Saint-Martin-de-Belleville

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Saint-Martin-de-Belleville
Saint-Martin-de-Belleville
Vue du village de St Marcel et de la chapelle de Notre-Dame-de-la-Vie à gauche.
Blason de Saint-Martin-de-Belleville
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Rhône-Alpes
Département Savoie
Arrondissement Albertville
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Tarentaise
Maire délégué Claude Jay
Code postal 73440
Code commune 73257
Démographie
Population 2 618 hab. (2016)
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 22′ 52″ nord, 6° 30′ 19″ est
Altitude Min. 640 m
Max. 3 564 m
Superficie 161,79 km2
Élections
Départementales Moûtiers
Historique
Fusion 1er janvier 2016
Commune(s) d'intégration Les Belleville
Localisation
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Saint-Martin-de-Belleville est une ancienne commune française située dans le département de la Savoie en région Rhône-Alpes. Village de montagne du massif de la Vanoise, en Tarentaise, il comptait 2 618 habitants en 2016. Le territoire communal accueillait trois stations de sports d'hiver : Saint-Martin-de-Belleville, des Menuires et de Val Thorens, reliées au grand domaine skiable des Trois Vallées.

La commune fusionne le avec Villarlurin pour former la commune nouvelle Les Belleville.

Géographie[modifier | modifier le code]

Plan du territoire des Saint-Martin-de-Belleville.

Situation[modifier | modifier le code]

Saint-Martin occupe la majeure partie de la Vallée des Belleville, située au sud de Moûtiers. Elle comprend de nombreux vallons sauvages et des espaces naturels protégés qui abritent une faune et une flore diversifiées.

La vallée comprend 22 hameaux et villages (comme Le Bettaix, Saint Marcel ou encore Le Chatelard). Sa superficie s'étend sur 162,91 km2 et constitue la 30e commune de France métropolitaine de par son étendue.

Transports et voies de communications[modifier | modifier le code]

L'accès à Saint-Martin-de-Belleville s'effectue depuis la bifurcation principale de Moûtiers. Une navette par autocar permet de rejoindre la commune depuis Moûtiers.

Toponymie[modifier | modifier le code]

L'ancien nom de la commune était Saint-Martin-des-Déserts[1],[2]. On trouve ainsi les formes Ecclesia Sancti Martini et Johannis de Desertis (1170), Villa Sancti Martini de Desertis (1171)[1],[3]. L'association avec le mot Belleville apparait pour la première fois dans les actes en 1258, Apud Bellam villam[1]. Quelques années plus tard, on trouve curatus ecclesie Belleville (1283)[1]. Au XVe siècle, on trouve ecclesia de St Martino de Bellavilla[1].

La commune porte le nom de son saint patron, Martin, évêque de Tours au IVe siècle[1]. Il est associé au nom Belleville, où Ville, latin villa, désigne au cours de la période médiévale, le « principal village d'une paroisse »[4] ou un « terroir cultivé et habité »[5].

En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Sin Martein (graphie de Conflans) ou Sent-Martin-de-Bélavela (ORB)[6].

Histoire[modifier | modifier le code]

La vallée des Belleville fut longtemps repliée sur elle-même, les populations vivaient d'élevage et de l'exploitation des alpages et des forêts. Elle fut de toujours, un point de départ de l'exode rural.

L'électricité est arrivée dans les années 1950, et dès les années 1960, la construction ex nihilo des stations de ski des Ménuires et de Val Thorens démarre.

Le Conseil général de la Savoie, qui veut mettre en place une station de sports d'hiver, en Tarentaise, choisit dans un premier temps la vallée des Belleville, mais se trouve confronté aux gens de la vallée[7]. Le choix se portera sur Courchevel. À la suite du succès de la nouvelle station voisine, le maire Nicolas Jay reprend l'idée du développement d'une station de ski, reprise par son successeur, le député Joseph Fontanet[7]. On fait appel à un promoteur unique la Société d'équipement de la vallée des Belleville (SODEVAB)[Note 1]. Toutefois, l'expérience de ce promoteur unique est un échec[10].

