Saint-Étienne-de-Baïgorry
Saint-Étienne-de-Baïgorry | |||||
Maison basque de style bas-navarrais | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Bayonne | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de Garazi-Baïgorri | ||||
Maire Mandat |
Jean-Michel Coscarat 2014-2020 |
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Code postal | 64430 | ||||
Code commune | 64477 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Baigorriar | ||||
Population municipale |
1 576 hab. (2014) | ||||
Densité | 23 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 10′ 34″ nord, 1° 20′ 43″ ouest | ||||
Altitude | Min. 146 m Max. 1 049 m |
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Superficie | 69,44 km2 | ||||
Élections | |||||
Départementales | Saint-Étienne-de-Baïgorry (chef-lieu) |
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Localisation | |||||
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Saint-Étienne-de-Baïgorry est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Aquitaine.
Le gentilé est Baigorriar[1],[2].
Géographie
Situation
Cette commune est frontalière avec l'Espagne à l'ouest. Elle est située dans la province basque de Basse-Navarre.
Accès
Saint-Étienne-de-Baïgorri est reliée par autocar à Ossès sur le réseau du TER Aquitaine.
Elle est desservie par les routes départementales D15 et D948.
Hydrographie
La commune est traversée[3] par la Nive des Aldudes, affluent de la Nive, et par ses tributaires, le ruisseau de Guermiette, le Bihuntzeguiko erreka (ainsi que par l'affluent de celui-ci, l'Herauneko erreka), les ruisseaux de Lespars et de Zahaztoy (ainsi que par les affluents de celui-ci, l'Abrakou erreka et le ruisseau de Sargaraï), le Belechiko erreka (ainsi que par les tributaires de celui-ci, l'Hérraukiko erreka et le Tihistako erreka), l'Aparaineko erreka, le Lichketako erreka, le Latcharrako erreka, l'Heratéko erreka et le Nekaitzeko erreka (ainsi que par l'affluent de ce dernier, le Marmarako erreka).
Lieux-dits et hameaux
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Communes limitrophes
- Bidarray au nord
- Saint-Martin-d'Arrossa au nord-est
- Irouléguy à l'est
- Anhaux au sud-est
- Banca au sud
Toponymie
Mentions anciennes
Le toponyme Saint-Étienne-de-Baïgorry apparaît sous les formes Vallis que dicitur Bigur[4] (980), Beguer[4], Beigur[4], Baigur[4] et Baigorrie[4] (1238), Sanctus-Stephanus de Bayguerr (1335[5], chapitre de Bayonne[6]), Sant-Esteban (1513[5], titres de Pampelune[7]), Baygorri (1650) et Thermopile (1793).
Aphalen, désignant un mont situé sur la frontière avec l'Espagne, est attesté en 1863 dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[5].
Le toponyme Bastida apparaît sous les formes La Bastida (1513[5], titres de Pampelune[7]) et La Bastide (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[5]).
Gathuly est le nom d’un mont qui s’étend[5] sur les territoires des communes de Banca et de Saint-Étienne-de-Baïgorry.
Le toponyme Guermiette est mentionné en 1264[4] et apparaît sous la forme Guermieta (1513[5], titres de Pampelune[7]).
Le toponyme Leizpartz est mentionné en 1264, puis 1350[4] et apparaît sous les formes Leizparz (1513[5], titres de Pampelune[7]) et Leïspars (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[5]).
Le toponyme Licérasse apparaît sous les formes Liçaraçu (1402[5], titres de Navarre, E 459[8]), Licarasse (1445[5], collection Duchesne volume CXIV, feuillet 177[9]), Lizarazu (1525[5], titres de la Camara de Comptos[10]), Lizaraçu (1621[5], Martin Biscay[11]) et Licerasse (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[5]).
Le toponyme Occos apparaît sous les formes Oucoz et Aucoz (1328[5] pour ces deux formes, titres de la Camara de Comptos[10]) et Oquoz (1513[5], titres de Pampelune[7]).
