Saint-Martin-la-Garenne

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Saint-Martin-la-Garenne
Saint-Martin-la-Garenne
La mairie.
Blason de Saint-Martin-la-Garenne
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Mantes-la-Jolie
Intercommunalité Grand Paris Seine et Oise
Maire
Mandat
Stephan Champagne
2020-2026
Code postal 78520
Code commune 78567
Démographie
Gentilé Saint-Martinois
Population
municipale
929 hab. (2021 en diminution de 7,38 % par rapport à 2015)
Densité 59 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 02′ 27″ nord, 1° 41′ 23″ est
Altitude Min. 9 m
Max. 152 m
Superficie 15,75 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Limay
Législatives Huitième circonscription
Localisation
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Liens
Site web saint-martin-la-garenne.fr

Saint-Martin-la-Garenne est une commune française située dans le département des Yvelines en région Île-de-France. Elle appartient au parc naturel régional du Vexin Français.

Ses habitants sont appelés les Saint-Martinois[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Position de Saint-Martin-la-Garenne dans les Yvelines.

Localisation[modifier | modifier le code]

Saint-Martin-la-Garenne, commune du Vexin français, est située dans une boucle de la Seine, sur la rive droite du fleuve, à huit kilomètres au nord-ouest de Mantes-la-Jolie, dans le nord-ouest des Yvelines, à la limite du Val-d'Oise.


Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes en sont Vétheuil (Val-d'Oise) au nord, Follainville-Dennemont au sud-ouest, Guernes au sud, Méricourt et Mousseaux-sur-Seine à l'ouest, Moisson au nord-ouest, ces trois dernières communes étant situées sur l'autre rive de la Seine.

Relief et géologie[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est établi dans une convexité de la Seine et se partage entre une partie élevée, environ 150 mètres d'altitude sur le bord du plateau du Vexin, et une autre partie, vers l'ouest, plus vaste constituée par la plaine alluviale du fleuve, en pente légère vers l'ouest entre 50 et 20 mètres d'altitude. C'est un territoire essentiellement rural (à 95 %), boisé pour environ la moitié de sa superficie. Il comprend la plus grande partie de l'île Saint-Martin située dans le nord de la commune. Dans l'ouest, en bord de Seine se trouvent de grandes étendues d'eau correspondant à d'anciennes sablières.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par la route départementale D 147 reliant Mantes-la-Jolie à Vétheuil.

Elle est traversée dans sa partie nord-est par un sentier de grande randonnée, le GR 2.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 693 mm, avec 10,8 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Magnanville à 8 km à vol d'oiseau[4], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 641,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Martin-la-Garenne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[11],[12].

Occupation des sols simplifiée[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune se compose en 2017 de 90,71 % d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 2,01 % d'espaces ouverts artificialisés et 7,26 % d'espaces construits artificialisés[13].

L'habitat est réparti entre le village, installé au pied du versant est, et le hameau de Sandrancourt qui se trouve plus à l'ouest en bord de Seine, à environ trois kilomètres du village.

Occupation des sols détaillée[modifier | modifier le code]

Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

Occupation des sols en 2018
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Tissu urbain discontinu 2,6 % 42
Extraction de matériaux 3,4 % 54
Terres arables hors périmètres d'irrigation 23,7 % 378
Vergers et petits fruits 3,9 % 63
Prairies et autres surfaces toujours en herbe 2,1 % 33
Systèmes culturaux et parcellaires complexes 5,3 % 85
Forêts de feuillus 40,3 % 643
Forêt et végétation arbustive en mutation 8,0 % 128
Cours et voies d'eau 5,6 % 89
Plans d'eau 5,1 % 82
Source : Corine Land Cover[14]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attestée sous les formes Sanctus Martinus en 1101[15], Saint Martin la Garenne en 1793[16].

L'hagiotoponyme est dédié à saint Martin de Tours ; « garenne » (parc à gibier)[17], désigne une lande (terme dérivé du latin médiéval warenna).

Histoire[modifier | modifier le code]

  • Site habité dès la Préhistoire jusqu'à l'époque mérovingienne.
Une sépulture de la culture campaniforme datée environ de 2 200 ans avant J.-C. a été découverte dans la commune[18].
Des vestiges préhistoriques ont été découverts en 2021 dans une future carrière du groupe Lafarge[19].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1971 1995 Jacqueline Le Bouter[20]    
mars 1995 2010 Marcel Ferry[21]    
2010 2014 Pierre Roux[1]    
2014 En cours Stephan Champagne SE  

Instances administratives et judiciaires[modifier | modifier le code]

La commune de Saint-Martin-la-Garenne appartient au canton de Limay et est rattachée à la communauté urbaine Grand Paris Seine et Oise (GPS&O).

Sur le plan électoral, la commune est rattachée à la huitième circonscription des Yvelines, circonscription mi-rurale, mi-urbaine du nord-ouest des Yvelines centrée autour de la ville de Mantes-la-Jolie.

Sur le plan judiciaire, Saint-Martin-la-Garenne fait partie de la juridiction d’instance de Mantes-la-Jolie et, comme toutes les communes des Yvelines, dépend du tribunal de grande instance ainsi que de tribunal de commerce sis à Versailles[22],[23].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[25].

