,4
 
 
 
20,5
7,1
57,1
 
 
 
24,5
10,8
56,7
 
 
 
29,3
14,1
33,5
 
 
 
32,4
16,4
15,6
 
 
 
32,3
16,1
19,3
 
 
 
27,6
13,1
76,6
 
 
 
22,8
10,2
105,5
 
 
 
17,4
6,1
141,4
 
 
 
14,3
2,9
87,6
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[15]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

  • RD 554 vers Belgentier, au nord, et vers Solliès-Pont, au sud-est.

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Commune desservie par le réseau régional de transports en commun Zou ! Les collectivités territoriales ont en effet mis en œuvre un « service de transports à la demande » (TAD), réseau régional Zou ![17].

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Commune membre de la Communauté de communes de la Vallée du Gapeau et du Scot Provence Méditerranée[18].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Solliès-Toucas est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[19],[20],[21]. Elle appartient à l'unité urbaine de Toulon, une agglomération inter-départementale regroupant 27 communes[22] et 575 347 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Toulon est la neuvième de France en nombre d'habitants, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse, Bordeaux, Nice et Nantes[23],[24].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulon dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 35 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[25],[26].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (86,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (86,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (62,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (22,6 %), zones urbanisées (11,7 %), cultures permanentes (2,2 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,2 %)[27]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Solliès-Toucas dispose d'un plan local d'urbanisme[28] depuis le 27 décembre 2018, et bénéficie du schéma de cohérence territoriale (SCOT) de Provence Méditerranée[29].

Habitat[modifier | modifier le code]

D'après la Dépêche du Midi, Solliès-Toucas serait la commune de France avec le plus faible taux de logement HLM (0,79 %), devant Le Castellet (1,03 %) et Tourrettes-sur-Loup (1,74 %)[30].

Histoire[modifier | modifier le code]

Dans les années 1500, deux émigrants d'Italie, les frères Tocasso, arrivèrent à Solliès-Ville. Ils s'établirent à la font du Thon, près du hameau de Valaury. Solliès-Toucas sera appelée ainsi par déformation de leur patronyme.

Édifiée sur l’emplacement de la chapelle primitive du XVIe siècle, l’église Saint-Christophe a été construite entre 1700 et 1701. La tour dite « sarrasine » érigée vers 1640 est devenue le clocher de l'église.

L’église Saint-Christophe nécessite différents travaux de restauration sur plusieurs parties de l’église ainsi que de la chapelle adjacente[31].

Armoiries[modifier | modifier le code]

Origine[modifier | modifier le code]

Armes adoptées par délibération du conseil municipal du , sur l'initiative de M. Fontan, conservateur du Musée de Toulon, et présenté par Antoine Catoni, instituteur à Solliès-Toucas. Les armoiries sont celles de la cité mère, Solliès-Ville, avec un attribut spécial pour différencier la commune de Solliès-Toucas. Ces armoiries ont été homologuées par la Commission des sceaux et armoiries de l'État lors de la séance du .

Blasonnement[modifier | modifier le code]

Les armoiries de Solliès-Toucas se blasonnent ainsi :

De gueules à la branche d'olivier d'or formée de trois brins stylisés, posés le central en pal, les deux autres en bande et en barre, au chef cousu d'azur chargé d'un soleil aussi d'or[32].

Ornements Extérieurs[modifier | modifier le code]

L'écu timbré de la couronne murale d'or à deux tours[33].

Devise[modifier | modifier le code]

Sur une banderole blanche apparaît la devise provençale EI TOUCAS OLI E PAS (Aux Toucas huile et paix).

Symbolique[modifier | modifier le code]

Le soleil rappelle la toponymie et honore la commune mère Solliès-Ville. L'olivier était la culture prédominante de l'ancien hameau. L'olivier symbolise la paix, l'obéissance, la concorde et la douceur. Dans l'écriture Sainte, la colombe lâchée par Noé revint dans l'arche avec un rinceau d'olivier dans son bec. Il symbolise aussi l'espérance à cause de sa verdure, la miséricorde, le pardon, la dévotion et la vérité car l'huile que l'on en tire monte sur l'eau, vérité sur mensonge. Son huile est signe d'éternité et de longue durée.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs à partir de 1896
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.

