Saint-Martin-d'Écublei

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Saint-Martin-d'Écublei
Saint-Martin-d'Écublei
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Orne
Arrondissement Mortagne-au-Perche
Intercommunalité Communauté de communes des Pays de L'Aigle
Maire
Mandat
Franck Gaultier
2020-2026
Code postal 61300
Code commune 61423
Démographie
Gentilé Écubleins ou Écubléens
Population
municipale
636 hab. (2021 en diminution de 0,78 % par rapport à 2015)
Densité 53 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 47′ 26″ nord, 0° 40′ 40″ est
Altitude Min. 182 m
Max. 248 m
Superficie 11,94 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction L'Aigle
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de l'Aigle
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Saint-Martin-d'Écublei
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Saint-Martin-d'Écublei est une commune française, située dans le département de l'Orne en région Normandie, peuplée de 636 habitants[Note 1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune de Saint-Martin-d'Écublei est située en France, au sud du pays d'Ouche, dans le département de l'Orne et est limitrophe de l'Eure. Son bourg est à 4,5 km au sud-ouest de Rugles et à 5 km au nord-est de L'Aigle[1].

Elle s'étend sur 1 195 hectares, mesure sept kilomètres de longueur sur une largeur de 3 kilomètres aux points les plus éloignés.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

L'altitude de la commune varie entre un minimum de 182 mètres et un maximum de 248 mètres, soit une altitude moyenne de 215 mètres.

Craie turonienne[2].

Sismicité[modifier | modifier le code]

Commune située dans une zone de sismicité très faible[3].

Hydrographie et les eaux souterraines[modifier | modifier le code]

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Escublaio au XIe e, Escubleyo en 1350, Scublatum (lire Scublacum).

Il s'agit d'une formation gauloise ou gallo-romaine en -(i)acum[7],[8], suffixe d'origine celtique servant à la localisation, puis à définir la propriété. Le premier élément Écubl- représente l’anthroponyme gaulois ou gallo-romain Scopilius[8] ou Scopilus[7],[9].

Homonymie avec Écublé (Eure-et-Loir, Escublé 1250) et Escoublac (Loire-Atlantique, de Scublaco 1050)[7]

L'élément Saint-Martin- atteste un culte lié à la pénétration du christianisme dans les milieux ruraux et parallèle à la mise en place de l'organisation territoriale à l'époque mérovingienne (Ve au VIIe siècle), saint Martin, évêque de Tours de la deuxième moitié du IVe siècle, dont une statue de pierre datant du XVIIe occupait la niche au-dessus du porche de l'église, a donné son nom à de nombreuses paroisses en Normandie.

Remarques : Au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), la commune a porté le nom d'Écubley-sur-Rille, voire Écubley sur Ille[10]. Le bulletin des lois la cite sous le nom de Saint-Martin-d'Embley en 1801[11], ce qui est une erreur manifeste. Plus récemment et de manière globale, le conseil général de l'Orne a fait modifier la graphie de tous les toponymes termninés par -y en les faisant remplacer par un -i, de la même manière, il a simplifié les graphies des toponymes du type Mesnil en Ménil, etc.

Le gentilé est Écublein ou les Écubléen.

Histoire[modifier | modifier le code]

Des haches ont été mises au jour sur le territoire, datées — avec beaucoup de réserves — de l'Âge du bronze[12].

L’abbé Duval, écarté de ses fonctions en , du fait qu’il n’avait pas voulu reconnaître l’évêque constitutionnel du département[13], a été inhumé en 1826 au cimetière de la paroisse.

