Sainte-Foy-l'Argentière

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Sainte-Foy-l'Argentière
Sainte-Foy-l'Argentière
Château du marquis de Fenoyl.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Rhône
Arrondissement Lyon
Intercommunalité CC des Monts du Lyonnais
Maire
Mandat
Karine Berger
2020-2026
Code postal 69610
Code commune 69201
Démographie
Gentilé Fidésiens
Population
municipale
1 291 hab. (2021 en augmentation de 0,16 % par rapport à 2015)
Densité 838 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 42′ 33″ nord, 4° 28′ 16″ est
Altitude Min. 417 m
Max. 480 m
Superficie 1,54 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Sainte-Foy-l'Argentière
(ville-centre)
Aire d'attraction Lyon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales L'Arbresle
Localisation
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Liens
Site web https://www.sainte-foy-largentiere.fr/

Sainte-Foy-l'Argentière est une commune française, située dans le département du Rhône en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Rose des vents Souzy Saint-Genis-l'Argentière Rose des vents
N
O    Sainte-Foy-l'Argentière    E
S
Aveize

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 814 mm, avec 9,1 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Symphorien-C », sur la commune de Saint-Symphorien-sur-Coise à 8 km à vol d'oiseau[3], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 861,2 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Sainte-Foy-l'Argentière est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Sainte-Foy-l'Argentière, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[10] et 3 135 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 398 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (50,3 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (47,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (50,3 %), prairies (49,7 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le village s'appelait autrefois Sainte-Foy-de-Meys[réf. nécessaire].

Le nom du village, Sainte-Foy-l'Argentière, vient d'une mine argentifère que les Romains avaient exploitée. Le mot « Argentière » vient de la contraction du gallo-romain « argentum » et du suffixe gaulois « avu », indiquant d’anciennes exploitations minières, précisément de plomb argentifère[16].

La mention la plus ancienne du village qui soit connue a été datée de 900, Sainte-Foy dépendait alors de la paroisse de Saint-Genis-l'Argentière.

Histoire[modifier | modifier le code]

Sainte-Foy-l'Argentière fut longtemps la seigneurie de la famille Saint-Priest, sous la dépendance des comtes de Forez passa à la famille de Fenoyl en 1771.

Dès la fin du XVIIIe siècle, la ville prend un essor industriel grâce à plusieurs initiatives de la famille de Fenoyl. L'exploitation de la houille, une manufacture de porcelaine, et une tuilerie (aujourd'hui la plus importante d'Europe) garantissent la prospérité de Sainte-Foy tout au long du XIXe siècle.

Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de Foy-sur-Brevenne[17].

Aujourd'hui, Sainte-Foy s'est recentrée sur les services et les commerces, tout en restant une commune dynamique des monts du Lyonnais.

L’église[modifier | modifier le code]

L'église fut édifiée à l'emplacement de la chapelle du château. Le marquis de Fenoyl sacrifia une tour et une aile du château pour sa construction. L'église comprend des vitraux remarquables d'Alexandre Mauvernay ainsi que des bénitiers qui furent rapportés d'Océanie par le père missionnaire Jean de Fenoyl au XXe siècle.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1790   Antoine Delorme    
1792   Antoine Planud    
1794   Jacques Phillibert Guellard-Dumesnil    
1815   Antoine Gemier    
1820   Laurent Marie Alphonse de Gayardon, marquis de Fenoyl    
1831   Antoine Delorme    
1835   Benoit Costille    
1836   Benoit Chirat    
1839   Pierre Antoine Blanc    
1840   Jean-Benoit Delorme    
1846   Jean-Baptiste Vinay    
1850   Benoit Costille    
1858   Benoit Chirat    
1858   Pierre-Louis de Gayardon, marquis de Fenoyl    
1863   Jean-Marie Chirat    
1870   Benoit Costille    
1874   Pierre-Louis de Gayardon, marquis de Fenoyl    
1880   Jean-Baptiste Vinay    
1881   Jean-Marie Thévenon    
1886   Jacques Thizy    
1888   Jacques Louison    
1905   Jean-Simon Chouzy    
1906   Guy de Gayardon, marquis de Fenoyl    
1945   Louis Chaize    
1959   Joseph Vinay    
1983   Maurice Félix    
2005 En cours Michel Guillarme DVD  

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[19].

