Lorp-Sentaraille

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Lorp-Sentaraille
Lorp-Sentaraille
Place de l'église de Lorp en 2019.
Image illustrative de l’article Lorp-Sentaraille
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Ariège
Arrondissement Saint-Girons
Intercommunalité Communauté de communes Couserans-Pyrénées
Maire
Mandat
Bernard Lamary
2020-2026
Code postal 09190
Code commune 09289
Démographie
Gentilé Lorparaillais
Population
municipale
1 427 hab. (2021 en augmentation de 0,63 % par rapport à 2015)
Densité 232 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 00′ 36″ nord, 1° 07′ 13″ est
Altitude 365 m
Min. 354 m
Max. 418 m
Superficie 6,15 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Saint-Girons
(banlieue)
Aire d'attraction Saint-Girons
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton des Portes du Couserans
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Lorp-Sentaraille
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Lorp-Sentaraille
Liens
Site web Site officiel

Lorp-Sentaraille [lɔʁp sɑ̃taʁaj] est une commune française urbaine, située dans le nord-ouest du département de l'Ariège en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du Couserans, pays aux racines gasconnes structuré par le cours du Salat.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Salat, le Marcazeau, le ruisseau de Badech, le ruisseau de Merdançon et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (« Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste ») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Lorp-Sentaraille est une commune urbaine qui compte 1 427 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Girons et fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Girons. Ses habitants sont appelés les Lorparaillais ou Lorparaillaises.

Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : la maison natale d'Aristide Bergès et la papeterie de Prat du Ritou, inscrite en 2007.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Cartographies interactive et OpenStreetMap
Carte
La commune dans le département
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
  1. Carte dynamique
  2. Carte Openstreetmap
  3. Carte topographique
  4. Carte avec les communes environnantes


Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Lorp-Sentaraille est limitrophe de quatre autres communes. Les communes limitrophes sont Caumont, Gajan, Saint-Lizier et Taurignan-Vieux.

Communes limitrophes de Lorp-Sentaraille[1]
Taurignan-Vieux
Caumont Lorp-Sentaraille Gajan
Saint-Lizier

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La commune est située dans les Pyrénées, une chaîne montagneuse jeune, érigée durant l'ère tertiaire (il y a 40 millions d'années environ), en même temps que les Alpes, certaines parties étant recouvertes par des formations superficielles. Les terrains affleurants sur le territoire communal sont constitués de roches sédimentaires datant du Cénozoïque, l'ère géologique la plus récente sur l'échelle des temps géologiques, débutant il y a 66 millions d'années. La structure détaillée des couches affleurantes est décrite dans les feuilles « n°1056 - Le Mas d'Azil » et « n°1074 - Saint-Girons » de la carte géologique harmonisée au 1/50 000ème du département de l'Ariège[2],[3] et leurs notices associées[4],[5].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 6,15 km2[6],[Note 1]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est la même[3]. L'altitude du territoire varie entre 354 m et 418 m[9].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Lorp-Sentaraille.

La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[10]. Elle est drainée par le Salat, un bras du Salat, le Marcazeau, le ruisseau de badech, le ruisseau de merdançon, le Niart, le ruisseau de Rieutort et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 16 km de longueur totale[11],[12].

Le Salat, d'une longueur totale de 74,1 km, prend sa source dans la commune de Couflens et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Boussens, après avoir traversé 27 communes[13].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[14]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées centrales, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 200 mm[15].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 861 mm, avec 9,4 jours de précipitations en janvier et 6,2 jours en juillet[14]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 12,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 973,2 mm[16],[17]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[18].