L'aménagement du chef-lieu Saint-Martin-de-Belleville lui-même n'a démarré qu'en 1983 avec la volonté de préserver son authenticité avec la non-prolifération des remontées mécaniques et le respect du bâti montagnard traditionnel : construction en groupes serrés, toitures en lauze ou en gris foncé, murs en enduit de couleur rose typique (la grilla).

La commune de Saint-Laurent-de-la-Côte est attaché à Saint-Martin-de-Belleville, en 1971[2].

La commune fusionne le avec Villarlurin pour former la commune nouvelle Les Belleville[2].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1802 juin 1809 Paul Galliod ... démissionnaire en juin 1809[11]
août 1809 1814 Jean-Claude Bal ... ...
1814 1860 vacance ... Le duché de Savoie est rendu aux princes de Savoie
1860 1865 Hyppolyte Yvoz ... ...
1865 1870 Julien Sollier ... ...
1870 1870 Maurice Bal ... ...
1870 1871 Hyppolyte Yvoz ... ...
1871 1875 Julien Sollier ... ...
1875 1877 Paul Giraud ... ...
1877 1881 César Ador ... ...
1881 1884 Joseph Rey ... ...
1884 1888 Antoine Charles ... ...
1888 1912 Joseph Agathange Rey ... ...
... ...   ... ...
... ... Louis Napoléon Jay ... ...
... ...   ... ...
... ... Jean-Louis Laissus ... ...
... ...   ... ...
... 1965 Nicolas Jay ... ...
1965 1976 Joseph Fontanet MRP puis CDP Député (1956-1959, 1962-1969 et 1973), conseiller général du canton de Moûtiers (1949-1976), président du Conseil général (1964-1976), ancien ministre (1959-1962 et 1969-1973).
1977 mars 2001 Georges Cumin ... (1923-2010), ingénieur des ponts et chaussées, directeur du Service d'Études d'Aménagement Touristique en Montagne, il participe à la construction des stations du Collet d'Allevard, de Chamrousse, des Sept Laux, de la Plagne, des Menuires, où il réside à partir de 1966, de Val Thorens, de Valmeinier, mais aussi de Oukaïmeden[12].
mars 2001 décembre 2015 André Plaisance DVD Ingénieur et cadre technique d'entreprise.

Dernier maire de l'ancienne commune de Saint-Martin-de-Belleville et premier maire de la commune nouvelle Les Belleville

Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Les habitants de la commune sont appelés les Bellevillois[3],[2].

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[13]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[14],[Note 2].

En 2016, la commune comptait 2 618 habitants, en diminution de −1,32 % par rapport à 2009 (Savoie : 3,73 %, France hors Mayotte : 2,49 %).

           Évolution de la population  [modifier]
1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
2 2402 3202 3982 5002 4832 2851 7811 7361 610
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
1 5411 4491 4491 5091 4141 4231 4151 4201 383
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
1 2701 2671 2771 2831 1901 0611 0551 1651 664
1982 1990 1999 2004 2009 2013 2016 - -
1 8422 3412 5323 0802 4612 6392 618--
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[16].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Chaque année le , Saint-Martin-de-Belleville organise sa fête du village, le matin il y a un pèlerinage très important au sanctuaire de Notre-Dame-de-la-Vie, puis l'après-midi on peut assister à de nombreuses activités sur la place du village de Saint-Martin. Au cours de ces activités on retrace l'histoire de la vallée à travers de nombreuses animations. Chaque année, cette fête réunit plusieurs milliers de personnes. Au mois de juin, le village de Saint-Martin organise aussi une grande fête de la musique sur la place du village où la chorale locale interprète plusieurs chants. Le soir la fête se termine par une grande soirée sur la place du village.

Sports[modifier | modifier le code]

L'ascension finale vers Saint-Martin de Belleville, classée en 1re catégorie, fut au programme de la 6e étape du critérium du Dauphiné 2020. Davide Formolo remporta la victoire, en échappée solitaire.

