Saint-Palais-de-Négrignac

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Saint-Palais-de-Négrignac
Saint-Palais-de-Négrignac
L'église Saint-Pallais
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente-Maritime
Arrondissement Jonzac
Intercommunalité Communauté de communes de la Haute Saintonge
Maire
Mandat
Dominique Marchesin
2020-2026
Code postal 17210
Code commune 17378
Démographie
Gentilé Négrignacais
Population
municipale
425 hab. (2021 en diminution de 2,07 % par rapport à 2015)
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 16′ 04″ nord, 0° 13′ 24″ ouest
Altitude Min. 53 m
Max. 141 m
Superficie 18,51 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Trois Monts
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Saint-Palais-de-Négrignac

Saint-Palais-de-Négrignac est une commune du sud-ouest de la France située dans le département de la Charente-Maritime (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont appelés les Négrignacais et les Négrignacaises[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Saint-Palais-de-Négrignac
Chevanceaux
Pouillac Saint-Palais-de-Négrignac Neuvicq
Montlieu-la-Garde

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Palais-de-Négrignac est une commune rurale[Note 1],[2]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[3],[4]. La commune est en outre hors attraction des villes[5],[6].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (60,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (44,5 %), forêts (32,6 %), terres arables (11,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7,7 %), prairies (1,9 %), cultures permanentes (1,6 %), zones urbanisées (0,5 %)[7]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Saint-Palais-de-Négrignac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[8]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[9].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Lary et le Mouzon. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999 et 2010[10],[8].

Saint-Palais-de-Négrignac est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire du massif de la Double saintongeaise, un massif classé à risque dans le plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI), élaboré pour la période 2017-2026 et qui fait suite à un plan 2007-2016[11]. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par divers arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’article L.131-1 du code forestier et l’arrêté du règlementent l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions[12]. Un autre arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 2],[11],[13],[14].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Palais-de-Négrignac.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[15]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[16].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (54,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 232 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 232 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 57 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[17],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[16].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1996 et 2003 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[8].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[18].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le Lary, sous-affluent de la Dordogne par l'Isle traverse la commune du nord au sud. Le Palais, un de ses principaux affluents, ne passe pas dans la commune malgré son nom, mais plus à l'est.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la commune a pour origine une référence à Pallais de Saintes, à qui la paroisse a été dédiée. Pour la seconde partie du toponyme, il s'agit d'un anthroponyme gallo-romain, sans doute Negrinius, auquel a été apposé le suffixe -acum.

Histoire[modifier | modifier le code]

La commune actuelle de Saint-Palais-de-Négrignac est un assemblage d'anciens territoires issus de la châtellenie de Montlieu, de la baronnie de Chaux à Chevanceaux, et de la paroisse de Montendret[19].

Portion issue la seigneurie de Chaux[modifier | modifier le code]

Actuellement le ruisseau de la Font de la Fenêtre sur lequel est implanté le moulin des Auberts, délimite Saint-Palais-de-Négrignac avec Chevanceaux. Sous l'Ancien Régime, cette limite se situait plus au Sud, dans le prolongement du ruisseau formé par la Font des Rouillards et la Font de chez l'Ormeau. L'axe de cette limite se prolongeait jusqu'au lieu-dit Chatendeau puis remonte la partie Ouest de Montendret jusqu'au lieu-dit le Maine-Blanc. Ainsi, les lieux-dits Rouillards, Bois-Noir, Rigou, Rigaudeau, Auberts, Lalix, Briolais, Godillon, Bertin, Vallaud, Chatendeau, le Pas de la Foye, le Maine, les Roux, Cartier, Guitton et Place, appartenaient tous à la seigneurie de Chaux, et se situaient en Petit-Angoumois[20].

Montendret[modifier | modifier le code]

Montendret alias Montandret, Montandré se situe sur un plateau dominant. Son hameau fut associé avec celui des Dodins, alias la Ville-des-Dodins, près duquel les Anglais y auraient eu une fonderie de canons.

