Saülo Mercader

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Saülo Mercader
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Naissance
Nationalité
espagnole
Activités
Formation
Distinction

Commandeur de l'ordre des Arts et des Lettres.

Médaille vermeil de La Ville de Paris.

Saülo Mercader est un peintre, sculpteur, essayiste espagnol, né le à San Vicente del Raspeig (Alicante) en Espagne et qui est établi à Paris depuis 1974.

Outre la peinture et la sculpture, Saülo Mercader crée des œuvres dans le domaine de la gravure, le dessin, la céramique, la terre cuite, la lithographie et la tapisserie de haute lice.

Son œuvre ne se rattache à aucune école et s’inspire des événements qui jalonnent sa vie et la société. L’artiste se pose à la fois comme témoin de son temps et aussi comme authentique chaman reliant l’Être humain à l’Univers d’où il est issu.

Biographie[modifier | modifier le code]

Saülo Mercader commence à modeler et dessiner dès l'âge de six ans. Il s'initie aux techniques de moulage dans les ateliers de « Fallas » à Alicante . Son apprentissage dans les ateliers du sculpteur Serrano lui permet de maîtriser toutes les étapes de réalisation de sculptures en bronze : du moulage aux différents procédés de fonte du bronze .

C'est en 1964 à Bilbao que sa carrière artistique décolle avec une série d'expositions collectives et individuelles qui le font connaître du grand public ; cette osmose exceptionnelle entre le public et l’artiste ainsi que l’ écho considérable que connut ses œuvres dans la presse ne se démentiront pas pendant près de deux décennies. Disciple du sculpteur Lucarini[1], il travaille la pierre et le bronze et réalise une série de bustes remarqués[2] ainsi que des portraits peints dont celui du Marquis de Lozoya[3]. Une de ses peintures : Peras en primavera est acquise par le Musée des Beaux-Arts de Madrid[4]. Le prix de la Fondation de La Vocation espagnole qui lui est décerné[5],[6],[7] en 1972 couronne le mérite, le courage et sa vocation authentique dans la création artistique. La popularité de Saülo Mercader ne cesse de grandir. Il part pour Rome avec une bourse attribuée par l’entreprise catalane Castellblanch[8],[9] ; c’est la redécouverte des grands créateurs qui ont guidé sa main dans sa jeunesse, principalement Raphaël, Leonardo da Vinci dont il se sent frère en art. De retour d’Italie, il part en Scandinavie . Plus tard, il séjourne aux Pays-Bas quelques mois[10]. Saülo Mercader perd son atelier, ravagé par des inondations sans précédent dans lesquelles ses œuvres sont souillées et ses livres, photos, lettres sont perdues[11],[12].

En 1974, le gouvernement français lui attribue une bourse qui lui permet de venir vivre et exercer son art à Paris[13]. C'est un important tournant dans sa vie ; il séjourne cinq ans à la Cité internationale des arts où il rencontre des artistes du monde entier : musiciens, cinéastes, écrivains, artistes plasticiens, danseurs auprès de qui il élargit sa vision du monde et de l’Art. Les Salons d’Automne, de Mai, Contradiction, Outre-Couleur, celui des Artistes Français, celui de la Jeune Sculpture accueillent ses œuvres. Dans les ateliers de la Cité Internationale des Arts, il s’initie à la tapisserie de haute lice avec Jagoda Buic et Nora Music et côtoie le licier Marin Varbanov. Il est inscrit au cours de gravure de S.W.Hayter et suit régulièrement les cours de peinture de Matthey, chef d'atelier à l'École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris. Son exposition à la Foire Internationale d'Art Contemporain en 1978 le révèle au public européen. C’est une période très foisonnante où il crée et voyage aussi beaucoup.