Statistiques 1991-2020 et records ST GIRONS (09) - alt : 414m, lat : 43°00'19"N, lon : 1°06'24"E
Records établis sur la période du 01-01-1949 au 02-11-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,5 1 3,3 5,5 9,1 12,6 14,6 14,5 11,2 8,1 3,6 1,1 7,1
Température moyenne (°C) 5,5 6,3 9 11,1 14,6 18 20 20,3 17,1 13,7 8,7 6,2 12,5
Température maximale moyenne (°C) 10,5 11,5 14,7 16,7 20 23,4 25,5 26,1 23,1 19,3 13,8 11,2 18
Record de froid (°C)
date du record
−18,7
19.01.1987
−16,5
16.02.1956
−12,8
01.03.05
−4,2
13.04.1958
−1,2
06.05.19
2,2
01.06.06
5,2
09.07.04
4,7
29.08.1998
1,3
25.09.02
−4
30.10.1949
−10,2
23.11.1988
−12,3
17.12.1963
−18,7
1987
Record de chaleur (°C)
date du record
22,4
29.01.1966
31,2
29.02.1960
29
11.03.1981
29
30.04.05
32,1
27.05.1967
38,9
29.06.1950
38,2
30.07.1983
39,2
24.08.23
36,5
14.09.1987
33,7
01.10.23
26,4
01.11.1989
25
16.12.1989
39,2
2023
Ensoleillement (h) 1 163 1 289 169 1 709 1 834 193 2 109 2 093 1 933 1 567 1 194 1 129 19 638
Précipitations (mm) 82,3 68,6 73,6 103,7 106,6 78,1 59 67,4 73,1 82 98,6 80,2 973,2
Source : « Fiche 9289001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/11/2023 dans l'état de la base


Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Espaces protégés[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[19],[20].

La commune fait partie du parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises, créé en 2009 et d'une superficie de 245 973 ha, qui s'étend sur 138 communes du département. Ce territoire unit les plus hauts sommets aux frontières de l’Andorre et de l’Espagne (la Pique d'Estats, le mont Valier, etc) et les plus hautes vallées des avants-monts, jusqu’aux plissements du Plantaurel[21].

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 2]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : « Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste »[23], d'une superficie de 9 581 ha, un réseau hydrographique pour les poissons migrateurs, avec des zones de frayères actives et potentielles importantes pour le Saumon en particulier qui fait l'objet d'alevinages réguliers et dont des adultes atteignent déjà Foix sur l'Ariège[24].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 3] est recensée sur la commune[25] : « le Salat et le Lens » (712 ha), couvrant 32 communes dont 21 dans l'Ariège et 11 dans la Haute-Garonne[26] et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[25] : le « massif d'Arbas » (27 233 ha), couvrant 90 communes dont 48 dans l'Ariège et 42 dans la Haute-Garonne[27].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Lorp-Sentaraille est une commune urbaine[Note 5],[28]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 1],[29]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Girons, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[I 2] et 9 589 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[I 3],[I 4].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Girons, dont elle est une commune du pôle principal[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 70 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 5],[I 6].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (69,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (43,8 %), zones urbanisées (15,5 %), prairies (13 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (10,9 %), terres arables (9,7 %), forêts (7,1 %)[30]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 724, alors qu'il était de 687 en 2013 et de 613 en 2008[I 7].

Parmi ces logements, 88,9 % étaient des résidences principales, 5,6 % des résidences secondaires et 5,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 91,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 8 % des appartements[I 7].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Lorp-Sentaraille en 2018 en comparaison avec celle de l'Ariège et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (5,6 %) inférieure à celle du département (24,6 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 73,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (76,3 % en 2013), contre 66,3 % pour l'Ariège et 57,5 % pour la France entière[I 8].

Le logement à Lorp-Sentaraille en 2018.
Typologie Lorp-Sentaraille[I 7] Ariège[I 9] France entière[I 10]
Résidences principales (en %) 88,9 65,7 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 5,6 24,6 9,7
Logements vacants (en %) 5,5 9,7 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Accès avec les routes départementales D 3 et la D 117 ancienne route nationale 117, et par la ligne sur car SNCF de Boussens à Saint-Girons (prolongée en hiver et à certains horaires jusqu'à la station de Guzet). Des cars régionaux directs de Toulouse à Saint-Girons desservent également la commune.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Lorp-Sentaraille est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêt, mouvements de terrain et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[31],[32].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Zonage de l'aléa retrait-gonflement des argiles sur la commune de Lorp-Sentaraille.