Le toponyme Otikoren apparaît sous les formes Oticoren (1513[5], titres de Pampelune[7]) et Otticoren (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[5]).
Le toponyme Urdos apparaît sous les formes Urdos de la Bastida (1513[5], titres de Pampelune[7]) et Urdoz (1621[5], Martin Biscay[11]).
Graphie basque
Son nom basque actuel est Baigorri[2].
Histoire
En 1391, Saint-Étienne-de-Baïgorry englobait les communes actuelles de Anhaux, Ascarat, Irouléguy et Lasse[4].
En 1795[12], le Directoire incita un grand nombre de municipalités à adopter de nouveaux noms conformes à l'esprit de la Révolution. Ainsi Saint-Étienne-de-Baïgorry s'appela Thermopile.
Politique et administration
Liste des maires
Résultats électoraux
- Élections présidentielles 2007 2e tour : N. Sarkozy 52,61 % / S. Royal 47,39 %
- Élections législatives 2007 2e tour : J. Lassalle (Modem) 40,37 % / H. Lucbereilh (UMP) 33,65 % / J-P. Domecq (PS) 25,98 %
Intercommunalité
La commune de Saint-Étienne-de-Baïgorry participe à cinq structures intercommunales[13] :
- la communauté de communes de Garazi-Baigorri ;
- le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
- le syndicat intercommunal pour l'aménagement et la gestion de l'abattoir de Saint-Jean-Pied-de-Port ;
- le syndicat intercommunal pour le soutien à la culture basque ;
- le syndicat mixte du bassin versant de la Nive.
Population et société
Démographie
L'enquête de 1786[14] recense à Saint-Étienne 208 maisons et 1698 personnes[15].
Cette même enquête relève à Leispars 108 maisons et 697 personnes[16], à La Bastide 66 maisons et 513 personnes[17], à Othicoren 27 maisons et 203 personnes[18] et à Occos 74 maisons et 582 personnes[19].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans.
Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[21],[Note 1].
En 2014, la commune comptait 1 576 habitants, en diminution de −2,6 % par rapport à 2009 (Pyrénées-Atlantiques : 2,53 %, France hors Mayotte : 2,49 %).
Enseignement
La commune dispose de trois écoles primaires, l'une publique et l'autre privée (école Saint-Joseph) ainsi qu'une ikastola et de deux collèges, l'un public (collège Jean Pujo[24]) et l'autre privé (Donostei[25]).
Sports
L'US Nafarroa est un club de rugby à XV fondé en 2003 à la suite de la fusion de l'US Baïgorri et de l'US Garazi . Son siège social est basé à Saint-Etienne-de-Baigorry et son siège annexe à Saint Jean Pied de Port. Il évolue en Fédérale 3 depuis la saison 2012-2013.
Saint-Étienne-de-Baïgorry offre la possibilité de pratiquer la pelote basque en trinquet, mur à gauche et en plein air grâce à plusieurs frontons. On peut surtout, aux beaux jours, assister à des parties de rebot, discipline particulièrement spectaculaire.
Économie
La forge d'Etchauz est un ancien établissement sidérurgique, situé à 1,5 km au sud du bourg. Il fut en activité du milieu du XVIIe siècle à 1785.
La commune fait partie de la zone de production du vignoble d'Irouléguy et de celle de l'ossau-iraty. L'activité est principalement agricole.
Culture et patrimoine
Le mois d'avril est le mois culturel de Baigorri, le point d'orgue de cet événement traditionnel se situe le dernier dimanche de ce mois avec Nafarroaren Eguna (la journée de la Navarre). C'est le jour où se retrouvent des dizaines de danseurs, de musiciens, d'artistes en tous genres, ainsi que plusieurs milliers de Basques des deux côtés de la frontière administrative.