Émile Picot, fut maire de cette commune de 1908 à 1918, et président de la Société libre de l'Eure et de la Société de l'histoire de Normandie. Il a écrit de nombreux ouvrages[14],[15].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1813 1823 Narcisse-Samson des Fontaines    
1825 1830 Auguste Alexandre Narcisse Defontaine    
18… 18… F. Quatravaux[16]    
1886 mars 1902 Bernard Fleury    
06-1902 19… Alphonse Marais    
1909 1918 Émile Picot[17],[18],[19]   Avocat à la Cour d’appel de Paris, membre de l’Institut de France, et Chevalier de la Légion d’honneur en 1906
1989[20] mars 2008 Claude Delahaye SE Documentaliste
mars 2008 mai 2020 Jean-Pierre Lambla[21] SE Chargé d'affaires
mai 2020[22] En cours Franck Gaultier SE Commercial
Les données manquantes sont à compléter.

Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et trois adjoints[22].

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Saint-Martin-d'Écublei est membre de la communauté de communes des Pays de L'Aigle.

Les élus du Pays d'Argentan Pays d'Auge Ornais (PAPAO) et du Pays d'Ouche ont par ailleurs émis le souhait de travailler à la mise en place d’un schéma de cohérence territoriale (SCOT) et d’un syndicat mixte de SCOT communs sur leurs deux territoires. Le périmètre du SCOT envisagé comprendrait dix communautés de communes, pour 161 communes et 77 333 habitants[23].

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[25].

En 2021, la commune comptait 636 habitants[Note 2], en diminution de 0,78 % par rapport à 2015 (Orne : −3,37 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1836 1841 1846 1851 1856
422444476418429419490459381
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
372405370357356350385383387
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
362378341399353408348364349
1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
328322405505499551550610641
2020 2021 - - - - - - -
637636-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[10] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

  • Agriculteurs et éleveurs[27].

Tourisme[modifier | modifier le code]

Commerces, services et industrie[modifier | modifier le code]

  • Artisans locaux.
  • La commune de Saint-Martin-d'Écublei dénombrait, en 1841, trente-neuf tréfileurs et tréfileuses résidant principalement aux Gondrillers mais aussi au Mesnil, à Landrière, au Lentil et à Boni.
    • En 1886, la commune comptait, en tout, 53 ouvriers et 87 personnes vivant de l'industrie.

Budget et fiscalité[modifier | modifier le code]

Les comptes 2008 à 2018 de la commune s’établissent comme suit [29],[30]:

Évolution financière.
Postes 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017 2018
Produits de fonctionnement 259  258  283  295  361  343  258  188  166  172  173 
Charges de fonctionnement 223  250  254  250  312  286  223  143  123  151  136 
Ressources d’investissement 37  18  16  52  100  48  32  114  22  48 
Emplois d’investissement 88  30  53  89  36  52  54  96  45  56  56 
Dette 179  159  145  172  153  133  113  91  74  38  86 [31]
Source : Ministère de l’Économie et des Finances[32]:
Éléments de fiscalité locale en 2018.
Postes en milliers d’€ en € par habitant Moyenne de la strate
Taxe d’habitation (y compris THLV) : taux voté :9,93 % 636  962  1 131 
Taxe foncière sur les propriétés bâties : taux voté : 17,30 % 381  576  957 
Taxe foncière sur les propriétés non bâties : taux voté : 26,95 % 53  81  63 
Taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : taux voté : 0,00 %
Cotisation foncière des entreprises : taux voté : 0,00 %
Source : Ministère de l’Économie et des Finances[33]:

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[34]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[35]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays d'Ouche et au Perche et bénéficiant d’un caractère continental affirmé avec des précipitations atténuées et des amplitudes thermiques fortes[36].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 739 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[34]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de L'Aigle à 5 km à vol d'oiseau[37], est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 729,7 mm[38],[39]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[40].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Martin-d'Écublei est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[41],[42],[43].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de L'Aigle, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 32 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[44],[45].