En 1981, il obtient la bourse américaine Fulbright qui lui permet d'aller vivre, étudier et travailler à New York pendant près de deux ans. Résidant sur le campus de la Columbia University, il y fréquente les cours de lithographie des professeurs Maxwell et Mahoney, travaille la céramique avec Panay Reyes et, durant les cours de peinture du professeur Schorr , il s’isole et réalise une série de toiles grand format sur le football américain dont les expositions sont remarquées par la presse qui le fait découvrir au public new-yorkais[14],[15],[16],[17],[18],[19],[20]. De même, il prépare une série de cinq toiles de grand format sur le thème de l’Arbre qui sera présentée à la Biennale d’Alexandrie.Il obtient le diplôme de Master of Art and Education au Teachers' College de la Columbia University[21]. Il rencontre Niki de Saint Phalle, Roy Lichtenstein, Andy Warhol : années prolifiques décrites dans ses carnets de notes illustrés et ses œuvres graphiques.

De retour à Paris, il obtient son doctorat d'art plastiques « cum laude » de l'Université de Paris VIII en 1986. Il rencontre Tapies, Semprun et Camilo José Cela. Outre des expositions régulières en la capitale, il voyage beaucoup en Europe, régulièrement en Espagne et fait la connaissance de Francis Bacon à Madrid. La Grèce et particulièrement la Crète et sa mythologie lui ont inspiré une fresque (720 x 420cm) : « L’Attente du Minotaure » actuellement chez des collectionneurs athéniens[22]. Durant son séjour dans l’île de Naxos dans les Cyclades, il exécute une série de dessins inspirés de l’Art Cycladique.

En Turquie et à Chypre, la rencontre avec l’Orient et ses cultures, son art, ses traditions sont autant de sources d’inspiration féconde . Il expose à Istanbul à la Biennale des Arts, à Bodrum, à Nicosie où les rencontres avec des artistes turcs et chypriotes comme Aylin Orek, Habib Gerez, Feti Arda ,lui ouvrent une grande richesse de création[23],[24],[25]. En Allemagne, sa palette s’enrichit de couleurs et de formes audacieuses à Berlin, Düsseldorf , Cologne ; Bruxelles, Ostende et ses paysages brumeux ; Amsterdam lui dévoile les trésors du Rijksmuseum et les autoportraits de Van Gogh et Utrecht ses canaux si romantiques : une mine de rêves éveillés pour Saülo Mercader qui peint, sculpte, dessine, écrit ce qu’il vit, ce qu’il voit et ses fécondes rencontres avec de nombreux artistes de disciplines différentes. Il rencontre à Paris Pierre Alechinski et Valerio Adami .

La ville de Figeac reçoit la série des minotaures à deux reprises en 1995 avec« Les Hurlements du Taureau » et en l’an 2000, expositions très remarquées : en 2000, Saülo Mercader réalise au sein même de la galerie une grande toile : « La Bacchanale des Minotaures », une de ses œuvres majeures[26],[27]. Elle est exposée parmi la série des minotaures à Guadalajara au Palais de l’Infantado, près de Madrid[28] ainsi qu’à Alicante.

Soucieux de la transmission des savoirs auprès des jeunes, il participe au programme « L’Art à L’Ecole » par des expositions itinérantes et des interventions ponctuelles dans les classes parrainées par le Ministère de la Jeunesse et des Sports[29].

Saülo Mercader voyage régulièrement en Espagne et son exposition « El Euro y los Minotauros » ( 2002-2003 ) à la Lonja del Pescado d’Alicante, est parrainée par la Mairie d’Alicante et le Consortium des Musées de la generalitat de Valencia, Espagne[30],[31],[32]. Il ne néglige pas pour autant les expositions en province française. Son exposition: « Les Hologénies de l'Etron » à l'Institut Culturel Cervantes de Toulouse surprend par la singularité du sujet[33],[34]. Quelques années plus tard, il représente les artistes espagnols de Paris durant la visite d'état du roi Juan Carlos à qui il est présenté lors d'une réception à l'Ambassade d'Espagne[35]. En 2012, il est invité par l’ambassade de France à Astana au Kazakhstan pour y exposer ses œuvres dans le cadre de la Fête nationale du 14 Juillet[36],[37],[38]. La presse et la télévision parlent abondamment de son exposition[39],[40],[41]. Son séjour au Kazakhstan puis en Ouzbékistan sont pour lui une révélation : les pétroglyphes de Tangaly, l’atelier du sculpteur Edouard Kazarian à Almaty, l’architecture mongole des monuments, l’Art et l’Histoire d’Asie Centrale sont des sources d’inspiration qu’il exploite avec boulimie. Il se rend régulièrement en Espagne pour y réaliser des commandes publiques, des bustes en pierre ou en bronze, des portraits peints et pour y exposer ses œuvres. Il a exceptionnellement participé aux Fallas d’Alicante en 2007 avec un taureau fait de matériaux composites dans la pure traduction des ninots[42]: clin d’œil à ses années d’apprentissage durant sa toute jeunesse où il a appris les techniques de construction d’armatures pour les monuments des Fallas[43].