Patrimoine civil
- Un camp protohistorique est situé au lieu-dit Lamotainpareta et des fortifications, protohistoriques également, sont présentes au lieu-dit Quarraquey ;
- Le manoir appelé château de Licerasse ou Lizarazu[26] date de 1366 ;
- La maison forte appelée Jauregia d'Urdos[27] date des XIVe et XVIIe siècles ;
- Le pont romain, comme beaucoup de ponts dits romains du Pays basque, date du XVIIe siècle (1661). Il a été construit sur la Nive des Aldudes ;
- Le château d'Etxauz (Etchauz)[28],[29] date du XVIe siècle. L'édifice actuel, construit à la demande de Gratien d'Etchaux, date de 1555. Il fut modifié au milieu du XVIIIe siècle, puis restauré à la fin du XXe siècle ;
- La ferme Itze[30] date du XVIIe siècle tout comme la ferme Makozain[31] et la maison Martinxoloenia[32] ;
- La forge d'Etchaux[33] montre encore des vestiges de ses hauts fourneaux datant des XVIIe et XVIIIe siècles. Elle produisait les canons et les boulets des corsaires ;
- La ferme Berhoa[34] date du XVIIIe siècle tout comme les fermes Iturraldea[35], et Jokoberro[36] et la maison Zuburia[37] ;
Patrimoine religieux
- La chapelle Saint-Laurent-de-Guermiette[38] date des XIVe et XVIIe siècles ;
- La chapelle Saint-Sauveur-d'Occos[39] date des XIVe et XVIIIe siècles ;
- La chapelle d'Urdos[40] date du XVIIe siècle ;
- La chapelle Notre-Dame[41] date du XVIIIe siècle ;
- L'église Saint-Étienne[42] : les premières traces écrites mentionnant l'église remontent à 1253 comme possession de Roncevaux, mais certains vestiges sculptés romans datent du XIIe siècle. Elle a été ensuite modifiée aux XVIIe siècle et XVIIIe siècle (construction de la voûte en 1733, du clocher en 1791). Le porche fut construit en 1940. Elle recèle du mobilier[43] des XVIIe au XIXe siècles.
Patrimoine environnemental
Saint-Étienne-de-Baïgorry se situe sur le GR 10, sentier de grande randonnée (GR) qui traverse la chaîne des Pyrénées d'ouest en est. C'est le point de départ de la randonnée parcourant les crêtes d'Iparla et aboutissant à Bidarray en empruntant le GR 10, à cheval sur la frontière avec l'Espagne.
L'Adartza, 1250 m, est un mont situé entre Saint-Étienne-de-Baïgorry, Lasse et Anhaux.
Le Munhoa (ou Monhoa), 1021 m, est un mont situé entre Saint-Étienne-de-Baïgorry et Saint-Jean-Pied-de-Port. On y accède à partir d'Anhaux, Lasse ou Saint-Étienne-de-Baïgorry.
L'Ahintziaga, 905 m, est un sommet frontalier surplombant par l'ouest Saint-Étienne-de-Baïgorry.
L'Hautza, 1306 m, est un sommet du Pays basque espagnol surplombant par l'ouest Saint-Étienne-de-Baïgorry.
Le mont Adi, 1450 m, est une montagne entre Saint-Étienne-de-Baïgorry et Urepel.
Le col d'Ispéguy est un col de 672 m, entre Saint-Étienne-de-Baïgorry et Errazu, relie la vallée du Baztan (nom du cours supérieur de la Bidassoa) en Navarre à la vallée des Aldudes.
Personnalités liées à la commune
nées au XVIe siècle
- Bertrand d'Etchauz, né à Saint-Étienne-de-Baïgorry et décédé en 1618, fut évêque de Bayonne de 1598 à 1618.
nées au XVIIIe siècle
- Jean Isidore Harispe, né en 1768 à Saint-Étienne-de-Baïgorry et décédé en 1855 à Lacarre, est un maréchal de France.
- Thomas Etcheverry, né en 1774 à Saint-Étienne-de-Baïgorry et décédé en 1832 dans la même commune, est un homme politique, ancien maire de Saint-Étienne-de-Baïgorry et député.
nées au XIXe siècle
- Jean-Baptiste Etcheverry, né en 1805 à Saint-Étienne-de-Baïgorry et décédé en 1874 à Paris, est un homme politique français, fils de Thomas Etcheverry.