(démission)
Clément Balestra[35] SFIO puis PS Ouvrier puis agent technique à l'Arsenal de Toulon
Sénateur du Var (1959 → 1977)
Conseiller général du canton de Solliès-Pont (1951 → 1976)
Guy Menut PS Conseiller de gestion
Député de la 6e circonscription du Var (1999 → 2002)
Conseiller général du canton de Solliès-Pont (1976 → 1989 puis 2009 → 2015)
François Amat PS Cadre du secteur privé
Président de la CC de la Vallée du Gapeau (2018 → 2020)[36]
En cours Jérémie Fabre Divers (sans étiquette) Ingénieur, ancien Officier Marine Nationale, ancien adjoint au Maire.
3e Vice-Président de la CC de la Vallée du Gapeau (2020 → )

Budget et fiscalité 2021[modifier | modifier le code]

En 2021, le budget de la commune était constitué ainsi[37] :

  • total des produits de fonctionnement : 6 068 000 , soit 1 046  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 5 778 000 , soit 996  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 1 069 000 , soit 184  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 1 048 000 , soit 181  par habitant ;
  • endettement : 3 723 000 , soit 642  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 14,69 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 47,07 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 93,71 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2020 : médiane en 2020 du revenu disponible, par unité de consommation : 25 360 [38].

Économie[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

  • Élevage, agriculture[39].
  • Ruches du Mas de Nuke[40].
  • Domaine Trucco.

Tourisme[modifier | modifier le code]

Commerces[modifier | modifier le code]

  • Commerces et services de proximité[44].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[46].

En 2021, la commune comptait 5 912 habitants[Note 4], en augmentation de 2,71 % par rapport à 2015 (Var : +4,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
1 0841 1401 4411 4081 4101 3231 2631 321977
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
1 4361 3211 2901 2271 1711 0541 0431 017933
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
9008827777997807958491 0221 331
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
1 2871 5492 0983 4394 3974 9075 0595 4995 696
2021 - - - - - - - -
5 912--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[47] puis Insee à partir de 2006[48].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Établissements d'enseignements[49] :

  • école maternelle ;
  • école primaire ;
  • collèges à Solliès-Pont, La farlède ;
  • lycée à Toulon, La Garde, Hyeres.

Santé[modifier | modifier le code]

Professionnels et établissements de santé[50] :

Cultes[modifier | modifier le code]

Animations et activités[modifier | modifier le code]

  • La commune bénéficie d'un réseau associatif actif très diversifié pour l'animation du village[52].
  • Manifestations diverses : course de la Victoire ; fête de la cerise ; fête de la Musique ; fête de la St-Christophe ; festival international choral ; fête de la Pastèque ; Journées européennes du patrimoine ; forum des associations ; animation de Noël. Veillée de Noël à l’ancienne[53].
  • Des concerts d'orgue sont régulièrement organisés dans l'église St-Christophe.
  • Concerts piano & orgue le par l'association Monalisa Patrimoines vivants, pour la restauration de l'église St-Christophe, avec le soutien de la Fondation du patrimoine.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

