Secondigny

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Secondigny
Secondigny
L'église Sainte-Eulalie.
Blason de Secondigny
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Deux-Sèvres
Arrondissement Parthenay
Intercommunalité Communauté de communes de Parthenay-Gâtine
Maire
Mandat
Jany Péronnet
2020-2026
Code postal 79130
Code commune 79311
Démographie
Gentilé Secondignois, Secondignoises
Population
municipale
1 791 hab. (2021 en diminution de 2,4 % par rapport à 2015)
Densité 48 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 36′ 39″ nord, 0° 25′ 05″ ouest
Altitude Min. 157 m
Max. 249 m
Superficie 37,34 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Gâtine
(bureau centralisateur)
Législatives Première circonscription
Localisation
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Secondigny
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Liens
Site web Site de la mairie

Secondigny est une commune du Centre-Ouest de la France située dans le département des Deux-Sèvres en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

La commune est située au centre du département des Deux-Sèvres au croisement de deux axes routiers importants : Bressuire-Niort et Poitiers-La Roche-sur-Yon, à une quinzaine de kilomètres à l'ouest de Parthenay. Le Thouet prend sa source non loin de Secondigny, dans la commune du Beugnon.

Localisation et communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

  • Moyenne annuelle de température : 11,5 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,9 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,2 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,6 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 942 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,9 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,2 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1959 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques[7]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

Statistiques 1981-2010 et records SECONDIGNY (79) - alt : 209 m 46° 35′ 48″ N, 0° 26′ 30″ O
Records établis sur la période du 01-01-1959 au 04-01-2022
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,6 1,3 3 4,7 8,2 11 12,9 12,5 10 8 4,2 2 6,6
Température moyenne (°C) 4,6 5,2 7,8 10 13,8 17,1 19,2 19 16 12,5 7,8 5 11,5
Température maximale moyenne (°C) 7,6 9 12,6 15,3 19,3 23,1 25,5 25,5 22 17 11,4 8 16,4
Record de froid (°C)
date du record
−17,1
16.01.1985
−18,5
04.02.1963
−13,5
01.03.05
−6
05.04.1975
−3
03.05.1979
1
03.06.1975
4
02.07.1980
2,4
30.08.1986
−0,5
21.09.1977
−3,2
26.10.10
−9,3
22.11.1993
−12,5
28.12.1962
−18,5
1963
Record de chaleur (°C)
date du record
16,8
28.01.1966
21,2
15.02.1998
25,4
20.03.05
29
30.04.05
32,8
29.05.01
38,4
27.06.19
39,2
23.07.19
40,2
05.08.03
34,2
14.09.20
30,7
02.10.11
21,5
08.11.15
18
15.12.1998
40,2
2003
Précipitations (mm) 127,8 92,2 84,2 84,3 77,9 57,6 65,5 51,4 76,9 121,3 116,9 125 1 081
Source : « Fiche 79311002 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Secondigny est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[8],[9],[10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (90 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (32,5 %), prairies (30,3 %), zones agricoles hétérogènes (20,8 %), forêts (6,7 %), cultures permanentes (5 %), zones urbanisées (3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,8 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Secondigny est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Thouet. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1984, 1992, 1995, 1999 et 2010[16],[14]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « Vallée du Thouet », approuvé le , dont le périmètre regroupe 22 communes[17].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Secondigny.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[18]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[19]. 59,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (54,9 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[20]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[21].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991 et 2005 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[14].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Secondigny est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[22].

Histoire[modifier | modifier le code]

Secondigny entre dans l'histoire en 1068 lorsque le seigneur de Parthenay et archevêque de Bordeaux, Joscelin II, accorde à Raymond, abbé de Bourgueil, la faveur de faire édifier une église en dehors du château, lequel était déjà pourvu d'une chapelle. La construction de l'église commence dans la dernière décennie du XIe siècle.

A l'orée de la forêt, le prieuré augustinien de Notre-Dame-des-Bois se serait installé au XIIe siècle[23].

Du point de vue féodal[24], la baronnie de Secondigny est donc aux mains des Parthenay, puis de leurs descendants les Orléans-Longueville et les Savoie-Nemours (cf. les articles Louis d'Orléans et Philippe de Savoie). Jacques de Savoie (1531-1585 ; fils de Philippe) la cède un moment aux Cormaillon (Claude de Cormaillon en 1550, puis Bernardin et François — cités en 1564 — et Jean[25]), puis la récupère en 1565/1566 pour la vendre à Artus de Cossé, le maréchal de Cossé.

Au XVIe siècle, le maréchal Artus de Cossé-Brissac (1512-1582) est fait comte de Secondigny en 1566/1567 ; sa fille aînée Renée de Cossé hérite, mais reste sans postérité de son union avec Charles de Montmorency-Damville ; la succession passera au neveu de Renée, Louis Gouffier (1575-1642 ; fils de sa sœur Jeanne de Cossé et de Gilbert Gouffier, duc de Roannais), et à sa nièce Francienne de L'Hôpital de Choisy (fille de Jacques de L'Hospital et de Madeleine de Cossé, la dernière sœur de Renée ; femme de Jacques Le Roy de La Grange de Quincy).

Le maréchal Charles de La Porte (1602-1664), 1er duc de La Meilleraye à Parthenay et Beaulieu, cousin germain de Richelieu, arrière-petit-neveu par alliance d'Artus de Cossé, acquiert la seigneurie (et aussi la baronnie de Parthenay, sur le duc Henri II de Longueville en 1641) et devient aussi comte de Secondigny.