La commune est dotée d'un plan local d'urbanisme[46].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (76,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,6 %), prairies (25,9 %), forêts (23,9 %), zones agricoles hétérogènes (3,6 %)[47]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Le menhir d'Écublai[48], encore appelé le gravois de Gargantua, décrit par F. Galleron en 1828, se trouve au lieu-dit la Ferme d'Écublei (aujourd'hui situé sur la commune voisine de Saint-Sulpice-sur-Risle). atteste l'occupation humaine à la période néolithique (400 à 1500 avant Jésus-Christ).
  • La fontaine Saint-Santin[49], source ferrugineuse connue dès l'époque gallo-romaine (50 avant Jésus-Christ à 481 après Jésus-Christ) pour ses vertus curatives.
  • La voie romaine no 3 de Condé-sur-Iton à Bayeux, encore appelée chemin Perré, longeait la rive gauche de la Risle et drainait les activités de la région.
  • Une motte féodale existait au Haut Moyen Âge[50], puis un château connu au XIe siècle, au lieu-dit la Ferme d'Écublei près duquel, d'après G. Vaugeois, l'historien aiglon, on apercevait encore à la fin du XIXe siècle « les traces des anciens fossés du château d'où le propriétaire actuel a fait tirer depuis peu des pierres des anciennes fondations ».
  • L'église[51]. Construite en deux temps, l'église dédiée à saint Martin, se dresse sur le versant nord de la vallée de la Risle. La nef, partie la plus ancienne de l'édifice, date du XVIIIe siècle, tandis que le chœur et la sacristie ont été ajoutés au XIXe siècle. Cependant la présence de fenêtres à meneaux fait plutôt penser à des parties du XVe siècle. Deux plaques encastrées dans la maçonnerie permettent de dater l'édifice : la première dans la nef au-dessus du transept, indique Anno Domini 1772, la seconde, à l'extérieur de la sacristie, côté est, porte l'inscription suivante 1860, bâtie par les soins de M. X(avier) de Fontaines Président du Conseil de la Fabrique, Étaient Curé : M. V. Lucas (Ch(anoine)H(onoraire) de Séez, Maire M. F. Quatravaux, trésorier M. F. Monnier[52]. La paroisse de Saint Martin d’Ecublei a été rouverte au culte en conformité avec la circulaire du sous-préfet du quatrième arrondissement communal du département de l’Orne en date du . Cette mesure a été prise dans le cadre du régime concordataire français, dans l’année suivant la signature du « Concordat » , le , entre Bonaparte 1er Consul, et le pape Pie VII. Ce traité établissait notamment les attributions de chacun quant à la pratique religieuse du fait que, par décision de la Révolution française, les domaines et les possessions de l’Église (bâtiments, objets, terres agricoles, bois et forêts) avaient été déclarées bien national ou Domaine national par le décret des biens du clergé mis à la disposition de la Nation du .
  • Le château du Mesnil, construit de 1766 à 1868 (les deux tours qui bordent l'entrée principale sud portent les dates 1766 et 1767). Le nom de Mesnil, issu de mansus (petite exploitation ou habitat) indique l'origine de cette demeure seigneuriale. Le château (propriété d'Émile Picot entre 1905 et 1918) et le parc ont été acquis en 1947 par la ville de Pantin qui les utilise encore aujourd'hui comme centre de loisirs[53], [54]. Le château a par ailleurs accueilli une plate-forme télégraphique du réseau "Claude Chappe" relais réalisé lors de la création de cette liaison entre Paris et Brest[55]. Ce poste télégraphique sera remplacé par la tour du Buat, aujourd'hui sur la commune de Saint-Michel-Tubœuf.
  • Le château du Bois-Bertre et sa chapelle[56] ont été construits en 1824 sur l'emplacement d'une motte féodale par le baron de Saillard qui fit dessiner son parc par le comte de Choulot célèbre paysagiste du XIXe qui dessina les jardins du Vesinet. Le toponyme Bois-Tertre permet de dater vers le XIIe siècle un site fortifié. Le château accueille aujourd'hui ses visiteurs en chambres d'hôtes.
  • Le château des Gondrilliers[57].
  • La Tréfilerie établie en 1807 par Louis Fleuri à l'emplacement d'un moulin à blé. La commune possède en effet un riche patrimoine industriel : la tréfilerie des Gondrillers[58] qui employait en 1856 une cinquantaine d'ouvriers [59].
  • Le manoir du Lentil datant du XVIe siècle.
  • Le moulin de la Chaise. Au départ, moulin à blé puis transformée vers 1867 en tréfilerie et usine métallurgique[60], [61].
  • Le lavoir communal [62], avec son mécanisme permettant aux lavandières de travailler au fil de l'eau.
  • Le four à pain à la Rolerie.

