Saint-Quentin-des-Prés

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Saint-Quentin-des-Prés
Saint-Quentin-des-Prés
Eglise Saint-Germain de Mothois.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité CC de la Picardie verte
Maire
Mandat
Jean-Pierre Lefèvre
2020-2026
Code postal 60380
Code commune 60594
Démographie
Population
municipale
280 hab. (2021 en diminution de 4,11 % par rapport à 2015)
Densité 26 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 31′ 16″ nord, 1° 45′ 18″ est
Altitude Min. 92 m
Max. 206 m
Superficie 10,8 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Gournay-en-Bray
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Grandvilliers
Législatives 2e circonscription de l'Oise
Localisation
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Liens
Site web mairiesaintquentindespres.wordpress.com

Saint-Quentin-des-Prés est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Paysage du village.

La commune, rurale, longue de 6 km, est située dans la vallée de l'Epte à 3 km de Gournay-en-Bray et bénéficie du dynamisme de ce bourg.

Située dans le département de l'Oise, elle est limitrophe de celui de la Seine-Maritime et est aisément accessible depuis l'ex-RN 30 (actuelle RD 930).

Hameux et écarts[modifier | modifier le code]

Saint-Quentin-des-Prés comprend cinq hameaux :

  • Mothois,
  • Hyancourt
  • Beaulévrier bas
  • Beaulévrier haut
  • Équennes

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Saint-Quentin-des-Prés
Bazancourt Sully Escames
Molagnies
Seine-Maritime
Saint-Quentin-des-Prés Hécourt
Cuy-Saint-Fiacre
Seine-Maritime
Gournay-en-Bray
Seine-Maritime
Ferrières-en-Bray
Seine-Maritime

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est drainée par le ruisseau des Rieux, qui se jette dans l'Epte, affluent en rive droite de la Seine, à Gournay-en-Bray.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 789 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Arnoult à 13 km à vol d'oiseau[3], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 797,2 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Quentin-des-Prés est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Gournay-en-Bray dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 21 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (63,9 %), prairies (36,1 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune n'est desservie, en 2023, que par la ligne 6607 du réseau interurbain de l'Oise qui est une navette de regroupement pédagogique intercommunal à destination de Bazancourt et de Gournay-en-Bray[13].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Sanctus Quintinus (1152) ; S. Quintini de prato (1157) ; apud sanctum Quintinum de pratis (1202) ; Sancti Quintini de pratis (1210) ; Sanctus Quintinus in pratis (1225) ; de Sancto Quintino in pratis (1253) ; de Sancto Quintino (XIIIe) ; Sainct Quentin des Prez (1557) ; Saint Quentin au pré (XVIe) ; St Quentin des Prez (1667) ; Quentin des Prés[14] (1794) durant l'époque révolutionnaire ; Saint Quentin des Prés (1840)[15].

Saint-Quentin est un hagiotoponyme qui fait référence à Quentin de Saint-Quentin.

Histoire[modifier | modifier le code]

La paroisse de Beaulévrier était en limite de la Normandie, diocèse, parlement et intendance de Rouen, élection d'Andely ; la seigneurie relevait du comté de Gournay-en-Bray. Sous Louis XIV, on y comptait un feu privilégié et 45 feux taillables[16].

Beaulevrier, aujourd'hui simple hameau de la commune, était alors une seigneurie, érigée au xVIIe siècle en marquisat (juin 1687 ?), dont faisait partie le chef-lieu actuel, Saint-Quentin, avec Bouricourt, Sully, Haincourt, Fromericourt, Hémécourt, Lignery, etc., en faveur de Joseph d'Espinay-Saint-Luc[17], maréchal de camp, lieutenant des Gardes du corps du Roi, gouverneur de Péronne, Roye et Montdidier, qui fut tué à la bataille de Neerwinden le 29 juillet 1693[18]. Son fils François, maître de camp de cavalerie, et son petit-fils Timoléon-Alexandre, lui succédèrent.

La commune est formée par la réunion de Saint-Quentin et de Mothois, décidée en 1826. Hécourt en est séparée en 1833[14].

Seconde Guerre mondiale

L'occupant allemand avait aménagé un camp de radar sur la commune qui s’étendait également sur Bazancourt, Sully, Fontenay Torcy, construit par des centaines, voire peut-être un millier de Français, Belges, Hollandais requis[19].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie.

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la deuxième circonscription de l'Oise.

Elle était intégrée au canton de Songeons depuis 1801[14]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle intègre le canton de Grandvilliers.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune est membre depuis 1997 de la communauté de communes de la Picardie verte, qui succède à plusieurs SIVOM, dont celui de Songeons (28 communes, créé le ).