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement, crue torrentielle d'un cours d'eau, le Salat, ou ruissellement d'un versant. L’épisode de crue le plus marquant dans le département reste sans doute celui de 1875. Parmi les inondations marquantes plus récentes concernant le Salat figurent les crues de 1937 (un mort à Salau), de 1992 et de 1993[33].

Les mouvements de terrain susceptibles de se produire sur la commune sont soit des chutes de blocs, soit des glissements de terrain, soit des effondrements liés à des cavités souterraines, soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles. Près de 50 % de la superficie du département est concernée par l'aléa retrait-gonflement des argiles, dont la commune de Lorp-Sentaraille[34]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[35].

Ces risques naturels sont pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais d'un plan de prévention des risques (PPR) inondation et mouvement de terrain approuvé le 12 mai 2005[36].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses par une infrastructure routière ou ferroviaire ou par une canalisation de transport de gaz concerne la commune. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[37].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Sentaraille tire son nom de sainte Araille (cf. Eulalie de Mérida), variante locale de sainte Eulalie. Le nom de Lorp viendrait du nom de la famille Lort issue du Couserans.

Histoire[modifier | modifier le code]

Lorp-Sentaraille se situe dans l'ancienne vicomté de Couserans.

En 1793, la commune portait le nom de Lorp-Sentaraille, puis en 1793 son nom est devenu Araille puis Saint-Taraille en 1801.

De 1866 à 1969, Sentaraille a bénéficié d'une halte voyageurs sur la ligne de Boussens à Saint-Girons.

C'est en que Sentaraille devient Lorp-Sentaraille.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune de Lorp-Sentaraille est membre de la communauté de communes Couserans-Pyrénées[I 11], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Saint-Lizier. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[38].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Saint-Girons, au département de l'Ariège, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie[I 11].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton des Portes du Couserans pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 11], et de la deuxième circonscription de l'Ariège pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[39].

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 1 500 habitants et 2 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de dix-neuf[40],[41].

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1871 1876 Jean Bernère    
1876 1878 Guilaume Ducos    
1878 1900 Philippe Bergès
(1846-1902)
Républicain Industriel papetier
Conseiller général de Saint-Lizier (1898 → 1902)
1900 1901 Jacques Vivès    
1901 1902
(décès)
Philippe Bergès
(1846-1902)
Républicain Industriel papetier
Conseiller général de Saint-Lizier (1898 → 1902)
1902 1907 Louis Préobert    
1907 1912 Pierre Bergès    
1912 1914 Joseph Commenge    
1914 1919 Jean Morère    
1919 1944 Joseph Commenge    
1944 1945 Alfred Ferrière   Président du Comité local de Libération
1945 1945 Pierre Bergès    
1945 1959 Alfred Ferrière    
1959 mars 1965 Gérard Rouaix    
mars 1965 mai 1975
(décès)
Jean-Baptiste Rieu-Boussut
(1913-1975)
   
1975 mars 2001 Émile Cazaux
(1941-2023)
UDF Architecte
mars 2001 En cours Bernard Lamary DVD Commerçant

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[43].

En 2021, la commune comptait 1 427 habitants[Note 7], en augmentation de 0,63 % par rapport à 2015 (Ariège : +1,38 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
571562604667638723719771734
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
723753788766714732727716725
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
713680643583545563534588592
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
6516978529441 0921 1381 2421 3541 455
2021 - - - - - - - -
1 427--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[44] puis Insee à partir de 2006[45].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[46] 1975[46] 1982[46] 1990[46] 1999[46] 2006[47] 2009[48] 2013[49]
Rang de la commune dans le département 32 30 22 22 21 18 18 17
Nombre de communes du département 340 328 330 332 332 332 332 332

Enseignement[modifier | modifier le code]

Lorp-Sentaraille fait partie de l'académie de Toulouse et compte une école primaire.