Au Moyen-Âge, la paroisse de Montendret fut citée dans le Cartulaire de l'abbaye de Baignes. L'église était dédiée à Saint-Michel, et l'un des premiers prêtres, nommé Etienne, l'aurait desservit entre 1109 et 1121. Entre 1075 et 1081, des dons de terres en provenance de la paroisse de Montendret furent enregistrés[21].

En 1669, la paroisse de Montendret était une annexe de la maison curiale de Boresse. En mars 1720, la paroisse devint une annexe de Saint-Palais-de-Négrignac, puis fut intégrée à la commune en 1795[22].

Sur la carte de Cassini, Montendret se situait en Saintonge, et fut dessiné telle une paroisse ruinée (clocher renversé)[20].

Sur le cadastre napoléonien de 1837, en amont du lieu-dit le Grand-Jeu, deux moulins à vents figurent : celui situé sur la commune de Chevanceaux se nommait moulin de Montandret ; celui situé sur la commune de Saint-Palais-de-Négrignac se nommait moulin Brulé. Entre les deux moulins il y avait aussi un télégraphe aérien de la ligne Paris-Bordeaux-Madrid[21].

Saint-Palais-de-Négrignac[modifier | modifier le code]

Sous l'Ancien Régime la terre de Saint-Palais-de-Négrignac se situait en Saintonge[20] et relevait de la châtellenie de Montlieu, sénéchaussée de Libourne puis Généralité de La Rochelle. Sa paroisse relevait de la Basilique Saint-Romain de Blaye, néanmoins un don de terre fut enregistré dans le Cartulaire de l'abbaye de Baignes.

Une ancienne cloche de l'église portait l'inscription suivante : « JE M'APPELLE JULIE ET J'APPARTIENS A L'EGLISE DE ST PALAIS DE NEGRIGNAC EN SAINTONGE JAY ESTÉ BENITE PAR MAITRE LOUIS GIRAUDEAU PRIEUR ET CURÉ DU DICT ST PALAIS DE NEGRIGNAC JAY EU POUR PARRAIN HAULT ET PUISSANT SEIGNEUR LOUIS MARIE COMTE DE SAINTE MAURE SEIGNEUR D'ARCHIAC CHAUX BARRET ET AUTRES PLACES PREMIER ESCUYER COMMANDANT LES GRANDES ESCURIES DU ROY ET MARESCHAL DES CAMPS ET ARMÉES DE SA MAJESTÉ ET MARRAINE MADEMOISELLE JULIE DE GUIOT DE MONTORSI DE JUIGNAC 1752 SIMON MICHEL M F »[19].

En mai 1923, cette cloche tomba du clocher pendant la messe, le jour de la fête nationale de Jeanne D'Arc. Refondue, elle fut à nouveau bénite le 09 mars 1924 avec pour parrain Jean Genet (maire) et marraine Cécile Pinasseau.

Les registres paroissiaux remontent jusqu'en 1653, on y retrouve la présence des familles notables : Benneauvigne, Hillairet, Vigen, Barbotin, Chassaigne, Laugeay, Rocher...

Négrignac[modifier | modifier le code]

Entre le lieu-dit chez Routier et la Font des Hérauds se trouve le lieu-dit Bois de Négrignac. Non loin, en se rapprochant du cimetière actuel, il y aurait eu le village de Négrignac. En 1864, des sarcophages en pierre heurtaient encore la charrue[19].

Seigneurie de Boisferon[modifier | modifier le code]

Les terres du logis de Boisferon et de sa métairie de Creussac sont limitrophes avec Montlieu. La famille Hillairet de Boisferon, branche cousine des Hillairet du Caillaud, tient son nom de ce site.

Administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

La mairie
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1995 1995 Jacques Pinasseau DVD  
1995 2020 Pierre Guérin DVD Retraité
2020 En cours Dominique Marchesin    

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[24].