Finalement, la terre de Secondigny passe au domaine royal en 1729, et fait partie de l'apanage du comte d'Artois (aussi comte de Poitou) en 1779.

Plus d'information sur le site Internet de l'association Histoire et Patrimoine : https://histoire-secondigny.fr/

Administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[26][modifier | modifier le code]

La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 mars 2008 Daniel Fasanino[27] PCF Psychomotricien
mars 2008 mars 2014 Gérard Vitré[28] UMP Conseiller général
mars 2014 2020 Jean-Paul Dufour DVD[29] Retraité
2020 En cours Jany Péronnet DVD Chef d'entreprise retraité
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Pour Secondigny, cela correspond à 2004, 2009, 2014[30], etc. Les autres dates de « recensements » (2006, etc.) sont des estimations légales.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 4241 4051 3681 3951 5811 7191 5871 7641 939
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 9731 9732 1002 1572 1782 3552 5082 5812 455
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 4152 4622 4252 2162 1592 0962 1462 1712 070
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
2 0532 0622 0202 0261 9071 7741 7211 6911 773
2014 2019 2021 - - - - - -
1 8281 8021 791------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

La commune est connue pour ses productions de pommes (reinette Clochard). Voilà quelques exemples des producteurs de pommes: Earl Desnoues[33] sur la route de Champdeniers ou encore Eric Michel. On peut y trouver du jus de pommes mais aussi du cidre et surtout des bonnes pommes de gâtine.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Sainte-Eulalie[34],[35] : sans doute édifiée à partir du XIe siècle sur une motte féodale entourée de marais, elle présente de nombreuses analogies avec l'église Saint-Pierre de Parthenay-le-Vieux, située à 15 km de là, mais son clocher, construit au-dessus du bras droit du transept, sans doute au milieu du XIIIe siècle, l'en différencie. Dans le chœur, on trouve des traces de fresques d'époques romane, gothique et Renaissance, ainsi qu'une litre funéraire. Le portail Sud (fin XIIe siècle) est protégé par un porche à la mode bretonne, inhabituel en Gâtine. L'Église, à l'exception des travées neuves de la nef a été classé au titre des monuments historique en 1929[36].

Quant à la nef, elle a été rallongée de 3 travées de 1897 à 1900, dans le style roman d'origine.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Pierre-Artus de La Voyrie (1738-1793), chevalier seigneur dudit nom en cette paroisse fut électeur pour la noblesse convoquée aux états généraux en 1789[37].
  • Louis Ganne (1815-1886), homme politique, maire de Parthenay en 1864, député des Deux-Sèvres de 1877 à 1886.
  • Louis Merle (1890-1973), né à Secondigny, médecin, historien régionaliste du Poitou, membre fondateur des Sociétés savantes et culturelles du département des Deux-Sèvres[38].
  • Roger Thabault (1895-1979), sociologue et pédagogue, a été instituteur à Secondigny en 1914.
  • Michel Menu (1916-2015), résistant et figure du scoutisme.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Secondigny Blason
De gueules à trois chevrons d'or accompagnés en chef de deux angemmes d'argent[39].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Michel Dillange - Vendée romane, Bas-Poitou roman - p. 30 - Éditions Zodiaque (collection « la nuit des temps » no 44) - La Pierre-qui-Vire - 1976

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
Notes de type "Carte"
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Cartes[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
  7. « Fiche du Poste 79311002 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Secondigny », sur Géorisques (consulté le ).
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  16. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  17. « PPRI Vallée du Thouet », sur le site de la préfecture des Deux-Sèvres (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  21. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  23. Maurice POIGNAT, Histoire des communes des Deux-Sèvres - Le Pays de Gâtine, Niort, Editions du Terroir, , 300 p. (ISBN 2-903283-24-9, OCLC 492974920), article "Secondigny".
  24. « Histoire de Secondigny », sur Gatine-Parthenay, par Albéric Verdon.
  25. « Hommage à Jean de Cormaillon, chevalier, seigneur de Secondigny (Série C, Bureau des Finances de la généralité de Poitiers, p. 69) », sur Inventaire-sommaire des Archives départementales de la Vienne antérieures à 1790, t. Ier, par Louis Rédet et Alfred Richard, à Poitiers, 1891.
  26. « Association Histoire & Patrimoine de Secondigny en Gâtine », sur Association Histoire & Patrimoine de… (consulté le ).
  27. https://www.lanouvellerepublique.fr/deux-sevres/commune/secondigny/daniel-fasanino-ex-maire-de-secondigny-est-decede
  28. Site de la préfecture, consulté le 31 août 2008
  29. http://politique-ville.com/resultat.php?codeinsee=79311
  30. « Calendrier de recensement », sur Insee (consulté le ).
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. « EARL DESNOUES (ALLONNE) Chiffre d'affaires, résultat, bilans sur SOCIETE.COM - 410778583 », sur societe.com (consulté le ).
  34. Diocèse de Poitiers : église Sainte-Eulalie
  35. Communauté de communes de Parthenay : L'église Sainte-Eulalie de Secondigny
  36. « Eglise Sainte-Eulalie », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  37. Mémoires de la Société des antiquaires de l'Ouest, 1860, consulté le 26 août 2015
  38. « Louis Merle (1890-1973) », BnF, Data.
  39. « Blason… », sur armorialdefrance.fr.