- Harry d'Abbadie d'Arrast, né en 1897 en Argentine, décédé en 1968, cinéaste réalisateur, qui fut propriétaire du château d'Echauz
nées au XXe siècle
- Amédée Arcé, né à Saint-Étienne-de-Baïgorry en 1900, est un joueur de pelote basque qui fut quatre fois champion de France, et champion du monde en 1927.
- Michel Olçomendy, né en 1901 à Saint-Étienne-de-Baïgorry et mort à Singapour en 1977, est le premier archevêque de Singapour, en 1972.
- Pascal Mazzotti, né en 1923 à Saint-Étienne-de-Baïgorry et décédé en 2002 à Saint-Ouen-l'Aumône, est un comédien français.
- Erramun Martikorena, né en 1943 à Saint-Étienne-de-Baïgorry, est un chanteur basque.
- Filipe Bidart, né en 1953 à Saint-Étienne-de-Baïgorry, est fondateur et membre d' Iparretarrak.
- Jean Haritschelhar est un universitaire, politicien, chercheur en littérature et académicien basque. Ancien maire de la commune de 1971 à 1980.
Héraldique
Blasonnement :
D'or à trois trangles ondées d'azur, au chef du même chargé d'un croissant versé d'argent et une champagne également d'azur chargée d'une étoile à huit rais d'argent[44].
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Notes et références
Notes
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Références
- Gentilé sur habitants.fr
- - Académie de la langue basque
- Notice du Sandre sur Saint-Étienne-de-Baïgorry
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice de présentation de la commune
- Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
- Chapitre de Bayonne - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Titres publiés par don José Yanguas y Miranda
- Collection Duchesne, volumes 99 à 114, renfermant les papier d'Oihenart, ancienne bibliothèque impériale - Bibliothèque nationale de France
- Titres publiés par don José Yanguas y Miranda - Diccionario de Antiguedades del reino de Navarra ; 1840 ; Pampelune
- Derecho de naturaleza que la merindad de San-Juan-del-pie-del-puerto, una de las seys de Navarra, tiene en Castilla - 1622 petit in-4°
- Philippe Veyrin, Les Basques, Arthaud 1947, réédition 1975 (ISBN 2 7003 0038 6), page 185
- Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le )
- Archives nationales K 1235, n° 21, citées par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III : Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN 8483317443 et 9788483317440, OCLC 466971263), p. 77.
- avec un cheptel composé de 110 chevaux, mulets ou juments, 6090 brebis, 604 vaches et 391 cochons
- avec un cheptel composé de 41 chevaux, mulets ou juments, 3034 brebis, 246 vaches et 663 cochons
- avec un cheptel composé de 30 chevaux, mulets ou juments, 2332 brebis, 181 vaches et 304 cochons
- avec un cheptel composé de 14 chevaux, mulets ou juments, 1084 brebis, 52 vaches et 139 cochons
- avec un cheptel composé de 39 chevaux, mulets ou juments, 1731 brebis, 194 vaches et 322 cochons
- L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
- Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 2011201220132014 .
- Site du collège Jean Pujo
- Site du groupe scolaire Donostei
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur le château de Licerasse
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la maison forte Jauregia
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur le château d'Etxauz
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice complémentaire sur le château d'Etxauz
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la ferme Itze
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la ferme Makozain
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la maison Martinxoloenia
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la forge d'Etchaux
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la ferme Berhoa
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la ferme Iturraldea
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la ferme Jokoberro
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la maison Zuburia
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la chapelle Saint-Laurent-de-Guermiette
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la chapelle Saint-Sauveur-d'Occos
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la chapelle d'Urdos
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la chapelle Notre-Dame
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Étienne
- Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur le mobilier de l'église Saint-Étienne
- Guy Ascarat
Pour approfondir
Articles connexes
- Maison d'Etchauz
- Liste des communes des Pyrénées-Atlantiques
- Route nationale 648
- Route nationale 648a