Activité et manifestations[modifier | modifier le code]

  • Fête du ciel à Saint-Martin-d'Écublei[63] : à l'occasion de ce festival de Pyrotechnie, Faï a présenté son spectacle de feu[64].
  • Fête du village du , avec sa brocante, à l'occasion de laquelle des maquettes de matériel agricole ont été présentées dans la salle des fêtes.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Il a par exemple traduit et annoté l'œuvre d'un chroniqueur moldave sous le titre «Chronique de Moldavie : depuis le milieu du XIVe siècle jusqu'à l'an 1594 de Grigore Ureche», publiée par l'Institut national des langues et civilisations orientales (éditeur Leroux, Paris, 1878).
Il a également collaboré avec Kristoffer Nyrop, au «Nouveau recueil de farces françaises des XVe et XVIe siècles» (Paris 1880, Genève 1968). En 1907, il publie «Les Français italianisants au XVIe siècle» (Paris, Honoré Champion).
Il s'est rendu acquéreur du château du Mesnil en 1905 et fut maire de la commune où il décéda à l'âge de 74 ans.
  • L’abbé Duval, qui a été écarté de ses fonctions en novembre 1791, du fait qu’il n’avait pas voulu reconnaître l’évêque constitutionnel du département, est décédé en 1826 et a été inhumé au cimetière de la paroisse.
  • Famille Girard de la Chaise[67].
  • Famille Bérault[68].

Annexes[modifier | modifier le code]

Article connexe[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Bulletin Société historique et archéologique de l’Orne (Alençon. 1913 - Notice sur le boisbertre (commune de Saint-Martin-d'Ecublei), par Émile Picot
  • Patrick Marie, La Télégraphie Chappe et le Château du Mesnil, Verneuil-sur-Avre, Editions Les Amis de Verneuil, , 45 p.
    Bulletin d’information historique
  • Brochure de 19 pages conçue par la municipalité pour les nouveaux arrivants, et relatant l'histoire de la commune, par JP Lambla, maire. Historique de la commune :
    • p. 9 : Période néolithique (-4000 à -1500 avant Jésus-Christ),
    • p. 10 : Période gallo-romaine -50 avant Jésus-Christ à 481 après Jésus-Christ) : la Fontaine Saint-Santin, la voie romaine),
    • p. 10 : Au Moyen Âge,
    • p. 10 et 11 : Origine de Saint-Martin-d'Ecublei : La famille d'Ecublei, Saint-martin,
    • p. 11 à 15 : Quelques lieux, particularités et personnages historiques de Saint-Martin-d'Ecublei : *p. 11 : La pluie de météorite du sur Chevaline, La Vavassorerie et Saint-Antonin de Sommaire, ***p. 11 : Emile Picot (1844-1918), *p. 11 et 12 : L'église, *p. 12 et 13 : Le château du Mesnil, *p. 13 et 14 : Le château du Bois-Bertre, *p. 14 et 15 : La tréfilerie des Gondrillers, *p. 15 : Le Moulin de la Chaise, *p. 15 et 16 : Le lavoir communal.
  • Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
  • Inventaire national du patrimoine naturel de la commune