En 2021, la commune comptait 1 291 habitants[Note 3], en augmentation de 0,16 % par rapport à 2015 (Rhône : +3,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
367443529681614688706806840
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
8419059851 0741 1511 2191 2591 2211 292
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
1 2621 1331 2711 3011 3161 2901 1411 1221 110
1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
1 1141 2141 1881 1521 1671 2471 2251 2371 304
2019 2021 - - - - - - -
1 2861 291-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[20].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

Le recensement de la population a eu lieu le en 1999, l'âge "0" représente seulement les naissances ayant eu lieu entre le 1er janvier et le .

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Dans les annexes de la gare se trouve le parc d'animation ferroviaire permettant de se confronter au modélisme ferroviaire de jardin aux échelles d'1/5e au 1/11e sur des voies à l'écartement de 5" (127 mm) et 7"1/4 (184 mm). Ce parc est géré par l’association « Le Mini train des Monts du Lyonnais ». Le voyage s'effectue à califourchon sur les wagons tractés par les locomotives réalisées par les membres de l'association, certaines fonctionnant à la vapeur vive. informations : Le Mini Train des Monts du Lyonnais

Un train touristique à voie normale circule à la belle saison entre l’Arbresle et Sainte-Foy-l’Argentière afin de faire redécouvrir d’anciennes locomotives et wagons restaurés par l’association « Chemin de fer touristique de la Brévenne ».

Il y a sur la place principale du village le château de la famille de Fenoyl, construit au XVe siècle et restauré au XVIIe siècle. Le marquis de Fenoyl a fait don d'une aile du château en 1850 pour construire l'église du village.

Économie[modifier | modifier le code]

Parmi les nombreux villages du Rhône, Sainte-Foy-l'Argentière fut l'un des premiers à avoir l’eau courante.[Quand ?]

Les mines de houilles L’exploitation de la houille en surface à Sainte-Foy est très ancienne. L’exploitation des mines daterait de 1740. En 1752, il y avait déjà 7 ou 8 puits ouverts. Le village s’est surtout développé quand un membre de la famille Fenoyl a acheté et développé les mines de charbon. Au début, il n’y avait que des galeries à ciel ouvert, puis des puits qui allaient jusqu’à 600 mètres de profondeur ont été creusés. En 1812, on disait Sainte-Foy-les-Houilles. L’exploitation a été arrêtée en mars 1931 puis a repris de 1940 à 1945, pendant l’occupation, pour alimenter les foyers domestiques. Il ne reste actuellement aucune trace visible de cette exploitation minière si ce n’est un terril vers la zone d’activités du Val d’Argent. À Sainte-Foy-l’Argentière, le sous-sol est très instable en raison des galeries et de la nature du sol.

La fabrique de porcelaine Après avoir donné aux mines une impulsion nouvelle et afin de résorber le chômage, le marquis de Fenoyl décide d’investir ses capitaux dans la création d’une manufacture de porcelaine. Les conditions étaient favorables car l’approvisionnement énergétique ne posait aucun problème et la matière première était proche (kaolin à Haute-Rivoire). On fit appel à une main d’œuvre qualifiée originaire de Haute-Vienne et du Jura où le travail de la porcelaine est traditionnel. Il fit breveter des isolateurs qui ont d’abord servi pour le télégraphe puis pour l’électricité. En 1936, la manufacture occupait environ 300 ouvriers et produisait, outre des isolateurs, de la vaisselle, des articles pour pharmaciens et de la porcelaine à feu. Aujourd’hui, cette usine n’existe plus ; les fours, trop dangereux, ont été détruits dans les années 1980.

La Grande Tuilerie du Rhône Il est difficile de dire exactement quand commença l’activité des tuiliers à Sainte-Foy. Dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, des tuileries artisanales (comme celle au no 5 route de Saint-Genis) existaient : les tuiliers faisaient tout à la main et moulaient les tuiles sur leur cuisses. La famille de Fenoyl fut à l’origine, vers 1880, d’une tuilerie mécanique qui, développée ensuite par la famille Balaÿ, devint la Grande Tuilerie du Rhône. Elle n’a cessé depuis d’évoluer et de se moderniser. Et les bâtiments, toujours situés au même endroit, ont été considérablement transformés et agrandis. Actuellement, lorsqu’on arrive de la Loire par la RN 89, on aperçoit l’immense aire de stockage et les nouveaux bâtiments de la Grande Tuilerie du Rhône rebaptisée depuis 2000 « Edilians Couverture - Tuiles Sainte-Foy ».