Économie[modifier | modifier le code]

Saint Martin de Belleville
Une vue aérienne de la station serait la bienvenue.
Image illustrative de l’article Saint-Martin-de-Belleville
Administration
Localité Saint-Martin-de-Belleville
Site web st-martin-belleville.com
Géographie
Coordonnées 45° 22′ 49″ nord, 6° 30′ 16″ est
Massif
Altitude 1450 m
Altitude maximum 2 850
Altitude minimum 1 450
Ski alpin
Lié à Les Menuires
Domaine skiable Les Trois Vallées
Remontées
Nombre de remontées 38
Téléphériques 1
Funitels et funiculaires 0
Télécabines 6
Télésièges 16
Téléskis 7
Débit 56 173 (personnes/heure)
Pistes
Nombre de pistes 71
Noires 7
Rouges 29
Bleues 30
Vertes 5
Total des pistes 160 km
Installations
Nouvelles glisses
2
Ski de fond
Nombre de pistes 4
Noires 0
Rouges 1
Bleues 2
Vertes 1
Total des pistes 28 km

La commune de Saint Martin de belleville est la troisième commune au niveau du classement national du revenu des taxes d'habitation, elle se situe juste derrière Paris et Cannes. De plus, grâce à ses 3 stations de ski, cette commune est l'une des plus riches de France. En 40 ans, cette paisible vallée alpine est devenue la première destination touristique au monde pour les sports d'hiver avec 800 000 visiteurs accueillis pendant la saison d'hiver, soit 3 747 800 nuitées. Elle est également le leader mondial pour le chiffre d'affaires dégagé par ses deux sociétés de remontées mécaniques, la SEVABEL et la SETAM qui s'élèvent à 79,7 millions d'euros en 2005[17]. Contrairement à d'autres collectivités locales, elle est l'une des rares à ne pas être endettée....

Tourisme[modifier | modifier le code]

La commune est constituée de trois stations de ski dont deux des principales françaises les Ménuires et Val Thorens. Les remontées mécaniques qui en partent permettent aussi la liaison directe avec la station de Méribel. Le cœur historique de la commune est un village savoyard qui a gardé son caractère traditionnel, avec ses ruelles étroites et ses maisons faites de pierres, de bois et de lauzes. Il contraste ainsi avec les constructions des grandes stations de la commune.

C'est aussi, en été, le point de départ de nombreuses randonnées pédestres et de VTT : le « Perron des Encombres » (magnifique vue sur le mont Blanc) et le « balcon des Belleville » avec ses nombreux chalets d'alpage.

En 2014, la capacité d'accueil de la commune et de ses stations, estimée par l'organisme Savoie Mont Blanc, est de 64 932 lits touristiques répartis dans 8 594 structures[Note 3]. Les hébergements se répartissent comme suit : 1 095 meublés ; 56 résidences de tourisme ; 29 hôtels ; une structure d'hôtellerie de plein air (56 emplacements) ; 4 centres ou villages de vacances/auberges de jeunesse et 2 refuges ou gîtes d'étape[18].

En 2016, la table de La Bouitte se trouve dans le palmarès du guide Michelin, avec trois étoiles[19].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Sanctuaire Notre-Dame-de-la-Vie.

Disséminés sur les 22 hameaux et villages de la vallée, on y trouve de nombreux éléments d'architectures patrimoniales : chapelles, églises, fours à pain, bassins et moulins. La commune est une étape sur les « Chemins du baroque ».

Espaces verts et fleurissement[modifier | modifier le code]