Distinctions[modifier | modifier le code]

Saülo Mercader est lauréat de la Fondation de la Vocation (Barcelone Espagne), boursier du Ministère de la Culture français, Commandeur dans l’Ordre des Arts et des Lettres ,Ministère de la Culture Français[44] - La Ville de Paris lui décerne la Médaille de Vermeil.

Œuvres[modifier | modifier le code]

Peintures[modifier | modifier le code]

La période catalane est jalonnée de peintures aux paysages tourmentés, symboliques : clés, têtes de loup, candélabres, crépuscules, des portraits et autoportraits . A Paris, il peint ce qu’il nomme une série verte avec principalement des personnages, maternités, et des contes picturaux d’une grande poésie. Plus tard, les scènes de tauromachie et la série des minotaures sont autant de sujets pour dénoncer entre autres la censure, les injustices, la solitude, la guerre. Il crée une toile de grande dimension : La Bacchanale des Minotaures exposée à Figeac avec le soutien de la DRAC (Direction Régionale d’Art Contemporain) de la région Midi-Pyrénées, du Conseil Régional du Lot et du haut patronage de l'ambassade d'Espagne[45],[46]. À New-York sa palette s’enrichit de scènes et de personnages de la vie américaine avec le football, les Natifs Américains, paysages urbains. Les thèmes du couple et des maternités sont récurrents . Inspiré par l’art des Aborigènes d’Australie, il crée une série de 70 toiles sur le thème de l’Eau, de la Terre et des symboles de la mythologie du Temps du Rêve. Chaque voyage est source d’inspiration et de productions d’œuvres.

Sculptures[modifier | modifier le code]

Saülo Mercader ne néglige aucun matériau que ce soit la terre cuite, la céramique, la pierre, le bronze. Il réalise une commande pour la Ville de San Vicente del Raspeig (Alicante Espagne) : Dona Lluna est une sculpture de 5m50 de hauteur en bronze entourée de 12 marbres bruts peints, calendrier lunaire autour de la sculpture au centre d’un rond-point. L’ensemble est un hommage à la Femme, unique réalisation laïque connue en Europe[47],[48],[49].

Tapisseries[modifier | modifier le code]

Il tisse la série des tapisseries de haute lice dites sacrées parmi les plus remarquables, citons : « Anamnèse », «  la Fatijah » et celle en relief de grande dimension «  Rotor III » s’inspirant des volumes de la sculpture et aussi des structures en relief des créations textiles de Sheila Hicks. Il mêle des matériaux aussi divers que des tubes en plastique, des bouchons, de la toile, de la mousse, tissés et imbriqués dans des fils de laine et de coton.

Principales expositions et collections.[modifier | modifier le code]

Les œuvres de Saülo Mercader ont été exposées à la FIAC 1978 à Paris (Foire Internationale d’Art Contemporain) , dans les principaux salons de Paris (Mai / Automne /Ecole Française/ Comparaisons/ Jeune Sculpture / Figuration critique/ Outre-Couleur/ Artistes Français / Festival d’art sacré de Tournus / Bordeaux-Mérignac / Clermont-Ferrand) . Elles sont exposées régulièrement en Espagne (dont les très remarquées expositions à Guadalajara et à Alicante[50],[51] et en France et ont représenté la France et aussi l’Espagne dans les Biennales Internationales de Genève, d’Alexandrie, de Valparaiso, au festival d’Istanbul, au Kazakhstan pour la fête Nationale du ainsi que dans plus d’une centaine d’expositions personnelles et collectives dans le monde .