Culture et festivités[modifier | modifier le code]

Musée[modifier | modifier le code]

  • Musée Aristide-Bergès[50] : Créé par une association d’anciens ouvriers et de passionnés, il est installé dans la maison natale d'Aristide Bergès et une ancienne usine à papier. C’est un lieu privilégié pour découvrir le patrimoine culturel et industriel lié à la fabrication du papier, activité caractéristique du Couserans.

Activités sportives[modifier | modifier le code]

Judo club de Lorp, vol-à-voile et parachutisme à l'aérodrome d'Antichan, pétanque...

Écologie et recyclage[modifier | modifier le code]

La déchetterie intercommunale la plus proche se trouve à Saint-Girons, lieudit Palétès. L'entreprise Saica Natur Sud (anciennement Llau) est une importante entreprise industrielle de recyclage et de valorisation ; elle est installée sur la zone industrielle du Couserans, sur la commune. Elle achète au poids des métaux, papiers, etc.

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018, la commune compte 625 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 1 396 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 020 [I 12] (19 820  dans le département[I 13]).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
Division 2008 2013 2018
Commune[I 14] 6,1 % 6,7 % 9,3 %
Département[I 15] 8,9 % 11,1 % 11,2 %
France entière[I 16] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 876 personnes, parmi lesquelles on compte 76,9 % d'actifs (67,7 % ayant un emploi et 9,3 % de chômeurs) et 23,1 % d'inactifs[Note 9],[I 14]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie du pôle principal de l'aire d'attraction de Saint-Girons[Carte 2],[I 17]. Elle compte 614 emplois en 2018, contre 654 en 2013 et 617 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 602, soit un indicateur de concentration d'emploi de 102 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 55,9 %[I 18].

Sur ces 602 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 188 travaillent dans la commune, soit 31 % des habitants[I 19]. Pour se rendre au travail, 89,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,3 % les transports en commun, 7,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 20].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

129 établissements[Note 10] sont implantés à Lorp-Sentaraille au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11],[I 21].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 129
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
21 16,3 % (12,9 %)
Construction 28 21,7 % (14,2 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
45 34,9 % (27,5 %)
Activités financières et d'assurance 1 0,8 % (2,8 %)
Activités immobilières 2 1,6 % (4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
16 12,4 % (13,2 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
8 6,2 % (14,4 %)
Autres activités de services 8 6,2 % (8,8 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 34,9 % du nombre total d'établissements de la commune (45 sur les 129 entreprises implantées à Lorp-Sentaraille), contre 27,5 % au niveau départemental[I 22].

Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[51] :

  • EURL Menuiserie Antras, travaux de charpente (8 634 k€)
  • SCOP Couserans Construction, travaux de maçonnerie générale et gros œuvre de bâtiment (6 579 k€)
  • FDL, commerce de gros (commerce interentreprises) alimentaire non spécialisé (4 100 k€)
  • Qapi France (09) - Cpi, fabrication d'autres équipements automobiles (1 829 k€)
  • Mazard Pièces Auto 09, commerce de gros (commerce interentreprises) de déchets et débris (1 667 k€)

La commune comprend la majeure partie de la zone industrielle du Couserans, aujourd'hui quasi-complètement utilisée avec de nombreuses entreprises industrielles, artisanales et commerciales. Caumont recouvre une partie plus modeste de la zone industrielle. D'autres entreprises sont également installées en divers endroits de la commune comme Couserans Constructions Mécaniques, initialement liée aux papeteries, la menuiserie Antras, Les Salaisons des Pyrénées.. et d'autres entreprises commerciales, artisanales ou de services.