En 2015, la commune de Saint-Martin-de-Belleville bénéficie du label « ville fleurie » avec « trois fleurs » attribuées par le Conseil national des villes et villages fleuris de France au concours des villes et villages fleuris[23].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Marius Hudry, Histoire des communes savoyardes : Albertville et son arrondissement (vol. 4), Roanne, Éditions Horvath, , 444 p. (ISBN 978-2-7171-0263-5), p. 379-385. ([PDF] lire en ligne)
  • Adel Selmi, Administrer la nature : le Parc national de la Vanoise, Paris, Éditions MSH, , 487 p. (ISBN 978-2-7592-0003-0), p. 169 et suivantes
  • Liliane Bensahel-Perrin, Hugues François et Emmanuelle Marcelpoil, Les stations de sports d'hiver face au développement durable. État des lieux et perspectives, Éditions L'Harmattan, , 178 p. (ISBN 978-2-296-25693-4, lire en ligne), p. 51-52
  • Emmanuelle George-Marcelpoil, Hugues François, « De la construction à la gestion des stations. L’émergence de logiques de groupes dans la vallée de la Tarentaise », Revue de géographie alpine, vol. 100, no 3,‎ (lire en ligne)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. La Société d'équipement de la vallée des Belleville (SODEVAB) apparaît en 1961[8]. Une société d'économie mixte est mise en place, associant le Conseil général de la Savoie, les collectivités locales (59 % du capital), la Caisse des dépôts et consignations (33 %), représentant l'État, et une de ses filiales, la Société centrale pour l'équipement du territoire (2 %)[9].
  2. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  3. La structure Savoie Mont Blanc, pour ces données statistiques de capacité d'accueil en termes de lits touristiques d'une station ou d'une commune, additionne les établissements marchands, qui appartiennent au secteur de l'hôtellerie, et les hébergements non marchands, qui n'impliquent donc pas de transaction commerciale comme les résidences secondaires[18].

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e et f Adolphe Gros, Dictionnaire étymologique des noms de lieu de la Savoie, La Fontaine de Siloé, (réimpr. 2004, 2021) (1re éd. 1935), 519 p. (ISBN 978-2-84206-268-2, lire en ligne), p. 427.
  2. a b c et d « Saint-Martin-de-Belleville », sur le site de mutualisation des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - sabaudia.org (consulté en ), Ressources - Les communes.
  3. a et b Histoire des communes savoyardes, 1982, p. 379, Introduction
  4. Adolphe Gros, Dictionnaire étymologique des noms de lieu de la Savoie, La Fontaine de Siloé, (réimpr. 2004, 2021) (1re éd. 1935), 519 p. (ISBN 978-2-84206-268-2, lire en ligne), p. 56.
  5. Henry Suter, « Belleville », Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs, sur le site d'Henry Suter, « Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs » - henrysuter.ch, 2000-2009 (mis à jour le 18 décembre 2009) (consulté en ).
  6. Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 18
    Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
  7. a et b George-Marcelpoil, François 2012, p. paragraphe 10.
  8. George-Marcelpoil, François 2012, p. paragraphe 11.
  9. Selmi 2006, p. 169, note de bas de page n°19.
  10. Selmi 2006, p. 169,.
  11. Archives Départementales de la Savoie - État-civil
  12. « Des immeubles en pleine montagne », Le Dauphiné libéré Savoie, dimanche 15 avril 2004.
  13. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
  14. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
  15. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  16. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 2011201220132014 .
  17. 123savoie.com
  18. a et b « La capacité d'accueil touristique en Savoie-Mont-Blanc », Observatoire, sur le site Savoie-Mont-Blanc - pro.savoie-mont-blanc.com, (consulté en ) : « Les données détaillées par commune, et par station : nombre de structures, nombre de lits par type d'hébergements (fichier : Détail des capacités 2014, .xlsx) ».
  19. Franck Grassaud, « Guide Michelin 2016: de nouvelles étoiles pour les restaurants de l'Isère et des Pays de Savoie », france3-regions.francetvinfo.fr,‎ (lire en ligne).
  20. Marius Hudry, Sur les chemins du Baroque en Tarentaise, Volume 2, Chambéry/Montmélian, La Fontaine de Siloé - FACIM, , 335 p. (ISBN 978-2-84206-422-8, lire en ligne), p. 79-88.
  21. Marius Hudry, Sur les chemins du Baroque en Tarentaise, Volume 2, Chambéry/Montmélian, La Fontaine de Siloé - FACIM, , 335 p. (ISBN 978-2-84206-422-8, lire en ligne), p. 89-100.
  22. Roger Devos et Charles Joisten, Mœurs et coutumes de la Savoie du Nord au XIXe siècle : L'enquête de Mgr Rendu, Pringy, Académie salésienne - Centre alpin et rhodanien d'ethnologie, , 502 p. (ISBN 978-2-901102-01-4, lire en ligne), p. 25.
  23. « Les villes et villages fleuris - Site officiel des Villes et Villages Fleuris, label de qualité de vie », sur www.cnvvf.fr (consulté le )