Médias[modifier | modifier le code]

Presse locale[modifier | modifier le code]

Radio[modifier | modifier le code]

En FM[modifier | modifier le code]

1 radio généraliste publique, 1 radio associative (catégorie A) et 1 radio locale commerciale (catégorie B) émettent sur Sainte-Foy-l'Argentière. Les autres radios publiques du Mont Pilat sont aussi reçues[21].

Fréquence Nom de la radio Diffuseur Lieu d'émission Puissance
90.5 France Inter TDF Montchourier, Malacour, Saint-Laurent-de-Chamousset 100 W
97.5 Radio Espace Auto-diffusion Boussoure, Saint-Genis-l'Argentière 100 W
101.7 RCF Lyon Auto-diffusion Boussoure, Saint-Genis-l'Argentière 100 W

En numérique (prochainement)[modifier | modifier le code]

Prochainement, quelques stations, notamment locales, arriveront en numérique sur Sainte-Foy-l'Argentière[22] grâce aux allotissements 2 et 3 du DAB+ (la prochaine bande RNT) lyonnaise[23],[24].

Allotissement 2 (catégories A et B) :

Nom de la radio Catégorie
Radio Capsao[25] A
Couleurs FM[26] A
Euradio A
Impact FM B
Lyon 1re B
Néo A
Radio Arménie A
Radio Espérance A
Oxygène Alpes Auvergne[27] A
Radio Pitchoun[28] D
Radio Pluriel A
Séquence FM[29] A
Sol FM A

Allotissement 3 (catégories C et D) :

Nom de la radio Catégorie
Africa no 1 D
Chante France D
France Maghreb 2 D
Jazz Radio B
Mélody Radio D
Radio Alfa B
Radio Espace B
Radio FG D
Radio Orient D
Radio Scoop B
Virage Radio Lyon C

Télévision locale[modifier | modifier le code]

France 3 Rhône-Alpes et France 3 Alpes émettent sur Sainte-Foy-l'Argentière grâce au site d'émission de Malacour à Saint-Laurent-de-Chamousset[30].

Transport[modifier | modifier le code]

Une ligne régulière financée par le conseil général relie Sainte-Foy à Lyon : la ligne 142.

  • Directions :
    • Aveize Centre Médical ;
    • Lyon Gorge de Loup ou L'Arbresle (certains services en semaine).

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Sainte-Foy-l'Argentière et Saint-Symphorien-sur-Coise », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Saint-Symphorien-C », sur la commune de Saint-Symphorien-sur-Coise - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Saint-Symphorien-C », sur la commune de Saint-Symphorien-sur-Coise - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Sainte-Foy-l'Argentière », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  11. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  12. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lyon », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  16. G. Chauvy, « Les noms de nos communes. Sainte-Foy-l’Argentière », sur leprogres.fr (consulté le )
  17. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  21. "Les radios de Sainte-Foy-l'Argentière (69)" sur annuaireradio.fr
  22. "La RNT bientôt dans le Nord, l'Alsace et la région lyonnaise" sur csa.fr (fichier PDF à télécharger)
  23. La RNT à Lyon (par allotissements) sur radioscope.fr
  24. Radios à Lyon.
  25. Site web de Radio Capsao
  26. Site web de Couleurs FM
  27. Site web d'Oxygène Radio
  28. Site web de Radio Pitchoun
  29. Site web de Séquence FM
  30. Emetteurs TNT dans le Rhône
  31. « Sainte-Foy-l’Argentière », Le Progrès,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. « Généalogie de Pierre Louis de GAYARDON de FENOYL », sur Geneanet (consulté le ).
  33. http://racineshistoire.free.fr/LGN/PDF/Fenoyl-Gayardon.pdf
  34. « Les ancêtres romanais et péageois de Philippe de Dieuleveult », sur Romans Historique, (consulté le ).