  • Oppidum et ermitage de la Tourne ou de Saint-Hubert[65]
  • Bourg castral de la Tourne[66] ;
  • La fontaine du Thon, alimentée par la source du Thon[67]. Ses eaux ont été canalisées par les romains
  • Four à cade[68].
  • Le cadran solaire sur la façade de l'ancienne mairie.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Jean-François Escudier (1759-1819), député du Var à la Convention nationale.
  • Richard Olney (1927- 1999), peintre, cuisinier, et écrivain culinaire américain.
  • L'agriculteur Pierre Guidon qui, en août 1794, fut accusé par les sections fédératives des insurgés d'avoir arboré une cocarde blanche, symbole des royalistes, à son chapeau. Il fut condamné et exécuté en septembre 1794[69].
  • Le peintre espagnol Blasco Mentor (Grand Prix à un artiste exposant en 1966)[70].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Itinéraire
  2. Les communes du parc
  3. décret de constitution du Parc naturel régional de la Sainte-Baume
  4. Atlas départemental des Paysages du Var : Le Val d'Issole
  5. Didacticiel de la réglementation parasismique
  6. Zone de sismicité du Var
  7. Réseau hydraulique, sur Géoportail
  8. Agence de l'eau Rhône-Méditerranée-Corse
  9. Balades historiques : Le village ouest
  10. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  12. « Orthodromie entre Solliès-Toucas et Cuers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Cuers », sur la commune de Cuers - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Cuers », sur la commune de Cuers - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  16. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  17. Réseau régional de transports en commun
  18. Territoire comprenant 32 communes
  19. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  21. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Unité urbaine 2020 de Toulon », sur insee.fr (consulté le ).
  23. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  24. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  25. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Toulon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  26. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  28. Plan local d'urbanisme (PLU)
  29. SCOT de Provence Méditerranée
  30. « Construction de HLM : la moitié des communes est dans l'illégalité, estime la Fondation Abbé Pierre », sur ladepeche.fr (consulté le ).
  31. Pour la restauration de l’église Saint Christophe, la ville de Solliès-Toucas a signé une convention de collecte de don avec la Fondation du Patrimoine, en partenariat avec l’association Les amis de l’église, active depuis le 03 juin 1986
  32. Armorial des villes et villages de France
  33. Extrait du livre "Solliès-Toucas ou l'Odyssée de la vallée du Gapeau"
  34. Joseph Salvarelli, Les Administrateurs du département du Var (1790-1897). Notices biographiques (1897), pp.476-477. « [1]
  35. La fiche biographique de BALESTRA Clément, Marie sur le Maitron en ligne
  36. « François Amat élu président de la communauté de communes de la Vallée du Gapeau », Var-Matin,‎ (lire en ligne).
  37. Les comptes de la commune
  38. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  39. Une longue histoire agricole et des terroirs aux multiples saveurs, dans le parc naturel régional de la Sainte-Baume
  40. Carte interactive. Parc naturel régional de la Sainte-Baume : Saveurs de la Sainte-Baume
  41. Hébergements touristiques
  42. Hébergements
  43. Le Relais du Gapeau
  44. Commerces et services de proximité
  45. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  46. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  47. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  48. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  49. Établissements d'enseignements.
  50. Professionnels et établissements de santé.
  51. Paroisses de Solliès-Toucas et Solliès-Pont
  52. Annuaire des Associations
  53. Le Cahier du tourisme varois
  54. Photos de l'église paroissiale.
  55. L'église paroissiale Saint-Christophe.
  56. Notice no PM83000590, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture Retable de saint Christophe, tableau : Saint Christophe portant l'Enfant Jésus.
  57. Notice no PM83000589, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture cloche.
  58. L'orgue de l'église paroissiale.
  59. Chapelle Saint-Louis (Valaury).
  60. Notice no IVR93_19778300183X, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture Chapelle Sainte-Christine.
  61. Couvent de Saint Hubert.
  62. Chapelle St Louis au Hameau de Valaury.
  63. Sites historiques de Solliès-Toucas.
  64. Notice no MHR93_20108300472, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture Monument aux morts de la guerre de 1914-1918.
  65. Notice no ARR93_20078300093, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture Oppidum et ermitage de la Tourne ou de Saint-Hubert.
  66. Notice no IA83001235, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture Bourg castral de la Tourne.
  67. Les Fontaines de Solliès-Toucas.
  68. Notice no MHR93_04831348ZA, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture Four à cade des Pousselons (ancien).
  69. Bulletin de la Société d'études scientifiques et archéologiques de la ville de Draguignan
  70. Mentor Blasco (1919-2003)

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]

"Solliès-Toucas" Le patrimoine de la commune sur www.pop.culture.gouv.fr/