Les œuvres de Saülo Mercader sont présentes dans de nombreuses collections privées et publiques dans le monde dont le musée d'Art contemporain de Madrid qui achète la toile « Peras en Primavera » , la Bibliothèque nationale de France, site Richelieu de Paris(estampes) avec l’acquisition de la gravure : « le Poète ». Le Teachers’ College de la Columbia University de New-York acquiert la toile « Les Huit Profils » ; œuvres au Musée d’Art et d’Archéologie de Bodrum (Turquie), au Musée d’État Turc avec la toile : « L’Equilibre de l’Esprit ». Achat par la Mairie de la Ville de Tarragone et celle de Guadalajara (Espagne). La fresque monumentale « L’Attente du Minotaure » fait partie de la collection Tzovaridis à Athènes.

Publications[modifier | modifier le code]

Livres de l'artiste[modifier | modifier le code]

  • 1993 : « Art, Matière, Énergie » aux éditions Imago- PUF- France
C'est un livre de théorie de l'Art et une approche analytique des différents composants de la création artistique.
  • 2000 : Les Chants de l'Ombre aux éditions Imago-PUF-France
C'est un livre autobiographique illustré par son auteur de 22 dessins à l'encre de chine. préfacé par Yves Coppens, Saülo Mercader relate avec pudeur, poésie et un regard sans concession ses années d’enfance et d’adolescence dans son pays l’Espagne, muselé par un régime fasciste inhumain.
  • 2010 : Extrate-Art, Vision de lo invisible. Livre uniquement en castillan, vision personnelle de l'artiste sur la Création artistique ; il expose sa croyance en une osmose entre l’Univers et l’Etre humain et nous fait voyager dans des mondes aux frontières invisibles où l’artiste devient chaman[52],[53]. La version française de ce livre sera publiée un peu plus tard, préfacée par l’historien Bartolomé Bennassar. Le livre a été imprimé en tirage limité et en deux couvertures différentes. (ISBN 978-84-614-0908-2)
  • Ses témoignages sur la période franquiste en Espagne ont été édités dans des ouvrages en français et en espagnol : Traumas-ninos de la Guerra y del exilio et Enfants de la Mémoire,( Edition de l’Association Memoria Historica y democratica del Baix Llobregat, Espagne).

Bibliographies[modifier | modifier le code]

De nombreux catalogues d’exposition ont été réalisés sur le travail de Saülo Mercader .

  • (es) La Gran Enciclopedia Basca, (sections peinture et sculpture)
  • (es) Saülo Mercader, Madrid, Colección Arte Contemporáneo n° 65, Fernando Ponce,
  • (fr + en + es) Saülo Mercader, Moi le Roi, Madrid, Fernando Ponce, (ISBN 8440494491) comportant 280 reproductions en couleur.
  • (es + eu) poemas de Marrodan, El Viaje de las Musas, . Coffret limitée à 20 exemplaires avec 10 gravures de Saülo Mercader.
  • (fr + en + es) texte de J. Rivais, Saülo Mercader, Ayuntamiento de Guadalajara, (ISBN 8487874258) 250 reproductions couleur (peintures).
  • (fr + en + es) El Euro y los Minotauros, Ayuntamiento de Alicante y el Consortium de los Museos de la generalidad Valenciana – España, (ISBN 8448233212). Catalogue contenant 150 et 75 reproductions couleur (peintures, sculptures, céramiques, tapisseries, gravures, dessins).

Presse écrite, reportages audio et télévisés[modifier | modifier le code]

La presse américaine et la télévision ont salué les expositions de Saülo Mercader lors de son séjour à New-York les considérant comme un des plus importants événements artistiques de la saison (Daily News, Village Voice, New York Post…). La presse espagnole(« Informacion, El Pais,El Correo) , française( Paris Match/ Le Journal du dimanche , La Dépêche du Midi, Nice-Matin) , allemande, la Pravda, lui consacrent de nombreux articles. Reportages sur les chaînes 41 et 47 de la télévision américaine. Il est interviewé régulièrement dans les émissions de radio et de télévision en Espagne et en France ( France Inter Cosmopolitaine. TF1 Le 7 à 8 de Laurence Ferrari , reportage « Les enfants de Franco » de Bénédicte Duran, «  Au plaisir de l’œil » de Micheline Sandrel) .Saülo Mercader expose régulièrement à Paris et ponctuellement à l’étranger .