En 2021, la commune comptait 425 habitants[Note 3], en diminution de 2,07 % par rapport à 2015 (Charente-Maritime : +3,35 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
7408187638731 0191 0161 003948936
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
914847805776728709706679671
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
658661650576598596522501525
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
487446407388351329365370413
2017 2021 - - - - - - -
438425-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Équipements, services et vie locale[modifier | modifier le code]

Saint-Palais-de-Négrignac est dotée d'une salle des fêtes municipale située à côté de l'église, ainsi que d'un gîte rural.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

  • Moulin de Chassit
    Les moulins à aube de Chassit[29] et de Beauregard sur le Lary ; le moulin des Auberts sur la Font Fenêtre ; tous présents sur la carte de Cassini.
  • Le lavoir communale de Chassit.
  • La distillerie Gautriaud du lieu-dit chez Guitton, construite en 1896[30].
  • Maison ancienne du lieu-dit chez Vallaud, avec cheminée du XVIIe siècle[31]. Un nommé Léonard Vallaud y résidait en 1622. Cet hameau était doté d'une chapelle dont les ruines s'élevaient encore en 1810. Un cimetière était contigu à l'édifice[19]. Des fours à chaux datés du 2 mai 1891 y fonctionnèrent jusqu'en 1914.
  • Demeure ancienne du lieu-dit le Crut, datée de 1676, avec cheminée remarquable[32]. Ce domaine appartenait à Daniel Barbotin, procureur fiscal de Montlieu, qui épousa Marie Hillairet en 1653. Leur fille, Jeanne Barbotin, épousa Philippe Moulinier, avocat, juge de Montlieu, héritier de Beauregard, dont la descendance conservera ce domaine jusqu'à la fin du XVIIIe siècle[33].
  • Ancien pont ferroviaire des Vallées à St Palais.
    Près du Lary, l'ancien chemin de fer du train de la Ligne de Châteauneuf-sur-Charente à Saint-Mariens-Saint-Yzan, transformée en voie verte depuis 2004. Ainsi on y rencontre encore des maisons de garde-barrière et des ponts et ferroviaire.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Geneviève Fauconnier (1886-1969), écrivaine, y a vécu dans la propriété familiale du Crû à partir de 1926, y est décédée et enterrée.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 7 mètres minimum de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Les gentilés de Charente-Maritime
  2. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  4. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  8. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Palais-de-Négrignac », sur Géorisques (consulté le ).
  9. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  10. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  11. a et b « Plan départemental de protection des forêts contre l’incendie 2017 – 2026 », sur draaf.nouvelle-aquitaine.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Réglementation des feux en extérieur. », sur charente-maritime.gouv.fr, (consulté le ).
  13. « Les Obligations Légales de Débroussaillement (OLD). », sur charente-maritime.gouv.fr, (consulté le ).
  14. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  15. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  16. a et b « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Palais-de-Négrignac », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  19. a b c et d Pierre-Damien Rainguet, « Études historiques, littéraires et scientifiques sur l'arrondissement de Jonzac (Charente-Inférieure) », sur Gallica-BnF, .
  20. a b et c César-François Cassini de Thury, « Carte générale de la France. 103, [Blaye] », sur Gallica-BnF, .
  21. a et b « Cartulaire de l'Abbaye de Saint-Etienne de Baigne (en Saintonge) / publié par l'abbé Cholet,... », sur BnF-Gallica, .
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Montendret », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. « Église Saint-Pallais », notice no PA17000035, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  28. « Église Saint-Pallais (notice) », notice no IA00042907, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  29. « Moulin », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  30. « Distillerie d'eaux-de-vie de Cognac dite distillerie de Chevanceaux, puis S.V.E. », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  31. « Maison », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  32. « Demeure », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  33. Association Promotion Patrimoine, Châteaux manoirs et logis, la Charente-Maritime, Prahecq, Éditions Patrimoines et Médias, , 532 p. (ISBN 2-910137-04-X), p. 428

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]