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[19]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
  1895 Alexandre Denevers    
1895 1912 Anatole Devambez    
1912 1914 Moléon Lesueur   Démissionnaire
1914 1918 Edmond Delimermont   Adjoint faisant fonction de maire
1918 1922 Jules Duru    
1922 1925 Philogène Fontaine    
1925 1934 François Detling    
1934 1938 Émilien Dubos    
1938 1942 François Detling    
1942 1947 Marcel Letouvet    
1947 1955 François Detling    
1955 1972 François Lesueur    
1972 1977 Lucien Carchereux    
1977 1989 Émilien Godefroy    
1989 2001 Hervé Velu    
mars 2001 2008 Jean Lefaucheux   Agriculteur
mars 2008[20] En cours
(au 9 avril 2014)
Jean-Pierre Lefèvre   Inséminateur
Réélu pour le mandat 2020-2026[21],[22],[23]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[25].

En 2021, la commune comptait 280 habitants[Note 3], en diminution de 4,11 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
288283324286800404412396380
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
360368335369323348355337343
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
315324345255271267268288277
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
230231171206244262272274299
2017 2021 - - - - - - -
283280-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,4 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 145 hommes pour 137 femmes, soit un taux de 51,42 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[27]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,0 
10,7 
75-89 ans
6,0 
11,3 
60-74 ans
14,9 
27,8 
45-59 ans
31,5 
17,1 
30-44 ans
13,5 
12,4 
15-29 ans
17,9 
20,8 
0-14 ans
16,3 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[28]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune fait partie d'un regroupement pédagogique intercommunal avec Sully, Villers-Vermont, Bazancourt, Hécourt et Fontenay-Torcy[réf. nécessaire].

Équipements[modifier | modifier le code]

La salle des fêtes.

Le village comprend une salle des fêtes.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Mairie, aménagée dans l'ancien presbytère du XVIIIe siècle.
  • L'école maternelle, aménagée dans l'ancienne mairie.
  • Pigeonnier circulaire du XVIIIe siècle.
  • Lavoir.
  • Église Saint-Germain de Mothois, qui peut être attribuée principalement aux XVIe siècle (chœur) et XVIIe siècle (nef) d’après les charpentes en carène qui recouvrent chacune de ces deux parties, avec de possibles vestiges du XIe siècle au mur est du chœur.
    Restaurée en 2017, elle comprend des fonts baptismaux en pierre, du début du XIIIe siècle, au gros fût central flanqué de quatre colonnettes avec chapiteaux à crochets, ainsi qu'une Vierge à l'Enfant en bois de la fin du XIIe siècle, de nombreuses statues d’art populaire du XVIe au XVIIIe siècles, un petit bénitier de style gothique tardif; ainsi qu'un charmant retable d’autel polychrome au décor baroque, daté 1717[29].
  • Église Saint-Quentin de Saint-Quentin-des-Prés, dont la nef du XVIe siècle constitue un des exemples d’un appareillage en arêtes de poisson, et le clocher date du XIIIe siècle. Le chœur et la chapelle sud et sa voute en pierre datent sans doute du XVe siècle. La charpente du type à carène renversée et portée très haut est remarquable par la finesse de ses deux entraits avec poinçons et par la richesse de leur décor.
    L'église dispose d'un bel autel baroque[30]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Saint-Quentin-des-Prés et Saint-Arnoult », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Saint-Arnoult » (commune de Saint-Arnoult) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Saint-Arnoult » (commune de Saint-Arnoult) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Gournay-en-Bray », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  13. « Transports en commun à Saint-Quentin-des-Prés », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  14. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  15. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l’Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 526.
  16. Expilly, Dict. des Gaules et de la France, (1762), 1-520 b (Beaulévrier).
  17. Éric Thiou, Dict. des Titres... (2003), p 63 (Beaulévrier) et p. 151 (Lignery).
  18. Expilly (opus cité), 4-200 b (Lignery, marquisat) : donne la généalogie d'Espinay.
  19. a et b « Présentation », sur https://mairiesaintquentindespres.wordpress.com (consulté le ).
  20. Hebdomadaire Le bonhomme picard du 23 avril 2008
  21. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Les maires déjà en place », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3284,‎ , p. 10.
  22. « Encourgé par le conseil, le maire se représente », Le Bonhomme picard, édition Breteuil - Crèvecœur, no 3585,‎ , p. 26 « Maire depuis 2008, Jean-Pierre Lefevre briguera un nouveau mandat en mars prochain, entrainé par le conseil en place ».
  23. « Un 3e mandat pourJean-Pierre Lefevre », Le Réveil, no 3661,‎ , p. 49.
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Quentin-des-Prés (60594) », (consulté le ).
  28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  29. Dominique Vermand, « Saint-Quentin-des-Prés / Mottois, église Saint-Germain », Diocèse : Beauvais, Églises de l'Oise - Art roman et gothique, (consulté le ).
  30. Dominique Vermand, « Saint-Quentin-des-Prés, église Saint-Quentin », Diocèse : Beauvais, Églises de l'Oise - Art roman et gothique, (consulté le ).
  31. N. S., « L'hommage aux compagnons », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).