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Alberto Lopez Etchevarrieta : »Discipulo de Lucarini, Saulo un pintor independiente » -Diario Pueblo-22 Noviembre de 1970
  2. (es) « Saulo, un artista con alma de Alicante y Bilbao », Hierro,‎ 24 de noviembre de 1972
  3. « El marques de Lozoya ha posado para el pintor Saulo »-El Adelantado de Segovia-14 Agosto de 1973.
  4. lberto Lopez Echevarrieta : "Me compra un cuadro el Museo de Bellas-Artes de Madrid para una exposicion nacional itinerante" - Pueblo, 26 Junio de 1972.
  5. « Fueron entregados 20 premios meritos a la vocacion » - Diario femenino- 4 Abril de 1973. page 15
  6. « Entrega de los premios Mérito a La Vocacion 1972 »- La Vanguardia espanola-3 Abril de 1973
  7. « Saulo, premio de la Fundacion espanola de la Vocacion »- Hierro, 24 Abril 1973
  8. lberto Lopez Etchevarrieta : «  Saulo, consolidacion artistica en Roma  » - Pueblo, 26 Mayo de 1971
  9. « Esperanza artistica para Bilbao »- La Hoja del Lunes – 5 Abril de 1971
  10. Alberto Lopez Echevarrieta : « pensionado por el Ministerio de Asuntos Exteriores-Saülo, a los paises bajos » - Pueblo, 4 Septembre 1974.
  11. « 150 cuadros de Saulo afectados por la inundacion » - El Correo Espanol n°23.027 , 26 Julio de 1983 , page 1
  12. Eduardo Catania : « Saülo Mercader se ha encontrado en Bilbao con su vivienda inundada y sus cuadros destrozados » - El Correo Espanol, 28 Agosto de 1977
  13. Alberto Lopez Etchevarrieta : « Saülo Mercader, becado por el Gobierno Frances » - Pueblo, 1974.
  14. « Una insolita muestra del pintor bilbaino Saülo Mercader en Nueva-York »- La Hoja del Lunes, 20 Septiembre de 1982- n°2699
  15. « Saülo Mercader at Intar gallery in New-York » - The Village Voice-the weekly Newspaper n° 39 - 28 Septembre 1982
  16. Miguel Perez and Carlos Velez : « Qué pasa ? »The Daily News, New-York- 9 Octobre 1982
  17. Expositions- France-Amérique - Le Courrier des Etats-Unis n°503 – 14-20 Janvier 1982
  18. Marjorie Harris Beshers : « Saülo Mercader at Macy gallery in New-York » - T.C Advocate – Art Review n°4- Février 1982
  19. Gentes » Saülo Mercader en Noticias del Mundo » - Noticias del Mundo-New-York n° 578- 6 y 7 Febrero de 1982
  20. Marjorie Harris Beshers : « Saülo Mercader an internationally-known artist paints at Teachers’College, an artist hailed by the European press and critics » Annual Magazine 1982 – page 14 , February 1982
  21. « Saülo Mercader , Master of Art por la universidad norteamericana de Columbia, New-York » El Correo Espanol-El Pueblo Vasco n° 23.012 – 10 Julio de 1983
  22. Article de la rédaction : « Saülo Mercader acaba la restauracion de su mural «  La espera del Minotauro » en Atenas »- Informacion Alicante, 20 Septiembre 2007
  23. Mehmet Zaimoviç : « Saülo Mercader in Resim leri »- Milliyet-Sanat Sergisi, Juillet 1984
  24. J.Habib Gerez : «  saülo Mercader », Eflâtun-Sanat,Kültür-Juillet/août 1984
  25. Cevdet Cagdas : « Atatürk Kültür Merkezinde,Saülo Mercader sergisi » - Bozkurt, 9 Août 1984
  26. Alain le Blanc : « Saülo Mercader au Rire Bleu, les Hurlements du Taureau »- La Dépêche du Lot, 17 Juillet 1995,page 8
  27. Denis Delestrac : « Exposition Saülo Mercader à Figeac -Rébellion picturale »- La Dépêche, 19 Août 1995