Dès les années 1980, une démarche de diversification économique s'est concrétisée par des créations successives d'entreprises (Fromagerie Faup, Scierie Cazalé, Cadres et créations Actua-Concept, Charcuterie André Cazaux, Glaces Philippe Faur, Biotechnologies Genibio, Couserans Plastiques Industries, confitures et préparations de la Compagnies des Pyrénées.. et diverses entreprises commerciales...) sur la zone industrielle du Couserans développée initialement dans le cadre d'un Syndicat mixte intercommunal.

Lorp constitue donc véritablement le poumon économique du Couserans.

L'aérodrome de Saint-Girons-Antichan est équipé d'une piste en dur de 1 100 m.

Agriculture[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Région sous-pyrénéenne »[52]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est l'élevage de bovins, lait, élevage et viande combinés[53].

1988 2000 2010
Exploitations 35 16 12
Superficie agricole utilisée (ha) 345 373 438

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 35 lors du recensement agricole[Note 13] de 1988 à 16 en 2000 puis à 12 en 2010[53], soit une baisse de 66 % en 22 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 48 % de ses exploitations[55]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 345 ha en 1988 à 438 ha en 2010. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 10 à 37 ha[53].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Maison natale d'Aristide Bergès (1833-1904).
  • Ancienne papeterie de Prat du Ritou, construite au XIXe siècle. Elle contient une ligne de fabrication de papier avec un hydrapulpeur et un épurateur.
  • Église de Lorp dédiée à saint Lizier.
  • Église de Sentaraille dédiée à saint Michel : elle contient notamment un Christ en bois du XVe siècle, une toile représentant sainte Madeleine et le Christ en Croix du XVIIe siècle ainsi qu'une décoration néogothique.
  • Château Bagen, propriété du vicomte de Courrèges d’Ustou.
  • Médiathèque du réseau de la communauté de communes Couserans-Pyrénées[56]; a ouvert ses portes en au village de Sentaraille.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Aristide Bergès (1833-1904), industriel papetier et ingénieur hydraulicien du XIXe siècle. Il est connu pour avoir utilisé très tôt la machine à papier de Louis Nicolas Robert[57] et est réputé être « le père de la houille blanche » pour avoir utilisé l’eau comme force motrice.
  • Henri d'Ollone (1868-1945) militaire et explorateur français, mort à Sentaraille.
  • Jean Audoubert (1924-2008), international de rugby à XIII (19 sélections) .

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[7],[8]
  2. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[22].
  3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  5. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  8. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  10. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  11. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  12. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  13. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[54].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
  2. « Unité urbaine 2020 de Saint-Girons » (consulté le ).
  3. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
  4. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
  5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  7. a b et c « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Lorp-Sentaraille - Section LOG T2 » (consulté le ).
  8. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Lorp-Sentaraille - Section LOG T7 » (consulté le ).
  9. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Ariège - Section LOG T2 » (consulté le ).
  10. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
  11. a b et c « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Lorp-Sentaraille » (consulté le ).
  12. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Lorp-Sentaraille » (consulté le ).
  13. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 en Ariège » (consulté le ).
  14. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Lorp-Sentaraille » (consulté le ).
  15. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 en Ariège » (consulté le ).
  16. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  17. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  18. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Lorp-Sentaraille » (consulté le ).
  19. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  20. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  21. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Lorp-Sentaraille » (consulté le ).
  22. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 en Ariège » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. « Carte géologique de Lorp-Sentaraille » sur Géoportail (consulté le 23 avril 2022).
  3. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Lorp-Sentaraille », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  4. « Notice associée à la feuille n°1056 - Le Mas d'Azil de la carte géologique harmonisée au 1/50 000ème de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  5. « Notice associée à la feuille n°1074 - Saint-Girons de la carte géologique harmonisée au 1/50 000ème de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  6. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Lorp-Sentaraille », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  7. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  8. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  9. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
  10. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Fiche communale de Lorp-Sentaraille », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  12. « Carte hydrographique de Lorp-Sentaraille » sur Géoportail (consulté le 29 octobre 2021).
  13. Sandre, « le Salat »
  14. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  15. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
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  55. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département de l'Ariège » (consulté le ).
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