Shōji Kōkami

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Shōji Kōkami
une illustration sous licence libre serait bienvenue
Biographie
Naissance
Voir et modifier les données sur Wikidata (65 ans)
NiihamaVoir et modifier les données sur Wikidata
Nom dans la langue maternelle
鴻上尚史Voir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Activités
Autres informations
Taille
1,72 mVoir et modifier les données sur Wikidata
Poids
64 kg ()Voir et modifier les données sur Wikidata

Shōji Kōkami (鴻上尚史, Kōkami Shōji?, né le ) est un dramaturge, scénariste, acteur, metteur en scène et réalisateur japonais.

Carrière[modifier | modifier le code]

Né à Niihama dans la préfecture d'Ehime, Kōkami fréquente l'université Waseda lorsqu'il fonde la compagnie théâtrale Daisanbutai (« Troisième scène »)[1]. Devenu « l'une des chevilles ouvrières du mouvement du théâtre de la jeunesse à petite échelle des années 1980 au Japon »[2], il remporte le prix Kunio Kishida en 1995 pour sa pièce Sunafukin no tegami[1]. Bénéficiaire d'une subvention de l'Agence pour les affaires culturelles en 1997, il passe un an à Londres[1] et a depuis donné des pièces telle que Trance sur la scène théâtrale londonienne[2]. La pièce Halcyon Days, qu'il a écrite à propos des sites japonais de suicides sur la toile, a également été représentée en Grande-Bretagne[3].

Kōkami a également dirigé et joué dans plusieurs films.

Filmographie sélective[modifier | modifier le code]

Comme réalisateur[modifier | modifier le code]

  • 1989 : Juliet Game (ジュリエット・ゲーム, Jurietto geimu?)

Comme scénariste[modifier | modifier le code]

  • 1989 : Juliet Game (ジュリエット・ゲーム, Jurietto geimu?)

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c Tenshi Kamiyama, « Jidai no shun to kibun o sukuitoru shōkaku », Doraku, Asahi Shinbun, (consulté le )
  2. a et b Nobuko Tanaka, « Londoners in a Japanese 'Trance' », Japan Times,‎ (lire en ligne, consulté le )
  3. Edward Lukes, « Halcyon Days at the Riverside Studios », (consulté le )

Liens externes[modifier | modifier le code]