  28. Lydia Martinez : « Saülo Mercader con sus minotauros elige Guadalajara para volver a Espana »- la Tribuna,26 Janvier 2000
  29. « El arte en la escuela »- El Punto-Internacional-Madrid, 25-31 Enero de 1991, p 17
  30. J.A.Gimenez : « Saülo Mercader vuelve a exponer en Alicante despues de trece anos »-Informacion,17 de Agosto de 2002,pagina 46
  31. Carlos Javier Vega : «  El pintor alicantino Saülo Mercader expone por primera vez en su ciudad »-El Periodico,20 de Octubre de 2002, p36
  32. Angeles Caceres : « Minotauros en la orilla »-Informacion, 14 de Diciembre de 2002, p66
  33. « Saülo Mercader à l’Institut Cervantes »-La Dépêche du Midi, 21 Novembre 2002, p21
  34. « Les hologénies de Saülo Mercader »- La Gazette de Toulouse, 6-12 Décembre 2002
  35. « El alicantino Saülo Mercader representa a los artistas espanoles ante el Rey en Paris »- Informacion,28 Marzo de 2006
  36. titre de l’article en kazakh-traduction : » Plus belle couleur au milieu de la steppe »- journal du soir d’Astana-rubrique « vernissage », 26 Juillet 2012, page 12, n°88
  37. « Exposition du peintre-sculpteur Saulo Mercader à Astana », sur site de l'ambassade française.
  38. « Peinture. 2012 : Exposition des oeuvres de Saülo MERCADER »
  39. Lev Lushin : article en russe -traduction : «  Motifs de la steppe dans l’oeuvre de Saulo »- Kazakhstanskaya Pravda(La Pravda du kazakhstan), 14 Juillet 2012, n°225-226
  40. Tokjan Gani - article en russe-traduction : » Saulo-frère d’Abaï »-Vremya (« journal Le Temps »-Astana ), 14 Juillet 2012, page 12
  41. Ambassade de France au Kazakhstan-revue de la presse kazakhstanaise : « Exposition du peintre-sculpteur Saülo Mercader à Astana »-Kazakhstanskaya Pravda , Vremya , 16 Juillet 2012
  42. Redaccion : « Saülo Mercader colabora con la hoguera Explanada » -Informacion, 19 Mayo 2007
  43. J.H : « Saülo Mercader presenta un ninot de minotauro »-Informacion, 31 Mayo de 2007
  44. Redaccion : « Saülo Mercader recibe el titulo de Comendador de las Artes de Francia » - Informacion, Julio de 2012
  45. « Les Hurlements du taureau », sur Site regroupant les œuvres de l'artiste., La Dépêche,
  46. « Rébellion picturale », sur Site de monographies des œuvres de l'artiste., La Dépêche,
  47. S. Balseyro : « San Vicente inaugura Dona lluna, un templo homenaje » La Verdad, 7 Marzo 2007, pagina 47
  48. Sol Gimenez : « tributo a la mujer » - Informacion (Alicante), 12 Mars 2007
  49. « La escultura de Mercader Dona Lluna ya luce en la entrada del parque Lo Torrent con todo su esplendor »- Noticias Semanal San Vicente del Raspeig, 15-21 Mars 2007 n°132
  50. Martin Sanz : « Saülo presenta por primera vez sus ‘minotauros’en Alicante » - El Mundo (Alicante), 8 de Agosto de 2002,p10
  51. Pedro Rojas : « El embrujo de Saülo » - La Verdad, 30 de Agosto de 2002
  52. Club Informacion- Presentacion libro : extrate-art, vision de lo invisible - Informacion, 6 de Marzo de 2011
  53. Ramon Gomez Carrion : « Saulo, nino salvado por el arte- el creador sanvicentino acaba de publicar un libro abordando los secretos cosmicos de su obra y de los grandes artistas » - La Verdad, 24 de Abril de 2011, p 23

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