En 2021, la commune comptait 929 habitants[Note 3], en diminution de 7,38 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
870775879877800768750708692
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
604597569498498490470482475
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
447429417350366349338292328
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
370360488627654740795809908
2014 2019 2021 - - - - - -
986928929------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,6 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 468 hommes pour 484 femmes, soit un taux de 50,84 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,32 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[27]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
0,6 
6,1 
75-89 ans
7,6 
18,6 
60-74 ans
19,7 
24,1 
45-59 ans
21,2 
19,1 
30-44 ans
17,2 
12,9 
15-29 ans
15,5 
18,6 
0-14 ans
18,2 
Pyramide des âges du département des Yvelines en 2020 en pourcentage[28]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,4 
5,8 
75-89 ans
7,8 
13,5 
60-74 ans
14,7 
20,7 
45-59 ans
20,2 
19,7 
30-44 ans
19,9 
18,4 
15-29 ans
16,9 
21,3 
0-14 ans
19,3 

Économie[modifier | modifier le code]

C'est le site de Sandrancourt qui fournissait chaque année jusqu'en 2016 les 2 000 tonnes de sable de l'opération Paris Plages. Le transport était assuré par voie fluviale au moyen de quatre barges. Ce sable, choisi pour sa finesse (diamètre moyen 0,1 mm) était offert à la commune de Paris par Lafarge qui soignait ainsi son image environnementale[30].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Martin.
La chapelle de Sandrancourt.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Martin.
Église en pierre de taille, de style roman, datant du XIIe siècle, elle fut fortement restaurée en 1873. Le clocher, couronné d'une flèche à huit pans couverte d'ardoises, se compose d'une tour carrée à deux étages surmontée d'un étage octogonal à huit ouvertures en plein cintre.
  • Chapelle Sainte-Anne, située à Sandrancourt (XVIIe siècle).

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Situé dans le parc régional du Vexin français, Saint-Martin est bordé au nord, au sud par la forêt du Chesnay. Dominant le village, une butte dénommée "les glaisières", présente un étonnant micro-environnement aux allures méditerranéennes (pins, épineux...), dû à son sol glaiseux. Les coteaux de la Seine, en bordure des bois, sont riches en faune et en flore. On peut y observer, à l'aube ou en fin de journée, des cervidés.

Vers Sandrancourt, la partie du site des sablières dont l'exploitation est terminée est progressivement remise en valeur. Le choix a été fait sur 80 ha de le planter en boisement naturel, en prairie et en landes après avoir restitué la terre végétale enlevée à l'origine.

Sur un espace de 1,5 ha une collection botanique a été constituée ; elle reconstitue 15 milieux différents, dont des zones humides. Ce site est fermé au public.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Clotaire Breton (1910-1995) peintre du Mantois et du Vexin[31].

Coutume et tradition[modifier | modifier le code]

Les habitants de Saint-Martin, pays vignoble, passaient pour de fameux buveurs.

Les jours des mariages, à la sortie de l’église, deux hommes s’avançaient vers la mariée, et, croisant leurs mains, ils la portaient en chaise du roi jusqu’à une petite chapelle bâtie au croisement des deux routes. Arrivée à la chapelle, la mariée, toujours assise sur les bras des deux hommes, jurait « de ne jamais aller chercher son mari au cabaret »[32]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Saint-Martin-la-Garenne Blason
D'or aux dix billettes couchées de gueules.
Détails
Le blason reprend les armes de la famille des Ver, anciens seigneurs de Saint-Martin-la-Garenne, visibles sur une pierre tombale située dans l'église du village[33].
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Le patrimoine des communes des Yvelines - tome 1, Paris, Editions Flohic, , 1155 p. (ISBN 2-84234-070-1), « Saint-Martin-la-Garenne », p. 388–389
  • L.-A. Gatin, Un village - Saint-Martin-la-Garenne (Seine-et-Oise) : Essai historique, Mairie de Saint-Martin-la-Garenne, 1996 (réimpression d'un ouvrage paru vers 1896), 247 p..

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Saint-Martin-la-Garenne », Union des maires des Yvelines (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Saint-Martin-la-Garenne et Magnanville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Magnanville » (commune de Magnanville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Magnanville » (commune de Magnanville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. [PDF]« Occupation des sols en 2017 (comparaison avec 2012) », sur cartoviz.iau-idf.fr (consulté en ).
  14. « Données statistiques sur les communes de Métropole; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
  15. Ernest Nègre,Toponymie générale de la France: Tome 3, page 1561.
  16. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  17. Claude Guizard, Lexique toponymique de l’arrondissement de Mantes-la-Jolie, page 21.
  18. La sépulture d'un archer du Néolithique, epi78-92.fr
  19. « Saint-Martin-la-Garenne : des milliers de vestiges préhistoriques découverts dans la future carrière », sur actu.fr, (consulté en )
  20. Bulletin municipal, 31 déc. 2018
  21. « La liste des maires - "Troisième tour" des municipales », Le Courrier de Mantes,‎ .
  22. « Tribunal d'instance de Mantes la Jolie - Liste des communes et cantons », Cour d'appel de Versailles (consulté le ).
  23. « Tribunal de grande instance de Versailles - », Cour d'appel de Versailles (consulté le ).
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Martin-la-Garenne (78567) », (consulté le ).
  28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
  29. La carrière de Sandrancourt, un site exceptionnel sur le site https://guernes.eu/
  30. « Paris-Plages: la mairie ne veut plus du sable de Lafarge », sur Le Figaro, (consulté en )
  31. « Clotaire Breton, peintre-paysan du Mantois et du Vexin français. », sur blogspot.fr (consulté le ).
  32. Le mariage dans le Mantois au XIXe siècle, d’après « La Tradition », paru en 1887.
  33. « Connaissez-vous notre histoire ? », Mairie de Saint-Martin-la-Garenne (consulté le ).