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2021.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr
  2. Turonien inférieur. Craie blanche, p. 13-30.
  3. Didacticiel de la règlementation parasismique
  4. Communauté de Communesdu Canton de Rugles : PLU
  5. Archéologie ferroviaire (v2). Atlas des lignes de chemins de fer disparues
  6. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  7. a b et c Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 260a.
  8. a et b Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 1 : Formations préceltique, celtiques, romanes, Genève, (lire en ligne), p. 502.
  9. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éd. Charles Corlet, (ISBN 2-905461-80-2), p. 232.
  10. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  11. Jean-Baptiste Duvergier, Collection complète des lois, décrets, ordonnances, réglemens et avis du Conseil d'état, t. 13, Paris, (lire en ligne), p. 117.
  12. Occupation du sol : Gisements préhistoriques
  13. Constitution civile du clergé
  14. Les pères du théâtre médiéval : Emile Picot
  15. Emile Picot (1844- 1918)
  16. Louis Quatravaux
  17. Émile Picot et la Roumanie : Le diplomate et le professeur, Emile Picot et les Balkans
  18. Émile Picot (1844- 1918)
  19. La commune rend hommage à Émile Picot, ancien maire
  20. « Claude Delahaye reçoit la médaille échelon vermeil », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  21. Réélection 2014 : « Jean-Pierre Lambla reste maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  22. a et b « Municipales. Franck Gaultier est le nouveau maire de Saint-Martin-d’Écublei », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  23. Prise de la compétence SCOT.
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Agriculteurs et éleveurs
  28. (fr + en) Écogîte Le Bois Martin
  29. Les Comptes des Communes, Analyse des équilibres financiers fondamentaux Les comptes des communes, Chiffres Clés - Fonctionnement - Investissement - Fiscalité - Autofinancement – Endettement : La Commune de Saint-Martin-d’Écublei
  30. Le budget de la Commune de Saint-Martin-d'Écublei
  31. Encourt total de la dette au 31 décembre 2018 : 86 000 €; Dette par habitant : 130 €; Moyenne de la strate : 615
  32. Les comptes individuels des communes et des groupements à fiscalité propre (années 2000 à 2018)
  33. Les comptes individuels des communes et des groupements à fiscalité propre (année 2018)
  34. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  35. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  36. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  37. « Orthodromie entre Saint-Martin-d'Écublei et L'Aigle », sur fr.distance.to (consulté le ).
  38. « Station Météo-France « L Aigle » (commune de L'Aigle) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  39. « Station Météo-France « L Aigle » (commune de L'Aigle) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  40. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  41. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  42. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  43. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  44. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de L'Aigle », sur insee.fr (consulté le ).
  45. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  46. Procédure de révision du plan local d'urbanisme.
  47. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  48. Le Menhir d’Ecubleï
  49. La fontaine Saint-Santin
  50. La motte féodale
  51. Photos église Saint-Martin : Cartes postales
  52. Saint Martin d'Ecublei, paroisse de Saint Martin-en Ouche
  53. Notice no IA61002706, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  54. Le Centre de Vacances de Saint-Martin d’Ecublei
  55. Patrick Marie, La Télégraphie Chappe et le Château du Mesnil, Verneuil-sur-Avre, Editions Les Amis de Verneuil, , 45 p.
    Bulletin d’information historique
    .
  56. Le château du Bois-Bertre et sa chapelle
  57. Le château des Gondrilliers
  58. La tréfilerie des Gondrillers
  59. « Tréfilerie », notice no IA00061055, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  60. « Tréfilerie », notice no IA00061059, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  61. Le moulin de la chaise
  62. Le lavoir communal
  63. Fête du ciel à Saint-Martin-d'Écublei
  64. « Faï » Spectacle de feu
  65. « Éloge funèbre de M. Émile Picot, membre de l'Académie, par le président de séance. », sur persee.fr, (consulté le ).
  66. Brochure conçue par la municipalité pour les nouveaux arrivants dans la commune, p. 2 et 9-15
  67. Un acte de vente du 19 novembre 1563 porte le nom de noble homme Jehan de Girard, sieur de la Chaise, homme d'armes de la compagnye de Monsieur le Duc de Guise. La seigneurie de la Chaise était alors à Saint-Martin d'Écubley, pages 10-22-23-71-89-93-13.
  68. Bulletin de la Société historique et archéologique de l'Orne, 1911, Domaine patrimonial des BÉRAULT